Chapitre 1 : Premières découvertes.
Fils d’une famille catholique pratiquante, à l’âge de 6 ans, mes parents, une mère jeune, 22 ans, un père de 43 ans, diacre qui plus est, m’envoient en pension dans une institution très catholique. Le hic pour moi, c’est qu’en plus d’être le plus jeune, je suis très petit pour mon âge, gras genre gras double aggravé par une timidité maladive dès qu’il y a du monde devant moi. Dès le second jour, je découvre que les nonnes qui y officient, pratiquent les châtiments corporels avec un sadisme presque exacerbé. Elles n’hésitent jamais à humilier, punir savamment les élèves. La panoplie des sévices est aussi large et douloureuse que leur sadisme et les plaisirs qu’elles en éprouvent.
Côté élèves, pour la plupart, ce sont des filles de bonnes familles catholiques, disons qu’elles représentent plus du 80%. Moi, le petit gros, le gras double, le timide, je fais partie des moins de 20% de la toute première volée de garçons trié sur le volet et avec les mêmes conditions d’admissions, en étant un bon catholique. Pour cette dernière condition, je fais confiance à mes parents. En effet, depuis sa création, en 1872, le pensionnat n’était réservé que pour de pieuses femmes en devenir. Elles y arrivent, pour la plupart, à l’âge de 6 ans, tiens, comme moi, pour n’en sortir qu’à 18 ans, encore comme moi. Mais les temps changent, les finances ne sont plus ce qu’elles étaient, l’effectif a diminué, d’où nous, la première volée de garçons. En effet, s’il y avait eu jusqu’à 120 jeunes demoiselles, avec le temps, le nombre s’était réduit à peine plus de 90 jeunes demoiselles de toutes conditions sociales. Oh, cela n’enchante pas ces nonnes, à qui on a forcé la main, de nous voir débarquer, nous le sexe opposé. Aussi, étant le plus jeune, je me retrouve tout seul, moi, le gros, le nain de jardin, le timide, dans une classe, au milieu de vingt-deux filles. En gros, je suis le 0,5% de la classe en termes de nombre. Pour être humilié, je l’ai été dès l’instant où je me suis retrouvé en classe, assis à un petit bureau juste devant le pupitre, toutes les rangées de filles largement derrière moi, à un peu plus d’un bon mètre. Ce qui signifie que si je me retourne, c’est une peine douloureuse faite d’une lourde et cruelle flagellation cul nu devant la classe ou toute l’école, c’est dire. Parfois, la nonne agrémente sa punition de petites pinces diaboliquement mordantes. Oui, juste là, sur les tétons. Ce genre de sévices se pratique indifféremment sur les filles comme sur les garçons, ben oui. Je crois même que ce sont les seuls rares moments où les nonnes nous traitent à égalité. De véritables sadiques que je vous dis, même Sade nous apparait comme un doux enfant de cœur.
Si nous, les garçons, nous dormons dans une aile dûment séparée, nous profitons de chambre individuelle ou à deux lits maximums, ce qui est nettement mieux que pour les filles astreintes à des dortoirs sous étroite surveillance. Oh, nous sommes tout aussi surveillés. Une nonne, chaque nuit, patrouille dans notre couloir, à l’écoute du moindre bruit suspect. Entre notre aile et celle des filles, il y la partie réservée aux religieuses. Clairement, passer d’une aile à une autre, relève du suicide. Il y en a qui ont tenté la chose. Mal leur en a pris, cachot, flagellation, pinces, ils ont vécu l’enfer pour ainsi dire. Et je parle des filles comme des garçons.
