J’avais presque dix-huit ans quand notre père trouva la mort, nous laissant seuls, maman ma sœur et moi.
Frédérique, c’est ma sœur qui venait d’avoir seize ans commençait à prendre des « formes ». En surprenant une conversation avec maman quelques semaines plutôt, j’avais compris qu’en dehors des apparences, elle était » formée » comme disait notre grand-mère.
Un jour que j’étais sorti en avance du lycée, je surpris maman seule dans la salle de bain. Elle était nue, et comme je n’avais fait aucun bruit, ne m’avait manifestement pas entendu entrer.
C’était la première fois depuis ma petite enfance que j’avais l’occasion de la voir ainsi. J’avoue que le spectacle valait le coup, car à trente six ans, elle était encore plus que mignonne.
Je retins mon souffle attentif à ne faire aucun bruit qui aurait trahi ma présence.
Lorsqu’elle se pencha pour ouvrir le tiroir dans lequel elle rangeait ses sous vêtements, je pestais intérieurement car elle allait y prendre une de ses petites culottes et donc recouvrir son intimité, ce qui mettrait un point final au charmant tableau.
Quelle ne fut pas ma surprise, de la voir se saisir d’un objet qu’elle porta à sa bouche, mais qui n’avait rien d’une brosse à dent!
Cette chose ressemblait plus à un sexe, une beau sexe mâle, en » condition « .
Prévoyant qu’elle allait quitter la salle de bain, je me reculais vivement mais sans bruit, je l’entendis refermer la porte et devinait qu’elle allait se rendre dans sa chambre.
C’est effectivement ce qu’elle fit, et comme elle ne referma entièrement la porte de la chambre, j’avançais à mon tour, essayant de trouver un angle pour voir si la glace de la grande armoire me renseignerait sur la suite des évènements.
Ca devait être mon jour de chance, car elle s’allongea à moitié en travers du lit, face à l’armoire, , conservant les pieds sur la moquette, les cuisses bien écartées. Sa main gauche glissa vers sa toison bouclée et de l’index, elle écarta les poils pour dégager…
Je ne perdais rien du tableau, mon cœur se mit à pulser comme après un sprint et dans mon jean mon sexe prenait des proportions qui n’avait rien à envier à » l’objet » que maman continuait à sucer, pendant que le doigt qui manifestement avait trouver un passage, semblait s’activer dans sa chatte!
Elle le retira soudain et le remplaça par » l’objet » qu’elle anima d’un mouvement de va et vient langoureux, tout en triturant le téton de son sein gauche. Puis changeant de main elle se mit à titiller l’autre sein, tout en accélérant et amplifiant la pénétration de ce qui était bel et bien un gode!
Elle haletait, se tortillait et poussa soudain un cri, ou plus précisément un râle.
Pendant mon observation, n’y tenant plus j’avais baissé mon pantalon, et comme vous devez vous en douter commencer à me branler à la même cadence que maman imprimait à son engin.
Comme elle ne bougeait plus, que sa respiration avait repris un rythme plus calme, je me dis qu’elle devait » planer « , je me débarrassais en vitesse de mes tennis, de mon jean et de mon slip, et poussais aussi doucement que mon excitation me le permettait. Elle n’avait pas bougé… ses cuisses étaient toujours écartées et sa moule béait… Je me ruais littéralement sur elle l’embrochant d’un coup!
Robert, murmura-t-elle, Robert, c’est toi? Robert était le prénom de papa.
Redoutant sa réaction , je plaquais ma main droite fermement sur sa bouche, sans cesser de la » trombonner » furieusement, elle ouvrit les yeux, je libérais sa bouche, car au paroxysme ou j’étais arrivé je ne voulais pas qu’elle m’échappe avant d’avoir lâché ma purée.
Oh Richard oui, oui, prends ton plaisir…. Elle était tout a fait consciente , elle m’avait identifié , et elle se laissait docilement baiser par son fils, la chair de sa chair, donc je n’avais plus rien à craindre, et je sentis ma semence jaillir de mon chibre… Le pied… Le bonheur.
Nous restâmes ainsi un long moment l’un sur l’autre. Je savourais mon plaisir, car je peux bien l’avouer, souvent depuis ma puberté, c’est à ma mère que je dédiais mes décharges, fruits de mes branlettes aussi nocturnes que solitaires!
