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La soirée

La soirée



Ce jour-là, j’étais rentré plus tôt du travail. Normalement je suis à la maison après 21h et là, j’arrivais vers 19h. En franchissant la porte, je sentis ma femme, Marie-France, surprise, un brin contrariée.

– Tu es déjà là ? J’allais t’appeler, il y a soirée pyjama chez Camille, je dois y être pour 20h.
– Ah, bon! pour une fois que je rentre tôt… Ben, vas-y !
– Je prends mon bain et j’y vais. Je partirai direct au boulot de chez elle dit Marie-France.

Elle file à la salle de bain, elle est déjà dans l’eau… Je passe à la chambre pour aller me changer. Comme à son habitude, elle a préparé ses affaires sur le lit. Ce sont les vêtements qu’elle met pour aller bosser, pull, t-shit, jean, soutien-gorge et culotte genre Sloggy, un collant et ses ballerines.
Par terre, il y a un petit sac de voyage.
– Tiens, qu’est-ce qu’il fait là ? pensé-je. J’entends Marie-France dans la baignoire.
Bon, je jette un œil au contenu du sac. Dans un des compartiments, il y a la paire d’escarpins noirs à talons hauts qu’elle met lorsque nous sortons.
– Drôle de soirée pyjama ! et pour 20h, ça sent le restaurant ou la soirée cocktail pensé-je.

J’ouvre l’autre côté du sac.

Il y a une robe noire à liséré blanc qui se boutonne sur le devant qu’elle ne porte que quand elle veut montrer ses jambes en soirée. Suivent une paire de bas noirs, une guêpière noire et enfin le string assorti.
– Qu’est-ce qu’elle me fait là ?! me demandé-je.
Elle est toujours dans son bain, aussi je me décide à lui préparer un petit tour pour agrémenter sa « soirée pyjama ». Je remets les chaussures à leur place ainsi que les vêtements, sauf le string que je range dans la commode comme s’il y était toujours resté.

Je me doute, car ça ne va plus entre nous, qu’elle va aller retrouver un lascar. Et je la connais assez pour savoir qu’elle va s’arrêter quelque part pour se changer dans sa voiture avant son rendez-vous, comme elle a toujours fait, pour moi au début, puis quand nous sortions direct après le boulot. Et comme toujours, elle va être en retard. Elle cherchera le string dans le fond du sac, ne le trouvera pas et ne voudra surtout pas porter sa culotte Sloggy pour son rencard. Elle va passer la soirée (nuit!) sans culotte.

– Tu vas être en retard… dis-je.
– Je finis de m’épiler, répond Marie-France.
– Ben, tiens, t’épiler la foune, dis-je silencieusement.

D’un coup me viens une idée. J’ouvre à nouveau le sac, sort la robe et avec mon couteau suisse, j’entame les 3 boutonnières du bas de la robe, de sorte que la robe s’ouvre au moindre effort au-dessus du pubis. Quand Marie-France se change en voiture avec cette robe, elle met ses bas en dernier et ne ferme les boutons qu’en descendant.

Elle ne va pas s’apercevoir que les boutons sautent avant d’être arrivée chez son amant. J’imagine la soirée au restaurant, avec cette robe qui s’ouvre sans arrêt et dévoile ses bas noirs, les jarretelles de sa guêpière et l’absence de culotte.
Vite, je referme le sac et le remets à sa place. Et si elle l’ouvrait avant de partir ? Je m’arrange pour rester dans la chambre le temps qu’elle s’habille.

– Je suis en retard, elles vont râler ! »dit-elle en sortant de la salle de bains, maquillée.
– Traine pas, alors…
Elle met les vêtements qui sont sur le lit. Une fois prête, elle hésite, puis prend le sac d’un air détaché.
– Mes affaires pour ce soir, fait-elle, j’y vais, je suis en retard.
(En moi-même) – On le sait que tu es en retard !

Elle se sauve, sans avoir regardé dans le sac, qu’elle pose sur le siège passager dans la voiture.

Elle démarre et part dans le sens inverse de chez Camille. Rien de surprenant, mais ça me rappelle que son ex, Hervé, habite dans cette direction. Je me décide à aller voir plus tard dans la soirée, une idée vient de germer en moi… Je commence assez tard le lendemain, ça me laisse le temps d’organiser une petite mise en scène.
Il fait nuit depuis longtemps quand j’arrive à proximité de chez Hervé. Et bien sûr dans la rue d’à côté se trouve la voiture de ma femme. Je passe devant la maison, il y a de la lumière en haut, surement dans une chambre. Je me gare bien plus loin.
Tranquillement, je me rends à la voiture de Marie-France dont j’ai pris le double de clé. Le sac est dedans, en bazar, à peine fermé. Je monte et regarde dans le sac. Il y a le jean, le collant, soutien-gorge, pull, les ballerines posées sur le plancher. Où est la Sloggy ? Je ne la vois pas, je cherche et… Elle est dans le vide-poche de la portière. Marie-France a dû hésiter avant de partir sans culotte.

