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Cousins…, cousines, tante(1)

Cousins…, cousines, tante(1)



1980, les grandes vacances venaient de débuter…
Dans la voiture à l’arrière, moi Julien, fils unique d’André et de Monique, écoutais leurs conversations… Nous étions partis de Lyon depuis deux heures. Ma mère expliquait pour la millième fois, comment sa sœur cadette de deux ans, Nat, avait conçu sa fille Rebecca. Ma tante, une fois la nouvelle de ma naissance propagée, avait demandé à un type traînant dans son bar habituel, de bien vouloir la conduire à la maternité distante de trente kilomètres, afin de voir le prodige qu’avait révélé ma naissance. Tante Nat fut si subjuguée par ma beauté, qu’au retour, elle n’adressa à son chauffeur que très peu de résistance à l’assaut sexuel qu’il entreprit entre ses cuisses. Loin d’être vierge à 18 ans, ma tante Nat, reçut ce qu’elle avait toujours désiré… Un enfant, sans les préoccupations d’un mari… Cela tombait bien, deux jours plus tard, le géniteur partait en Afrique équatoriale, civiliser les autochtones. De plus, un mariage aurait été assez mal venu, le mec devait toiser près du triple de son âge. Depuis, plus de nouvelles… Ma tante se complaisait à dire, je cite :
« Il a du se faire bouffer par les cannibales… ! » Fin de citation.
Du coup, les péripéties sexuelles de ma tante, m’avaient affublé d’une cousine plus jeune que moi de 9 mois. Ce premier samedi de vacances, mes parents avaient décidé de profiter que nous étions tous sans occupation pour descendre sur Nice. Mes 16 ans étaient pour le dimanche de la semaine suivante… Mes vieux avaient décidé qu’ils me largueraient à mi chemin, chez ma tante qui, depuis son accouchement, vivait et travaillait à Digne les bains. Mon père, avait hérité de sa mère, décédée trois ans plus tôt, d’une mansarde avec des lézardes sur le firmament. Il devait donc faire restaurer cette cahute, afin de la rendre accueillante. Papa disant que je m’ennuierais pendant les travaux, avait trouvé cette solution, pensant que je serais bien mieux en compagnie de ma cousine. La dernière fois que je l’avais vue…, ou plutôt supportée, c’était aux obsèques de mamie, elle avait donc 12 ans et moi 9 mois de plus.
Elle s’était installée chez nous avec sa mère pour trois jours… Et ce fut un calvaire. À chaque fois qu’on se croisait, j’avais droit aux pires grimaces qui, de plus, la rendaient encore plus moche qu’elle ne l’était. On pouvait juste s’en servir comme épouvantail à moineaux. Une rouquine avec des taches de rousseurs lui conférant un teint de carottes pelées, cuites à la vapeur. Juste avant de partir, elle ressortit de la voiture, prétextant avoir un besoin pressant et légitime. En fait, peu de temps après, je pleurais devant toutes mes bandes de cassettes, découpées aux ciseaux. J’avais eu un mal fou à enregistrer tous les derniers tubes sur mon radio, ce dernier, fut retrouvé au fond de la baignoire sous 20 centimètres d’eau. Le fait qu’elle était partie, lui sauva la vie…
Maman termina son histoire en me faisant des recommandations… Elle m’apprit, que ma chère cousine, n’avait pas vraiment évolué et, qu’à 15 ans plus que révolus, elle ressemblait encore à celle qui m’avait « niqué » mes cassettes. Son pire problème, était le manque évident de poitrine et je fus instamment prié de ne pas utiliser de vengeance quelconque sur ce sujet. Elle était déjà moche… Si en plus, elle était mal foutue, cela prouvait qu’il y avait un bon dieu… Amen. Nous finîmes par arriver devant une villa en retrait de la ville, mes parents sortirent juste pour jeter ma valise sur le trottoir et saluer rapidement ma tante sortie pour nous accueillir. Mes parents me promirent de revenir dimanche en huit, pour fêter mon anniversaire et rentrer à Lyon. Pressés, ils reprirent la route aussitôt. Je n’avais pas souvenir que tante Nat était un petit canon… Bandante la tatie… Si sa fille n’avait pas de nichons, ben…, c’était normal, c’était sa mère qui avait tout pris.
Peut être qu’il y a trois ans, je n’avais pas encore les couilles pleines de spermes !!! En tous cas, il m’était impossible de faire un choix entre ses seins et sa chute de reins à faire sonner le glas sous la robe de bure d’un ecclésiastique défroqué. Ma tante eut la bonne idée, une fois dans la cuisine, de me serrer sur son opulent 95 C ou peut-être B. Une trique avantageuse se dessina sous la braguette de mon short, me mettant dans une situation dramatique. Prenant une chaise, je cachai vite mon inconvenance sous la table et ma tante, me proposa une boisson fraîche… Une citronnade faite avec ses propres citrons… Un instant, je pensai qu’elle parlait de ses nichons !!!
Ma tante insista pour que j’arrête de la vieillir, en l’appelant « tatie ». Elle me fit promettre d’utiliser son prénom… Tout en me versant à boire, elle cria vers l’escalier menant à l’étage :
« Reeeebbb…, Rebecca !!! Descends, ton cousin Julien est arrivé… ! »
Une voix d’une douceur infinie lui répondit :
« J’m’en branle !!! »
Tante Nat gênée outre mesure, n’osa plus me regarder. Ça commençait bien…

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