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Sensation

Sensation



je songe à me lover discrètement derrière toi, passer une main sous ton haut pour effleurer quelque peu un téton. Je pense à une main qui toucherai doucement tes cuisses avant de continuer surement son chemin entre elles. D’un souffle juste derrière ton oreille, un courant d’air qui t’effleurerai jusqu’à la nuque et descendrai le long de ton échine…
Deux mains se réunissant sous tes seins, puis descendant pour malaxer l’intérieur de tes cuisses tandis qu’une bouche te mordille la nuque
Une main qui remonte lentement, effleurent ta peau sur le trajet et qui finalement t’étreints fermement le visage, la paume contre les yeux. Noir.

A part ce qui t’empeche de voir tu ne sens plus rien. Ha si un contact, bref, sur le flanc. Un autre sur le cou l’instant suivant et puis tu entends le bruissement d’un tissu. De mes coudes je te plaque les bras le long du corps pendant qu’une étoffe recouvre tes yeux. Je la serre bien afin que la seule lumière que tu puisse voir soit le chaos bouillonnant de formes absurdes et mouvantes qui se cachent derrière les paupières.
Puis, tout à coup, je te lâche. Plus de contact. Silence.

Un bruissement léger, un courant d’air. Tu sens des levres froler les tiennes, le souffle chaud de ma respiration court sur ton visage.
Un contact, léger comme une plume commence sous la gorge puis entame une descente lente le long du sternum, entre les seins, et continue encore. Le doigt s’attarde sur le nombril et comme au prix d’un effort continue vers le bas, toujours plus bas et disparait.
Sans crier gare, tu sens deux mains encadrer doucement ton visage, descendre le long des joues puis la sensation disparait.
Soudain deux mains t’agrippent par la taille, la prise est ferme, les doigts se serrent et entament une montée. Un index effleure le dessous d’un sein, puis l’autre. Tu sens la chaleur de bras sur tes flancs et ton dos quand les mains viennent vers l’avant.
Puis c’est une vague de chaleur quand les paumes se plaquent sur ta poitrine et que le doigts se serrent.
Je commence à pétrir tes seins, de la mains droite je m’amuse même et énerver un téton, puis je te mord le cou.

Les choses accélèrent un peu j’attrappe ton sein gauche de ma droite et positionne mon bras pour presser l’autre. Ma main gauche descend le long de ton flanc et viens explorer la surface de ton ventre. Elle trace des cercles de plus en plus larges. J’effleure ton pubis, encore et encore et puis… un instant tu ne sens plus rien et le suivant tu sens un main s’emparer de ton intimité toute entiere.
Tu me sens à traver les tissus te serrer, serrer ton sein, ton corps tout entier contre moi et mes doigts entre tes jambes qui tirent un peu vers le haut.
J’entend comme un grand soupir s’exhaler de toi et…je relâche toutes mes emprises.

Tu es comme seule, pantelante, debout dans le salon.
Je laisse cinq secondes s’écouler, puis non moins lentement qu’auparavant, je t’ôte tes vêtements, les laissant choir à terre. Je ne te laisse que ta culotte, et je te lache de nouveau.
Tes sens en éveils m’entendent, me sentent, me déplacer autour de toi. Je te tourne autour, tu sens mon regard posé sur ton corps qui t’ausculte toute entière, puis je m’immobilise.
« – Tombe en arrière. » ordonnai-je à voix basse.
Tu hésites un instant, puis finalement tu t’exécutes retenant inconsciemment ta respiration… et tu es dans mes bras. Tandis que je marche, toi, tu voles au travers de la pièce et je te depose sur le lit.

