Voici un texte pour belleetchoco adapté à ses goûts avec un vocabulaire qui monte progressivement vers le très cru, de l’exhibition, de la soumission, et beaucoup de hard.
Belle était une femme qui aimait aguicher et attirer à elle les hommes jusqu’à leur faire perdre la raison pour satisfaire ses désirs gourmands. L’histoire se déroule par une après-midi de canicule. Belle s’était rendue à la terrasse d’un café pour se rafraîchir à l’ombre des parasols. Elle portait une paire de soleil noire, un t-shirt lâche, une jupe claire qui s’arrêtait au niveau des genoux avec à sa taille une ceinture large, et une paire de sandales. Elle s’assit en croisant les jambes dans une posture décontractée et commanda une boisson. En face d’elle, se trouvait deux hommes charmants assis chacun à une table différente, et qui par leurs coups d’œils furtifs semblaient intéressés par le physique avantageux de Belle. Elle enleva ses lunettes et répondit de la même façon à leurs regards, tout en se dandinant sur sa chaise et balançant son pied. Elle commença à jouer avec le bord de sa jupe pour la remonter subrepticement en alternant quelques glissements de langues sur les lèvres après avoir bu à son verre. Sa jupe était déjà remontée à mi-cuisse lorsqu’elle commença à caresser son genou avec douceur tout en continuant l’échange de regards qui devenaient plus insistant. Elle profita de se redresser sur sa chaise pour décroiser ses jambes et continua de remonter sa jupe jusqu’à dévoiler le bout d’une culotte rouge. Puis ayant terminé sa boisson, elle se releva en remettant correctement sa jupe et se dirigea dans les toilettes du Café.
C’étaient des toilettes mixtes composées seulement de quelques cabines. Belle faisait semblant de s’arranger dans le miroir espérant avoir suscité suffisamment d’excitation pour être suivie par au moins l’un des deux hommes. Et elle avait raison, car quelques minutes après un des deux voyeurs fit irruption dans les toilettes. Leur regard se croisèrent dans le reflet du miroir et il n’y eut pas besoin de prononcer un mot pour embraser les poudres. Il se jeta sur elle la plaquant violemment contre le lavabo sans qu’elle ne te tente de s’échapper ou de se retourner. Il lui lapait avidement le cou, glissait ses mains sous son t-shirt pour lui agripper ses seins nus, et se caressait l’entre-jambe en se frottant contre ses fesses. Elle se laissait entièrement faire et ondulait sa croupe pour suivre ses mouvements et sentir au mieux sa rigidité. L’autre voyeur trouvait suspect le temps qu’ils mettaient à revenir. Il se dirigea alors à son tour aux toilettes, et lorsqu’il les trouva, Belle avait sa jambe droite posée sur le lavabo, et l’autre homme avait glissé sa main sous sa culotte pour la doigter sans vergogne. Comme précédemment, aucun mot ne fut nécessaire, et il les rejoignit pour participe à ces caresses de plus en plus sexuelles. Elle s’inquiéta cependant d’être interrompu par des inconnus et enjoins les deux hommes à la suivre dans une cabine de toilette un peu plus grande que les autres car destinée (dans sa fonction usuelle) aux personnes handicapées.
À l’intérieur, elle se trouva coincée contre les deux hommes. Les langues tournaient, les échanges étaient félins, et elle se faisait agripper cuisses, con, et cul avec un appétit évidant. Elle retira son haut dévoilant ses beaux petits seins durcis d’excitation et se mis à genoux avec la ferme attention de faire durcir leurs manches jusqu’à les rendre douloureux. Ils ouvrirent leur braguette de pantalon et sortirent chacun leur membre déjà bien échauffé. Elle les attrapa à pleine main et les tira à elle pour les rapprocher de sa bouche. Elle engloutit goulûment un gland puis très vite l’autre, pour apprécier le goût de chacun des sexes. Elle soulevait les queues pour tapoter leurs testicules avec sa langue, les avaler en bouche, pour remonter ensuite le long de la verge jusqu’au frein avant d’avaler une fois de plus le gland et de le pomper furieusement, tandis qu’elle branlait l’autre queue qui attendait son tour. Parfois elle rapprochait les deux bites près de sa bouche, presque gland contre gland, et enfilait frénétiquement sa langue entre les deux extrémités. Et puis l’un des deux hommes lui fit la remarque suivante : « une bonne salope ça se doit de sucer les cuisses écartées la chatte à l’air. Laisse moi te mettre à poil … » Il la releva, lui arracha les quelques vêtements restant, et pour la « punir » lui donna quelques fessées du plat de sa ceinture. Après-quoi il ramena sa tête pour lui faire sucer sa bite turgescente qu’il tendait devant lui et sur laquelle il avait glissé la culotte rouge. Elle l’avala dans sa bouche faisant glisser ses lèvres le long de son manche tandis que l’autre homme se plaça derrière elle et commença à lui écarter la vulve en appuyant avec son gland. Il la saisit par la taille et commença à s’introduire doucement en elle pour s’humidifier la pine avant d’augmenter la fréquence de ses vas-et-viens. Il la baisait maintenant violemment lui bourrant quelques coups virils et secs qui lui faisaient taper dans des éclaboussures de mouille, ses couilles contre son clitoris. Son acolyte quant à lui, dirigeait la tête de Belle par les cheveux pour lui faire avaler sa bite au plus profond de sa bouche. Il baisait sa gorge avec son gland violacée et lui laissait reprendre son souffle en sortant sa pine couverte de filets de bave qu’il essuyait contre son visage avant de la réintroduire. Parfois quelqu’un s’introduisait dans les toilettes, ils s’arrêtaient alors pour faire silence et reprendre de plus belle une fois l’importun partit.