Prenant appui sur mes bras, je me dégageai doucement de notre étreinte, et me relevant admirait dans la glace cette queue toute gluante qui venait de connaître sa première femelle!
» Richard, tu vas bien mon chéri? » Furent ses premières paroles, et sans attendre ma réponse elle ajoutât » tu as aimé? «
La mine faraude, je murmurai » Oh maman, je te demande pardon … J’étais comme fou, c’est terriblement bête… je ne recom… «
» Tais toi donc mon chéri, ce n’est pas de ta faute
» Mais quand même maman… »
» Non mon Richard, ne t’excuse pas, je savais très bien ce que je faisais. En réalité je savais que tu allais arriver, car ton ami Olivier t’avait appelé en sortant du lycée. J’ai donc mis à profit cette information pour te jouer une petite comédie «
» Maman! «
À peine avait elle finit sa phrase, tout en s’allongeant cette fois entièrement sur le lit et dans le bon sens, qu’elle me tendit les bras :
» Approche, ne me laisse pas mon petit chéri… Viens «
Ces mots firent redoubler ma bandaison, et je ne fis pas prié pour revenir contre elle. Je m’agenouillais entre ses cuisses qu’elle écartait au maximum et commençait a darder l’orée de son con toute ouvert avec mon gland violacé. Je l’excitais, la pénétrant à peine, me retirant, revenant pendant une très longue minute.
E
» Chérie, sois sage maintenant…S’il te plaît je n’en peux plus! Mon petit Richard! Mon amour «
Mais elle se tortillait, elle mieux que toutes les salopes que nous regardions avec les copains sur le Net!
Je la pénétrais à fond brutalement, j’avais empoigné le chevet du lit et je lui filais des grands coups de boutoir!
Je ahanais, glissant à fond, me retirant, puis rentrant aussi brutalement que j’en étais capable.
Elle aimait ça, elle était à son affaire » aux anges « . Et moi, je me sentais fort. Invincible : a à peine dix huit ans j’étais le maître d’une femme! Et quelle femme, un beau petit lot croyez-moi. J’étais ivre de bonheur et de plaisir.
Comprenant que j’allais jouir et voulant tester ma puissance et ma domination, je me dégageais de son vagin pourtant tellement accueillant et insérait ma grosse bite gluante dans sa bouche, à l’instant même ou ma semence giclait! J’enfonçais ma gaule bien à fond pour être certain qu’elle ne pourrait pas faire autrement que de déglutir, d’avaler mon foutre de jeune mâle. Je ne reculais pas. Chaque giclée qui partait , directement dans sa gorge me rendait fou d’orgueil!
Comme elle suffoquait presque, je m’arrachais.
Au fond de moi j’étais partagé entre la honte et la fierté que me procurait ma puissance sexuelle.
» Tu vas appeler Mammy pour qu’elle emmène Nadine, que nous restions seuls ici ce week-end! Compris? «
» Oui maman »
Après grand-mère, j’appelais Olivier, mon meilleur camarade. Ses parents étant sénégalais, inutile de vous préciser que c’était un bel adolescent d’un beau noir d’ébène, qui nous impressionnait tous par sa carrure. Son père étant diplomate, il n’est pas nécessaire d’ajouter qu’il n’avait rien d’un » black » de banlieue!
Je lui proposais de passer me voir s’il n’avait pas prévu autre chose » tu pourrais même dormir ici cette nuit » Tu parles, qu’on allait dormir!
» Ma petite maman adorée, j’aimerais bien que tu t’habille un peu «
» Mais mon minou, je croyais que tu voulais … «
» Tout à fait, mais ce serait tellement plus excitant si tu prenais la peine de mettre un de tes porte-jarretelles, et des bas, un soutien gorge pigeonnant… Et des escarpins «
Le carillon de la porte! Une observation du judas me réconforta : Olivier!
Sans prendre la peine de masquer ma nudité je lui ouvrit.
Fuiiiiii! Souffla-t-il, T’es en forme Richard!
Détournant la tête je lui désignais ma mère.
» À toi Olive!, Prends un peu la relève! Elle est en chaleur et j’ai besoin de souffler «
» Aller Nadine! Occupe toi un peu d’Olivier. Eh bien qu’est-ce que tu attends Olive! Je te la laisse, mais je te préviens elle est insatiable! «
» Allez! Je croyais que tu flashais sur les blondes! Et comme tu peux le voir, elle est blonde de chez blonde! «
Olivier s’approcha, la pris sans effort dans ses bras.
» Ou est votre chambre madame? «
Je lui désignais la porte. Il entra la déposa, et s’allongea près d’elle. Il la cajolait lui murmurait à l’oreille, je n’entendais rien. Semblant lui obéir, elle se leva, enleva ses sous vêtements lascifs, passa un peignoir et se dirigea vers la salle de bain.
Olivier en profita pour venir me retrouver dans ma chambre. J’étais toujours à poils et je surfais sur mes sites de cul favoris. Il ne dit rien et me laissa à mes images.
Comme le temps avait passé et que je n’entendais aucun bruit, j’allais jeter un coup d’œil, car cela m’intriguait. J’avais livré ma salope de mère à un superbe mâle noir, et il ne semblait en tirer aucun son alors qu’avec moi, son fils, elle grimpait aux rideaux en hurlant de plaisir, sauf que je la forçais littéralement à avaler mon sexe et mon sperme!.
Ils étaient tous les deux tendrement enlacés sur le lit de maman, lui nu, elle dans une petite nuisette » baby doll « .
Ils flirtait, chastement.
Au bout de longs prémices et d’un bon millier de baisers, il se décida enfin à agir, ils fermaient les yeux tous les deux, tout en continuant ses caresses ,il lui avait écarté les cuisses et il s’insinua délicatement en elle. Lorsqu’il l’eut pénétré entièrement, il se retournèrent sur le lit, sans se décoller. Elle commença langoureusement à le chevaucher, doucement. Il allégeait son mouvement en flattant ses seins. Elle allait et venait, heureuse, épanouie sur son engin monstrueux.
Cela me sembla durer des heures, je n’entendais pas leurs murmures, mais ils semblaient planer tous les deux. Soudain elle eut comme un spasme poussa un petit cri et s’effondra sur lui. Il la serrait semble t-il très fort,leurs bouches unies, dans lesquelles je devinais leurs langues!
Une éternité après, ils se levèrent et partirent vers la cuisine. Je les rejoins un sourire ironique aux lèvres :
» Alors la pute blonde on a goûté au jus de nègre? C’est à ton goût? Il t’a pas trop déchiré avec son monstre Olive? «
Blanc comme un mort Olivier se tourna vers moi se levant lentement.
» Tu vas la fermer petit con. Et je suis poli. «
» Nadine et moi avons décidé de vivre ensemble. Oui j’aime les femmes blanches et particulièrement les blondes, puisque tu insistes… «
J’étais soufflé sonné.
» Écoute Olive, c’est une salope. Ah c’est sur elle es bonne et elle en veut, je l’ai ramoné toute l’après midi, elle m’a sucé, moi son fils. Alors… «
» Pauvre petit con, si tu continues je t’éclate ta jolie frimousse de blanc. Je ne le répèterai pas deux fois. Nadine, ta mère, et moi allons nous marier dès que possible, le plutôt sera le mieux. Alors tu oublies tes fantasmes et ne prononce plus une injure de plus envers ma femme! «
» Mais elle pourrait être ta mère… «
» Tais toi Richard! Oui je l’avoue, je me suis donnée à toi comme une moins que rien. Une putain! Oui. Mais il y’a longtemps qu’Olivier me courtise. Et comme tu le dis si bien, je suis prête à tout… Pour être heureuse. Me soumettre à un homme un vrai, qui n’a pas besoin de dominer pour trouver et donner du plaisir «
» Oh oui tu m’as bien baisée, et en tant que maman j’avoue avoir été heureuse de te donner tes premiers émois, mais c’était aussi une façon de te dire adieu mon fils. Je suis enceinte d’Olivier. Ce n’est pas la première fois que nous faisons l’amour. Il y a plus de trois mois que nous passons tous les week-ends ou Frédérique et toi allez chez vos grands parents et que nous sommes amants »
» Tu es effectivement le digne rejeton de ton père. Il me prenait comme tu l’as fait d’instinct. Assouvissait ses désirs et m’humiliait. Si tu veux tout savoir il m’a même placé dans le lit de son patron pour arriver! «
» Ton petit frère sera » café au lait «
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