Bon, ne trainons pas, je fourre tout dans le sac que j’emporte, chaussures et culotte comprises et vide tout l’habitacle. Avant de partir, j’ouvre le capot pour déconnecter une cosse de la bobine, juste ce qu’il faut pour que la voiture tombe en panne après quelques kilomètres. Je descends un peu une des vitres arrière et laisse la voiture ouverte. Un voleur aura surement piqué les affaires pendant la nuit…
Et je rentre l’air de rien.

Marie-France commence le boulot à 8h, il faut qu’elle parte vers 7h30 de chez Hervé pour être à l’heure. A 7h40, bingo, mon portable sonne.

– Je suis en panne, je sais pas ce qu’elle a, je vais (encore) être en retard.
Elle me dit où elle est, « la petite route, là. »

Je prends mon temps, un petit café, quelques outils (pour faire croire). A huit heures moins dix, je pars.

Marie-France a toujours du bol, la voiture est allée s’arrêter sur une aire de parking boisée.

Je me gare, elle ouvre le capot sans descendre. Je m’approche de la portière, Marie-France a une tête angoissée et visiblement la nuit a dû être épuisante.
– Descends, que je regarde le problème, fais-je en ouvrant la portière.
Elle tente de refermer sa robe, mais je vois bien ses bas et jarretelles et une partie de sa chatte épilée de la veille.
– Pas mal, ta soirée pyjama ! Dis-je. Bouge pas!
Je sors mon portable et la prends en photo.
– Arrête, je suis en retard, je vais être virée, en plus faut que je passe à la maison me changer, on m’a volé mes affaires ».
– Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Ouvre ta robe que je voie un peu comment c’est une soirée pyjama, allez, vite !
Elle s’exécute de mauvaise grâce. Nouvelles photos.
– Descends, et ne ferme pas ta robe.
– Elle ferme pas, les boutons sautent sans arrêt, j’ai passé ma soirée comme ça, en plus j’avais oublié mon string quand j’ai fait le sac.
Elle descend enfin.
– Je regarde ta panne et tu m’expliques pourquoi je trouve ma femme sans culotte, en guêpière, bas noirs et robe ouverte, sur une petite route le matin.
Je fais semblant de trifouiller.
– Faut que la batterie recharge un peu, dans quelques minutes se sera bon.
– Quoi!, mais je vais me faire engueuler, crie-t-elle au moment où son portable sonne. Je profite qu’elle décroche pour écarter les pans de sa robe et faire de nouvelles photos.
– Oui, Mme, excusez-moi, je suis en panne, je sais, c’est souvent. La soirée
Ce jour-là, j’étais rentré plus tôt du travail. Normalement je suis à la maison après 21h et là, j’arrivais vers 19h. En franchissant la porte, je sentis ma femme, Marie-France, surprise, un brin contrariée.

– Tu es déjà là ? J’allais t’appeler, il y a soirée pyjama chez Camille, je dois y être pour 20h.
– Ah, bon! pour une fois que je rentre tôt… Ben, vas-y !
– Je prends mon bain et j’y vais. Je partirai direct au boulot de chez elle dit Marie-France.

Elle file à la salle de bain, elle est déjà dans l’eau… Je passe à la chambre pour aller me changer. Comme à son habitude, elle a préparé ses affaires sur le lit. Ce sont les vêtements qu’elle met pour aller bosser, pull, t-shit, jean, soutien-gorge et culotte genre Sloggy, un collant et ses ballerines.
Par terre, il y a un petit sac de voyage.
– Tiens, qu’est-ce qu’il fait là ? pensé-je. J’entends Marie-France dans la baignoire.
Bon, je jette un œil au contenu du sac. Dans un des compartiments, il y a la paire d’escarpins noirs à talons hauts qu’elle met lorsque nous sortons.
– Drôle de soirée pyjama ! et pour 20h, ça sent le restaurant ou la soirée cocktail pensé-je.

J’ouvre l’autre côté du sac.