Autant vous dire tout de suite que rentrer dans sa famille, c’est un week-end sur quatre. Pour autant que nous ne sommes pas punis et c’est aussi valable pour les deux sexes. Tous, nous prenons ça pour des vacances, des instants de liberté et nous appréhendons déjà d’y retourner, dans cette prison. Surtout, il est inutile de parler des châtiments à nos parents, cela les fait rire. Dans le pire des cas, ils vous flanquent une roustée. Surtout mon père, un pervers dans son genre. Du reste, il me fait penser à sœur Sainte Claire. C’est une vieille de presque soixante ans qui porte une fine moustache. C’est aussi l’une des plus perverses de tout le pensionnat.
Bref, pendant près de neuf ans, j’ai vécu l’enfer, que je fasse bien, très bien ou mal. Même si je frisais l’excellence, faisais mieux que les filles, même ça, ça aurait été mal interprété et puni juste pour le bon plaisir des nonnes. Oui, car ces religieuses trouvent le moyen de se donner du plaisir en passant une main sous leur tunique savamment étudiée quand elles nous punissaient. Si je me souviens bien, il en était une qui parvenait à jouir en nous flagellant. Du reste, une nonne trentenaire, sœur Clothilde n’enseigne plus depuis l’année de mes dix ans. Elle n’est même plus dans l’enceinte du pensionnat. Faut dire que comme sadique, elle détenait la médaille d’or, de platine même et avec palme. Mais sadique dans le détail, l’augmentation progressive de la douleur. Il faut bien le reconnaitre, c’est une artiste dans sa matière, les sévices. En des temps reculés, je l’aurais bien vue mener des interrogatoires musclés sur des résistants, vêtue d’un uniforme noir à tête de mort. Vous voyez l’époque ? Parce que moi, parfaitement.
C’est vers l’adolescence que cela change pour moi. Le petit gras double s’allonge, s’affine et commence à plaire aux filles. Peu à peu, je deviens homme. J’ai même quelques poils qui commencent à se courir après sur mon menton, sous mon nez et autour de mon chibre. Dans ma chambre, seul, pensant aux filles qui deviennent toujours plus femmes, il arrive fréquemment que je me branle en cachette, l’oreille toujours à l’affût du moindre bruit de pas. Et donc, CQFD, la masturbation ne peut, en aucun cas, rendre sourd. Il vaut mieux ne pas se faire prendre sous peine de faire quelques jours dans cet horrible cachot nu et enchainé. Sans oublier le fouet dans la cour du pensionnat. Oui, en ces murs, le sadisme des nonnes y est poussé à son extrême et on nous rabâche que c’est pour notre bien, pour que nous restions dans le « droit chemin ».
Ah oui, nous ne sommes que rarement réunis, filles et garçons, il y a qu’en classe et les balades en dehors de l’école. Même pour manger, dans le réfectoire, nous sommes d’un côté, les filles de l’autre et toujours les nonnes au milieu. Pour homme, il n’y a que le professeur de gymnastique, un diacre. Et il ne donne ses leçons qu’au garçons. Parfois, on aime à dire qu’il penche du côté de la jaquette tellement il nous apparait maniéré. Cela dit, jamais il ne m’a fait d’attouchement ou de proposition et heureusement.
À presque 16 ans, ma vie prend un nouvel essor, un vendredi après-midi, par une magnifique journée d’automne, un mois et demi après la rentrée. Maintenant un bel ado, grand, bien fait de ma personne, je n’avais qu’un but, voir ce qu’il y a sous les jupes et robes des filles. Le danger, c’est qu’il ne faut jamais se faire prendre. La punition serait alors cinglante autant pour moi que pour la fille. Mais une religieuse va m’offrir une occasion en or, une occasion si magnifique, du genre qu’il n’y en a qu’une comme ça dans une vie.
