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Chapitre 4 : Marion, esclave sexuelle volontaire

Chapitre 4 : Marion, esclave sexuelle volontaire



Après une bonne nuit de repos, Marion se leva en pleine forme. Ses lèvres intimes un peu irritées tout de même.
Elle alla donc prendre une douche revigorante et passer une crème réparatrice sur sa chatte malmenée.
Elle pensait la soirée d’hier. Elle s’était faite défoncer par une demi douzaine de mecs et avait joui comme une petite pute.
Mais quelle salope elle faisait !
Et le pire c’est qu’elle languissait recommencer !

Un SMS la tira de ses réflexions : c’était Bilal.
« Salut bébé. J’espère que tu es bien reposée. J’ai eu une idée cette nuit : ça te dirait de venir en vacances au Maroc avec moi ? C’est sérieux. Bisous partout »
Alors là elle était soufflée. Il lui proposait de partir en vacances ensemble ! Comme un couple ! Ou alors ça cachait autre chose….
Elle tacha d’en savoir plus : « Coucou. Ça va bien dormi. Ça implique quoi ces vacances ? Bisous »
Le téléphone sonna dix secondes après : « Salut bébé ! Tu me crois pas ? Je te propose une semaine dans un cinq étoiles au pied des plages. »
« Attends ! Ça cache quoi ? »
« Rien du tout. On va au Maroc une semaine pour s’éclater ! »
« S’éclater ? Tu voudrais pas me faire troncher là-bas par hasard ?
Il y eut un blanc, puis Bilal prit son courage à deux mains et dit : « J’avoue ! J’ai pensé à toi toute la nuit, à ce qu’on a fait, à ce qu’on pourrait faire. Et j’ai eu l’idée : je t’emmène au Maroc et on s’éclate sexuellement toute une semaine ! »
Suffoquée, Marion reprit : « S’éclater sexuellement ? Tu trouves pas qu’on s’éclate assez comme ça ici ? »
« Oui mais ici on nous connaît ! Là-bas personne nous connaîtra ! On fera ce qu’on voudra ! »
L’idée faisait son chemin dans la tête de Marion. Après tout, ce n’était pas une mauvaise idée. Un pays étranger, une semaine de baise intensive sans crainte du qu’en-dira-t-on local….
« Que nous deux alors ? » Interrogea Marion.
« Ah oui ! » répondit Bilal « tu crois pas que je vais payer le voyage à mes crevards de potes, ils se débrouillent, ils ont pas un rond ! »
« Alors d’accord ! On part quand ? »
« Dans trois jours . Direction Agadir. Offre flash. »
« OK. On se tient au courant. Bisous »

En raccrochant, Marion se demanda comment elle allait faire avaler ça à ses parents.
La vérité ? Papa Maman, votre petite fille part au Maroc se faire sûrement sauter par la moitié du pays.
Non. Il valait mieux dire qu’elle partait avec des copines sur un coup de tête. Étonnamment, cela passa comme une lettre à la poste.
Marion s’attela immédiatement à la préparation de ses bagages. En plus de son bikini bleu, elle en acheta un autre, blanc celui-là, tout aussi sexy. Elle ne prit que des robes légères, des strings et des soutien-gorge push-up pour accentuer son décolleté déjà bien alléchant.
Trois jours plus tard, un taxi la déposait à l’aéroport où l’attendait Bilal. Celui-ci fut scotché par l’apparition de la jeune femme : pour lui plaire, elle avait enfilé une mini robe noire moulante qui ne cachait rien de ses formes splendides.
Celui-ci lui montra qu’il n’y était pas insensible en la complimentant et en l’embrassant passionnément.
Une fois dans l’avion, Marion se décida à vider son sac :
« Il faut que je te parle ! »
« Qu’est-ce qu’il y a ? »
« Voilà ! On va tous les deux au Maroc, seuls, et comme tu dis, personne ne nous connaît et on reverra personne ! »
« Oui. Et alors ? »
« Alors voilà. J’ai un fantasme qui me trotte dans la tête depuis un moment :obéir totalement à un homme qui me soumettrait à toutes ses perversions. Tout ce qu’il m’ordonnerait, je le ferais, même les trucs les plus dingues ! »
Bilal n’en croyait pas ses oreilles : « En gros, tu voudrais être mon esclave sexuelle »
« C’est ça ! » souffla Marion.
Un sourire jusqu’aux oreilles, Bilal répliqua : «Si tu veux, mais je te préviens : je risque d’être très pervers ! Parce que j’adore autant te baiser que de regarder te faire baiser, ou même de savoir que tu es en train de te faire baiser ! »
« ça me va très bien » répondit Marion dans un sourire des plus coquins.
« OK. Alors on commence dès la descente de l’avion. »

