Chapitre 2
Notre rencontre s’étant déroulée un jeudi soir, j’avais déjà organisé mon weekend en mode célibataire, et soyons honnête, je comptais quoi qu’il en soit continuer cette vie de célibataire encore un moment malgré la partie de baise de la veille.
Caroline était rentré chez elle, et moi je vaquais à mes occupations. A l’époque, j’officiais en tant que technicien qui réalisait des expertises sur le réseau mobile du pays. J’étais tout le temps en déplacement. Ce métier me plaisait beaucoup, parce que pour une charge de travail donné à la semaine, je m’organisais comme je le voulais. Si je devais faire des journées de 20H et être en weekend dès le mercredi soir, je pouvais le faire. Et c’est comme cela que je vivais. Cela me laissait pas mal de temps pour chasser sur les sites de rencontres et fourrer ma queue partout où je le pouvais.
J’avais expliqué ce petit rythme à Caroline pour lui signifier que je ne savais pas vraiment quand nous nous reverrions. Je ne peux pas dire ce que j’ai fais de mon weekend je n’ai pas la mémoire assez longue pour ce genre de détail, mais ce qui est certain, c’est qu’elle avait très envie de me voir. Elle avait prévu de venir voir des copines à elle sur Toulouse le dimanche et me demandait si on se verrait par la même occasion. Je devais partir dans le nord de la France le lendemain et j’avoue que la perspective de devoir faire un effort ne m’enchantait guère … Ce que je lui expliquais gentiment par SMS. Sans réponses de sa part aux derniers échanges, je pensais qu’elle avait capitulé, je ne m’en inquiétais pas du tout et passais à autre chose assez rapidement. Ce n’est que dans la fin de matinée de ce fameux dimanche que je reçus un sms avec avec une photo d’elle … Une photo prise en contre plongée la montrant assise dans sa twingo, jambes suffisamment écartée avec sa robe suffisamment descendue sur ses cuisses pour que je puisse me demander ce qu’elle portait dessous. Il était écrit dans le SMS « Il fait chaud, non ?”
Étant très porté sur les mots et les images érotique, cela fit immédiatement bouillir ma petite tête, et me donnait envie d’en voir plus.
Les échanges SMS se firent beaucoup plus rapide et tendus … Je n’avais rien à faire, je n’ai pas envoyé le moindre centimètres carré de moi en photo, elle faisait tout toute seule, arrêtée sur une aire d’autoroute un dimanche de septembre dans sa twingo verte. Ses cuisses, ses épaules, sa bouche, son décolleté puis … un morceau de téton, d’un sein, sa robe autour de sa taille … J’imagine maintenant le bonheur de voyeurs qui l’ont peut être vu ce jour là. Je n’ai malheureusement pas eu plus, elle devait arriver à l’heure à son rendez vous, et me fit vite comprendre que si je voulais plus, ça ne se ferait pas par téléphone …
Je suis comme un con. Je me suis clairement organisé autrement, j’ai ma semaine à préparer et la voir ce fameux dimanche, toute chaudière que ça à l’air d’être me foutrait dans la merde. Je décide alors, sans doute très connement de lui proposer de venir avec moi.
A l’époque Caroline est à son compte, et a donc la possibilité de bouger facilement.
Je lui envoie le fameux SMS dont on parle encore régulièrement aujourd’hui « tu veux voir l’océan demain matin ?”
A cette bête phrase, elle me répond oui. Bête et méchant, je calcule mes itinéraires … Faut que je sois sur Bayonne à 08H pour commencer le boulot, le trajet pour y aller de Toulouse, et donc aller la chercher à Montauban. Rendez vous à 4h15 devant chez elle.
