Marc reste seul dans la cabane, le short en bas des jambes, couilles et bite pendantes. En 72 ans de vie, il n’à jamais connu ça, même quand il était jeune et qu’il courrait les filles. Martine est sa voisine depuis plus de cinq ans et jamais rien ne lui aurait dit qu’elle aime le cul. Il rêve… ce n’est pas possible, une jeune femme de 32 ans, mariée, deux gosses de six et neuf ans. Un mari sympa avec qui je discute des fois de bricolage… c’est vrai qu’ils ne m’ont jamais invité une seule fois chez eux. Moi non plu d’ailleurs. Juste des voisins sans bruits et qui reçoive rarement. Sa mère à elle vient bien quelques fois, mais rarement. …
Il est là, tout bouleversé par ce qui c’est passé. Il regarde les légumes, carottes et poireaux dans la bassine… Va falloir que je retourne chercher un concombre si je veux manger une salade ce soir. Il rit. Putain j’ai faillis bander, si les gosses n’avait pas appelé je rebandais et je lui crachez mon foutre dans la bouche à cette salope. Calme toi Roger, c’est pas une salope, elle à eu juste un coup de soleil. Un vieux comme toi, tu as rêvé.
Il att**** le poireau et le sent. Non! j’ai pas rêvé, il sent la cramouille le poireau, tiens les racines sont pleines de sa mouille. Ben dis donc comment je vais faire maintenant quand je vais la croiser. Il faut éviter de la regarder, pour pas la gêner. Bas non, je peux peut-être, un jour la sauter. Tu rêve, tu rêve Roger. Bon c’est pas le tout, faut que j’aille bouffer moi dit il en ce caressant les couilles au travers du short.
– Bonjour! Belle journée!
Il relève la tête en entrant dans sa cour et se retourne. Le mari de Martine, descends de son vélo, il rentre pour diner. Les gosses l’appel.
– Papa, papa, maman à fais de la purée tu viens manger.
– Voilà j’arrive, laissez moi rentrer. Il fais un geste amical de la main à Roger. Roger le salue d’un geste rapide.
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– Alors les enfants la matinée c’est bien passée? Et toi chérie tu as fais quoi ce matin?
– Oui comme d’habitude, ménage et cuisine… Tiens le voisin ma donné un beau concombre, je l’ai fais pour midi en salade.
– Sympa Roger, mais pas très causant aujourd’hui, c’est à peine s’il ma salué.
– Allez à table les enfants, faudra qu’on l’invite un jour à l’apéro pour le remercier
– Oui tu as raison, bon appétit à tous.
Le repas se passe tranquille, à treize heures, Thierry repars sur son vélo au boulot. Treize heures trente, les gosses partent à l’école. Martine commence à débarrasser la table.
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Roger à manger un morceau de lapin froid avec une salade de tomates, il réfléchi dans sa cuisine. Se sert un nouveau verre de vin et regarde la bouteille presque vide.
– J’ai presque tout bu… merde alors, moi qui d’habitude ne bois qu’un verre avec le fromage. Voilà t-y pas que je ne sais plu où j’en suis, cette femme ma rendu fou. Je ne vois plus que sa moule empalée sur le poireau et se trémoussant comme une folle sur un concombre enfoncé au fond de son cul et en plus, elle me suce la bite en même temps.
Roger commence à nettoyer sa table. Il prend le poireau posé sur l’évier pour le ranger.
-Et puis merde, j’y vais, tant pis si je me prends une baffe, j’espère qu’elle va pas m’envoyer les flics.
Il sort de chez lui, traverse la rue, pousse la porte de la grille et remonte l’allée jusqu’à la porte entrebaillée de la maison de Martine. Il à pris le soin de mettre quelques légumes dans un panier.
– Je vais lui dire que je m’excuse et que je lui en apporte d’autres pour me faire pardonner, on verra bien, si elle est calme, je lui demande si elle veut finir de me sucer. Après tout je risque quoi?
Il entends un bruit d’aspirateur, il frappe doucement, puis plus fort. Pas de réponse. Il pousse la porte. Le bruit viens de la cuisine. Il entre et avance doucement.
– Martine vous êtes là? chuchote – il.
Oui Martine est là, les seins sortis de la robe débraillée. la robe troussée jusqu’à la taille. Une jambe sur une chaise, l’autre au sol, bien écartée, elle s’aspire le clito avec un petit aspirateur de table, assez bruyant, vu sa taille. Elle à les yeux clos. La bouche grande ouverte elle bave. Sa main remonte l’appareil vers un nichon et aspire le téton qui entre dans le suceur. Elle gémit, puis passe au second. son autre main ouvre sa chatte gluante, pleine de mouille. D’un coup de reins, elle se cambre, et pousse un cris.
Roger se recul au cri. Il est là comme un con à regarder dans l’entrebâillement, les jambes molles. Un sursaut lui fait poser son panier au sol et sortir sa bite molle qu’il secoue frénétiquement. Un bruit plus fort, lui fais relever la tête. Martine vient de mettre en route l’aspirateur de salon et se le colle aux nichons qui la suce, allant de l’un à l’autre. Ca tire fort, les bouts rougissent et entre dans le tube , elle gémis régulièrement. Elle pose sur la table le petit aspirateur et colle sa chatte contre le sucer. Elle crie un coup. Comme une folle, Roger la voit saisir une balayette en bois au manche tourné de deux boules et se l’enfoncer dans le cul facilement.
Roger st rouge, il a jamais vu ça. Cette chienne devient folle. A moins qu’elle ne le soit vraiment. On vit à coté des voisins sans les connaître vraiment. Deux aspirateurs et une balayette pour femme seule, le ménage va être bien fait.
Se ramonant le petit trou, d’une main et ce rapidement, le clito aspiré et bien gonflé par le petit aspirateur, pendant que de l’autre main elle aspire les tétons passant de l’un à l’autre, elle jouit plusieurs fois avant de s’écrouler sur la chaise, la balayette plantée dans le cul et dont le manche à pratiquement disparu. Elle s’écris.
– Je deviens de plus en plus chienne, si ma mère me voyait…
A suivre… peut-être si j’ai encore de l’imagination. Merci de votre lecture et de vos commentaires. Ceux de femmes ayant ces expériences seraient intéressant en MP aussi
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