Stéphane découvre avec un immense plaisir la lingerie de sa patronne. Plumetis, satin, dentelles….tout y passe. Il prend les culottes, soutien-gorge, collants, bas et les sent. Il hume la délicat parfum des dessous portés de sa patronne et cela l’excite terriblement.
Etant en période d’essai, il ne fait rien malgré le fait qu’il soit pris d’une terrible envie, celle de porter les dessous d’Anne-Cécile et de se masturber.
La période d’essai se passe à merveille. Anne-Cécile et Pierre sont contents de lui et décide de le garder. Chaque jour, Stéphane fait son travail avec rigueur et sérieux. Au bout de quelques mis, il se sent comme chez lui dans cette maison et, un jour où ses patrons ne sont pas là, il décide de retourner dans la lingerie.
Il ouvre la panier de linge sale et plonge sa main dedans pour en ressortir des dessous. Il prend une culotte en satin rose et des bas.
Il les prend, les sent et ne résiste pas longtemps à la tentation. Il est très excité, ouvre sa braguette et commence à se caresser avec la culotte d’Anne-Cécile.
A peine a-t-il entamé son affaire qu’il entend la porte de l’entrée se claquer. Pris de panique, il glisse la culotte dans sa poche et met le linge dans la machine.
« Oh comme vous êtes adorable Stéphane, vous avez même mis une machine en route. Merci beaucoup. Comme je suis rentrée plus tôt, vous pouvez partir. A demain. »
« Merci Madame, à demain ». A peine est-il arrivé chez lui qu’il va dans sa chambre. Il se déshabille et enfile la culotte d’Anne-Cécile. Il sent le satin contre son sexe et cela le fait terriblement bander. Stéphane se regarde dans la glace et commence à se caresser. L’excitation est tellement forte qu’il jouit abondamment dans la culotte.
Pendant ce temps-là, Anne-Cécile étend le linge et dit à Pierre « Il me manque une culotte chéri ? »
« Tu es sûre ? »
« Oui, celle en satin rose n’est pas dans la machine et pas dans ma chambre non plus ».
« Elle est peut-être dans un autre tiroir dans le dressing ? ».
« Non chéri, je suis sûr qu’elle était dans le panier de linge sale. A tous les coups, c’est Stéphane qui me l’a piquée ».
Pour en avoir le coeur net, Pierre décide d’installer une caméra dans la lingerie.
Le lendemain, Stéphane revient travailler. Pendant sa pause déjeuner il retourne à la laverie et ouvre à nouveau le panier de linge sale. Il y a encore des sous-vêtements dedans. Cela l’excite et il commence à se caresser avec la culotte en satin rose.
Au même moment, il entend « Tu vois chéri, je te l’avais dit, ce petit cochon vole mes petites culottes ».
Anne-Cécile et Pierre sont dans la lingerie, Stéphane essaie de bafouiller une explication et Pierre lui dit :
« Alors comme ça tu piques les culottes de ma femme ? Tu as oublié les règles de la maison ? Mais rassures-toi on ne va pas te virer, puisque tu as envie de jouer, on va jouer ensemble.
Ils emmènent Stéphane dans leur chambre.
« Déshabille toi ! »
« Pardon ? » dit Stpéhane
« Tu as très bien compris, déshabille toi et vite sinon on te vire ».
Stéphane obéit et se retrouve nu devant ses patrons, rouge de honte.
« Bien, enfile la culotte maintenant ».
Sans savoir pourquoi, Stéphane enfile la culotte. Cette situation l’excite énormément.
Anne-Cécile s’approche « Mais c’est qu’il commence à bander dans ma culotte la salaud. T’aimes porter des dessous féminins ? »
« Oh oui Madame, depuis longtemps ».
« Eh bien on va continuer car une culotte ça ne suffit pas.
Pierre enchaîne, on va faire de toi une vraie petite salope.
Anne-Cécile donne à Stéphane des bas, des porte-jarretelles et un soutien-gorge. « Tiens une paire d’escarpins noirs vernis à talons aiguilles, ça terminera ton look ».
Stéphane est en train de vivre sa première transformation en femme.
Pierre ajoute « Maintenant, il te faut un nouveau prénom. Désormais tu seras Elodie. Tu ne seras plus l’homme à tout faire ici mais la femme à tout faire. Tu seras notre soubrette, tu t’occuperas du ménage, de la cuisine, de la vaisselle et tu devras satisfaire le moindre de nos désirs. Tu nous suivras partout où on te demande d’aller et partout tes tenues te seront imposées. Tu n’as plus le choix, tu n’es qu’une bonne travestie soumise ». Fais nous un joli défilé ma salope ».
Stéphane défile dans la chambre devant ses patrons. La honte a fait place à l’excitation. Il entre peu à peu dans la peau d’Elodie faisant disparaître Stéphane.
Anne-Cécile lui dit « Quand Pierre dit « le moindre de nos désirs », c’est « le moindre de nos désirs ». Tu devras faire tout ce qu’on te dit et nous obéir au doigt et à l’oeil.
Tu nous appartiens à partir de maintenant. Maintenant que ta féminisation a commencée, ton éducation de soumise va suivre…. »
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