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bourgeoise en chaleur

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Je m’appelle Stéphane. Je suis né dans une famille catholique. Par conséquent, j’ai développé un caractère honnête, respectueux et malheureusement un peu timide. Agé de 22 ans, j’étais encore vierge. Hormis quelques flirts, je n’avais jamais touché une femme. Non que je ne le désire pas mais par la faute de ma propre timidité qui jouait contre mes intérêts.
J’avais bien sûr des besoins sexuels que je solutionnais grâce à des images érotiques et des masturbations régulières. Mes besoins étaient si forts que n’importe quelle femme provoquait le désir en moi, je n’avais pas de goûts définis ou marqués. Chaque paire de seins et un cul qui passait devant moi m’obligeaient à me branler férocement dès que je rentrais chez moi. Je me fichais de l’âge, pour moi toutes les femmes méritaient d’être prises.
Les choses changèrent soudainement il y a deux ans lorsque je dus déménager à la capitale pour poursuivre mes études de médecine. Mes parents avaient de vieilles connaissances à Paris qui vivaient dans un grand appartement avec plusieurs chambres libres. Cela me semblait un bon compromis pour vivre dans un beau quartier et être accompagné de gens qui connaissaient mes parents.
A vrai dire, je fus positivement surpris lorsque j’arrivai à ce qui devint mon nouveau foyer. Dès le premier jour je fus traité comme un membre de la famille. Il s’agissait d’un couple très actif qui avaient un moins de 50 ans. L’épouse se nommait Virginie et l’époux Paul. Ils avaient eu des enfants déjà grands qui s’étaient mariés après leurs études et c’était la raison pour laquelle ils vivaient dans un appartement un peu trop grand pour eux. C’est ainsi qu’ils eurent l’idée de louer une chambre de leur chic appartement parisien.
Une fois installé, je commençai à organiser ma nouvelle vie. Ma chambre était à quelques mètres de la chambre nuptiale de Virginie et Paul. J’avais une salle de bains pour mon usage personnel et je pouvais utiliser le reste de la maison selon mes besoins. Dans les faits, presque dès le premier jour, je partageai la cuisine et la salle à manger avec eux. Je commençai donc mes études supérieures et organisai rapidement mes nouvelles activités.
Malgré ma nouvelle liberté, j’avais toujours un problème au niveau des relations sexuelles. Comme avant, je calmais mes ardeurs par le biais de la masturbation avec certaines revues érotiques que je cachai sous mon matelas.
Paul était à l’extérieur du foyer la plupart du temps, je ne le voyais qu’à l’heure du dîner et les fins de semaines. Ils semblaient être un couple vivant en harmonie et ne se disputaient jamais.
Quelques jours après mon arrivée une situation coquine se présenta et exacerba mes désirs. J’étais assis à la table de la cuisine en train de boire une tasse de café. Paul était déjà parti travailler et Virginie lavait quelques tasses dans le lavabo à ma proximité immédiate, elle était de dos. J’avais fini mon petit déjeuner et j’amenais ma tasse pour la laver. Alors que je m’approchai de Virginie, elle (sans se rendre compte que je m’approchais) se baissa pour prendre quelque chose dans la partie inférieure du meuble de cuisine en dardant son derrière totalement vers moi. Je ne peux éviter le contact et mon sexe glissa sur son cul.
Je ne m’y attendais absolument pas et ma verge était totalement flasque mais le contact provoqua un afflux de sang soudain et très fort dans mon pénis qui s’érigea en une érection automatique et particulièrement forte.
Je demandai pardon à Virginie pour ce contact involontaire et je m’éclipsai rapidement à la salle de bains. Je ne comprenais pas ce qui se passait, j’étais en train de désirer Virginie comme un fou. Je mis ma bite au niveau du lavabo et je me masturbais en pensant au cul de celle qui se comportait comme une mère pour moi. De longs traits de sperme sortirent de mon sexe dans la porcelaine. Je fis couler l’eau pour effacer les traces de ma branlette et pouvoir sortir de la salle de bains.
Virginie est une femme assez discrète, j’ai vu les photos sur le guéridon et jeune, elle était particulièrement jolie. Elle est toujours vêtue de manière assez conventionnelle et ne montre guère son corps. Je ne peux donc qu’imaginer ses formes sous ses vêtements. Elle est de taille moyenne avec 1,62 m de hauteur. Son cul est rond et plein, elle est un petit peu large de hanches ce qui lui donne une allure féminine. Ses seins sont normaux mais elle semble avoir une jolie poitrine que j’embrasserai et téterai avec bonheur. A partir de ce jour, je commençai à la regarder avec de nouveaux yeux et j’essayai de provoquer d’autres situations génératrices de contacts furtifs pour ensuite me retirer dans ma salle de bains et me masturber excité par son contact.
Un jour, j’entendis depuis ma chambre Virginie dire au revoir à Paul en lui disant qu’elle se douchait avant d’aller chez le dentiste. Quand j’entendis Paul claquer la porte de l’entrée, je sortis de ma chambre et entrai avec milles précautions dans leur chambre. On pouvait entendre le bruit de la douche que prenait Virginie avec l’eau tombant dans la cabine de bains. Sur le lit conjugal était étalés la lingerie de Virginie. Il y avait une culotte et un soutien-gorge tous les deux de couleur blanche. Je pris sa culotte et passai ma langue sur l’entrejambes en y laissant un peu de salive. Lorsqu’elle mettra sa culotte, un peu de ma salive entrera en contact avec son vagin. Je pris ensuite son soutien-gorge et humectai de salive le tissu en contact avec sa poitrine. Je remis tout dans la même position que lorsque j’étais entré.
J’entendis que la douche cessait de couler et j’allais sortir de sa chambre lorsque sur un côté du lit, je vis la petite culotte que Virginie venait d’enlever. Je la pris furtivement et partis rapidement dans ma propre salle de bains avec l’objet du délit. Je dépliai la petite culotte et constatai quelques tâches d’humidité de flux vaginal. Je portai la lingerie à mon nez et la respira profondément pour sentir son odeur de femelle. Quel arôme enivrant et excitant! Assis sur les toilettes, avec la petite culotte sur ma bite, je me fis la plus belle branlette que je ne m’étais jamais faite. Je remplis le tissu de sa petite culotte de mon sperme. Un peu calmé, je me demandai comment faire pour remettre ce que j’avais pris à sa place. Virginie était déjà partie. J’avais envie de la provoquer et je laissai mon sperme sécher sur le tissu de sa petite culotte. Ainsi souillée, je revins dans leur chambre et jetai la culotte sous le lit.
Au retour de Virginie du dentiste, j’étais assis en train d’étudier mes examens dans le salon. En la voyant rentrer, je pensai à ma salive qui était au contact de sa vulve et de ses seins. Je lui demandai comment elle se sentait et elle me dit qu’elle allait bien.
Elle me remercia pour ma question et s’assit en face de moi dans le canapé. Sa taille était marquée par les vêtements qu’elle portait ce qui lui faisait un derrière tout rond. Son chemisier était clair et laissait voir en semi transparence le soutien-gorge que j’avais porté à ma bouche plus tôt ce matin.
