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Christophe

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Je suis dentiste et je fais des prothèses céramiques car c’est du travail intéressant et ça rapporte énormément. Après quelques années dans un cabinet de banlieue ou je faisais surtout des soins basiques j’ai vite compris et je suis installé au centre-ville dans le quartier le plus bourgeois. J’ai une clientèle variée mais pour beaucoup constituée de vieilles dames riches qui sont prêtes à payer cher pour garder un sourire décent. Evidemment je leur fais des prothèses chères et pas toujours indispensables. En quelques années je suis devenu aisé et je dirais même riche. J’ai acheté l’immeuble complet où se situe mon cabinet et une autre très bien placé pour y loger ma famille. Je travaille beaucoup et j’en suis à mon troisième mariage avec chaque fois des enfants.
Dans ma clientèle j’ai aussi régulièrement des jeunes femmes qui discutent les devis en essayant de faire baisser les prix. Je suis assez souple mais ne brade pas mes prestations car mon image de praticien d’excellence en pâtirait. Par contre quand la fille est jeune et jolie de trouve des arrangements, je fais du troc, une prothèse contre un paiement réduit et des câlins coquins. Je suis toujours épaté par la souplesse morale de beaucoup de jeunes femmes dites normales qui sont prêtes à coucher pour ne pas trop payer. Il faut dire aussi que je suis un beau mec sportif et assez habile aussi pour le plaisir de la chair.
Je me souviens de la première qui était une étudiante jolie et peu timide. Au premier rendez-vous elle était habillée sagement. Je lui ai fait un devis. Elle m’a dit « pour mon budget ça fait vraiment beaucoup ». On a fixé une deuxième date pour commencer les soins. Elle est arrivée en tenue affriolante avec un décolleté qui lui masquait à peine les tétons et une jupe si courte qu’une fois sur le fauteuil de soins j’avais une vue directe sur son string rouge. Avant que je commence elle m’a dit « pour la facture il faut qu’on trouve un arrangement car je ne peux pas tout payer » et elle écarta un peu les cuisses en mettant sa main sur un de ses seins. Je lui ai répondu « je vous fais 20 % parce ce que je comprends que vous savez être gentille. Elle a hoché la tête en disant merci. Lorsque j’eu fini la séance de traitement j’ai ouvert ma braguette alors qu’elle était encore sur le siège et je lui ai dit « suce moi, montre-moi tes seins et caresse toi la chatte ». Elle n’a rien répondu mais à fait les trois avec un plaisir manifeste en plus. Je lui ai joui dans la bouche et elle s’est lavée dans le rince bouche. Nous avons recommencé à chaque séance. A la dernière elle m’a dit « tu ne veux pas vraiment baiser, moi j’en ai envie ». Je l’ai prise sur mon bureau et elle a eu un orgasme puissant. Elle est revenue quelques années plus tard pour faire soigner son fils. Nous avons seulement échangé un regard complice.
Une autre fois c’est une femme dans la trentaine, assez sophistiquée, sapée bourgeoise et très bien maquillée qui a chercher à discuter le tarif. Étonné je lui ai demandé si elle n’avait pas les moyens. Elle m’a répondu qu’elle discutait toujours le prix car dans son activité c’était une pratique répandue. Je n’ai pu me retenir de lui demander ce qu’elle faisait. Sans retenue, en me regardant bien dans les yeux et en souriant elle répondit « je suis masseuse et courtisane professionnelle, je reçois mes clients chez moi et parfois je vais à domicile ». J’ai senti qu’elle avait du métier et lui ai proposé « entre collègues de professions libérales on va surement trouver un arrangement ». Quand j’ai eu fini la première séance de soins elle s’est appuyée sur le bord de mon bureau, m’a fait signe de venir vers elle. Elle a ouvert sa robe pour me montrer qu’elle était nue dessous et m’a dit « ça vous dit de faire l’amour ici debout ». J’ai eu beaucoup de plaisir à ce premier contact. Elle était très souple et m’a fait jouir en serrant fort mon pénis dans sa chatte très entraînée. Elle s’était assise au bord du bureau et avait mis ses jambes autour de ma taille pour imprimer la cadence.
Il y a eu aussi une expérience différente avec un être androgyne qui est venu la première fois habillé en garçon tout en se comportant comme une femme. Au deuxième rendez-vous elle est venue en femme. Elle avait de petits seins et m’a caressé la cuisse quand j’ai eu fini les soins. J’ai fait celui qui n’avait rien vu. A la troisième date elle était en minijupe, talons hauts et petit débardeur à bretelles fines. Pendant les soins elle fit glisser une bretelle pour découvrir son petit sein et ne chercha pas à la remettre en place. Puis pendant que je cherchais une pince derrière moi elle retroussa sa jupe en découvrant sa culotte gonflée d’un petit pénis. J’étais troublé d’autant qu’il n’y avait pas eu de discussion sur le prix et que je n’avais pas d’expérience avec un trans. Je lui ai caressé le sein visible et son regard est devenu trouble. J’ai touché sa culotte en prenant son pénis dans mes doigts à travers le tissu. Et je l’ai entendu dire « j’ai tellement envie de vous » et il écarta sa culotte pour libérer sa petite bite qui bandait déjà. En restant assis dans le siège il m’a ouvert mon pantalon et a pris ma bite en bouche pour me sucer avec application. J’ai laissé faire et j’ai aimé la perversité de cette situation ambiguë. Je lui ai fait signe de se lever. Je lui ai dit de se coucher sur mon bureau et au comble de l’excitation je l’ai sodomisé en le masturbant. Il a joui un peu avant moi. Il ne m’a jamais demandé de ristourne car il avait simplement eu envie de moi. On a remis ça plusieurs fois puis il a disparu du paysage.

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