Histoires de baise Histoires de sexe mobiles Histoires tabous

Réveil

Réveil



Quand j’ai ouvert la porte et que j’ai vu mon ex-femme, je n’en revenais pas. On avait divorcé fâchés à jamais et cela faisait bien huit ans qu’on ne s’était revue. Et quand elle a poussé une gamine, ou plutôt adolescente vers moi en me disant que c’était ma fille, j’en suis revenu encore moins.

– Voilà ! Elle veut te connaître ! Tu l’as pour le week-end, a-t-elle ajouté ! Je la reprends dimanche dans la soirée !

Mon ex a fait demi tour et la fillette est restée plantée là, devant moi. Je l’ai fait entrer dans la maison. Je n’en revenais pas. Dans le jugement que je n’avais pas contesté, il était bien dit que je ne la reverrais plus. Je la regardais et je la trouvais plutôt jolie. Elle avait des formes et quand elle a quitté son manteau, ses formes sont apparues encore plus excitantes. J’ai dit à ma fille qu’elle était mignonne et c’était autant un compliment que pour lui faire plaisir.

– Si j’ai des gros seins, a rectifié ma fille, maman dit que c’est de la faute de ma grand-mère paternelle !

– Tu fais quelle taille, lui ai-je demandé ? On pourrait peut-être aller d’acheter des vêtements ? Tu ne voudrais pas que je t’offre quelque chose ?

– C’est du C, les bonnets, si tu veux m’offrir un soutien-gorge, m’a répondu ma fille !

Elle semblait s’amuser de parler de ça avec le célibataire forcé que j’étais devenu et resté.

– J’aimerais bien que ce soit en soie avec des dentelles et la petite culotte qui va avec, a insisté ma fille !

– Tu ne crois pas que c’est plutôt pour les femmes, ai-je protesté ?

Ma fille m’a répondu qu’elle en était une parce qu’elle avait ses règles depuis un bon moment. Sur ce sujet-là, je n’avais que l’avis d’un mari que sa femme baladait à sa guise en vertu de ses caprices. J’avais subi les refus de mon ex trop souvent…

– Je pourrais déjà avoir un bébé, a ajouté ma fille !

– Ah, bon, tu as un petit copain, lui ai-je demandé, soudain inquiet et d’autant plus que je ne me voyais pas grand-père ?

– Mais non, m’a répondu ma fille ! C’est juste que c’est possible ! Et j’ai pas de petit copain et puis les garçons c’est tous des cochons !

– Et moi, ai-je protesté, tu crois que j’en suis un ?

– Quand je lui demande, maman le dit, a poursuivi ma fille !

– Et qu’est-ce qu’elle dit d’autre de moi ?

– Que pour toi, il n’y a que le sexe qui compte, a poursuivi ma fille ! Et que tu ne t’es marié avec elle que pour ça !

J’étais mal à l’aise sur le sujet, surtout que j’étais tombé sous le charme de sa mère parce qu’elle était très sexy et elle n’avais jamais hésité à me sucer quand je l’emmenais en voiture pendant nos fiançailles. C’est tout de suite après notre mariage qu’elle avait commencé à me faire des mystères et à avoir des migraines. Puis quand il s’est avéré qu’elle était enceinte de notre fille, elle m’avait reproché sans arrêt que ça allait lui déformer le corps et la rendre moche mais aujourd’hui je ne lui en veut toujours pas de m’avoir quand même laissé lui faire l’amour avec son gros ventre. En plus, ces temps-là, elle n’hésitait pas à me dire quand je me retirais que j’étais content d’avoir baisé ma putain. Quand notre fille avait eu quatre ans, et je ne comprends toujours pas comment elle s’y est prise, une de ses collègues s’était mise à me draguer et forcément, le jour où j’ai cédé, ma femme nous a surpris en train de nous embrasser mais c’était la femme qui m’avait embrasser. La suite, le divorce. J’avais été incapable de réagir et de m’y opposer.

Nous avons fait les magasins et dans celui de lingerie, ma fille a essayé tout un tas de frous-frous et même la vendeuse m’a dit que ma fille était un peu jeune pour ceux qu’elle avait choisi. Je lui ai répondu que je me contentais de payer. Le soir, nous sommes allés au restaurant puis nous sommes rentrés chez moi. Nous avons fait son lit ensemble puis nous nous sommes couchés. Je dormais quand ma fille m’a secoué :

– Papa, papa, je peux dormir dans ta chambre ? J’ai peur de dormir toute seule !