J’avais jamais foutu les pieds à Montauban avant cet épisode … Et putain, je me demande encore comment j’ai pu avoir la foie de faire ça. Me lever avant l’aube, me pointer dans un coin de campagne, et envoyer un SMS : « suis devant, tu peux sortir”
Elle est rentrée dans la voiture … on a mis ses bagages, dans le coffre et on est parti. Je crois qu’elle s’est endormi quelques minutes après. On est arrivé à Bayonne, elle venait de se réveiller. On s’est mis réellement à converser un peu avant midi. Je me souviens qu’il faisait hyper beau, chaud. Peu à peu, elle a fait tomber les couches, jusqu’à ce que je puisse voir un petit débardeur blanc, sans rien dessous, juste ce qu’il faut de transparence pour voir ses tétons à travers. Ca lui allait parfaitement … Ce côté où finalement on ne sait jamais sur quel pied danser. Un visage de gamine avec des manières de petite coincée, mais finalement, un comportement assumée de petite salope. La journée se passe, je sors le grand jeux : resto en terrasse sur un petit port le midi, balade sur la plage en en fin de journée. J’avais repiqué au nord, sur les plages des landes, grande avec parfois de jolis côtés désert, des dunes et un bel étendu d’océan s’offrait à nous. J’en profitais pour plaisanter sur le fait qu’on pouvait tout à fait tomber sur des nudistes et que si jamais, il ne fallait pas crier au scandale. A chaque fois, elle paraissait amusé, en me disant qu’elle n’avait jamais fait tout ce genre de chose, mais terminait par … « Pourquoi pas tenter”
J’avais envie de la foutre à poil, là tout de suite, sur la plage, mais l’excursion ayant été improvisée, nous n’avions pas de serviette, et c’était un coup, à être recouvert de sable beaucoup trop rapidement.
Nous décidons de nous rapprocher de l’hôtel pour y passer la fin de la soirée. Evidemment, nous avons baisé avant le repas, après le repas, dans la nuit, le matin … J’avoue que j’ai eu du mal à tenir le rythme, je n’étais pas en congés et ce n’était pas des parties de baise de 10 minutes … Nous faisions de plus en plus connaissances, et passions beaucoup de temps à parler de nos expériences passées, autant pro que sexuelles. Le soleil, les repas, le sexe, c’était une très bonne semaine et nous étions tous deux enchantés par le déroulement de ce séjour improvisé.
Au cours de nos parties de baise, j’avais remarqué plusieurs choses : Elle aimait prendre des doigts dans le cul, se faire tirer les cheveux, se faire claquer le cul et surtout … me sucer les doigts pendant que je la baisais. A cette idée, je lui avais demandé si ma queue ne lui suffisait pas, et elle m’avait répondu, qu’elle n’était pas contre en prendre d’autres … Nous avions alors beaucoup échangé sur cette idée, et beaucoup fantasmé, jusqu’à ce qu’elle me dise également, que des petits jeux de type se faire attacher, bander les yeux, baiser habillée, lui plaisaient énormément. Nous avions essayé de mimer des scènes à l’hôtel du genre elle attachée au lit (avec les moyens du bord) et les yeux bandés, moi qui m’en vais de la chambre et elle en attente sans bouger qui attend mon retour pour se faire baiser « par un inconnu” … La mayonnaise prenait bien.
C’est donc sur le chemin du retour le mercredi soir que sous les coups de 20 heures sur l’A64 j’ai eu l’idée de faire une halte sur une aire de repos. Je ne me souviens plus du nom, mais elle est reconnaissable facilement, une représentation d’un cycliste du tour de France y trône en hauteur lorsqu’on passe sur l’autoroute. Elle remarque au bout d’un instant, que je ne me dirige pas vers la station, mais plutôt vers le parking des camions, au fond. Elle me regarde dubitative, je sens qu’il va falloir que je sois bon, parce que le trip routier n’a pas l’air d’être son truc. Je m’éclipse rapidement vers le coffre de la bagnole att****r le lien qui nous servait à l’hôtel pour lui bander les yeux. Je me glisse à l’arrière de la voiture, lui attache les yeux. Elle cherche la discussion, pour me faire comprendre que bof, mais je ne lâche pas l’idée. Son siège est reculé, un peu penché en arrière, elle a les yeux bandés, je me glisse rapidement à l’avant pour couper le moteur, éteindre les phares et allumer le plafonnier. Je sors de la voiture et j’observe.
3 camions sont là, mais je ne vois personne. Je suis sur le moment incapable de dire si les gars sont dedans. Je décide alors de me glisser à l’arrière et de fermer la porte. J’att**** son cou, ses cheveux, je descends rapidement sur ses seins, je baisse son débardeur. Elle est seins nus, yeux bandés. On ne se parle pas, elle perçoit sans doute que la lumière est allumé vu la qualité de son bandeau, mais ne dit rien, je la sens très excité.