Une heure plus tard, l’avion atterrit à l’aéroport d’Agadir. Dès les contrôles passés, Bilal souffla à l’oreille de Marion : « Là-bas ! Les chiottes ! Viens ! »
Bilal prit la main de Marion et l’emmena aux toilettes hommes. Dans une cabine, il remonta sa robe sur les hanches, arracha littéralement le string de la jeune fille, la plaqua dos au mur avant de la pénétrer et la besogner comme un forcené.
L’excitation de l’attente pendant le voyage avait décuplé leur envie : ils ne tardèrent pas à jouir tous les deux. Ils se rajustèrent puis se dirigèrent vers la station de taxi. Pour une somme modique, celui-ci les emmenait jusqu’à leur hôtel.
Il vint une idée à Bilal : il avait remarqué que le chauffeur avait discrètement reluqué la plastique de Marion et ne s’était pas privé d’admirer ses jambes quand elle était montée dans le taxi.
« Écarte tes cuisses et fais voir au chauffeur que t’as pas de string ! » lui chuchota il.
Marion, sans réfléchir, obéit. Le chauffeur, en regardant dans son rétroviseur et découvrant le spectacle, faillit avoir une attaque. Il eut alors bien du mal à garder son regard sur sa route, attiré qu’il était par le magnifique spectacle offert sur sa banquette arrière.
Bilal jubilait intérieurement. Il décida de pousser l’avantage : « Caresse-toi la chatte. Chauffe le ! »

Marion se mit alors à se caresser le clitoris et les lèvres avec deux doigts. Cela lui donna évidemment vite chaud et elle commença à soupirer d’aise. Le chauffeur de taxi avait les yeux qui lui sortaient des orbites, et sa bite lui faisait mal tellement elle était à l’étroit dans son pantalon.
Le chauffeur de taxi finit par articuler : « Vous êtes très belle, madame »
Bilal lui répondit : « et ça te dirait d’en profiter ? »
« Si vous êtes d’accord ! » reprit le chauffeur, après un temps d’hésitation.
« Contre la course gratuite, c’est OK » proposa Bilal.

Pour réponse, le taxi quitta la route principale et se gara dans un petit coin entouré de pins et de roseaux, hors de vue.
Bilal dit à Marion : « Va-y »
Marion sortit de la voiture, suivie de près par le chauffeur, qui sans attendre, la bascula sur le capot, enfila un préservatif et pénétra la jeune femme, la baisant comme un forcené. Visiblement, le fantasme du chauffeur se tapant sa cliente était universel !
Cinq minutes plus tard, l’affaire était dans le sac : le chauffeur jouit dans sa capote dans un long râle de contentement.
Marion rajusta le bas de sa robe et remonta dans la voiture. Le taxi regagna la route principale et fila vers l’hôtel.
Il déposa Bilal et Marion devant l’hôtel, sans faire payer comme convenu, mais en donnant sa carte à Bilal. Mêmes conditions pour le retour, lui glissa le taxi.

