Hier soir, ma femme est rentrée plus tard de son travail, la mine défaite, pas la tête du vainqueur. Devant elle, j’ai eu beau lui demandé ce qu’y n’allait pas, elle ne cessait de me répéter que tout allait bien. Il m’a fallu presque employer la force pour qu’elle m’avoue, en larme, que son patron, qui est aussi le mien, l’avait sautée en lui faisant du chantage. En gros, ce porc l’avait violée. Mais sans aucune preuve, que faire. J’étais énervé à n’en pas douter.
– Désormais, j’exige que tu me dises quand il recommence, c’est clair ?
– Mais…
– Il n’y a pas de mais qui tienne, on doit te le coincer ce fumier, de lui rendre la monnaie de sa pièce et qu’il paie très cher. Mais il faut que tu me dises quand, où et comment. Tiens, tu vas me noter tout ça sur ce cahier. D’accord ?
– Je veux bien, mais c’est gênant.
– T’inquiète, je ne vais pas aller crier ça sur la place publique ou sur les toits. Fais seulement ce que je te demande, un point c’est tout.
Pendant une semaine, je cherche comment confondre c’est enculé. C’est le vendredi que je découvre une piste à explorer, en croisant sa très jeune épouse. Oui, mon patron n’est plus très jeune. Pourtant, à soixante-trois ans, c’était il y a deux ans, il s’est trouvé un petite d’à peine plus de vingt-cinq ans à épouser. Du coup, c’est du côté de cette Mylène que je dois piocher.
Un mois passe, ma femme vient encore de se faire sodomiser par ce salaud. Si au fond de moi, ça m’excite, j’avoue que dans ma tête, c’est une colère noire qui gronde. Je dirais même un orage de colère.
Il me faut encore patienter jusqu’au repas de fin d’année. Mon patron vient plastronner avec sa jeune femme, Mylène, devant nous. Ma femme est assise près de moi. Entre lui et elle, c’est glacial quand il fait le tour pour nous saluer. Je remarque que ma femme ne semble pas toute seule. D’autres secrétaires ou autres employées ne semblent pas être aussi joyeuses qu’on pourrait l’être dans ce genre de soirée normalement festive. Cela dit, l’invitation était sans refus possible de la part des employés et tous avaient répondu présent à cette convocation.
Je profite d’un moment de flottement pour inviter la femme de mon patron à danser. Là, pendant une valse, je lui confie que son époux ne se gêne pas pour la faire cocu. Je lui montre ma femme et plusieurs de ses collègues. Là, furieuse, elle m’entraine dehors, derrière le restaurant.
– C’est ma femme qui m’a avoué pour ton mari. Elle m’a aussi dit que d’autres passaient à la… enfin, tu vois.
– L’enculer de pain frais. T’as des preuves ?
– Que le témoignage de ma femme pour le moment, je sais, c’est trop mince.
– Et je suppose que vous avez une putain d’envie de te venger, ta femme et toi !
– Ben, pas qu’un peu, déjà pour ma femme et puis pour les autres s’il y en a.
– Ok ! Là, je ne sais pas quoi faire. Il me faut un peu de temps.
– Moi, je sais que faire. Ma femme est même au courant de mon projet. En gros, c’est couché avec toi en faisant passer ça pour un viol.
– Euh oui, mais…
– Tu veux aussi le coincer ou pas ?
– C’est que…
– Quoi, c’est de baiser avec moi qui te fait peur ?
– Non, mais…
– C’est quoi alors ?
– Écoute, j’ai une idée qui abonde dans ta direction. Mais avant de passer à l’acte, il me faut prendre certaines dispositions. Pas envers toi, non, mais envers ce fumier !
– Ah, je vois, il te tient aussi par les couilles.
– Pas qu’un peu. Y faut que je puisse faire modifier notre contrat de mariage. Je connais bien son avocat. Je crois même qu’il rêve de me baiser.
– Ok, je vois. Donc tu couches avec lui en échange d’un contrat de mariage en ta faveur ?
– Ben voilà. Nous devons le voir demain pour la maison.
Dans la salle, personne ne s’est aperçu de notre courte absence de quelques courtes minutes.
