Comme chaque année, pour fêter son anniversaire, ma grand-mère paternelle a invité tous ses enfants et petits enfants chez elle.
Elle habite toujours la même maison depuis longtemps.
Cette dernière est typique de la région et donc assez vaste.
Cela permet à chacun de pouvoir rester dormir.
Je dispose d’une chambre pour moi toute seule mais cette année, vu la nouvelle relation que j’ entretien avec ma tante Karine, je ne compte pas rester seule tout le temps.
Lorsque nous arrivons, Karine est déjà la avec son mari et ses enfants.
Elle me serre fort dans ses bras pour me faire la bise.
Elle est magnifique, elle porte un joli haut assez court étant donné la chaleur de la saison.
En bas elle porte une jupe qui lui arrive juste au dessus du genou avec des chaussures ouverte aux pieds.
Moi je porte une jupe courte mi cuisses, un débardeur plongeant; et des chaussures ouverte.
Nous passons enfin à table et comme d’habitude ma grand-mère ma placé en bout de table là où jadis mon grand père était placé (je ne sais pas si je dois trouver ça glauque mais ce n’est pas la question !).
Comme d’habitude elle à placer ma marraine sur ma droite et un de mes oncles inintéressant à gauche.
Ma grand-mère n’étant pas à la pointe de la modernité, elle place encore une nappe qui descend très bas sur la table. En général cela m’ agasse mais aujourd’hui je vais pouvoir en profiter !
Alors que nous commençons à manger, je sens la jambe de Karine qui se colle à la mienne.
Elle me caresse ainsi doucement.
Rapidement je décide de mettre discrètement ma main sous la nappe et caresse la cuisse, elle me regarde avec délice.
Je vais de plus en plus loin et je fais remonter sa jupe le long de sa longue cuisse.
Je m’aventure alors jusqu’à sa chatte et je découvre avec surprise qu’elle n’a pas mis de culotte.
Je caresse doucement son clito mais voyant qu’elle a des rictus de plus en plus visible, je cesse mes caresses. J’insère doucement un doigt dans sa chatte qui est détrempée.
Je continue jusqu’au moment où j’entends ma mère dire mon prénom à voix haute.
J’ai peur d’être grillée mais elle me dit juste que je pourrai mettre ma main sur la table que je n’ai plus deux ans.
Je dois m’exécuter pour ne pas éveiller les soupçons.
Le repas se poursuit et alors que le dessert approche, je sens la main de ma tante s’aventurer sur ma cuisse. Elle me masse le haut de ma cuisse et remonte doucement vers ma chatte cela me fait mouillée très rapidement.
D’un coup elle s’arrête et annonce à tout le monde qu’elle va chercher le dessert dans le frigo de la cave et qu’elle en a pour un petit moment car elle doit tout découper.
C’est toujours elle qui apporte le dessert car c’est une excellente pâtissière.
Tout se passe donc comme toujours jusqu’au moment où elle revient pour me demander de l’accompagner pour l’aider.
Je la suis de suite sans avoir idée de se qu’elle a préparé.
Dès que nous entrons, elle pousse la porte qui grince énormément, me plaque contre celle-ci et m’embrasse à pleine bouche.
On se caresse un petit moment tout en s’embrassant. Je malaxe ses fesses, passe des doigts dans son clito.
Je lui dis que l’on devrait faire plus attention et aller couper le gâteau.
Elle m’entraine dans le coin où est le frigo et je découvre que tout est déjà découpé.
Elle me dit qu’on a 5/10 minutes devant nous et que vu le bruit que fait la porte, on aura le temps de s’arrêter si quelqu’un vient.
Elle ouvre alors ma jupe et la fait glisser a mes pieds. Je la fait assoir sur un congélateur, j’écarte ses cuisses que je pose sur mes épaules et je commence à la lécher. Et sort mon gode que j’avais pris soin d’ amener dans ma pochette. Je lui enfonce en elle délicatement et commence un vas et viens.