La journée se poursuivit comme pour des touristes lambda : prise de possession de la chambre, explications sur le fonctionnement de l’hôtel, puis mise en maillot et direction farniente sur un transat à la plage.
« Tu as vu ? » demanda Bilal à Marion « tous les employés de l’hôtel ont reniflé ton cul ! »
« Oui j’ai remarqué ! Et alors ? » demanda-t-elle faussement candide.
Bilal répondit par un sourire énigmatique….
Le soir venu, après le souper, Bilal dit à Marion : « habille-toi, on sort ! »
Sans demander d’explications (elle n’en aurait pas eu de toute façon), Marion enfila une robe et suivit Bilal.
L’hôtel se trouvait quasiment en pleine ville. On arrivait vite dans un quartier très animé, où touristes et locaux étaient mélangés pour faire la fête dans les bars et les boites de nuit.
Bilal et Marion s’installèrent dans un bar musical passant de la musique de tous horizons.
Tous deux profitaient de l’ambiance qui la soirée avançant, devenait de plus en plus chaude : Marion se lança bientôt sur la piste de danse, Bilal, un peu fatigué par le voyage, se contenta de regarder.
La jeune femme dansait au milieu de la piste, aux cotés de quatre marocains plus intéressés par son déhanché que par la qualité de la musique.
Marion le vit et le fit remarquer à Bilal pendant une pause.
« Chauffe-les et laisse-toi faire ! » lui dit-il dans les yeux.
Les danses reprirent et les Marocains collaient de plus en plus Marion, jusqu’à, dans un mouvement de foule, disparaître de la vue de Bilal.
Et lorsque la piste fut à nouveau visible, plus personne !

Bilal se leva et se mit à chercher Marion ou un des quatre types: personne au bar, personne dans la salle, personne aux toilettes….
Les quatre marocains avaient entraîné Marion dehors, en passant par une porte de service qui donnait sur une impasse déserte.
Là, les quatre types commencèrent à peloter la jeune touriste qui résistait mollement en rigolant. Leurs mains s’insinuaient sous sa robe, caressant ses seins, des doigts indiscrets titillaient sa chatte par-dessus son string, mais commençaient à chercher à passer par-dessous…
L’un d’eux s’enhardit et posa ses lèvres sur celles de Marion, insinuant sa langue dans sa bouche. Elle lui rendit son baiser dans un petit couinement.
Les trois autres devisaient en arabe pour ne pas être compris de Marion :
« Quelle pute ! T’as vu comme elle se laisse faire ? Elle a pas l’air saoule pourtant ! »
« Tant mieux pour nous ! On va se la baiser comme il faut ! Continuons de la chauffer et bientôt elle nous suppliera de la sauter ! »
Quatre paires de mains profitaient maintenant de la belle plastique de la jeune femme : celui qui l’embrassait faisait sauter un à un les boutons de sa robe, qui s’attachait par-devant, avant de dégager ses gros seins laissés libres. Les autres palpaient ses fesses, ou insinuaient leurs doigts vers sa chatte ou son petit trou.
Marion, haletante sous les vagues de plaisir que lui procurait ce tripotage en règle, perdait complètement pied.
La robe finit par être totalement ouverte, offrant le spectacle d’une Marion dépoitraillée, en string, adossée au mur d’une impasse, avec quatre types se pressant autour d ‘elle.
Un lui roulait toujours un patin d’enfer tout en caressant ses seins, tirant parfois sur les pointes ; un autre avait écarté son string, fourrant deux doigts dans sa chatte trempée et faisant des va-et-vient comme si c’était sa bite ; les deux derniers s’étaient placés chacun sur un côté, avaient sorti leurs queues et guidé la main de Marion vers leur dard turgescent pour se faire branler.
Bilal trouva le petit groupe à ce moment. Il était subjugué par le spectacle. Quand il avait dit à Marion de se laisser faire, il ne pensait pas qu’elle lui obéirait à ce point !
Le jeune homme décida de rester caché dans un coin pour mater la scène.
Les quatre hommes ne restaient pas inactifs : celui qui lui doigtait la chatte sortit sa queue, et d’un mouvement habile remplaça ses doigts par sa bite, la fichant tout au fond du vagin de Marion et entamant un lent mais profond coït.
Marion put à peine exprimer sa surprise et son ravissement, la bouche toujours occupée par la langue d’un autre de ses tourmenteurs.
« Putain, je la lui mets à fond ! » s’exclama celui qui la pénétrait « ce qu’elle est bonne »
« Vas-y, après c’est notre tour ! » dit l’un de ceux qui se faisaient branler.

