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Quand je te rejoins chez toi

Quand je te rejoins chez toi



Quand je te rejoins chez toi pour offrir ma bouche, mon cul et mon corps pour le plaisir de tes yeux, de tes mains et de ton sexe. A chaque fois, je suis fébrile au moment de sonner à la porte. Un délicieux mélange d’excitation et d’appréhension se mêlent en moi. L’excitation de savoir le plaisir que tu vas me donner et l’appréhension de savoir comment tu vas utiliser mon corps pour le faire. A peine as-tu ouverts la porte que d’une main ferme tu me caresses les fesses pour me dire en même temps « bonjour » et « viens là que je m’occupe de toi »? Ce premier contact finit d’achever l’augmentation de mon excitation: j’ai maintenant l’eau à la bouche de me savoir bientôt rassasier de ton sexe et j’ai le cœur qui bat si fort que je sens mon anus qui frétille d’impatience. Mais, aujourd’hui, tu ne sembles pas vouloir me laisser le temps de m’installer confortablement chez toi. Je sens la proximité de ton sexe gonflé dans ton pantalon, la chaleur qui se dégage de ton corps, une de tes mains contre mes fesses et l’autre derrière ma nuque. N’y tenant plus, je m’échappe de ton étreinte pour me mettre à genou devant toi. Avec ton aide, je déboutonne ton pantalon qui tombe à tes chevilles avec ton slip dévoilant ton sexe gorgé de sang encore à moitié mou mais déjà lourdement courbé. Sans attendre, je le prend dans ma bouche et je commence à m’en délecter. Je le sens gonfler et durcir sous l’action de ma langue. Je me retrouve contraint d’ouvrir grand ma bouche pour l’y garder en entier. En se faisant, je déploie ma gorge devant toi. Ce détail ne t’échappe pas. D’un petit coup de rein bien placé, tu viens accompagner mes mouvements de va-et-viens faisant glisser ton sexe au fond de ma gorge. Comme à ton habitude tu as maintenant pris les choses en main. Tu commences à baiser ma bouche comme tu le feras ensuite avec mon anus. Tes mouvements doux au commencement se font de plus en plus vif et sec. Successivement, dans un rythme qui s’accélère, je sens ton gland doux et chaud dans ma bouche contre ma langue puis l’ensemble de ton sexe qui s’enfonce dans ma gorge.

Ne pouvant respirer qu’en fonction des mouvements de ton sexe dans ma bouche, je commence à perdre ma lucidité et je m’envole dans le monde merveilleux du sexe avec toi. Mon esprit divague: je me sens alors comme le vide que toi seul peut remplir, je me sens comme une femme se donnant à son homme dans le contentement de ses pulsions, je me sens investi d’une mission régie par l’ordre de la nature qui me demande de me soumettre à ton plaisir. A partir de ce moment, mon corps entier dans une pulsion instinctive ne souhaite qu’une seule chose: se rendre utile à ta jouissance. De ton coté, dans une mise à l’unisson des harmoniques de nos pulsions, ton souffle s’accélère et ton regard s’illumine de la fièvre lubrique qui s’empare de toi quand je suis sous tes mains. Tu t’empares de l’objet que je suis pour le dominer et le contraindre à tes désirs.

Comme si on enlevait la friandise à un enfant, tu retires ton sexe me laissant pantois, la bouche ouverte. Me voyant décontenancé, tu me demandes de me relever et tu me guides jusqu’à la table de la salle à manger. Tes gestes qui me positionne à ta guise sont surs. Rapidement, je me retrouve les fesses à l’air, les jambes écartées et le cul tendu dans une position de levrette debout contre la table. Cette position offre la toison qui recouvre mes fesses et le bas de mon dos au caresse de ton regard et de tes mains. Elle offre mon fondement humide au gourou de ta langue et de ton sexe. Elle offre ma personne soumise à ton désir et à l’accomplissement de tes fantasmes.

C’est ta langue qui commence la première son travail. Elle commence par tourner autour de mon anus avant de s’y fourrer profondément. Tantôt ferme, tantôt molle, tu me lèches, lèches, lèches, lèches…. Dans l’ensemble des relations que j’ai connues dans ma vie (hommes et femmes confondus), je n’ai jamais connu pareil plaisir que l’anulingus que tu me donnes à ce moment. La générosité que tu mets dans ce geste communique directement à mon corps de prendre du plaisir. L’intensité dans tes mouvements électrise mon bas ventre et mon sexe me menant au bord de l’éjaculation sans jamais franchir ce cap. Mon sexe tendu goutte sur la table. Mon cul devient ouvert, vide, béant. Il appelle ta bite…

A ce moment, je suis suspendu. Je suis suspendu au bout de ta bite. Je suis suspendu au crochet de tes désirs. Je suis suspendu au gril de tes fantasmes. Je suis suspendu à ce que tu vas faire de moi. Je suis suspendu pour toi comme le temps est suspendu pour moi. Je ne vois pas mais je t’entends, je sens, je ressens. J’entends le préservatif que tu déballes et que tu enfiles. Je sens tes mains sur mes fesses qui les écartent. Je ressens le frisson du gel lubrifiant froid que tu déposes sur mon anus. La fraicheur se diffuse mais, immédiatement, c’est la chaleur de ton sexe qui vient me réchauffer. Délicatement, je sens ton sexe glisser en moi. L’épaisseur de ton pénis me dilate. La longueur de ton sexe me fouille. Tu rentres en moi comme on monte sur une scène: en place pour le spectacle. Alors, tu tiens le rôle de chef d’orchestre. Ta baguette dicte le rythme de notre représentation. Elle bat la mesure contre mes fesses. Elle fend mon anus. Mais aussi, tu tiens le rôle de metteur en scène. Sous tes coups de buttoirs, je prend le rôle de la femme. Tu me fais réciter les paroles très simple devant la caméra de les yeux: « Oui… », « aaaah »,  » continue », « plus fort ». Enfin, tu tiens le rôle du spectateur qui se délecte de mes fesses qui rebondissent contre tes hanches, de mes cheveux qui s’étalent sur mes épaules, de ton sexe qui rentre et qui sort.
En personne expérimentée, tu sais faire monter la sauce. La délicatesse de la première pénétration laisse place à la brutalité de coups de rein secs et vifs qui me laboure. Le sillon que tu traces nous mène à une jouissance commune. Chaque mouvement de ta bite est une marche de plus vers le 7e ciel. Je suis le premier à jouir souillant la table contre laquelle tu m’as appuyée mais quelques minutes après dans mon anus, je sens ton pénis se contracter en déchargeant ton liquide chaud.
Cette jouissance est une drogue et j’y suis accro….

Jouisssance, jouissance, jouissance, jouissance, jouissance….

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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