Trois semaines passent, un coup de fil de l’épouse de mon patron m’invite à passer chez elle, dans la maison de mon patron. Sur place, elle me présent une sorte de petit homme maigrichon, solidement menotté et roulé en boule au milieu du salon. La vache, ça m’a fait un choc de voir ce mec grisonnant bander comme un cerf et aussi soumis.
– Lui, c’est l’avocat de mon mari. C’est un si bon toutou qu’il m’a fait tout ce que je lui demandais à la virgule près. Et donc, si je demande le divorce en prouvant que mon bienaimé époux me fait un enfant dans le dos, il va s’en prendre plein la gueule.
– Sans être indiscret, t’as fait comment ?
– Oh, très simple, je lui ai juste montré ce que j’avais entre mes cuisses. Puis, affamé qu’il est, en échange de mon corps, il devait me refaire notre contrat de mariage en ma faveur en imitant parfaitement la signature de ma crevure de mari. Enfin, devant moi, il a voulu aller plus vite que la musique, un bon coup de pied dans ses parties plus tard, le voilà à mes pieds.
– Super. Donc, maintenant, on peut mettre l’autre partie du plan à exécution.
– Oui, on peut. Seulement, j’ai envie de faire autrement. Cette lavette, dans sa bicoque, il possède un donjon SM.
– Quoi, tu veux aussi me…
– Pas toi mon gros nigaud, moi ! Seulement, il faudra te montrer plus que convainquant. Oh, j’ai encore ça, un témoignage d’une autre employée baisée et enculée par mon enfoiré de mari. Il a été signé devant cet larve d’avocat, lui. Si on ajoute celui de ta femme.
– Ben justement, ton idée de donjon, je crois qu’on va y ajouter ma femme.
– Mais pourquoi ?
– Parce qu’elle est mal dans sa peau à cause de ton vieux. Elle a besoin d’un gros électrochoc.
– Et donc, une bonne séance de pan-pan-cucul.
– Voilà, t’as tout pigé !
– Dis, si on en profitait. Parce ce n’est pas tout que tu me fouettes, mais moi, là, j’ai bien envie de tester la marchandise devant lui. Disons que tu me forcerais un peu, hein !
Devant cet avocat notaire ? Pourquoi pas après tout. Comme ça, je ne serais pas venu pour rien. Du coup, je me force un peu à me la jouer méchant. Je pousse Mylène sur le sofa derrière l’avocat, lui retrousse sa robe, arrache sa culotte et je te la baise comme jamais je n’avais baisé. À l’entendre, elle ne déteste pas et je la défonce par-devant comme par-derrière. Là, dans son cul, je crois bien y avoir été un poil trop fort. Cela dit, malgré la douleur, elle ne cherche pas à s’enfuir, bien au contraire. Une fois sa rondelle bien dilatée, je bourre encore et en force. Quand elle commence à pousser de petits cris, je me mets à la fesser copieusement. L’autre, sur le sol, il bande toujours. Je baise cette femme superbe, la femme de mon patron. Ça lui plait de faire cocu son mari et moi, ça me donne des ailes. Ces ailes font jouir cette jeune femme et plus elle jouit, plus je me sens fort et merveilleusement bien. Cela dit, là, juste avant de te la remplir de mon foutre, ce soir, en rentrant, je raconterai tout à ma femme. Rien que l’idée d’imaginer son visage, je jouis dans les profondeurs de ce corps superbe.
– Toi au moins, tu ne fais pas dans la dentelle, c’est le moins qu’on puisse dire. T’en as encore en réserve ?
– Hé, faut pas me confondre avec ton maigrichon d’avocat.