Trop excité par cette possession, le baiseur eut tôt fait de décharger son foutre dans le vagin de la jeune femme.
Le moment était propice au changement de partenaire: sans même demander son avis à Marion, qui de toute façon affichait une totale soumission, un de ceux qui se faisaient branler introduisit sa bite tendue dans sa chatte poisseuse du sperme de son premier baiseur. Il entama un va-et-vient forcené qui secouait Marion comme une marionnette, avant lui aussi de souiller la chatte de la jeune femme de foutre.
Le troisième, n’y tenant plus, fit alors mettre Marion à quatre pattes à même le sol, et introduisit sa queue en elle sans autre forme de procès. Gêné par le string, il le déchira d’un coup sec. Marion ne retenait plus ses cris de jouissance. Pour la faire taire, le dernier se plaça devant elle, la prit par les cheveux et lui fit gober son chibre. On n’entendait plus alors que le floc floc des coups de bite de l’un dans la chatte de Marion, et les cris étouffés de la jeune femme, bâillonnée par la bite d’un autre. Les deux autres, qui avaient repris de la vigueur, se branlaient devant le spectacle.
Les deux baiseurs de Marion finirent par jouir quasi en même temps dans les deux orifices qu’ils occupaient.
Épuisée, vaincue par la jouissance, Marion s’allongea à même le sol pour récupérer. Ceux qui se branlaient, trop excités par le spectacle, éjaculèrent sur son ventre et ses seins.
Les quatre complices se rembraillèrent et quittèrent l’impasse en riant entre eux sans même adresser un regard à Marion, devenue inutile.
Bilal sortit alors de sa cachette pour contempler sa copine, allongée sur le dos à même le sol crasseux d’une impasse, la robe ouverte, le string déchiré gisant à côté d’elle, le vagin coulant de sperme, les seins souillés de foutre.
Bilal approcha avec appréhension. Il hallucina lorsqu’il vit Marion chercher avec sa langue les quelques gouttes de sperme aux commissures de ses lèvres pour les avaler avec une visible délectation!
– « ça va, bébé ? Je te cherchais partout. Qu’est-ce qui s’est passé ? » demanda Bilal hypocritement.
– « Mmmm, oui, les quatre types de la broîte m’ont emmenée ici, ils m’ont pelotée et ils m’ont tringlée comme une pute. C’était bon ! »

Bilal donna ensuite le signal du retour à l’hôtel où Marion se doucha, avant de recevoir les hommages empressés de Bilal, excité par la perversité dont elle avait fait preuve.

Le lendemain matin, c’était bronzette à la piscine de l’hôtel. Marion, dans son bikini blanc tranchant avec sa peau bronzée, attirait tous les regards, des touristes comme des employés.
Ceux-ci n’arrêtaient pas de venir leur proposer des rafraîchissements, des cocktails, des serviettes : tous les prétextes étaient bons pour s’approcher au plus prés de Marion, sous l’œil goguenard de Bilal que le petit manège amusait.
« T’as vu ça ? » lui dit Marion « ils arrêtent pas ! »
« Ouais ! Et s’ils savaient que hier soir tu t’es faite troncher par quatre arabes et que t’as bu leur foutre d’une traite, ils seraient encore plus cash ! »

