En discutant par mails interposés l’autre jour ,un ami m’en a appris une bonne. Cette ami dont je garderai l’anonymat içi a emménagé voilà six mois dans un deux-piéces à l’intérieur d’une agréable résidence. Charmant sans être prétentieux; un jardin intérieur entouré d’ immeubles de six étages. L’ensemble compte plusieurs centaines d’appartements pour un bon millier de personnes, grand sans ressembler à une fourmilliére, il s’y plait beaucoup.
Et il a une raison moins avouable de s’y plaire, au moment de son déménagement il a fait connaissance avec madame Lopes la concierge.
Le jour de son emmenagement il faisait chaud,très chaud. On était en plein mois de juillet et la canicule battait son plein. Pris dans les contraintes de son déménagement il remarqua à peine cette petite brune aux cheveux courts d’environ quarante-cinq ans, le teint mat mais surtout une corpulence de mama ibérique qui donnerait faim au plus insensible des hommes.
Donc il s’aperçut à peine de cette femme habillée ce jour là d’une robe à fleurs rouge et blanche qui mettait en valeur un décolleté particulièrement appétissant et un fessier qui remplissait généreusement la chaise sur laquelle elle se trouvait assise.
Mon ami s’était présenté en tant que nouveau locataire et qu’il la reverrait pour divers détails.
Ensuite. Mon ami s’installa. Des semaines passèrent et peu à peu il s’intégra à la communauté de la résidence.
Je dois préçiser à ce stade que l’ami en question ,longtemps hétéro, s’est réçemment découvert une bisexualité et il a tenté différentes expériences…
L’histoire commence lorsque mon ami commande un godemiché sur internet qu’il prévoit d’utiliser pour lui-même. Trois jours plus tard le colis est arrivé et réceptionné par madame Lopes.
Mon ami frappe au bureau de la concierge et lui montre l’avis de passage pour récupérer son colis. A ce moment-là le visage de madame Lopes affiche un sourire crispé qui montre ses deux plombages. « Ah c’est vous alors?. Il y a eu un problème avec le paquet… »
Elle montre le paquet et explique qu’il se trouvait ouvert à l’arrivée et qu’elle a dû réparer l’emballage avec du scotch.
L’ami rougit. Il se met très vite à comprendre.
-Mais ne vous inquiètez pas!… l’intérieur…. hummm!… a été vérifié. Il ne manque rien.
Maintenant le visage de mon ami est tout blême. Il bafouille.
-vous savez… ce n’était pas nécessaire… c’est très gentil de votre part… mais…
Madame Lopes tient à le rassurer.
-Ne vous en faites pas. Ce qui se passe et se dit dans ce bureau reste dans ce bureau.
Cela rassure un peu mon ami qui se hâte de prendre le paquet.
Madame Lopes lui sourit.
-Vous savez ce n’est pas mon défunt mari qui m’aurait fait ce genre de surprise. Il n’était pas très porté là-dessus…
Mon ami se détendit complètement ayant comprit que sa concierge ne provoquerait aucun scandale.
-Et cher monsieur,si je puis me permettre cette grosse indiscrétion, comment compter vous l’utiliser?….
Et il lui avoua tout. Son rêve de se goder le cul qui le turlupinait et ne le quittait plus. Il n’avait plus honte à ce moment là et sa concierge l’écouta avec interêt…
Ils se retirent tous deux dans le local à côté du bureau, là où vivait madame Lopes. Celle çi fit allonger mon ami sur un lit spacieux très agréable.
Lorsqu’elle eu finit de préparer les fesses de mon ami d’une bonne couche de vaseline elle se saisit du god. Un bel objet tout rose d’une bonne trentaine de centimètres. Elle le regarda avec gourmandise avant de l’introduire dans le derrière de mon ami, d’abord délicatement puis ensuite de manière de plus en plus soutenue. Mon ami jouit à plusieurs reprise ce qui impressionna madame Lopes.
-Et bien dis donc, tu m’as l’air d’être très gourmand toi !!!. N’hésites pas à m’appeler si tu as besoin d’un service… Madame Lopes caressa sa grosse poitrine en disant ces mots: « …après tout je suis là pour ça !!!… »
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