Il y a une robe noire à liséré blanc qui se boutonne sur le devant qu’elle ne porte que quand elle veut montrer ses jambes en soirée. Suivent une paire de bas noirs, une guêpière noire et enfin le string assorti.
– Qu’est-ce qu’elle me fait là ?! me demandé-je.
Elle est toujours dans son bain, aussi je me décide à lui préparer un petit tour pour agrémenter sa « soirée pyjama ». Je remets les chaussures à leur place ainsi que les vêtements, sauf le string que je range dans la commode comme s’il y était toujours resté.

Je me doute, car ça ne va plus entre nous, qu’elle va aller retrouver un lascar. Et je la connais assez pour savoir qu’elle va s’arrêter quelque part pour se changer dans sa voiture avant son rendez-vous, comme elle a toujours fait, pour moi au début, puis quand nous sortions direct après le boulot. Et comme toujours, elle va être en retard. Elle cherchera le string dans le fond du sac, ne le trouvera pas et ne voudra surtout pas porter sa culotte Sloggy pour son rencard. Elle va passer la soirée (nuit!) sans culotte.

– Tu vas être en retard… dis-je.
– Je finis de m’épiler, répond Marie-France.
– Ben, tiens, t’épiler la foune, dis-je silencieusement.

D’un coup me viens une idée. J’ouvre à nouveau le sac, sort la robe et avec mon couteau suisse, j’entame les 3 boutonnières du bas de la robe, de sorte que la robe s’ouvre au moindre effort au-dessus du pubis. Quand Marie-France se change en voiture avec cette robe, elle met ses bas en dernier et ne ferme les boutons qu’en descendant.

Elle ne va pas s’apercevoir que les boutons sautent avant d’être arrivée chez son amant. J’imagine la soirée au restaurant, avec cette robe qui s’ouvre sans arrêt et dévoile ses bas noirs, les jarretelles de sa guêpière et l’absence de culotte.
Vite, je referme le sac et le remets à sa place. Et si elle l’ouvrait avant de partir ? Je m’arrange pour rester dans la chambre le temps qu’elle s’habille.

– Je suis en retard, elles vont râler ! »dit-elle en sortant de la salle de bains, maquillée.
– Traine pas, alors…
Elle met les vêtements qui sont sur le lit. Une fois prête, elle hésite, puis prend le sac d’un air détaché.
– Mes affaires pour ce soir, fait-elle, j’y vais, je suis en retard.
(En moi-même) – On le sait que tu es en retard !

Elle se sauve, sans avoir regardé dans le sac, qu’elle pose sur le siège passager dans la voiture.

Elle démarre et part dans le sens inverse de chez Camille. Rien de surprenant, mais ça me rappelle que son ex, Hervé, habite dans cette direction. Je me décide à aller voir plus tard dans la soirée, une idée vient de germer en moi… Je commence assez tard le lendemain, ça me laisse le temps d’organiser une petite mise en scène.
Il fait nuit depuis longtemps quand j’arrive à proximité de chez Hervé. Et bien sûr dans la rue d’à côté se trouve la voiture de ma femme. Je passe devant la maison, il y a de la lumière en haut, surement dans une chambre. Je me gare bien plus loin.
Tranquillement, je me rends à la voiture de Marie-France dont j’ai pris le double de clé. Le sac est dedans, en bazar, à peine fermé. Je monte et regarde dans le sac. Il y a le jean, le collant, soutien-gorge, pull, les ballerines posées sur le plancher. Où est la Sloggy ? Je ne la vois pas, je cherche et… Elle est dans le vide-poche de la portière. Marie-France a dû hésiter avant de partir sans culotte.

Bon, ne trainons pas, je fourre tout dans le sac que j’emporte, chaussures et culotte comprises et vide tout l’habitacle. Avant de partir, j’ouvre le capot pour déconnecter une cosse de la bobine, juste ce qu’il faut pour que la voiture tombe en panne après quelques kilomètres. Je descends un peu une des vitres arrière et laisse la voiture ouverte. Un voleur aura surement piqué les affaires pendant la nuit…
Et je rentre l’air de rien.

Marie-France commence le boulot à 8h, il faut qu’elle parte vers 7h30 de chez Hervé pour être à l’heure. A 7h40, bingo, mon portable sonne.

– Je suis en panne, je sais pas ce qu’elle a, je vais (encore) être en retard.
Elle me dit où elle est, « la petite route, là. »

Je prends mon temps, un petit café, quelques outils (pour faire croire). A huit heures moins dix, je pars.

Marie-France a toujours du bol, la voiture est allée s’arrêter sur une aire de parking boisée.

