Je suis entré à la fac juste après mon bac et j’étais encore vierge. J’avais pu admirer et toucher des filles dans leurs plus simples appareils mais je n’avais jamais concrétisé. L’année scolaire se passait plutôt bien et j’avais déjà repéré dès ma première année de fac quelques filles qui pourraient m’intéresser, dont une Noémie. Noémie s’est vite fait une réputation sur le campus. En effet, il était de notoriété publique dans notre classe que Noémie était saoule avec seulement quelques verres d’alcool et que, dans cet état d’ébriété, elle devenait alors une fille très facile. J’avais eu des échos durant l’année de mecs qui avaient déjà eu des relations sexuelles avec elle. Je me suis alors dit que si je pouvais être invité dans la soirée qu’elle, il se pourrait que j’essaye de perdre mon pucelage avec elle.
L’occasion s’est effectivement présentée lorsque l’on m’a invité à une soirée entre les divers clubs sportifs de la fac (j’étais inscrit au club de football et Noémie au club de volley). La soirée se passait plutôt bien et j’observais Noémie de loin jusqu’à ce que je trouve le courage de venir vers elle. J’ignorais comment l’approcher et je restais dans mon coin à y réfléchir lorsqu’elle s’est approchée de moi pour voir si j’allais bien. Je lui ai répondu que j’allais bien mais que j’étais en train de réfléchir à un truc. A partir de là, nous nous sommes mis dans un coin à discuter d’un peu de tout. Comme il y avait de la musique et que des gens autour qui discutaient, nous nous sommes penchés l’un vers l’autre pour mieux nous entendre. En se penchant, j’avais une vue imprenable sur son décolleté jusqu’à son ventre et j’ai même vu qu’elle ne portait pas de soutien-gorge sous son haut et j’en profitais pendant notre discussion pour jeter des regards de temps en temps. A un moment, Noémie s’est aperçue de la direction que prenais des fois mes regards et me demanda si la vue me plaisait. Je lui ai répondu que oui mais que ce n’était pas assez dégagé à mon goût. Elle me sourit alors en comprenant mon allusion et elle me dit sans détour que la vue peut se dégager si je le voulais mais pas ici. Je lui ai alors demandé si la vue serait meilleure depuis mon appartement et elle me répondit qu’il faudrait d’abord y aller avant d’admirer la vue. J’ai vite compris ce qu’elle voulait dire par là et nous sommes partis de la fête jusque chez moi.
Arrivé à mon appartement, j’ai proposé par politesse un verre qu’elle accepta. Après avoir bu notre verre, nous nous sommes assis sur le bord de mon lit et elle me prit la tête dans ses mains pour m’embrasser sur la bouche. D’abord surpris par ce geste, je lui rendis son baiser et mes mains, qui étaient au début sur ses épaules, sont descendues jusqu’à atteindre ses seins. Au moment où j’ai commencé à lui caresser ces derniers, elle se mit à gémir doucement. Encouragé par sa réaction, j’ai entrepris de lui retirer son haut, ce qui me permit d’admirer ses deux globes bien ronds et ses petites aréoles roses. Ses tétons étaient déjà très durs et gros sous l’excitation et ils devinrent extrêmement sensibles lorsque je me suis mis à les téter et à les lécher. Pendant ce temps, l’une de ses mains se dirigea vers mon entrejambe qui déformait mon pantalon à cause de l’érection presque douloureuse de mon pénis. Noémie m’a fait lever devant elle puis m’a demandé d’enlever mon haut. Pendant ce temps, elle a ouvert mon jean pour ensuite le descendre jusqu’à mes chevilles, très vite rejoint par mon caleçon. Mon sexe était dur et se dressait devant elle comme pour appeler à un soulagement de cette raideur. Noémie a donc commencé par prendre mon membre en main et à le masturber, tout d’abord doucement puis de plus en plus vite. Elle approcha ensuite sa bouche de mon gland et se mit à y déposer des baisers. Elle l’avala ensuite entièrement et fit des mouvements de va et viens sur mon sexe aussi bien avec sa bouche qu’avec sa main tandis que son autre main me caressait les testicules.
