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Seul avec ma soeur (1)

Seul avec ma soeur (1)



Je m’appelle David et j’ai une soeur jumelle qui s’appelle Marion. Nous vivons dans un tout petit village de campagne d’à peine quatre cents habitants. Notre père est agriculteur et notre mère fait les marchés. Quant à moi j’aide plutôt papa et Marion aide plutôt maman. Nous sommes une famille aux revenus très modestes mais très unie. On ne partait jamais en vacances mais l’environnement dans lequel on vivait nous suffisait. Il y avait des champs, la colline, la rivière, et même la neige en hiver. Les activités ne manquaient pas. Depuis notre naissance ma soeur et moi, nous avons toujours des rapports fusionnels. Même pressentiments, même émotions, mêmes douleurs. Bref on était des clones mais avec un sexe différent. Il ne se passait pas une journée sans que nous nous racontions les moindres détails. On partageait tout sans aucune gêne ni sous-entendu. On vivait ma soeur et moi dans une petite grange attenante à la maison de nos parents. Il y avait deux lit, un lavabo et une douche. Les toilettes étaient dehors. De ce fait on partageait aussi notre nudité lors des douches et des habillages. Marion était la seule fille nue que j’avais vu en vrai. Et pour elle j’étais le seul mec qu’elle ait vu nu. Nos parents étaient très pudiques et je n’ai aucun souvenir de les avoir vu à poil. Quelques mois après avoir fêter mes 16 ans, mes parents ont gagné un week-end Thalasso à la loterie. Ils avaient décidé de partir et de nous laisser pour la première fois tous seuls.
Le samedi matin ils étaient partis très tôt vers 5h. Un bisous rapide et les énièmes recommandations faites on se trouvait seuls. Tout d’abord nous avons fait une grasse mat jusqu’à au moins 11h. C’est le bruit de la douche qui me réveilla. Marion était en train de se laver. Elle est plutôt petite et un peu boulotte. Cheveux longs châtain clair et les yeux bleus. Des fesses assez larges et des seins assez flasques pour son âge. Elle sortit de la douche et se sécha. Je me levais aussi et prenais la direction de la douche. Je levais mon slip et me dirigeais vers la douche. J’étais nu, en légère érection matinale. Je passais à quelques centimètres de Marion sans la moindre gêne. De son coté elle me parlait naturellement comme si de rien n’était. Une fois propre nous sommes allés manger les restes de lasagnes de la veille, puis chacun est parti faire ses taches quotidiennes. Je suis allé chez un ami qui a son père qui cultive du cannabis. Je lui en ai demandé un petit peu histoire de passer une bonne soirée. De son coté, Marion avait récupéré dans la cave du voisin une liqueur de prune. Vers 17h nous avons démarré les hostilités. Un gros pétard et un verre de prune. Nous avons trinqué puis bu cul sec le premier. On fumait à tour de rôle et très vite les effets se firent ressentir. On commençait à rire pour un rien. Au bout d’un moment nous décidions d’aller explorer la chambre des parents. Nous y allions que très rarement et sur demande des parents. Une fois à l’intérieur nous nous sommes jetés sur leur grand lit et on rebondissait dessus tel un trampoline. Une bagarre fut déclenchée et le premier qui tombait du lit devait avoir un gage. Je saisissais Marion pour la basculer mais celle ci résistait. Durant cet affrontement nos mains saisissaient n’importe quelle partie de notre corps. Nos positions étaient plus qu’équivoques. Si bien que je me suis retrouvé à un moment donné avec sa culotte appuyée sur mon nez. Je pouvais y sentir une légère odeur d’urine. Ses mains s’agitaient et effleuraient mon sexe à de nombreuses reprises. Je réussis finalement à la faire tomber du lit. Après quelques minutes de répit on commença l’exploration. On ouvrit en premier la