Donc, Martine, la fille d’un ponte de l’industrie du pays, nous pique une crise, une violente. Enfant bien trop gâtée, elle n’est là que depuis deux ans. Je ne sais plus au juste la raison de sa crise. Quoique si, en y repensant, si, elle venait d’être privée de sortie pour une raison obscure. Mais on s’en moque, c’est secondaire et là n’est pas le propos. Bref, Sœur Marie-Madeleine de Jérusalem l’a attrapée par sa longue queue de cheval, l’entortille dans sa main. Menée de force sur l’estrade, près du tableau noir, d’un pied derrière un genou de Martine, elle l’agenouille de force. D’une main ferme, elle la penche en avant jusqu’à ce que son visage repose sur le sol, le regard face à la classe, le postérieur obligatoirement relevé. Cette nonne est une sadique, presque autant que l’était sœur Clothilde ou sœur Sainte Claire. C’est même la pire vicieuse que je connaisse à ce moment précis de mon existence. D’un pied posé sur la nuque de Martine, elle triomphe tel un chasseur et sa proie posant pour la postérité. Martine est là, humiliée, le cul bien relevé, genou serré, la tête posée sur le sol, le pied de la nonne posé sur sa nuque. D’une main, Sœur Marie-Madeleine att**** l’objet qui nous terrifie tous, le martinet et ses dix lanières. À l’extrémité des lanières, il y a des nœuds et ça, ça fait un mal de chien sur nos culs sur le dos. Pendant qu’elle relève ses manches, la nonne ne cesse de me fixer. Il faut dire qu’elle a installé Martine de telle façon que son cul est dans ma direction afin que je ne loupe rien de la suite à venir.
Je vous rappelle que ma place est devant le bureau de la nonne, à peine à un mètre. Les filles sont à plus d’un mètre derrière moi et il leur est impossible de voir la croupe de martine. Humiliation suprême, la nonne relève la robe de Martine, coupe sa culotte d’un coup de ciseau qu’elle jette dans la poubelle. Manque de pot, elle tombe sur mon bureau. Je suis dans tous mes états, je bande comme un taureau en voyant cette culotte, ce cul juvénile me faire pratiquement face. Pour ne pas être puni à mon tour, mes mains restent sagement sur mon bureau, comme celles de toutes mes camarades, c’est la règle. La nonne me sourit, un sourire qui en dit long sur ses intentions immorales. Armant son bras, elle ne vise pas les fesses de Martine, ce serait bien trop gentil, presque un cadeau. Non, ce qu’elle vise, c’est bel et bien l’entrecuisse, autrement dit, le sexe, l’anus et elle va frapper cruellement, la garce. Le coup s’abat violement, Martine hurle, pleure, tremble de partout et on la comprend. La nonne, vicieuse jusqu’au bout des ongles, laisse la douleur s’estomper avant de frapper à nouveau et plus fort encore, toujours en me fixant. Vingt coups, c’est ce que reçoit Martine. La pauvre est à bout de force, en pleure. Elle n’a même pas la force nécessaire pour rabattre sa robe sur son si joli cul. Et moi, je bande et encore plus douloureusement et ça, la nonne le voit bien. Quand nos regards se croisent, je m’attends déjà au pire. Me retrouver près de Martine et subir le même destin, dans la même position.
Je suis presque sonné quand sœur Marie-Madeleine de Jérusalem m’ordonne de venir près d’elle, devant l’entrecuisse zébré, enfle et toujours relevé de Martine. Si je n’ose le regarder, ce n’est pourtant pas l’envie qui me manque. Le courage, oui, lui me manque. Mais le faire, c’est m’exposer au même sort. Et je sais que cela fait mal, très mal même. Oui, j’ai déjà subi ce sévices particulièrement cruel. En me levant, j’ai juste le temps de glisser la petite culotte de Martine dans ma poche, ni vu, ni connue. Si elle foutue, cela me fera une sorte de trophée. Et là :
– Mon fils, tu me l’emmène à l’infirmerie et tu la soignes ! Le ton est autoritaire et sans appel.
