Spéciale dédicace à bobidicool
Comme tous les matins, je me lève, me prépare un café bien fort m’installe à mon pc pour mater quelques vidéos de cul sur xhamster, parfois des mecs en webcam sur cam4… des matins je me branle, des matins non. Je fut un matin sans parce que je m’étais fixé et je comptais m’y tenir de faire un jogging sur les quais au bords de la Garonne. Pas de branle et pourtant les vidéos m’avait bien excité : une entre autre où un mec défonçait sa meuf pendant qu’il se faisait lécher l’anus par un pote, une autre entre plusieurs gars dans les pissotières d’un club…j’avais une sacré trique. Mais…je sautais dans mes fringues pour ce tant attendu footing – un collant en microfibre et un haut en à manches longues dans la même matière. Ma demi-bandaison rendait la tenue un peu obscène mais peu importe. Je sortis pris l’ascenseur et en avant. Je croisais un type qui faisait pisser son chien qui pour une fois me dit bonjour les yeux dans la bite.
C’est pas ça qui m’arrêta – même si j avoue qu’une petite pipe n’aurait pas été de refus. je partis courir…
La Garonne est si belle le matin. Arrivé au rond-point de Lormont, je quittais les quais pour rejoindre le parc de l’Hermitage, lieu sauvage, ancienne carrière, avec un plan d’eau et des bois tout autour. J’aime aussi courir dans les sentiers perdus de ce bois. C’est un peu inquiétant mais tellement excitant. Rien que l’idée, ma bite recommençait à prendre une forme généreuse. Toujours sur ce sentier en plein bois, mais vue face au pont d’Aquitaine, je commençai mes étirements : d’abord pencher les mains touchant les pieds. Je ne suis pas le seul à courir ici et surpris, « beau petit cul à empaler ». Ce sont les quelques mots qui me fit sursauter. Le mec n’hésita pas une seconde : il posa sa main sur le bas du dos, la descendit jusqu’à mon cul et je sentais qu’il titillait mon trou. C etait chaud, déjà. Je me retourna me mis à genoux. Je descendis son jogging : il ne portait rien dessous : sa bite longue d au moins 19 cm me sauta au visage : une belle queue longue et fine, légèrement odorante comme je les aime. J aime suce des queues avec un vrai goût de bite. J ouvrir la bouche et avala le bout de sa queue : je tournais ma langue autour de son gland. A ses gémissement je sentais que j étais sur la bonne voie : je lui palpais les fesses et enfonçait sa bite dans ma gorge.
J’aspirais sa queue avec force : « vas-y salope, suce bien ; ouiii c’est bon ». Je me releva me retourna et m’appuya sur un arbre, le cul offert : il baissa le bas de ma tenue : je me retrouvais le cul à l’air : je sentis sa bite contre mon cul. Il attrapa ma queue sans ménagement, me massa les couilles…puis il dirigea sa queue et me pénétra. Son pieu s’enfonçait, je me cambrais pour le bien sentir. C’était bon : il arrêta de bouger, moi aussi : nous sommes rester une longue minute immobile, sa queue en moi et ma queue dans sa main. En pleine nature, avec le risque d être surpris : l’expérience était palpitante. Je le sentis bouger, puis avec de plus en plus d’amplitude, il me lima…accéléra le rythme…de plus en plus vite et je sentis mon cul se remplir de son jus. Excité, j’explosa moi aussi dans sa main : « vas-y bouffe » : il passa sa main sur mon visage et je nettoyais avec ma langue chacun de ses doigts dégoulinant de sperme. Sa bite toujours dans mon fion commençait à débander…pourtant il ne se décidait pas à partir.
Je suçais, léchais ses doigts…lui, il faisait des mouvements de bassin et progressivement, je devinait sa bite grossir petit à petit. Par un mouvement vers l’arrière violent, je l’éjecta et aussi vite me pencha et attrapa sa queue et commença à le gober : j’adore sentir les queues demi-molles se gonfler entre mes lèvres. je le voulais entier, je voulais avaler sa semence : lui se laissa faire. j’aspirais son gland, je le suçais, je titillais son frein, le branla, le suça, goba ses couilles : j’étais fou : son odeur m’excitait…cela dura à un rythme soutenu quand enfin, je sentis des jets de sperme, chauds, remplir ma bouche. Étouffé, à mon grand regret je ne pus pas tout avaler. A son tour, avec sa langue il avala les gouttes qui perlaient sur ma barbe. Il se rhabilla, me roula un dernier patin et s’éclipsa. Impossible de rentrer en courant, heureux et détendu je finis par rentrer chez moi en marchant, souriant. Je me branla 3 ou 4 fois le week-end en question en repensant à cette rencontre
FIN
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