L’après midi, Bilal eut l’idée d’aller faire un tour dans les souks. Marion enfila une petite robe bleue à fleurs boutonnée sur le devant, s’arrêtant à mi-cuisses.
Malgré la chaleur, le souk était encore très animé en ce milieu d’après midi. Les commerçants rivalisaient d’ingéniosité pour attirer le client (ou la cliente) dans leur échoppe.
Dans une échoppe de bijoux fantaisie, pendant que Marion se choisissait quelques colliers et bracelets, Bilal discuta un peu avec le patron, qui n’arrêtait pas de reluquer sa belle cliente. Il faut dire que lorsqu’ils étaient entrés, Bilal avait ordonné à Marion de faire l’innocente salope « pour avoir un prix ». Du coup elle se penchait exagérément pour regarder les bijoux, laissant voir le bas de ses fesses et son string !
« Elle est belle ta femme ! » dit le commerçant à Bilal en reluquant sans vergogne le fessier rebondi de Marion.
« Non seulement elle est belle mais c’est aussi mon esclave ! » lui répondit-il.

Estomaqué, le commerçant se ressaisit vite et reprit : « Il n’y a que toi qui la baises ou tu la fais baiser aussi ? »
« Je la fais baiser aussi, mais il faut que ça en vaille la peine ! »
Les deux types devisèrent dix bonnes minutes pendant que Marion choisissait deux jolis bracelets pour elle et un collier fantaisie pour sa mère.
Le commerçant refusa qu’elle paye : « votre visite a suffi à illuminer ma journée ! » lui expliqua-t-il un grand sourire jusqu’aux oreilles.

Marion avait remarqué le rictus de satisfaction de Bilal depuis qu’ils étaient sortis de l’échoppe. La discussion avait sûrement tourné autour d’elle, et Marion se doutait qu’elle allait payer les bijoux avec son cul. Mais quand et de quelle façon…
De retour à l’hôtel, Bilal expliqua à Marion le déroulement de la soirée : « On est invités dans un riad avec des notables de la ville. C’est un genre de soirée un peu spéciale, le genre libertin! »
En écoutant ça, Marion avait peur, mais sa chatte inondait son string tellement elle mouillait !
Le soir venu, le souper rapidement expédié dans une ambiance électrique, Marion se prépara : la robe noire moulante qu’elle avait mise pour venir, et un string. Des talons hauts trouvés à la boutique de l’hôtel complétèrent la panoplie.
Elle se maquilla comme si elle sortait en boite, c’est-à-dire bien sexy.

Le taxi les déposa dans le vieil Agadir devant une porte cochère d’une maison qui ne payait pas de mine, mais une fois entrés, c ‘est un véritable palais des mille et une nuits qui s’offrait à leurs yeux : faïences aux murs, bassin au milieu d’un patio immense.
Les convives étaient une petite vingtaine, seulement deux femmes, européennes elles aussi, une brune et une blonde début trentaine, en plus de Marion.
« Eh bien, » pensa elle, « si c’est une soirée cul, ça va être notre fête à toutes les trois ! »

Bilal serra la main au commerçant chez qui ils étaient allés quelques heures plus tôt. Voilà de quoi ils parlaient !
« Heureux de vous revoir » dit le commerçant avec un sourire carnassier pendant qu’il reluquait Marion « j’espère que vous allez vous amuser ! Il n’y a que des amis ici, et discrétion assurée! Je ne me suis pas présenté : Mohammed.»
Marion prit un verre tendu par un serveur et regarda autour d’elle : les deux autres femmes se laissaient caresser les fesses et embrasser dans le cou sans aucune gêne par n’importe quel convive qui passait par là. Des habituées visiblement !
Bilal lui glissa à l’oreille : « Tu as vu les autres nanas ? Fais comme elles, laisse toi faire ! »
Le commerçant s’approcha de Marion et tout en lui parlant de tout et de rien, passa subrepticement une main sur ses fesses. Marion eut un frisson mais laissa faire. Un autre invité arriva derrière elle et sans même se présenter, se colla dans son dos, calant un sexe déjà bandé sous son pantalon entre ses fesses.
« Bonjour mademoiselle » lui dit il « vous avez un cul superbe ! »
« Merci » répondit Marion « je vois qu’il vous fait de l’effet !»
« moi c’est Omar » répondit l’homme