Pour se convaincre que je disais vrai, elle se dégage de moi, s’empare de ma bite un poil détendue qu’elle enfourne dans sa bouche. Putain, je crois avoir levé une hase de première classe. C’est une chaude, cette petite. La vache, cette fois, ça va être coton pour retenir ma purée. Cette femme pompe plus fort qu’une pompe à vide, une véritable ventouse. Ma bite bute même au fond de sa gorge. Faudrait que ma femme soit présente, qu’elle prenne une…leçon de baise. Ouiii, le donjon, ma femme en élève studieuse. Oh putain que l’idée est bonne. Et boum, je me vidange dans cette bouche. C’est si fort que je me mets à pisser, ce qui ne m’était jamais arrivé. Et cette Mylène qui boit tout ce que je lui donne avant me tourner vers cette larve d’homme et en m’achevant de pisser, mais sur lui. Ça lui plait à cet ersatz d’homme, il frétille comme une anguille. Et elle, elle qui plonge son visage entre mes fesses, encore folle de désirs et au pluriel. Elle en veut encore du sexe et je peux lui en donner. Je la couche devant sa larve, la baise comme un sauvage, n’hésitant plus à claquer ses fesses si fermes avec force. Elle aime et son vieux ne le sait pas, ce cave. Il me faut savoir jusqu’où elle est prête à aller pour que notre plan fonctionne. Parfois, je plonge un ou deux doigts dans le cul de cette larve que je donne à lécher à cette femme en furie. Elle suce hurlant que c’est bon. Je la pousse tout contre le cul de cet homme qu’elle se met à lécher comme une folle. Je jouis en même temps que l’homme coucher devant cette femme. Elle nous rejoint, c’est le plus beau moment de ma vie que je lui hurle dans les oreilles. Sur elle, je m’écroule, j’ai tout donné.
– Putain, ce que t’es bon toi ! Qu’elle me dit.
Je cherche mon souffle. La voyant se redresser, je lui montre la tache de foutre de son esclave, si on peut appeler cet avocat ainsi. Pour moi, ce n’est guère plus qu’un esclave, une larve tout au plus. Sans attendre, toujours aussi désireuse de prendre son pied, elle lèche ce sperme répandu devant cette bite toujours tendue. Elle va même jusqu’à sucer cet avocat qui ne demandait que ça depuis le temps qu’il était arrivé, bien avant moi. Trois heures que nous batifolons comme des porcs dans ce salon. Trois heures qu’elle ne cesse de nous dire qu’elle en veut encore. Devant sa chatte baveuse, j’ai tôt fait de bien lubrifier ma main et de commencer à violer sa chatte avec. Mes doigts s’enfonce, elle hurle qu’elle en veut plus. Son sexe se dilate sous ma main qui s’enfonce lentement, disparait inexorablement dans ce corps qui en redemande. Elle suce cet avocat, gémissante de bonheur. Une fois mon poing tout entier bien dans sa chatte, je le fais aller d’avant en arrière, le tournant de gauche à droite et inversement. Elle jouit, ne cesse de jouir jusqu’à pousser un hurlement long, sonore et de s’écrouler sur cet homme qui jouit encore sur le sol de marbre. Mon poing la travaille encore. Elle n’en peut plus et pourtant, je continue. Je veux l’épuiser, complètement l’épuiser.
Étendue sur le sol, la moitié de son corps sur celui de l’avocat, à l’aide de mon portable, je les prends en photo, mais mode en silence. Elle ne bouge plus, ses yeux sont clos, sa respiration très courte. L’homme n’est pas mieux qu’elle. Je profite de ce moment pour chercher la salle de bain, je m’y douche quand elle arrive, nue, le corps sale de mon foutre, de ma pisse. Sans un mot, elle me prend mon éponge et me lave, femme fière devenue femme docile. Elle me dit avoir trouvé son Maître et me raconte comment elle s’est retrouvée mariée à mon patron. Encore une sombre histoire de chantage. Y a que mon patron qui puisse se montrer aussi tordu, vicieux pour avoir, tel un enfant gâté, tout ce qu’il désire. Enfin, avant que je ne parte, elle me donne un classeur scellé par un cordon et un sceau, aux armoiries de mon patron.
– Avec ça, tu peux le couler et m’avoir en plus de ta femme. Tu peux l’envoyer en tôle pour de très longues années, au minimum pour vingt piges. Y a tout ce que j’ai déjà pu rassembler. Lui, l’avocat, il l’a déjà vu, il n’attendait qu’un mec comme toi, un qui cherche à se venger de mon mari. Il ne pouvait pas bouger avant, mon salaud de mari le tient aussi par les couilles. Mais là, c’est terminé, il faut qu’il paie.