J’ai émergé de mon sommeil. J’avais du mal à comprendre ce que ma fille voulait et je lui ai proposé de laisser la porte de sa chambre ouverte, la lumière allumée. Après tout, c’était juste de l’autre côté du couloir mais elle a tellement insisté que j’ai fini par céder. Ma fille s’est enfoncée dans mes draps. Je lui ai fait une bise et j’ai essayé de me rendormir.

– Qu’est-ce que tu fais, lui ai-je soudain demandé ?

Je n’arrivais pas à le croire parce que les doigts de ma fille s’étaient aventurés dans le pantalon de mon pyjama par la braguette. Ils caressaient mes couilles et glissaient sur ma bite.

– Tu pourrais te raser, a ajouté ma fille ! Comme les femmes ! C’est plus beau !

Elle me branlait tout doucement et pour l’instant se contentait de me décalotter le prépuce puis elle le ramenait sur mon gland avant de recommencer.

– Il est gros, a ajouté ma fille au bout d’un moment ! Il est gros et il est long ! J’aurais bien voulu être un garçon, a-t-elle encore ajouté !

Maintenant, ma fille me branlait complètement. Ses doigts tiraient sur mon pénis et quand ils étaient tout en bas, elle marquait une petite pause avant de les glisser vers le haut puis encore une petite pause avant de redescendre et ça me rappelait que sa mère m’avait fait comme ça dans la voiture à chaque fois avant de me sucer.

– Ça suffit, maintenant, ai-je dit à ma fille !

– Tu as peur que je fasse jaillir ton sperme, m’a répondu ma fille ? Tu préfères que je te suce ? Tu préfères me baiser ? Tu préfères me mettre ta grosse bite et mettre en cloque ta petite fille qui est toujours en châleurs ?

Je me suis réveillé tout à coup. j’avais le front couvert de sueur. J’ai repoussé le drap et je me suis levé. Ma femme dormait et ronflait même un peu. Je suis allé dans la chambre de ma fille. Elle dormait, elle aussi. Je suis allé dans la salle de bains. Bon sang, me suis-je dit, ma femme perd la boule ! Son gode ventouse était resté planté au coin de la baignoire. Je l’ai décollé et je l’ai rangé au fond du placard, là où elle le planque pour que notre fille ne tombe pas dessus par hasard et je suis retourné me coucher. Ma femme me tournait le dos et sa chemise de nuit était remontée sur ses hanches. J’ai posé mon gland sur ses reins.

– Qu’est-ce que tu fais, m’a demandé ma femme ? Tu sais bien que pendant ces périodes, je ne veux pas que tu me touches ! Je ne veux pas d’autre enfant !

Elle avait martelé ces derniers mots. Quand je lui ai dit qu’elle pourrait prendre la pilule, elle m’a répété ce que je savais déjà, qu’elle ne voulait pas. Un point c’est tout puis elle a ajouté que je n’avais qu’à m’abstenir et que ce n’était pas difficile. D’ailleurs elle le faisait bien. Je savais bien qu’elle était tiraillée entre ses besoins de sexe et ses contradictions et quand je lui ai dit qu’elle avait laissé traîné son gode, elle m’a demandé si je l’avais rangé. J’ai collé ma bite entre ses fesses et j’ai posé la main sur sa poitrine.

– Si, au moins, tu acceptais que je t’encule…

– Ça va pas, m’a répondu ma femme ! Tu n’as qu’à te branler ou aller voir une putain !

Je me suis laissé tomber sur le dos et j’ai pensé que ça faisait déjà un bon moment que ma femme me conseillait ces alternatives. Au matin, quand je me suis réveillé, la vie avait repris sa routine :

– Bien dormi, chéri ?

Ça c’était pour moi.

– Tu ne vas pas aller au collège dans cette tenue !

Ça, c’était pour notre fille. J’ai pensé que sa mère avait raison. Minijupe et profond décolleté, ce n’est pas pour des jeunes filles, d’autant plus qu’elle nous fait la comédie en ce moment pour qu’on accepte qu’elle se fasse faire un piercing au nombril.

– Et pourquoi pas au bout des seins, lui avait répondu sa mère !

Je n’étais que spectateur. Notre fille lui avait répondu qu’elle se ferait percer quand elle serait majeure et qu’on ne pourrait plus s’y opposer.

– Et même la chatte, avait rugi notre fille ! Je m’y ferais mettre plein d’anneaux et comme métier je ferais putain !

Je me suis fait tout petit. Sa mère a répondu par une gifle qu’elle a regretté tout de suite

FIN.

FIN

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire