Je vivais seul dans une grande maison en forme de L, au bord de la mer à une cinquantaine de kilomètres de Bordeaux. Cette maison était l’héritage de mes parents décédés, héritage dédié à ma nièce Liliane 19 ans, fille de ma sœur Justine 37 ans et de mon beauf Claude 38 ans. La mère et la fille étaient d’une splendeur et d’une ressemblance étonnante, des seins et des fesses à damner un saint, le beauf Claude ingénieur travaillant pour une grande compagnie d’électricité et étant toute l’année à l’étranger, deux mois de travail, 15 jours de vacances.
Ma sœur et moi sommes propriétaires d’un club de gym et fitness à Bordeaux, ma nièce fait de longues études, elle a son appartement ainsi que ma sœur et moi qui réside dans la grande maison toute l’année et en principe toute les deux viennent le weekend et les vacances.
Ce dimanche, en ce début de juillet, il faisait chaud avec quelques nuages, le temps était lourd et orageux, les deux femmes étaient à la maison et l’après-midi j’avais décidé d’aller faire du vélo.
Ma sœur et sa fille feraient du brulage de peau autour de la piscine. C’est en ce début de ce mois que tout allait commencer. J’avoue que j’avais vu à deux reprises ma sœur toute nue par coïncidence et que cela m’avait surpris puis cette nudité, avait créé en moi une certaine envie ou plus exactement un certain désire de le caresser.
Ayant fait quatre ou cinq kilomètres et par malchance, mes deux pneus ont crevé, de ce fait j’étais obligé de rentrer à la maison à pieds. C’est en sueur que je rentrais le vélo dans le garage, enlevais mes chaussures de cycliste, je rentrais dans la maison normalement et me dirigeais vers la cuisine pour tirer de l’eau et la boire.
La fenêtre au-dessus de l’évier donnait sur la piscine, et là surprise, les deux femmes étaient toutes nues, c’est vrai qu’à ce moment précis, j’ai fantasmé sur elles car le plus fort de l’histoire, c’est que Liliane ma nièce passait de la crème solaire sur le dos de sa mère, c’était plus des caresses qu’autre chose et j’entendais ce qu’elles se disaient.
— Continue comme cela ma chérie mais en appuyant un peu plus fort.
— Mais non ! J’aime mieux t’en passer doucement comme cela la crème entrera mieux dans la peau.
— Peut-être, mais cela me fait tout chose !
— Cela t’excite, n’est-ce pas maman ! C’est vrai que tu n’as pas souvent de relation et encore moins des caresses.
Liliane tout en parlant, caressait les fesses de sa mère et comme moi, elle avait vu que les deux jambes s’étaient légèrement écartées l’une de l’autre. Était-ce volontairement ou pas, ou bien de l’excitation ? Toujours est-il, que Liliane passa un doigt tout le long de la raie des fesses et cela à plusieurs reprises, puis n’hésitant pas, ma nièce de sa main libre écarta encore un peu plus les deux jambes.
Elle s’installa entre celles-ci et commença à appliquer de l’huile solaire sur le bas des cuisses, une de ses mains remonta le long de la cuisse avec le pouce tourné vers le bas.
Liliane savait ce qu’elle faisait et surtout savait ce qu’elle voulait. Sa main continua à remonter et son pouce se trouva en contact avec la petite chatte épilée de sa mère.
— Mais que fais-tu Liliane, je ne suis une gouine ou une de tes copines pour être caressée ainsi! Tu vas m’exciter et je ne le veux pas.
— Je le sais que tu n’es pas une gouine, mais je voulais te faire du bien, alors reste comme tu es, et laisse toi faire en pensant à autre chose puis c’est quand même mieux que ton gode, savoure le plaisir que tu ressens et ne pense pas à celui ou celle qui te le procure.
Liliane continua pendant que la mère avait reposé sa tête sur ses bras repliés.