– Il va payer. Ça, ce n’est pas une promesse en l’air et avec ton aide et celui de l’avocat, il va plonger dans la pauvreté sans ne plus jamais pouvoir se refaire une santé.
– Je vais tout faire pour couler cet homme. Ajoute l’avocat. « Seulement, je désire ne plus être que votre esclave à tous deux. » Dit-il encore
– Là, mon vieux, on signe maintenant si tu le désires tant que ça ! Lui répond Mylène.
Un baiser, je la quitte.
Chez moi, devant ma femme, je lui raconte tout, elle, assise sur mes cuisses ma main entre ses cuisses. Pendant mon récit, je caresse son corps tout juste trentenaire. Et puis, cerise sur le gâteau, j’arrache le cordon qui entoure l’épais classeur. À l’intérieur, nous y découvrons des photos de femmes soumises, attachées, battues par cet homme, notre patron. Il y a les noms et les adresses de ces femmes. Même des hommes figures dans cette liste et ils sont traités de la même manière. Devant une femme à quatre pattes, le cul rouge des coups de martinet reçus, ma femme m’arrête, prend l’image, pleure à chaude larme.
– C’est Isabelle, ma collègue, c’est aussi ma meilleure amie. Je ne comprenais pas pourquoi elle était si souvent malade. Faut que je l’appelle, lui dire que je sais tout.
– Non, vaut mieux pas, pas maintenant. Avec la femme du patron, nous avons un plan, on doit s’y tenir. Lundi, tout commence, il ne va pas s’en remettre, tu peux me croire.
– Mais s’il veut me…
– Alors, dis-lui simplement que son classeur a disparu et que tu sais qui le détient. Mylène est en train de déposer une plainte pour cambriolage au moment où nous discutons.
Ce faisant, je caresse sa chatte, elle finit par s’abandonner. Je la rassure, l’aime tendrement. Si je ne peux pas bander, mes mains et ma bouche ont raison de son corps qui ondule pour mieux jouir.
Quelques jours plus tard, début janvier. Avec Mylène et ma femme, nous nous retrouvons chez l’avocat. Ce dernier nous met en garde, dans le donjon, notre enculé de patron a fait placer de petites caméras très discrètes. Il nous montre, sur un plan, l’emplacement de chacun d’entre elles. Zut, il ne manquait plus qu’une combine tordue comme celle-ci. Alors, autre idée, dans un slip en cuir moulant, le visage cagoulé, vu qu’il peut nous voir en direct, je pousse Mylène dans ce donjon. Menottée dans le dos, elle me subit sans défense. Nue, je la gifle, l’attache, la suspends. Très vite, je me mets dans la peau d’un putain de sadique, mais tout est faux. Sauf qu’elle qui me demande d’y aller franco alors que je termine de la soulever. Un joli fouet à la main, je ne sais comment m’y prendre avant que de derrière moi, l’avocat me l’explique. Alors, le fouet claque, s’enroule sur le corps de Mylène. Parfois, j’arrête, pose une question auquel elle refuse de répondre. Pince, poids, cravache, tout y passe, tout ce que je trouve dans ce petit donjon, Mylène le subit jusqu’à jouir plusieurs fois. Elle n’a pas cessé d’hurler sa douleur comme ses orgasmes. C’était à si méprendre. Nous savons que notre patron voit ou verra ces deux heures de supplice. Maintenant, elle avoue tout, l’épouse torturée.
– J’ai les noms, les adresses. J’ai même son précieux classeur où il…aïe, il regroupe tous les noms et adresses de ceux qu’il fait chanter. Arrêtez, je n’en peux plus, j’ai trop mal.
– Où se trouve ce classeur ?
– Dans un coffre en lieu sûr, j’en ai fait des copies conformes et certifiées comme tel.
– Ok, tu crois qu’après tes aveux, ma salope, il voudra encore de toi ?
– J’en ai rien à foutre de ce porc. Il m’a fait chanter comme tous les autres. Il me tient par les couilles parce qu’il m’a eue mineur. J’avais seize ans quand il m’a surprise en train de fumer un joint.
– Il te drogue ?
– Cocaïne, une fois par semaine.
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