penderie. Il n’y avait guère d’habits. Mais il y avait un gros carton posé au sol. On l’ouvrit. Il était rempli de petites tenues sexy. Je pris le carton et le remmena à notre chambre. Un petit verre de prune pour se réchauffer le ventre et nous sortions les tenues une par une. Les effets de l’alcool se faisaient ressentir. Nos têtes tournaient et nous n’arrêtions pas de rire. Il y avait dans le carton 3 robes de soirée et un certain nombre de dessous en dentelle. Ayant gagné à la bagarre je donnais comme gage à Marion de me faire un défilé. Elle accepta sans hésiter et commença à se déshabiller. Elle leva son tee-shirt laissant apparaitre ses gros seins pendants. Elle leva ensuite sa culotte, exhibant sa chatte. Son sexe était très poilu au dessus des lèvres mais totalement rasées en dessous. Ses petites lèvres n’étaient pas apparentes comme j’avais pu le voir dans différentes revues porno. Hormis les poils, l’apparence extérieure de son sexe n’avait pas évolué depuis son enfance. Elle commença à mettre ses bas, puis le porte jarretelle,le soutien gorges puis enfila la robe. Elle était magnifique. Je lui demandais de tourner sur elle même, de se pencher et même de danser. Pendant qu’elle essayait les autres tenues je refaisais un joint et nous resservais 2 verres. Marion avait mis un string ouvert au niveau du gousset. Elle croyait au début qu’elle était déchirée mais se rendit vite compte que c’était normal. Pendant qu’on fumait elle était assise en tailleur face à moi. Son string fendu me laissait voir sa fente. Ses lèvres s’étaient légèrement ouvertes et je pouvais y voir une brillance à l’intérieur. Je me posais la question si elle transpirait ou mouillait. Vu que je commençais à être timidement excité par la situation j’étais sur qu’il en était de même pour elle. Je lui posai la question et elle me répondit qu’effectivement elle ressentait une chaleur dans le bas ventre. Elle avait déjà éprouvé cette sensation en faisant du vélo ou en se lavant avec le jet d’eau mais jamais en juste essayant des habits. Mon regard c’était fixé sur sa chatte. L’alcool m’ayant complètement désinhibé je lui demandais si je pouvais voir ce phénomène de plus près. Elle rigola et accepta. Nous jouions désormais au docteur ou plutôt au gynécologue. Elle s’allongea et écarta les cuisses après avoir enlevé son string. J’approchais ma tête et pus sentir une odeur inédite pour moi. Un mélange d’urine et de poisson qui bizarrement accentuait mon excitation. Je lui écartais délicatement les grosses lèvres laissant apparaitre ses petites. L’intérieur était visqueux et rosé. J’enfonçais un doigt qui rentra sans problème mais je fus surpris par l’étroitesse de son vagin. Elle poussa un râle de plaisir. Elle m’avoua que c’était la première fois qu’un doigt entrait en elle. En effet elle ne s’était jamais masturbée. Cette séance de doigtage m’avait excité encore plus et mon sexe était désormais droit comme un piquet. Marion me demanda si elle aussi pouvait m’ausculter. Elle prit ma bite en main. Elle fut surprise par sa raideur et sa chaleur. Elle baissa la peau du prépuce et fit apparaitre mon gland. Il était tout gonflé et tout rouge. Elle passa ses doigts sous mes couilles et les soupesa comme des fruits. Lorsqu’elle vit une goute sortir de mon gland elle me demanda si c’était du sperme. Je lui répondais que non et qu ‘il fallait que je jouisse pour le voir apparaitre. Elle me confia qu’elle aimerait bien voir à quoi sa ressemble. Nous avions bu un autre verre et nous commencions maintenant à être ivre. On était toujours nu l’un en face de l’autre. Marion continua à fouiller le carton et y sortit un sexe en latex. Nous explosions de rire et on entama une nouvelle bagarre. Je perdais celle-ci et devais recevoir un gage. Elle m’ordonna de