En s’asseyant en face de moi, elle enleva ses chaussures et posa ses pieds sur la table basse du salon : « j’ai besoin de reposer un peu mes pieds, ces chaussures me tuent! » « Voulez-vous que je vous fasse un massage des pieds? Vous savez que dans mes études de médecine, il y en a un peu. » « Ce n’est pas la peine. Je me repose un instant et je monte me changer. » « Je vous promets Virginie, ce n’est pas un souci. D’autant plus que cela me permet de pratiquer. ». Sans attendre qu’elle me réponde, je me mis face à elle, assis sur la table basse et je pris un de ses jolis pieds entre mes mains. Je commençai à masser. Je saisissais un pied et frottais la plante du pied avec la partie supérieure de mes pouces lui donnant un massage vigoureux. Tout d’abord avec un pied, puis avec l’autre. Elle se relâcha tellement qu’elle ne prit plus autant la précaution de cacher son entrejambes (elle portait une robe jusqu’aux genoux). Je profitai de la situation pour lui faire écarter les jambes doucement et pouvoir bénéficier ainsi d’un coup d’oeil direct sur son entrejambes. Je la voyais des pieds à sa petite culotte qui portait en son intérieur la salive de mes coups de langue.
Elle ferma les yeux et je lui dit : « – Relaxez-vous et profitez du massage. » Elle écouta mes paroles et un soupir de soulagement d’échappa de sa bouche. Elle semblait avoir un peu de plaisir même. Moi, j’étais aux anges. Mon sexe était comprimé par mon pantalon et mes testicules me faisaient mal, prêts à éclater sous la pression. J’avais une folle envie de me branler mais je voulais allonger ce moment tant que possible. Comme elle avait les yeux fermés, je pris son pied, le levai et le posai sur mon genou. Je m’approchai autant que je peux et son pied touchait presque la naissance de mon érection. Je n’en pouvais plus lorsque la plante de son pied toucha mon sexe dur. Je bougeai sa jambe, la faisant monter et descendre alors que son pied frottait mon sexe à travers le tissu de mon pantalon. J’allais exploser, je ne savais pas si continuer ou m’arrêter. En regardant l’horloge du salon, je vis qu’il restait encore plus de 4 heures avant de retour de Paul à la maison.
Je ne savais que faire. Finalement, le désir fut le plus fort. Virginie respirait comme si elle s’était endormie sous l’action du massage. Je ne réfléchis pas et déboutonnai mon pantalon, sortant mon engin fièrement dressé bien en vue. Je commençai à frotter ma bite sur la plante de son pied, le foutre qui sortit lui mouilla la plante du pied complètement. J’avais joui. J’essayai d’en prendre dans ma main et me levai laissant le pied de Virginie posé sur la table basse. Je partis à la salle de bains pour me laver et je retournai au salon.
Virginie s’était réveillée et elle me dit « Stéphane, vous avez des doigts de fée. Merci pour le massage. J’espère que j’y aurai droit à nouveau. » « Quand vous voulez Virginie. Je me réjouis que cela vous ait plus. Je peux également vous faire un massage pour le dos. » « Merci Stéphane, je vais me changer et préparer le repas. » J’étais sur un nuage. Toutes ces situations dans mon esprit pour alimenter mes plus belles branlettes amenaient mon esprit au delà des frontières du possible.
La semaine suivante, Virginie dut de nouveau aller au dentiste. Je pensai aux conséquences si je me faisais att****r mais le plaisir était plus fort que la peur et je pensais aller le plus loin possible cette fois. Je savais qu’elle reviendrait fatiguée comme la fois d’avant et je préparai une situation similaire à celle de la semaine passée. Quand Virginie entra, j’étais assis sur la table basse avec mes livres. Je portai les mêmes vêtements que la semaine passée par une espèce de fétichisme.
« -Bonjour Stéphane, je suis vermoulue et j’ai très mal aux pieds! » Elle s’assit face à moi, enleva ses chaussures et les posa sur la table basse. Je commençai à prendre ses pieds pour les masser. Comme sans faire exprès, son pied que je tenais des deux mains toucha mon entrejambes et mon paquet comprimé en faisant des mouvements de va-et-vient. Elle ne dormait pas cette fois ci. Elle me regarda droit dans les yeux et avec une voix ferme et forte, elle me dit : « Mais qu’est-ce que tu fais! » Je me sentis pris en faute et honteux. J’eus peur et lâchai son pied qui était toujours posé sur mon entrejambes.