Je n’ai fait qu’un mouvement approbateur de la tête. Surtout, ne pas parler. Ce faisant, j’ai pu brièvement voir ce cul magnifique, mon tout premier cul et nu en plus. La nonne m’empêche de me mettre à côté de Martine. Je dois donc la relever depuis derrière. Ses fesses nues s’appuient sur mes cuisses. Aussi délicatement que progressivement, je la relève, la prends dans mes bras sans oser mettre ce postérieur dans mes mains. Une fois dans le couloir, je la pose sur ses pieds. Sa robe est toujours coincée dans la petite ceinture. Ainsi, nous cheminons jusqu’à l’infirmerie.
Là, avec mon aide, Martine s’étend à plat ventre sur la table. Idée malsaine ou pas, je glisse un gros coussin sous son ventre. Je recule un peu, admirant ce cadeau des dieux. Son sillon ouvert me laisse voir le saint des saints, le Saint graal que tout garçon de mon âge voudrait ne serait-ce que voir. Et moi, je vais même le toucher, le caresser et je compte bien en profiter. Bordel, je suis dans tous mes états !
– Je suis désolé que cela tombe sur moi. Mais je sais comment faire. Sinon, ça va ?
– J’ai mal. Fais vite, je t’en supplie
Ben voyons, comme si j’avais l’habitude. J’avise le tube qui contient cet onguent qui calme, apaise les douleurs les plus vives durant bien des heures. Je presse le tube au-dessus du sillon de Martine. Celle-ci gémit quand la fraicheur tombe sur sa chair meurtrie. Je me risque à quelques petits baiser que je dépose ici ou là sur ses fesses, ses reins. Elle n’ose se retourner, ni même protester. Je commence à étaler délicatement cette pommade de son pubis à son anus et même sur ses fesses. Je profite largement de ce moment si invraisemblable. Si je répète à Martine que ce n’est pas la première fois que je le fais. Putain l’ignominieux mensonge ! Je profite de sa position pour entreprendre une fouille douce mais en règle de ce cul. Parfois, j’embrasse tendrement ce cul si sublime, y risque un léger coup de langue. Mes doigts plongent délicatement dans ce sillon endoloris. Je sais maintenant comment m’y prendre pour entendre gémir doucement une femme. Mes doigts se glissent même dans son intimité, dans l’inconnue pour l’adolescent que je suis encore. Je n’hésite plus à baiser ce cul de ma bouche, branler en douceur cette fille de mes doigts. Je vois ce corps qui commence à onduler. Il aime mes attouchements, mes baisers, mes coups de langue sur son sillon. Les gémissements de ma camarade ne sont que des encouragements quand :
– Continue Christian, tu me fais un bien fou. Continue, je t’en supplie.
Oh ça, pour ce qui est de continué, je continue et de plus belle. Je me mets à la branler franchement. Sur mes doigts que je lèche, je découvre le gout de sa liqueur d’amour et ça m’excite que davantage. Ma langue, en écartant davantage ces jolies fesses, vient plonger à son tour dans ce puit d’amour. Martine se cramponne à la table, quand la nonne perverse entre, ferme la porte à double tour, me pose une main sur mon épaule, l’autre sur les reins de Martine. Je n’ose plus bouger, plus lécher, plus caresser. Je suis complètement paralysé. Sa bouche se pose sur la mienne, je fonds quand je sens sa langue me fouiller ma bouche. Il s’en est fallu de peu que je n’éjacule dans mon slip et mon pantalon.
– Je ne te savais pas aussi doux, mon fils. Je me suis bien trompée sur ton compte en te voyant faire. C’est très bien, continue mon fils. Ça va ma petite Martine ?
– Beaucoup mieux depuis que Christian m’étale la pommade et me fait du bien, ma sœur.
– Bien, très bien ! Continue mon garçon, continue comme tu le fais car tu le fais très bien.