le commerçant, de son coté, ne perdait pas de temps et commençait à soupeser les seins de Marion à travers sa robe : « Quelles belles mamelles ! On doit être bien dedans ! »
« ça dépend ! » osa Marion « il faut un beau calibre pour bien les apprécier ! »

Les deux hommes rirent de bon cœur et reprirent : « si tu veux, on peut aller dans une des chambres te montrer nos arguments ! »
Bilal, qui n’avait pas perdu une miette de la conversation, hocha la tête en guise d’acceptation et se joignit au trio : trois hommes pour moi, se dit Marion, j’ai déjà connu.

Arrivés dans la chambre, Marion entama un strip-tease digne des meilleures danseuses sous l’œil lubrique des trois hommes qui se déshabillaient prestement pour profiter de cette beauté.
Omar prit les devants en guidant Marion vers le lit où il s’allongea à ses cotés et l’embrassa tendrement.
Electrisée par la situation, Marion répondit à son baiser passionnément et laissa trainer sa main à l’entrejambe de Omar, où elle découvrit un beau sexe épais au garde à vous en son honneur.
Sans hésitation, Marion abandonna la bouche d’Omar et goba sa bite pour entamer une fellation dont elle avait le secret.
Mohammed s’installa au bord du lit et entreprit de lécher la petite chatte déjà luisante de mouille de la jeune femme.
Bilal ne perdait pas une miette du spectacle et attendait l’occasion d’entrer dans la danse en s’astiquant tant pour garder la forme que pour se calmer un peu.
Au bout de quelques minutes, Omar arrêta la fellation de Marion : « Je sens que je vais venir si tu continues, je veux encore profiter de ton superbe corps »
Il fit venir Marion sur lui pour qu’elle s’empale sur son membre, ce qui fit pousser à la jeune femme un soupir de satisfaction lors de l’introduction. Omar profitait de la vision féerique des seins de Marion s’agitant devant lui, avant de les prendre à pleines mains pour les lécher.
Mohammed, privé de chatte, décida de se consoler en présentant sa bite devant la bouche de Marion. Une belle bite, épaisse et relativement longue.
« Suce, ma belle » lui dit Mohammed qui, sans attendre la réponse, enfonça son chibre entre les lèvres de la jeune fille et d’imprimer lui même le mouvement.
Bilal décida qu’il était temps d’avoir sa part et vint se positionner devant l’anus de Marion : il adorait la sodomiser, il trouvait même cet orifice plus confortable que les autres.

Comblée par tous les orifices, Marion était ravagée par les vagues de plaisir données par ces trois bites qui s’agitaient en elle. Au bout de presque vingt minutes, Omar sentit son orgasme arriver, bientôt imité par les deux autres hommes. Tous les trois remplirent Marion de leur foutre : Mohammed ne devait pas avoir baisé depuis longtemps puisqu’il lâcha une quantité plus que respectable de sperme dans la bouche de Marion, qui eut le plus grand mal à tout avaler.
Elle finit par s’affaler sur le lit, épuisée, remplie et comblée.
« Venez messieurs, laissons notre princesse se reposer. Allons nous désaltérer. »