Elle continuait à parler : « Tu crois que je ne me suis pas rendu compte de ce que tu faisais la semaine passée? » Je ne savais que répondre. « N’aies pas peur, idiot. » Et elle commença à farfouiller avec ses doigts de pied, elle voulait les mettre à l’intérieur de ma braguette. J’avais dépassé ma peur initiale et sans rien dire, je fis sauter les boutons de mon pantalon et sortis ma verge dure et disponible pour elle. Elle attrapa ma bite de ses deux pieds et commença à la frotter.
Elle me dit : « – Tu m’avais promis un massage du dos et des épaules, tu te rappelles? » Je fis un saut et me mis derrière elle, elle toujours assise sur le sofa. Je commençai à masser son cou mais quand elle se penchait, je pouvais voir sa poitrine. Je descendis la main et fis sauter le premier bouton de son chemisier. Comme elle ne dit rien, je descendis mes mains jusqu’à ses seins. Tout était joué. Je refis passer mes mains dans son dos et je fis sauter les agrafes de son soutien-gorge. Mes mains revinrent devant.
Je pris ses seins entre mes mains et je caressai ses tétons. Je sentis qu’elle bougeait les jambes sans cesse. Elle les croisait l’une sur l’autre, les frottait un peu et les séparait à nouveau. Je me remis devant elle, je la pris par les deux jambes et je la couchai complètement sur le canapé. Je remontai sa robe, sortis complètement sa culotte, lui écartai les jambes et ma bouche fut directement jusqu’à son vagin. Sa chatte avait la même odeur attirante et excitante de la culotte de l’autre fois. Je léchai son clito comme un homme désespéré, je mis la langue entre ses petites lèvres essayant d’enfoncer la pointe de ma langue le plus profondément au fond d’elle. Elle ne cessait de gémir et j’avais la bouche pleine de sa mouille.
Elle prit ma tête avec ses mains et l’appuya sur son sexe, elle voulait que je mange toute sa cyprine. Après, elle me dit remonter et me dit « Embrasse-moi que je sente le goût de ma chatte. » Au niveau de son visage, je la regardai puis l’embrassai avec folie. Elle mit sa langue dans ma bouche et je la suçai avec frénésie. Quand je mis ma langue dans sa bouche, j’eus peur qu’elle ne me l’arrache.
Ma bite frottait à l’entrée de son vagin. Elle me saisit la verge d’une main et écarta les lèvres de sa chatte de l’autre. Elle frottait le gland de ma bite contre son clito et sa chatte était totalement ouverte. « J’en peux plus! J’en peux plus! Prends-moi Stéphane, mets-moi ta bite ». Je la remplis avec ma queue et c’est ainsi que je tirais mon coup pour la première fois. Sa chatte me malaxa la bite et j’avais l’impression d’être pris dans une ventouse sans que je puisse me retirer. Ses orgasmes défilaient l’un derrière l’autre et elle n’arrêtait pas de crier et gémir de plaisir. Elle mit ses jambes derrière mon dos et me demanda de continuer à la baiser.
Je ne pouvais croire le plaisir que nous ressentions tous les deux. Cela faisait plus d’une demie-heure que je la besognai avec force, j’avais déjà joui deux fois. Nous n’avions de cesse de bouger et de nous remuer, elle eut un orgasme final, plus fort que les autres et je lâchai une dernière fois la purée. Finalement, je peux me retirer d’elle et nous partîmes nous laver chacun dans sa salle de bains.
Je me jetai sur mon lit pour récupérer et je me demandai ce qui se passerait si Paul venait à apprendre ce qui s’était passé. Un mois plus tard, lors d’un service à table, Paul me surpris en train de mater le cul et les nichons de sa femme Virginie.
Après le repas, avec un sourire, il me demanda si j’avais envie de me taper sa femme…

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