Justine sentait l’excitation s’amplifier, son bas ventre était en ébullition et sa chatte commençait à bien mouiller. Moi je commençais à avoir une belle érection. Toutefois, j’étais étonné que Justine ma sœur se laisse faire et aussi, que sa fille agisse ainsi envers sa mère, mais tout cela ne me déplaisait pas, voire deux superbes femmes se caresser, s’exciter, c’était une belle image et au diable la morale et l’i****te.
— Tu vois maman, en passant mon pouce entre les lèvres de ta chatte, je sens que tu commences à mouiller, laisse-toi faire, tu vas voir que c’est très bon lorsque les caresses sont prodiguées par une femme.
— Ne me dis pas que tu as déjà fait l’amour avec une fille ?
— Oui deux fois et je peux affirmer que c’était très bon, seule une femme peut faire des caresses qui te font sauter au plafond car elle les exécute afin que sa partenaire ressente ce qu’elle voudrait ressentir à sa place, tu m’as comprise.
— Je ne suis pas bête quand même, mais tu es une vraie salope et puis je suis ta mère, une fille et sa mère ne doivent pas avoir de relations sexuelles, c’est immorales, même si elles en ont envie et même si c’est jouissif, trouve toi un mec, moi j’ai ton père même s’il n’est pas porté sur le sexe.Photos
— Laisse tomber la morale, j’ai décidé de te faire jouir, j’ai décidé de te donner beaucoup de plaisir, si j’arrive à te faire jouir, à te faire prendre du plaisir alors je serais comblée et heureuse. Que veux-tu dire sur papa, il ne te fait pas jouir, il ne t’aime plus ?
— Ce n’est pas cela ! Il n’a jamais été porté sur la chose, je t’avoue qu’il me laisse en manque à chaque fois qu’il vient. On fait l’amour trois à quatre fois en quinze jours alors qu’on est deux mois séparés. On s’aime c’est vrai mais il y a un manque important dans ma vie, j’aimerais qu’il me baise tous les jours, n’importe comment et n’importe où dans la maison lorsqu’on est seul.
— Pourquoi ne pas prendre un amant ? Dans la salle de gym, il y a pas mal de beaux mecs qui voudraient bien être à ta disposition, tu es comme Alain, on ne le voit jamais avec une femme alors qu’il doit en rêver, moi j’ai déjà remarqué ses regards portés sur certaines femmes du club et même sur toi, sur toi maman c’était peut-être involontaire, mais après tout tu es une très belle femme et pour preuve tu fais envie à beaucoup de gens et moi y compris.
— C’est un délire, baiser avec ma fille ou mon frère, est-ce que tu vas bien dans ta tête ? Même si c’est vrai que ton oncle est très beau, intelligent, mais ce n’est pas une raison.
— Ne me dis pas, que tu ne l’as pas regardé d’un autre œil, moi je t’avoue que oui ! Et que j’ai déjà fantasmé sur lui !
— Oui ! J’ai rêvé de lui une seule fois, mais je n’ai pas fantasmé comme toi.
— Dans ton rêve qu’est-ce qu’il se passait, raconte-moi ?
— Je le serrais dans mes bras et on s’embrassait c’est tout. Arrêtons de parler et puisque tu veux commander, puisque tu veux me faire jouir alors vas-y je me laisse faire.
Liliane n’hésitant pas une seconde, elle prit à pleine main la douce chatte entièrement épilée avec son majeur replié vers l’intérieur de la paume et en même temps que sa main se plaquait sur le sexe de sa mère le doigt entra dans le vagin tout humide. De son autre main libre, elle prit un sein, et joua avec le téton qui était déjà bien dure, puis elle goba le dit téton avant de prendre dans sa bouche le maximum de ce gros nichon. Sa mère posa ses mains dans les cheveux de Liliane et tira la tête pour l’amener à hauteur de la sienne, puis elle plaqua sa bouche presque ouverte sur celle de sa fille, la complicité aidant naturellement, elles échangèrent un long et fougueux baiser. Les deux corps étaient collés l’un à l’autre, une main de Justine caressait les fesses de sa fille et descendait jusqu’à son anus. Liliane avait également pris en main un sein, le caressait, jouait avec le téton. L’excitation des deux femmes était au maximum.
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