Je la baise de plus en plus fort.
Elle me plaque contre elle pour me faire un câlin.
Pour jouir au plus vite, je la gode toujours plus fort, toujours plus vite.
Pour ne pas faire de bruit, elle mord un torchon mais j’entends quand même ses gémissements.
Après dix minutes de culbute intense, elle jouie en crachant sa cyprine.
Nous remontons donc avec les gâteaux. Tout le monde à l’air content et ma mère me dit qu’ils nous croyaient perdu ! Ma tante lui fait juste remarquer la préparation que le dessert à nécessité.
Finalement personne ne se pose plus de question que cela.
En mangeant, je vois ma tante porter sa main sous la table et remonter quelque instant après avec sa cyprine sur les doigts.
Evidement elle fait cela discrètement et dépose la sur son gâteau qu’elle mélange rapidement pour ne pas laisser de trace.
Elle me dit qu’elle se régale et me fait un clin d’œil.
Le reste de la journée se passe normalement.
Le repas du soir se fait dehors et malheureusement nous ne somme pas assis cote à cote.
Vers minuit, épuisée d’entendre toutes les histoires de famille, je monte faire ma douche.
Lorsque je ressorts, je croise ma tante qui me fait un bisou et qui me dit :
«Bonne nuit mais ne t’endors pas trop vite ma chérie »
et part rejoindre son mari dans sa chambre.
Mon père me demande pourquoi sa sœur vient de me dire cela.
Je lui réponds que je n’en sais rien.
Mais au fond de moi-même je sais qu’elle a lu le petit mot que j’avais glissé dans son soutien gorge lorsqu’elle faisait la vaisselle et que personne ne regardait vers elle.
Sur ce mot j’avais écrit :
« Si tu veux et que tu peux, viens me rejoindre cette nuit ! ».
Je suis donc entré dans ma chambre et j’ai attendu en matant certaines de mes cousines qui se baignaient encore.
Je remarque que certaines sont d’ailleurs devenues de jolies jeunes filles mais curieusement pas celle de Karine qui est aussi moche que sa mère est belle (elle doit tenir de son père lol).
Je suis donc allongée sur mon lit depuis un certain moment, il est maintenant près d’une heure du matin et malgré ma fenêtre ouverte, je n’entends pas beaucoup de bruit si ce n’est un grincement de lit depuis près de vingt minutes.
Je me dis qu’il y en a qui doivent se faire plaisir eux aussi.
Finalement le bruit cesse.
Ma chambre est sur l’aile de la maison au dernier étage ce qui me permet d’être à la fois isoler mais aussi de pouvoir à peu près tout savoir de ce qui se fait dans la maison.
J’entends des pas dans le couloir et enfin la porte s’ouvre.
Je reste allongée sur le dos, sur mon lit.
Karine verrouille la porte et viens se placer sur moi.
Elle me dit que celui qui lui sert de mari viens de s’endormir et on commence à s’embrasser tendrement.
Je passe mes mains sous sa nuisette et j’entre directement en contact avec la chair de ses fesses que je caresse tendrement.
Je lui enlève sa nuisette et j’en profite pour lécher ses gros seins si délicats.
Elle embrasse ensuite mes seins et descend vers ma chatte. Elle retire ma culotte enfin et se place entre mes jambes.
Elle me lèche longuement en insérant sa langue en moi, m’enfilant le gode ceinture qu’elle avait enmener.
Elle caresse aussi mes fesses.
Au bout d’un long moment je me redresse et la dépose sur le lit.
J’embrasse ses seins et je commence un cunni. Sa chatte dégouline de mouille. C’est un vrai régal.
Elle se met finalement à quatre pattes et je la culbute en levrette.
Après plusieurs minutes de pénétration « classique », je lui mets quelques claques qui l’excite beaucoup mais qui la font couiner.
Elle me demande d’arrêter car elle ne se contrôle plus.