Je commence alors à fantasmer à voix haute avec elle, lui dire que peut être des hommes vont venir, la voir, la caresser, la baiser … Elle rigole à chaque fois, mais ne dit rien … Elle a l’air d’apprécier. Je lui explique que ses mains ne sont pas attachées, qu’elle peut en faire ce qu’elle en veut. Quelques instants après, elle défait son petit short, le glisse en bas de ses chevilles et commence à jouer avec sa culotte. Je bande à mort, cette situation électrique me plait beaucoup. Quelques minutes après, peut être longue, peut être courte, je me rends compte que très près de la voiture, un mec est là. Il ne cherche pas à se cacher, mais il s’est parfaitement mis dans l’angle mort histoire d’être le plus discret possible. Il se frotte la queue à travers son pantalon. J’essaie de lui faire signe d’approcher, il n’a pas l’air de me voir ou de comprendre, trop absorbé par Caro sans doute.
Je lui dis « Y’a un mec dehors … Il se branle en te matant”. Elle me répond « C’est vrai ???”
Je lui explique qu’il a l’air d’apprécier le spectacle.
« Il est loin ?”
« 3,4 mètres, tout au plus”
« Il va pas voir si j’enlève ma culotte alors …”
« Baisse ta vitre, fais lui signe”
« Non, toi. Je ne veux pas lui parler ni être en contact avec lui”
« Ok”
Je baisse ma vitre, je lui fais signe d’approcher.
Le mec approche rapidement, mais ce que j’avais pas vu, c’est que deux autres étaient pas très loin derrière, beaucoup plus discret, et ils approchèrent eux aussi. Je sors du véhicule, je leurs explique les souhaits de Caro. Surtout, je précise bien qu’elle pense qu’il y’a qu’un voyeur. Ils peuvent se branler, pour le reste, ils feront en fonction de ce que je dis.
Je reviens dans la voiture
« Il est là, juste à côté de ta portière”
« Ok, dis moi juste ce qu’il fait et si il a l’air d’aimer, il faut que je me concentre”
Elle se caresser les seins, le ventre, la chatte, les cuisses, en éxagérant la gestuelle rythme, on dirait une vraie pute. Sa respiration accélère. Elle descend sa culotte, elle est en nue.
« Il n’a pas l’air de trop voir ta chatte, le bas de l’habitacle n’est pas éclairé, il a l’air déçue”
« …”
« … Je fais quoi ? J’ouvre pour qu’il puisse bien voir ? Je baisse juste la fenêtre ? Tu sors ? Il ne te touchera pas”
« Ok, fais moi sortir”
J’allume les veilleuses, je sors de la voiture, leurs fait signe de reculer discrètement et lui ouvre, la porte. Elle est gauche, je la guide, elle a l’air ivre. Je l’installe de manière à ce qu’elle s’assoit sur le capot. Le contact de la carrosserie ne semble pas lui aller, je vais lui chercher de quoi poser son cul. Les 3 gars, ont sortis leurs queues, elle se caresse. Elle m’attends. Je l’installe plus confortablement, elle commence à jouer. Elle a l’air trempée, les mecs sont bien raides à maxi un mètre d’elle. Elle pourrait entendre les mouvements de branle de leurs queues. Cela va très vite, je sens qu’elle pourrait exploser rapidement, eux aussi, moi aussi. Je la lève, je la tourne pour qu’ils puissent mater son cul, elle jambes tendues appuyées sur la voiture, elle continue de se masturber face à nous.
« Continue, tu vas nous faire jouir”
« Moi aussi, je vais bientôt venir”
Elle se crispe, et part dans un orgasme long à son habitude et redescend peu à peu, nous sommes encore là, un peu moins dur, mais quand même vaillant à profiter d’elle nue devant nous.
« Tu ne devrais pas enlever le bandeau”
« Pourquoi”
« Peut être qu’on est plus de deux”
Elle rigole
« Personne n’a jouit ?”
« Personne”
Elle se tourne, se cambre un max
« Allez y”
Personne n’a osé plus se rapprocher, les mecs ont honteusement giclé à leurs pieds et ont disparus dans l’instant d’après. Restant sur ma fin face à cette fin de spectacle un peu ratée à mon goût, je lui enlève le bandeau en lui expliquant que ca sera sans moi, mais que c’était quand même très bien. J’ai juste trouvé nul que les mecs ne fassent même pas un sourire, même pas un merci …
Elle fait la moue, se met à accroupis, gobe ma queue et me fait finalement explosé en 4 regards de salope dont elle a le secret.
Nous ne nous sommes plus jamais arrêtés sur cet air d’autoroute, mais sommes ravis à chaque fois de reprendre l’A64.
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