« T’as ton petit trou déjà bien ouvert ma salope ! S’exclama celui qui la prenait par derrière en écartant ses belles fesses. T’es une sacré chienne pour te faire baiser comme ça ! Ça me plairait bien aussi de t’enculer, tu veux bien ? » Et tout en continuant ses mouvements rythmées dans son sexe, il commença à effleurer les plis de son anus avec son doigt avant de l’étirer entre ses deux pouces pour lui cracher dedans. Ils changèrent alors leurs positions. L’homme qui se faisait sucer se mit assis sur la cuvette et réclama la bouche de Belle. Elle se mit à genoux pour l’engloutir de nouveau et se cambra pour offrir son cul au second homme. Il s’agenouilla également, glissa son nez dans sa raie tout en lui malaxant les fesses, avant de sortir une langue gloutonne pour lui lécher et introduire son anus. Ensuite, il se mit à califourchon sur ses fesses et amena sa queue tendue et trempée à son orifice en descendant son bassin. « Écartes bien tes fesses, ordonnait-il, si tu veux te faire mettre par ma grosse bite ! ». Docile, elle s’exécuta, et il commença par écraser son gland sur son petit trou rougi pour le contraindre à s’ouvrir. Il s’enfonça en elle, progressant centimètre par centimètre dans son cul jusqu’à le dilater au diamètre de sa bite, tandis que l’autre étouffait ses cris en la bâillonnant avec sa queue. Il réclama de la baiser à son tour. Belle se redressa tandis qu’il glissait en avant son bassin pour l’accueillir. Les jambes bien écartées, elle glissa son minou le long du mandrin bien épais et elle écarta ses fesses en lançant un regard de salope à l’autre homme. Alors qu’elle s’était enfilée la première bite jusqu’à la garde, elle sentit son cul se remplir progressivement de cette seconde queue avec la sensation d’être complètement prise et entièrement abandonnée aux désirs de ces deux engins de baise. Il la saisit ensuite par la tête en appliquant ses deux mains contre sa bouche pour étouffer ses cris, et il commença ses vas-et-viens musclés. Ces deux bites en elle glissaient l’une contre l’autre, s’entrechoquaient, cognaient, lui défonçaient les orifices, mais elle aimait ça. Ils étaient dans l’extase d’une baise passionnée et désormais lorsqu’un importun entrait dans les toilettes, ils ne prenaient plus la peine de réduire l’allure. Ce dernier pouvait alors entendre les bruits de mouille d’une chatte remplie et d’un cul pilonné, et les gémissements étouffés d’une salope qui prenait son pied coincée entre deux bêtes en rûte.
Finalement l’enculeur se retira juste à temps pour lâcher des jets d’un foutre épais qui glissèrent dans le cul défoncé de Belle, et coulèrent jusqu’à lubrifier le manche qui continuait à baiser sa chatte. L’autre homme fit descendre Belle lorsqu’il se sentit venir. Il se masturba devant elle jusqu’à éclabousser son visage d’une pluie de sperme chaud, qui trissait à chaque constriction violente de sa bite.
Belle ramena avec son index les gouttes de jouissance à sa langue, et reluquait alternativement avec un regard coquin les deux hommes exténués. Une fois de plus elle avait obtenu la satisfaction de ses désirs…
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