Je n’en pouvais plus de ce traitement tellement c’était bon et j’ai dû faire des efforts presque surhumains pour ne pas jouir tout de suite. Je lui ai demandé d’arrêter et je l’ai penchée en arrière jusqu’à l’allonger sur mon lit. J’ai ensuite déboutonné son jean et je le lui ai ôté en tirant dessus. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque je vis qu’elle ne portait pas non plus de culotte. Son intimité était entièrement épilée et je pouvais voir ses deux lèvres du bas légèrement écartées pour laisser entrevoir son sexe luisant de mouille. Je me suis penché au-dessus d’elle et je l’ai à nouveau embrassée à pleine bouche. Puis, je suis descendu dans son cou, sur ses épaules, sur son torse, vers sons sein gauche puis vers le droit, sur son ventre, sur le haut de ses cuisses, sur l’intérieur de ses cuisses, entre ses cuisses et ses lèvres vaginales en passant sur son pubis. Je sentais sa respiration devenir de plus en plus forte, j’entendais son cœur battre de plus en plus vite. Sa peau était maintenant très chaude et Noémie se contorsionnait pour que j’atteigne ses lèvres du bas avec mes lèvres du haut. A un moment, elle me suppliait presque de lui manger son vagin tout en mettant une main dans les cheveux pour parvenir à ses fins. Après l’avoir laissée suffisamment mariner, j’ai commencé à l’embrasser sur son sexe, ce qui lui fit lâcher un gémissement de soulagement, voire de délivrance. Au fur et à mesure de mes caresses buccales, Noémie gémissait tout du long jusqu’au moment où elle atteignit l’orgasme. Un léger flot de cyprine coulait de son intimité que je venais de satisfaire.
Une qu’elle eut repris ses esprits, Noémie me demanda de la prendre. J’ai sorti un préservatif qu’elle me prit des mains et elle l’enfila sur mon pénis. Elle écarta alors ses jambes et m’ouvrit son vagin pour une meilleure pénétration. J’ai donc présenté mon membre à l’entrée de ce trou qui ne demandait qu’à m’accueillir et, juste avant de rentrer en elle, je lui ai avoué qu’il s’agissait de ma première relation sexuelle. Elle me regarda et me demanda alors de changer de position. Elle m’allongea alors sur le lit puis elle s’assit sur mon ventre puis se pencha vers moi pour m’embrasser à nouveau. Elle m’expliqua que je lui avais tellement fait du bien qu’elle voulait faire l’amour avec moi bien comme il fallait pour ma première fois. Elle vit que j’étais stressé et elle me demanda de me détendre, ce que je fis tant bien que mal. Elle releva un peu son bassin et le recula pour se retrouver au-dessus de mon entrejambe. Elle saisit à nouveau mon sexe entre ses jambes et guida ce dernier jusqu’à l’entrée de son vagin. Elle s’empala alors d’elle-même sur mon engin et, lorsqu’elle eut enfoncé la totalité de mon sexe en elle, elle s’arrêta quelques secondes et se pencha vers moi pour m’embrasser à nouveau et me chuchoter dans l’oreille que je n’étais désormais plus vierge. De mon côté, je sentais la chaleur de son intimité autour de mon pénis et, lorsqu’elle commença à faire des mouvements de va et viens, de grandes vagues de plaisir vinrent m’envahir dans tout mon corps. Je recevais tellement de sensations nouvelles, si bonnes et si fortes en même temps que j’avais l’impression de mourir pour renaître en quelque chose de bien mieux qu’avant.
Cette nouvelle expérience et ces nouvelles sensations me distrayaient tellement que je ne fis pas attention à mon orgasme montant et je me mis donc à jouir en elle assez rapidement. Elle s’arrêta alors, un peu déçue que cela s’arrête déjà, et elle se retira. Elle me demanda si cela me tentait qu’elle enlève mon préservatif et qu’elle me nettoie le sexe avec sa bouche et je lui ai répondu oui dans la foulée. Je me suis assis sur le bord du lit et Noémie s’accroupit entre mes jambes. Mon sexe, qui avait commencé à ramollir après avoir joui, reprit de la vigueur sous les coups de langue de Noémie. Je la voyais lécher mon sexe depuis la base jusqu’au sommet de mon gland pour ensuite tourner sa langue autour de ce dernier et l’avaler au plus profond de sa gorge directement, le tout en me lançant un regard coquin. Je ne pus tenir plus et je l’ai attrapé vers moi pour l’embrasser à pleine bouche. Je n’avais pas pensé à ce moment-là mais, lorsque nos langues se mêlèrent, je sentis le goût de mon sperme dans sa bouche ce qui ne m’a pas déplu énormément. Noémie en profita pour s’asseoir sur mes jambes que j’avais resserrées pour l’occasion. Mon sexe dur et tendu frottait contre l’entrée de son vagin. J’ai alors pris ses deux fesses pour les écarter et atteindre son intimité avec le bout de mes doigts. Je me suis mis à lui caresser ses lèvres, ce qui me valut des gémissements de sa part. Je me suis alors mis à prendre mon sexe en main par derrière elle et je lui ai caressé le clitoris et ses lèvres avec, ce qui la fit onduler le bassin tellement elle appréciait autant que moi. Toutefois, je me suis mis à onduler du bassin également sous elle et, en appuyant de plus en plus sur mon sexe qui frottait contre le sien, mon pénis est rentré dans son vagin sans protection. J’ai ainsi pu la pénétrer une seule fois jusqu’à la moitié de mon sexe environ puis elle s’est relevée d’au-dessus de moi avec un air réprobateur.