Estomaqué, je me remets vite à lécher, branler, embrasser ce cul, ce sexe, comme exciter par cette nonne et son nouveau visage amoral. La religieuse perverse prend même une chaise qu’elle pose près de ce cul, s’assoit et me regarde faire en massant mon dos, ma nuque et se branlant ouvertement de l’autre. Quand sa bouche se pose sur ma joue, je crois encore exploser mon futal, mon slip. Même que mon pantalon est depuis plus d’une heure sur le point de se déchirer tellement je bande. Sa main appuie sur ma tête pendant que je lèche ce sillon délicieux, elle me caresse. Je goute même au lieu le plus sale du corps humain, l’anus. S’il est presque propre, le gout de sale ne fait que m’enfiévrer davantage. Je lape, lèche, je suis totalement hors contrôle. La bouche de la nonne qui relève ma tête, se pose sur le mienne. Putain de bordel de merde, encore une fois, j’embrasse une femme, une vraie de vraie, pour de vrai, avec la langue et tout le toutim. Je suis aux anges, je vis un rêve tout éveillé. Surtout que Martine se caresse maintenant. Sur la table, elle se retourne, m’embrasse à son tour. La nonne me relève, me plonge ma main par une poche sans fond, sous sa tunique. Je découvre un sexe pubescent, humide, prêt à jouir si j’insiste et j’insiste. Je lui fais même face et nos bouches se soudent.
De petites mains agiles m’abaissent, me retirent slip et pantalon. Une voix, celle de Martine, s’exclame devant mon pénis tendu. Puis sa bouche baise mon gland, ma verge, mes testicules. Je vais jouir si elle insiste et elle aussi, elle insiste. Quand sa bouche s’empare de l’entier de mon sexe, elle n’a que le temps de recevoir tout mon sperme. C’est à peine si elle tousse, posée sur ses avant-bras tendus, la bouche ouverte, elle n’attend que le baiser de cette nonne. Et là, je dois me branler avec vigueur en les voyant s’embrasser, enlacée l’une à l’autre. Une main me stop dans mon élan. Martine est debout, sa robe glisse à ses pieds. Devant moi, elle retire même son soutien-gorge, me laissant voir sa poitrine encore naissante et déjà si merveilleusement dessinée. La nonne se laisse lascivement dévêtir par Martine. Je les devine diaboliquement complice, chaude à souhait. Aujourd’hui, en 2019, je pourrais dire que c’est une salope, enfin, que ce sont deux salopes. Mais je ne l’ai jamais dit, même aujourd’hui. Mais à l’époque et, c’est peut-être ce qui m’a sauvé d’un côté, le seul mot qui m’est venu était le mot dévergondé. Je regarde ces femmes s’embrasser, se séparer, me prendre, me coucher sur la table. Je regarde le corps nu de la religieuse trentenaire qui monte, me chevauche, s’empale sur mon sexe. Sa bouche qui se soude à la mienne m’empêche de dire que je suis a… Mes mains partent à la découverte de ce corps. Ses fesses légèrement dodues sont les premières parties de ce corps somptueux qu’elles visitent. Son dos, ses seins merveilleusement fermes, tout y passe pendant qu’elle va et vient sur ma hampe bien dur. Je bande, j’ai une trique d’enfer. Martine s’invite sur ma bouche, je lape, lèche, suce, mordille, la totale jusqu’à ce que la nonne ne jouisse, entrainant Martine et moi, juste après. J’ai fait jouir deux femmes, mes deux premières femmes. Je le crie, on me muselle de deux bouches gourmandes. Mon pénis est toujours aussi tendu.
La nonne, plus douce que jamais, couche Martine, plonge son visage dans ses cuisses. Je me glisse derrière la nonne, goute à son cul. Le gout est plus acre, il est plus sale aussi, mais si délectable pour le puceau que j’estime être encore. Soudain, la nonne m’attire, guide mon pénis jusqu’à l’orée de celui de Martine.
– Sois doux, extrêmement doux. Prends ton temps, mon Christian. Si tu t’y prends bien, nous te promettons d’autres moments tel que celui-ci. Dans le cas contraire, je te promets les pires sévices.
– Je ne veux en aucun cas lui faire de mal, je veux juste qu’elle jouisse.