Je mets alors quelques doigts pour lui ouvrir le cul.
Ce dernier s’ouvre instantanément. Je la place alors contre le rebord de la fenêtre et je l’encule sans ménagement.
Je vois ses seins aller d’avant en arrière au rythme de mes coups de gode.
Comble de l’excitation pour elle, elle aperçoit la chambre où dort son mari.
Elle me dit que cela lui fait plaisir de prendre son pied pendant que cette andouille dort alors que ce devrait être à lui de la baiser.
Elle pousse de petits gémissements de plaisir et j’ai peur qu’elle soit entendue.
Je la porte et la balance sur le lit. Je m’allonge sur elle en missionnaire et la culbute.
Le lit tape un peu mais je me dis qu’au pire on croira que c’est ceux de toute à l’heure qui remette ça !
Après plusieurs minutes, je sors de sa chatte et je me mets à cheval sur elle.
Je frotte ma chatte contre ses seins puis quand la jouissance arrive, je déverse ma cyprine sur son visage et sa poitrine.
Elle avale ce qu’elle peut.
Je lèche le reste et nous nous embrassons pour qu’elle n’en perde pas une goutte. Me disant qu’elle aimerait a nouveau une vraie bite a partager avec moi.
Elle reste allongée contre moi un petit moment puis repart dans son lit.
La chaleur est vraiment étouffante et ma partie de jambes en l’air avec Karine m’a donné soif.
Je vais me chercher à boire et en revenant, je découvre Céline, une de mes cousines, dans ma chambre.
Elle porte un haut qui cache à peine sa généreuse poitrine et un « short » que l’on qualifierai presque de culotte.
Elle me dit qu’elle a chaud et qu’elle n’arrive pas à dormir.
Etant donné que c’est elle qui est dans la chambre la plus proche, j’ai peur qu’elle se doute de quelque chose.
Et en effet, elle me dit qu’elle a entendu mon lit taper contre le mur et des gémissements.
Je lui dis qu’elle fait erreur et que cela provient de la chambre qui est en dessous.
Elle me dit qu’elle est sur que non.
Je lui réponds que je ne vois pas avec qui j’aurai pu le faire de toute manière.
Elle m’avoue qu’entre cousines, elles étaient plusieurs à fantasmer sur moi et que du coup elle pensait que l’une d’entre elle avait franchi le pas.
Je lui assure que non et que j’étais seule.
Elle rétorque qu’elle à vu Karine passer dans le couloir et qu’elle venait du coté de la chambre avec un air ravi.
J’ai réussi à la convaincre que l’on avait pas mal parlé et beaucoup rigoler et que cela lui avait fait du bien vu son quotidien.
Au même moment, heureusement pour moi, les bruits de baise on reprit dans l’autre chambre qui est sous la mienne, cela a fini de la convaincre.
Elle m’a demandé si elle pouvait rester dormir avec moi.
Je n’ai pas pu refuser mais j’avais peur de la réaction de karine si elle l’apprenait.
Céline a maintenant 18 ans et c’est de loin la plus jolie de mes cousines.
Elle est brune avec de magnifiques yeux bleus, elle mesure 1m65 pour environ 55kg et surtout elle a pour son âge des seins relativement gros.
A vue d’œil, je dirai 90C. Elle s’allonge donc contre moi et on se fait un câlin.
J’ai beau avoir baisée ma tante plusieurs fois dans la journée, je sens mon envie monter.
Je m’arrange alors pour me mettre sur le ventre et lui faire un câlin en même temps.
On commence à parler de tout et de rien et la discussion débouche sur le sexe.
Elle m’avoue qu’elle a déjà embrassé des filles mais qu’elle est encore vierge.
Cela ne fait qu’empirer on envie.
Elle me demande si je serai d’accord pour faire croire aux autres cousines qu’il s’est passé un truc entre nous.
Je ne suis pas partant mais je lui dis qu’elle peut dire que l’on a dormies toutes les deux.