Tu es enfoncée dans le matelas, sur le dos dans le silence. Doucement une main se pose sous ton menton comme pour le tirer vers le haut et une autre sur le ventre. Ma main se resserre autour de ta gorge, la poigne se fait plus ferme. Ma paume n’est plus posée sur ton ventre, elle appuis en glissant sur la chair vers le bas. Un souffle effleure tes lèvres, ma bouche est au plus proche de la tienne tu essaies de remonter la tête pour prendre le baiser mais la pression sur ta gorge s’accentue et tu réalises que tu es bloquée, à ma merci.
Et ma main s’enfonce dans ta culotte.
J’enserre ton vagin, je serre fort d’une main et de l’autre je fais pression sur ta machoire pour t’ouvrir la bouche. Ma langue court sur tes lèvres un instant tandis que je commence des vas et viens avec mes doigts au coeur de ta chaleur humide, trempée même.
J’explore chaque recoins, sépare tes lèvres intimes, descend, malaxe ton périnée, je joue avec ton bouton tu gémis.
Puis je m’arrête. Te tenant toujours par la gorge mes doigts maintenant bien fermés, tu dois tirer ta tête en arrière pour pouvoir respirer sans mal. Je t’arrache ta culotte.
Sans ménagement je te retourne sur le ventre j’att**** tes deux poignées d’une seule main et les tire vers le haut si fort que tu te cambres en décollant ta poitrine du lit. Je m’assois sur tes cuisses, tu n’as plus aucune liberté de mouvement.
Ma langue trace un sillon sur ta nuque, ta gorge toujours à ma merci, je mord ton oreille, je souffle sur ton visage.
Je lache ton cou un moment pour att****r un coussin que je place sous ton bassin. Je releve ton cul et t’écarte les cuisses en grand, je t’expose à moi en te tenant entravée.
Tu sens mon corps se déplacer tout en te tenant fermement, et ma langue se plaque contre ton intimité. J’appuis fort en remontant jusqu’à ton cul. Je reste sur ton petit trou, tournant autour ouvrant un peu le passage et enfin tu sens deux doigts te pénétrer entre tes lèvres d’un seul trait. Je rejette tes bras pour t’att****r de nouveau à la gorge que je serre encore plus fort et, mes doigts à l’intérieur de toi, je te tire vers le haut comme pour te soulever tout en te suçant.
Je remonte la tête et la tienne est tirée en arrière la bouche grande ouverte. maintenant mes doigts en toi je t’embrasse, mais ce n’est pas un baiser. Je te mange les levres comme je te mangeais celle du bas auparavant. Je les lèches, ma langue s’enfonce entre elles mon visage faisant pression contre le tiens. Je te macule de salive, je bois la tienne.

Puis d’un coup je te relache en entier, et tu retombes brutalement contre le matelas. Je me positionne derrière toi, t’attrappe par les cheveux et te pénètre d’un seule et long coup jusqu’à la garde. Une main fait pression sur ton bassin pour te garder plaquée au lit et de l’autre je tire tes cheveux vers moi exposer ton visage aveugle vers le ciel. Je commence à faire des vas et viens dans tes entrailles tandis que mon souffle court sur ton visage. Je te leche le front.
Ma main dans tes cheveux se déplace de nouveau sur ta gorge, mais cette fois plus haut vers la mâchoire et un de mes doigts entre dans ta bouche. Tu sens des coups de boutoir de plus en plus violent contre tes fesses, les vibrations se propagent sur tes chairs faisant comme des vagues qui se transforment ta respiration en gémissement dès qu’elles arrivent à ton buste.

Au moment où tu commence à perdre tes sens j’arrête tout et je me retire. Quelques secondes s’écoules, tu es immobile comme une poupée à terre un peu désarticulée, dégoulinante.

Installée sur le dos, je place des coussins une nouvelle fois sous ton bassin pour t’exposer, élever ton intimité comme si elle était en cet instant plus importante que toi. Une main s’empare d’une de tes chevilles et écarte au maximum tes jambes, la maintenant vers le haut.
Je te pénètre d’un trait l’autre main retrouvant le chemin de ta gorge. Tu es écartelée entre mes bras, le cou enfoncé dans le matelas une jambe en l’air et tu reçois des coups de bassin de plus en plus fort. Tes seins sautent en tout sens sous mes assauts contre ton corps, je frappe si fort que tu ne controle même plus tes membres sous les ondes de chocs, tu arrives à respirer mais à peine.
Je te crache au visage, puis de la langue j’étale la salive. Je t’embrasse goulûment, je te fait un cuni mais à tes lèvres du haut. Je t’ordonne de tirer la langue pour m’en emparer à son tour.
Ton horizon s’amenuise peu à peu, tu perds conscience de certaines parties de toi. Tu te réduis à un vagin en train de se faire battre les intérieurs autour de cuisses étirées à en rompre et à une bouche qui ne t’appartiens plus.
Et tout accélère. Tu n’es plus qu’un pantin désarticulé dont la seule raison d’être est ce mélange de sensations, de v******e et de plaisir, tu es abandonnée à moi, un objet, réduite à la plus simple expression de ton désir. Tu n’es plus rien que la seule chose qui t’importe en cet instant, comme si tu n’étais faites que pour ça, ne désirais que ça. Tu es celle qui reçoit tout le sexe que je veux lui mettre. Tu bouges comme je te fais faire, tu respires comme j’en ai envie, et tu te fais besogner et remplir jusqu’à déborder d’orgasmes et de sensations obscures mêlées.

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