– Et tu sais déjà très bien t’y prendre, mon fils. Aller, va et viens en elle, fais-en nous une femme tout en douceur, mon fils.
Je ne reconnais plus cette nonne si vicieuse d’ordinaire. Non mais, grand dieu, je vais dépuceler une fille de mon âge, une ado comme moi. Je prends cela comme une récompense après toutes ces presque dix années d’humiliations, de sévices, dues à mon physique ingrat de gros tas, de nain de jardin, de moche et j’en passe. Maintenant, s’il y avait une récompense que je pourrais choisir, c’est d’aligner les culs de toutes les nonnes sur la barrière qui sépare la cour des garçons de celle des filles et de les fesser de ce fouet long et terriblement douloureux. Je voudrais les entendre hurler, me supplier pendant que la mère supérieure me sucerait ma bite, mon cul. Oui, je rêve, je fantasme.
Mais là, j’ai la plus belle fille du pensionnat et je lui fais l’amour. Et ça vaut tout l’or du monde. À mon oreille, sœur Marie-Madeleine de Jérusalem me glisse d’attendre que Martine jouisse pour déchirer cet hymen qui me barre encore le chemin de ce lieu divin par excellence. Ses mains sur mes fesses, elle me guide savamment, la nonne. Au moment suprême, Martine n’a pas le temps de sentir ma queue s’enfoncer en elle entièrement. Elle jouit si fort que je dois la museler d’un baiser pour la rendre muette. Bien au fond de son sexe, je ne bouge pas, suivant toujours les instructions de la nonne à la lettre. Sa main claque sur mon cul, mais tout en douceur, un encouragement, un remerciement à l’entendre me le susurrer à l’oreille, sa langue en plus. Pour Martine, ne plus se sentir vierge, c’est comme si je venais de la délivrer d’une froide prison. Elle est comme folle quand ses bras m’enlacent, sa bouche m’embrasse de partout. Deux doigts lubrifier pourfende mon anus, je supplie cette nonne d’arrêter sous peine de jouir dans l’instant. Elle se calme, baise mon dos, ma nuque.
Maintenant, je vais et viens dans cet étroit conduit si chaud et halitueuse à souhait. Je fais l’amour à une fille de mon âge et j’adore autant qu’elle adore. La nonne vient poser sa chatte moite sur la bouche de Martine, me faisant face. Pendant qu’elle m’embrasse, elle se met à uriner dans cette bouche qui la boit. Martine avale, c’est juste extraordinaire et cela ne me dégoute même pas, tout comme Martine qui a empoigné fermement la croupe de la nonne. Je dois être réellement fou de ces femmes, de ces moments si voluptueux pour que je veuille gouter à la pisse. D’une main sur la poitrine, je penche la nonne en arrière. S’appuyant sur ses bras, je peux aisément laper son sexe. Le gout me plait, me fascine, je veux en boire à mon tour et elle me lâche le peu qui lui reste. Moi, excité, enflammé, je me régale de ce liquide. Entre les cuisses de la religieuse, Martine et moi, on en profite pour s’embrasser, nos bouches encore pleines de ce gout salé, sale. Dans la folie du moment, nous nous jurons fidélité. Mais est-ce que cela va durer, personne ne peut nous le dire. Sœur Marie-Madeleine de Jérusalem pose alors son cul sur nos bouches. Nous le lui nettoyons en profondeur. Deux langues qui n’hésitent pas à s’enfoncer de concert dans cet anus. Dans mon dos, une bouche baise mon cul, le lèche, s’enfonce en moi. Je vais et viens toujours dans le corps de Martine. Celle-ci jouit encore une fois, plus belle que jamais. Dans mon dos, un, puis deux et enfin trois doigts s’enfonce dans mon anus. Je ne peux voir qui me triture aussi délicieusement, notre nonne immorale m’en empêche de son cul divin. Et puis, dans cette folie…
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