Les trois hommes descendirent dans le patio nus, mais ils ne dépareillaient pas : tout le monde était à poil, les deux femmes étaient en train de se faire partouzer sans ménagement par trois à quatre types chacune sur des canapés disposés dans un coin du patio.
« Tu as là une magnifique salope » dit Omar à Bilal.
« Oui, j’ai réussi à la dévergonder, elle m’étonne tous les jours ! »
« Si ça a été aussi rapide, c’est qu’elle avait ça dans le sang, il suffisait juste de le faire éclater au grand jour ! »
« Elle est mon esclave sexuelle pour tout le séjour, mais je voudrais bien qu’elle le reste après… »
« Ne t’inquiète pas, elle s’est trop éclatée, tu pourras continuer à en faire ce que tu voudras même après être rentré ! Regarde ces deux femmes : tu crois que ce sont des call-girls ? Détrompe-toi : ce sont des Françaises, la brune est avocate, la blonde est magistrate. Elles sont venues en vacances entre copines il y a deux ans. Deux de nos « rabatteurs » les ont draguées, baisées et quand ils les ont eus bien en mains, les ont emmenés à une soirée comme celle-ci. Elles ont eu comme une révélation ! D’ailleurs, Regarde ! »

Omar s’approcha de la blonde qui était en train de se faire prendre en double pénétration. Il demanda au type qui était sur elle de s’enlever, ce qui lui permit de relever la femme, qui continuait à s’empaler sur l’autre type comme si de rien n’était. Il indiqua son pubis à Bilal : juste au-dessus de celui-ci se trouvait un mot tatoué en arabe. Bilal n’eut aucun mal à traduire : Esclave.
Omar vit le trouble de Bilal : « Tu as bien lu mon frère : Esclave. L’autre femme a le même. Cela veut dire qu’elles sont soumises à la bite arabe, aux conquérants de leurs orifices! Ce sont elles qui ont voulu aller au bout de l’esclavage ! J’ai le plaisir d’être leur maître. N’est-ce pas Mathilde ? »

Mathilde (c’était donc le nom de la femme blonde) venait de finir d’éponger ses deux baiseurs. Sa poitrine et le contour de sa bouche étaient couverts de foutre.
« Oui » répondit-elle « Tu peux faire ce que tu veux de mon corps »
« En France, seules quelques personnes de confiance savent que c’est une esclave.
Elle doit répondre à toutes les sollicitations et exaucer leurs caprices. Avant de venir, elle a eu dans son bureau de juge un délinquant qui connaissait son petit secret : elle a dû le sucer et signer sa mise en liberté pendant qu’il la sodomisait sur son bureau ! »

Excité par la situation, Bilal monta dans la chambre où se trouvait Marion pour la baiser. Il la trouva aux prises avec deux invités qui la prenaient l’un en levrette, l’autre lui baisant la bouche comme si c’était une chatte. Et Marion, docile, encaissant les coups de bite et grognant de plaisir.
« Je crois qu’elle est prête » lui glissa Omar qui l’avait suivi. « tu pourras en faire ton esclave perpétuelle ! »

Après que ses baiseurs aient rempli Marion, Bilal l’emmena en bas pour se rafraîchir et discuter. Il lui parla de Mathilde et de Karine (la brune) et de leur « particularité », dont elles parlaient sans complexe :
« Nous pouvons aller au bout de nos fantasmes » lui dit Karine « même des plus extrêmes. La dernière fois, une nuit où j’étais de permanence avocat, un flic qui connaît ma condition m’a jetée en pâture dans une cellule remplie de petits loubards. Ils m’ont tringlée toute la nuit. Le flic m’a libérée au petit matin, je puais le sperme, j’étais éreintée, mais je m’étais régalée ! »

Marion écoutait cette confession, partagée entre surprise et excitation. Elle se surprit à mouiller abondamment.
La soirée s’acheva plus tranquillement avec repas en buffet, puis retour à l’hôtel.