J’ai compris que nous étions allés un peu trop loin tous les deux et je me suis mis à la rassurer en lui rappelant qu’elle était ma première partenaire et que donc je n’avais pas pu lui refiler quelque chose. J’ai continué en lui demandant si elle n’avait rien de son côté et elle m’a répondu qu’elle mettait toujours un préservatif pour ses relations sexuelles et qu’il s’agissait pour elle de la première fois sans protection. Nous avons donc été rassurés de savoir qu’il n’y avait rien eu de grave mais nous avions décidé d’essayer de ne pas recommencer. Elle était debout devant moi et je me suis relevé pour la prendre dans mes bras et l’embrasser sur la bouche. L’effet fut immédiat chez elle car elle me rendit mon baiser et nous continuâmes ainsi. Je l’ai ensuite poussé gentiment jusqu’à ma table pour qu’elle s’asseye sur le bord tout en continuant de nous embrasser. Elle a alors repris mon sexe qui n’avait presque pas débandé et elle a recommencé à se caresser le clitoris avec. De mon côté, je continuais à l’embrasser à pleine bouche en descendant de temps en temps dans son cou. Je l’entendais gémir sous l’excitation et cela m’encouragea à lui prendre ses seins dans mes mains et les malaxer fermement pour faire augmenter son désir. Le plaisir me gagnait également et je me suis surpris à onduler du bassin pour appuyer le frottement sur son sexe et son clitoris. Nous étions tous les deux dans un état second à cause du plaisir que nous prenions et, presque sans le vouloir, nos mouvements furent moins synchronisés ce qui fit que j’appuyais avec mon bassin mon sexe contre l’entrée de son vagin de plus en plus. A un moment, je n’en pouvais plus de cette situation qui était pour moi comme une douce torture et mes mains descendirent sur ses hanches pour les agripper et j’ai appuyé un peu plus fort mon sexe sur son vagin pour rentrer en entier jusqu’au fond de son intimité en une seule fois. Cela lui arracha un cri de plaisir et je me suis mis à la prendre sauvagement sur la table. Je pensais au début qu’elle m’arrêterait à nouveau mais lorsque je l’ai entendu dire, ou plutôt crier, qu’elle aimait ça et qu’elle prenait son pied, j’ai continué de plus belle mes coups de butoir en elle.
Chacun de mes coups lui faisait lâcher un cri de bonheur et je sentais son vagin se resserrer sur mon membre. Je sentais qu’elle n’allait pas tarder mais, malheureusement, moi aussi. J’ai essayé de me retenir au maximum pour qu’elle puisse jouir avant moi et que je puisse sortir d’elle pour jouir à mon tour. Elle a réussi à jouir rapidement et je suis sorti d’elle aussitôt pour déverser mon sperme sur son ventre et son pubis. On s’est à nouveau embrassés et j’ai continué à bouger mon bassin pour caresser mon sexe contre le sien. Elle m’a regardé dans les yeux et elle m’a dit qu’elle avait rarement autant pris son pied ainsi. Moi qui pensais me faire remonter les bretelles parce que j’avais un peu abusé de la situation pour la prendre sans protection, j’ai eu droit à la place à des remerciements pour lui avoir procuré de telles sensations. Elle m’a même félicité pour être sorti d’elle au bon moment et elle m’a aussi avoué qu’elle ne pensait plus du tout au risque de grossesse et qu’elle ne m’aurait pas empêché de jouir en elle. Après tout ceci, nous sommes allés prendre une douche séparément puis elle a dormi chez moi dans mon lit à mes côtés. Ce fut également la première fois que je partageais mon lit avec une fille. Elle est repartie le lendemain matin en me remerciant encore pour la nuit passée, bien qu’elle resta plus distante, certainement parce qu’elle avait dessaoulé. Nous nous sommes évidemment revus à la fac en cours mais nous n’avons jamais reparlé de cette soirée. Peu de temps après, j’ai rencontré une autre fille avec qui j’ai eu une relation qui a duré plusieurs années.
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