Je me gare, elle ouvre le capot sans descendre. Je m’approche de la portière, Marie-France a une tête angoissée et visiblement la nuit a dû être épuisante.
– Descends, que je regarde le problème, fais-je en ouvrant la portière.
Elle tente de refermer sa robe, mais je vois bien ses bas et jarretelles et une partie de sa chatte épilée de la veille.
– Pas mal, ta soirée pyjama ! Dis-je. Bouge pas!
Je sors mon portable et la prends en photo.
– Arrête, je suis en retard, je vais être virée, en plus faut que je passe à la maison me changer, on m’a volé mes affaires ».
– Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Ouvre ta robe que je voie un peu comment c’est une soirée pyjama, allez, vite !
Elle s’exécute de mauvaise grâce. Nouvelles photos.
– Descends, et ne ferme pas ta robe.
– Elle ferme pas, les boutons sautent sans arrêt, j’ai passé ma soirée comme ça, en plus j’avais oublié mon string quand j’ai fait le sac.
Elle descend enfin.
– Je regarde ta panne et tu m’expliques pourquoi je trouve ma femme sans culotte, en guêpière, bas noirs et robe ouverte, sur une petite route le matin.
Je fais semblant de trifouiller.
– Faut que la batterie recharge un peu, dans quelques minutes se sera bon.
– Quoi!, mais je vais me faire engueuler, crie-t-elle au moment où son portable sonne. Je profite qu’elle décroche pour écarter les pans de sa robe et faire de nouvelles photos.
– Oui, Mme, excusez-moi, je suis en panne, je sais, c’est souvent.
Je la guide du côté passager et la fait s’asseoir, cuisses ouvertes. Elle essaie de m’empêcher, mais elle doit rester sérieuse avec sa patronne au bout du fil, pendant que je photographie. Je referme la portière et m’installe au volant. Elle a raccroché.
– Je vais t’expl…. veut-elle dire, mais je l’att**** par les cheveux et amène sa tête au niveau de ma braguette.
– Une fellation avant les explications !

A son entrain, je sens qu’elle a bien pratiqué cette nuit. Je filme tout avec mon portable.

Au moment où je sens que ça vient, je lui relève la tête et éjacule sur sa figure et sa robe.

Elle cherche un mouchoir pour s’essayer, mais la voiture est vide.
– tu restes comme ça et tu m’expliques.
– C’est Camille qui a organisé une soirée cocktail, t’aurais pas voulu que j’y aille. Ensuite, j’ai oublié mon string, ma robe n’arrêtait de s’ouvrir, tout le monde a vu et pour finir, on m’a volé tout ce qu’il y avait dans la voiture avec mes affaires de rechange et les clés de la maison.
– On est à l’opposé de chez Camille ici.
– J’ai redéposé Virginie. Allez, maintenant, faut que je passe à la maison me changer, ça gueule au boulot.
– T’es plus prêt du boulot ici, tu ne vas pas te changer, tu restes comme ça ! De toute façon tu n’as pas les clés. A ce soir, même tenue !

Je descends et la laisse sur place, visage et robe spermés, sans culotte, la robe ouverte sur ses bas noirs.

Je la guide du côté passager et la fait s’asseoir, cuisses ouvertes. Elle essaie de m’empêcher, mais elle doit rester sérieuse avec sa patronne au bout du fil, pendant que je photographie. Je referme la portière et m’installe au volant. Elle a raccroché.
– Je vais t’expl…. veut-elle dire, mais je l’att**** par les cheveux et amène sa tête au niveau de ma braguette.
– Une fellation avant les explications !

A son entrain, je sens qu’elle a bien pratiqué cette nuit. Je filme tout avec mon portable.

Au moment où je sens que ça vient, je lui relève la tête et éjacule sur sa figure et sa robe.

Elle cherche un mouchoir pour s’essayer, mais la voiture est vide.
– tu restes comme ça et tu m’expliques.
– C’est Camille qui a organisé une soirée cocktail, t’aurais pas voulu que j’y aille. Ensuite, j’ai oublié mon string, ma robe n’arrêtait de s’ouvrir, tout le monde a vu et pour finir, on m’a volé tout ce qu’il y avait dans la voiture avec mes affaires de rechange et les clés de la maison.
– On est à l’opposé de chez Camille ici.
– J’ai redéposé Virginie. Allez, maintenant, faut que je passe à la maison me changer, ça gueule au boulot.
– T’es plus prêt du boulot ici, tu ne vas pas te changer, tu restes comme ça ! De toute façon tu n’as pas les clés. A ce soir, même tenue !

Je descends et la laisse sur place, visage et robe spermés, sans culotte, la robe ouverte sur ses bas noirs.

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