Je caresse un peu son dos et ses cuisses tout en parlant et elle me dit toute gênée que cela lui plait.
Mais je ne veux pas aller plus loin et nous nous endormons finalement.
A mon réveil, je suis seule dans le lit.
Je prends mon petit déjeuner et à la table, il n’y a plus que la fille de Karine qui me dit qu’elle trouve que sa mère est plus joyeuse mais sans savoir pourquoi.
Je manque d’éclater de rire.
Elle me demande aussi s’il est vrai que j’ai dormi avec Céline.
Je confirme et cela provoque une curieuse réaction chez elle.
Je crois que Céline a un peu exagérer notre nuit, mais bon ce n’est pas grave.
Je m’habille, ma grand mère me demande si je peux aller cherche le pain pour midi.
J’accepte, je monte en voiture et je vois Karine me faire des grands signes.
Je l’attends et nous partons toutes les deux.
Au premier stop elle m’embrasse langoureusement et me dit qu’elle m’aime.
Nous prenons le pain et sur le retour, elle me fait engouffrer dans un chemin qui nous mène près d’un petit bois.
Elle me dit que c’est ici qu’elle venait avec ses amants avant de rencontrer son mari.
Elle sort de la voiture et se déshabille.
Je la suis et elle me dénude à mon tour.
Elle se met à genou devant moi et me lèche.
Au bout d’un moment, je la fait allonger sur le dos, sur le capot.
Je tire ses jambes et je la doigte en enfonçant ma main en elle.
Elle couine très fort mais je ne pense pas qu’il y a du monde dans le coin.
Soudain, un orage éclate et des trombes d’eau tombent sur nous.
Nous rentrons dans la voiture.
Je lui lèche le cul.
Elle me dit qu’elle veut se faire fourrer dans tous les sens.
Je la fait alors assoir sur le levier de vitesse.
Elle empale donc sa chatte dessus.
Je me place derrière et fourre un gode dans son cul.
Cette double pénétration lui procure un immense plaisir et elle crie de bonheur.
Nous sommes tellement dans notre plaisir que nous n’avons pas entendu un tracteur venir se mettre près de nous. D’un coup, on entend taper à la fenêtre.
La pluie a diminué et l’on voit un homme d’une quarantaine d’année se masturber.
Ma tante semble d’abord inquiète et gêner mais voyant qu’il s’agit d’un inconnu, elle semble plus détendu.
Elle prend alors une initiative qui me surprend.
Elle se met à quatre pattes sur la banquette arrière et entre ouvre la fenêtre.
L’homme y passe sa bite qu’elle commence à sucer.
Je me place derrière elle et continue de l’enculer avec le gode.
Notre inconnu ne met pas longtemps à jouir dans sa bouche.
Elle avale tout comme à son habitude. L’homme la remercie.
Nous rentrons à la maison.
Ma grand-mère nous fait remarquer le temps que nous avons mis.
Nous lui disons que nous avons fait une promenade et que nous avons du nous abriter.
Cela passe comme une lettre à la poste.
Le weekend se termine déjà et chacun rentre chez soit.
Ma tante m’envoie un message pour me dire qu’elle a hâte d’être à notre prochaine fois et qu’elle a vraiment beaucoup aimé nos nouvelles expériences.
Elle me dit aussi que cela faisait très longtemps qu’elle n’avait pas eu plusieurs hommes pour elle.
Je lui dis que l’on va se revoir très bientôt.
Je reçois aussi un sms de ma cousine qui me dit qu’elle voit que ma tante est bien mieux depuis quelque temps et qu’elle n’est pas certaine que les bruits de lit ne venaient pas de ma chambre.
De plus elle ne croit pas que l’on est juste allé faire une promenade.
Je lui dis que c’est vrai et qu’on est allé chercher le pain !
A l’heure où j’écris je n’ai pas eu sa réponse mais je suis de plus en plus sur qu’elle est la seule à ne pas être aveugle de la situation.
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