Le lendemain matin, Marion se réveilla en premier et s’attacha à réveiller Bilal de la plus douce des manières, par une fellation.
Bilal ne fut pas longtemps insensible à ce traitement et s’éveilla avec le spectacle merveilleux de ce canon faisant aller et venir sa bouche sur sa tige érigée.
Marion désenboucha subitement la bite de Bilal et commença à la branler.
« Tu sais » dit Marion « j’ai réfléchi à propos de hier soir »
« Ah ! Et alors »
« Alors, j’ai envie. Je veux être ton esclave. Ça m’excite trop: le sentiment, les situations, me laisser porter, tout ! Je veux faire comme Mathilde et Karine ! Même le tatouage ! »
« Même le tatouage ? » demanda Bilal « attention, après on ne revient pas en arrière ! »
« Je sais, mais j’ai trop envie »
Même dans ses rêves les plus fous, Bilal n’y avait pas songé : un canon qui deviendrait son esclave sexuelle !

Bilal appela Omar, qui lui avait laissé son numéro de portable, pour lui demander l’adresse d’un tatoueur discret en ville. Ils s’y rendirent. Le tatoueur avait l’habitude : quand Bilal lui expliqua ce qu’il voulait, il ne manifesta aucune surprise et invita Marion à s’allonger sur la table et à dégager son nombril.
Il réalisa un magnifique travail, très stylé et sans bavures.

« Maintenant tu es ma chienne pour toujours » dit Bilal en sortant
« Demande-moi ce que tu veux ! » lui répondit Marion

Il ne leur restait qu’une nuit de séjour : ils reprenaient l’avion le lendemain.
La première nuit de servitude, Bilal se la réserva pour lui , comme un sultan avec une nouvelle esclave du harem. Il lui fit l’amour dans toutes les positions, souilla tous les orifices. Ils prirent tous les deux un pied d’enfer.

Le lendemain, ils ne se réveillèrent que tard dans la matinée. L’avion partait dans six heures. Marion partit se doucher la première.
Alors que l’eau coulait, quelqu’un tapa à la porte : c’était un des employés de l’hôtel qui venait voir si la chambre était libre pour la faire nettoyer.
Voyant que non, il s’apprêtait à repartir quand Bilal l’arrêta : « Dis-moi, tu veux pas un petit pourboire avant de partir ? »
L’employé ne comprenait rien mais resta figé lorsque Marion sortit de la salle de bains complètement nue, son nouveau tatouage bien en vue.
Bilal dit à Marion : « suce-le ! »
Sans hésiter, Marion vint se planter devant le type, s’agenouilla, ouvrit sa braguette et goba son membre à demi mou, qui ne tarda pas à durcir grâce à la langue experte de la jeune femme.
« Appelle un copain, qu’il en profite aussi » dit Bilal.
L’employé prit son talkie-walkie et appela un certain Faycal. Deux minutes après, un type se présenta à la porte. Bilal le fit entrer. Le spectacle qu’il vit lui faisait sortir les yeux de la tête.
« Appelez tous vos collègues, les plus sûrs évidemment » leur dit Bilal. « Jusqu’à ce qu’on parte, c’est pipe-party pour vous, et elle avalera ! »
Pendant prés de deux heures, un étrange et discret ballet se déroula à la porte de la chambre : des employés rentraient, intrigués et excités, d’autres sortaient, la mine réjouie et ravis.
Sous l’œil avisé de Bilal, Marion suça une bonne vingtaine de bites et en avala consciencieusement la liqueur.
Puis l’heure de partir arriva : pas la peine de chasser les employés, tous les hommes de confiance avaient pu profiter de sa bouche !

Dans l’avion du retour, Marion se lova dans les bras de Bilal et lui murmura :
« Merci pour le séjour. Merci de m’avoir permis de m’épanouir complètement, d’avoir fait ressortir mon côté salope. Je suis à toi maintenant. »
« Oui, bébé. Tu es ma petite esclave personnelle maintenant » lui répondit Bilal en lui caressant à travers ses vêtements l’endroit où se trouvait son tatouage.

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