Je repeignais la barrière mitoyenne quand la fille des voisins a fait son apparition dans leur jardin. Elle est venue jusqu’à moi et elle m’a demandé si j’allais repeindre aussi leur côté. Je lui ai expliqué ce que mitoyen voulait dire. Elle a continué à me regarder comme si ça semblait l’intéresser. J’avais encore une couche à mettre mais il était tard. J’ai demandé à Emma si ses parents sont là et elle m’a répondu qu’elle est seule.
– Tu dînes toute seule, lui ai-je encore demandé ?
Elle m’a répondu qu’elle ne sait pas quand vont rentrer ses parents et je lui ai proposé de partager mon dîner. C’était la première fois que je proposais ça à quelqu’un depuis que j’étais veuf. J’avais eu du mal à accepter la vie seule et j’avais cherché qui pourrait remplacer mon épouse mais en vain.
– Je vais me changer, m’a répondu Emma et elle a disparu dans sa maison. J’ai nettoyé mes pinceaux et j’ai rangé mes pots de peinture puis je suis allé à la cuisine pour faire réchauffer mon dîner. J’avais à peine mis le plat dans le four que la fille des voisins à frappé à ma porte. Je lui ai dit d’entrer. Je n’en revenais pas qu’elle se soit complètement changée. Elle avait mis une petite robe habillée qui moulait son corps et ça m’a rendu nerveux au point que je lui ai dit que je ne me doutais pas qu’elle avait autant de poitrine.
– Si je me souviens bien, votre femme avait des gros seins, m’a-t-elle répondu !
J’ai rougi mais je lui ai balancé qu’elle aussi est pas mal de ce point de vue là.
– Alors, devinez combien je fais de taille de bonnets, a-t-elle ajouté !
– Je sais pas ! G, lui ai-je répondu !
– Oh, non, ils sont gros mais pas à ce point-là, m’a répondu la fille des voisins ! Devinez !
– Je sais pas ? F ?
Les derniers temps, mon épouse avait pris énormément de poids et ses seins étaient devenus énormes puis elle avait décliné avant de mourir.
– D, ma répondu la fille des voisins ! C’est déjà pas mal !
Elle m’avait chauffé et je lui ai dit que je ne demande qu’à vérifier. Elle a ri puis elle m’a demandé si je veux vraiment voir.
– Pourquoi pas !
Elle a ri encore plus tout en déboutonnant le haut de sa petite robe puis elle m’a prévenu qu’elle n’avait pas mis de soutien-gorge.
– Pourquoi, lui ai-je demandé ? Tu n’aimes pas ça ?
Elle m’a répondu qu’elle n’a jamais vraiment aimé ça puis elle m’a raconté les colères de sa mère quand elle s’apercevait que sa fille Emma sortait sans soutif. Les gros seins repoussaient déjà les deux pans du haut de la robe et je voyais bien qu’ils ne demandaient qu’à se libérer. Tout à coup, ils ont jailli sous mes yeux et la voisine s’est remise à rire puis elle a posé ses mains dessus pour les serrer l’un contre l’autre.
– Tu as un copain, lui ai-je demandé ?
Elle m’a répondu qu’elle n’en a pas pour l’instant et que ça va ça vient.
– Tu parles de quoi, lui ai-je demandé ?
Elle est devenue toute rouge puis elle m’a répondu qu’elle ne pensait pas à ça.
– Tu n’aimes pas ça, ai-je insisté ?
-S…..i, m’a répondu Emma !
– Tu te masturbes ?
– Ou….i !
– Tu as un gode ou tu te sers de tes doigts, ai-je encore insisté ?
– Et votre femme, m’a lancé la petite voisine ?
– Ma femme, elle avait ma bite pour se masturber, lui ai-je répondu !
– Je comprends pas, m’a demandé Emma !
Je lui ai expliqué que mon épouse aimait bien monter sur moi pour s’empaler sur ma bite. La petite voisine buvait mes paroles.
– Je me sers de mes doigts, a-t-elle ajouté mais j’ai un godemiché !
Je lui ai demandé si elle se l’est déjà enfoncé dans l’anus. Elle a rougi et je lui ai demandé si elle aime ça mais elle a ajouté qu’elle s’était trompé de trou. Comme si une femme pouvait se tromper de trou.
Coincés dans la robe, les seins d’Emma étaient comme deux promontoirs, d’autant plus que ses aréoles étaient bien gonflées et ses mamelons aussi gros que des dés à coudre. Je lui ai demandé si je peux toucher et elle m’a laissé faire. Ses seins et ses mamelons étaient fermes et ça me donnait des idées. Je lui ai suggéré de glisser ma bite entre mais elle m’a répondu que j’ai de drôles d’idées. Le minutier s’est mis à sonné et j’ai proposé qu’on passe à table mais quand elle a commencé à reboutonner sa robe, je lui ai dit de ne pas le faire.
– C’est ça, m’a-t-elle répondu, tu veux voir mes seins ? J’ai aussi un très beau cul, a-t-elle ajouté !
Je lui ai suggéré de me le montrer et elle s’est levée de sa chaise et elle a retiré sa robe. Elle n’avait pas de culotte et elle était complètement rasé. Je lui ai dit que c’est dommage et j’ai ajouté qu’une chatte est plus jolie quand elle a des poils.
– Ah, tu voudrais que je les laisse pousser, m’a répondu Emma ? Je suis brune et j’en ai partout, a-t-elle ajouté !
– Tu le fais toute seule, ai-je encore insisté ?
– Non, je le fais avec ma copine, m’a répondu la petite voisine ! Je la rase et elle me rase !
– Et c’est tout ce que vous faites, lui ai-je encore demandé ?
Elle s’est mise à rire puis elle m’a dit que je veux savoir si elles sont lesbiennes. Elle a repris son souffle avant de me répondre :
– Eh bien, oui, on fait parfois autre chose et non, nous ne sommes pas lesbiennes ! Maintenant, si tu veux que je reste nue, tu dois en faire autant !
Je me suis déshabillé mais j’ai mis un vieux tablier de mon épouse pour faire le service et tout en mangeant, j’ai demandé à Emma si elle n’a pas envie de goûter à la bite. Elle m’a regardé.
– Tu te propose ?
– Oui !
– Tu bandes ?
– Oui !
– Maintenant ?
– Oui !
On s’est levés en même temps de nos chaises et j’ai repoussé les assiettes sur le bout de la table pendant que la petite voisine se couchait dessus. Je lui ai écarté les fesses avec mes pouces. Putain, cette chatte ! Je me suis enfoncé tout de suite. Je n’avais baisé qu’avec une copine avant de rencontrer ma femme et de baiser avec elle. Toutes ces années de fidélité. Au bout de cinq minutes, j’ai senti que je ne pourrais pas continuer plus longtemps et j’ai joui. Emma a mis sa main sur sa chatte et elle m’a demandé où se trouve la salle de bains. Je n’avais rien touché du contenu de l’armoire de toilette et quand je suis allé demandé si tout allait bien, la fille était assise sur le bidet et elle se rinçait le vagin avec le poire à lavement de ma défunte femme.
A suivre
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