m’habiller en tenue de maman et en dessous sexy. Je m’exécutais. J’étais désormais habillé en fille. Ma bite traversait le string ouvert. Marion m’observait et n’en perdait pas une miette. Je lui demandai alors de s’introduire le gode dans sa chatte. Elle enfonça juste le gland et se le frottait le long de la fente. Elle me demanda si c’était ça la masturbation. Je lui répondait que oui. Elle me demanda si un homme pouvait se masturber avec un gode. Je lui répondait qu’à part de se le rentrer dans les fesses ça ne servait à rien et que cette pratique se faisait chez les homosexuels. Elle sourit puis me demanda de le faire. Je lui dit oui à condition qu’elle en fasse autant. Elle avait du mal à le faire rentrer et me demanda de l’aider. Elle se mît a quatre pattes face à moi. Je voyais ses seins pendre ainsi que ses petits bourrelets. J’essuyais du bout des doigts mon gland visqueux pour lubrifier son anus. Je poussais doucement le gode à l’intérieur de ses grosses fesses. Elle poussa un petit cri de douleur puis me demanda de continuer. Mon sexe pointait et durant les va-et-vient du gode il arrivait qu’il effleure sa fente. Marion tourna la tête et me regarda dans les yeux. « A toi maintenant », me dit-elle. Anxieux je me mettais également à quatre pattes. Déjà lubrifié elle n’eut pas de mal à me pénétrer. Une sensation agréable me surpris. Ma soeur me sodomisait et j’aimais ça. Elle retira le gode puis le porta à sa bouche. Étonné je lui demandais ce qu elle faisait. Elle me répondit qu’elle s’entrainait. Je n’osais lui demander mais elle comprit d’elle-même mon désir. « Je veux bien essayer de te sucer si tu veux. », me dit-elle. Elle pris mon sexe en main, le décalotta puis le branla doucement. Elle y mettait des petits coups de langue sur l’urètre et le frein. Puis elle goba mon gland et se l’enfonça dans la bouche. Elle prit son verre de prune, trempa ma bite dedans puis la lécha. Elle aspira mes couilles et me lécha l’anus. Je lui demandais de me branler avec une main et de se caresser avec l’autre. Pendant qu’elle me suçait elle repris le gode et m’encula avec. A chaque fous qu’elle enfonçait le gode ma bite se contractait. Je la prévenais que j’allais jouir et Marion insista pour voir et goûter mon sperme. J’éjaculais sur mon ventre. Marion observa la substance. Elle le sentit puis trempa son doigt dedans avant de le porter à sa bouche. Elle me demanda de le goûter aussi. Elle enfonça son doigt dans ma bouche pour me le faire goûter. Elle se releva puis approcha sa chatte de ma bouche. Ses poils me chatouillaient le nez. Son odeur intime s’était accentuée. Je tirai la langue et c’est elle qui frottait sa fente sur ma bouche. Sa mouille m’inondait la bouche. Je pouvais y boire des gorgées tellement elle mouillait abondamment. J’aperçus pour la première fois son clitoris qui s’était dressé. Je l’aspirais et le suçais tel un bonbon. Elle jouit rapidement en me trempant le visage. Elle me lécha ensuite la face pour goûter son fluide intime. Après cette séance coquine on se remit à boire et à fumer. Après quelques minutes nous avons rangé le carton et nous décidions de retourner dans notre chambre. Nous reparlions alors de ce qui s’était passé. On s’était ausculté nos sexes, on avait goûté nos sécrétions puis nos sexes et découvert le plaisir anal. On se posait alors la question à savoir si c’était de l’i****te. On était d’accord sur le fait qu’on parlait d’i****te lorsqu’on couchait ensemble. Et ça nous n’en avions pas envie. Par contre les caresses et léchouilles ne nous posaient aucun problème de morale. On s’amusait entre frère et soeur et jumeaux qui plus est. Lorsque Marion alla à la douche je décidais de la rejoindre. On se savonna. Nos mains et doigts exploraient tous les recoins de nos corps. J’eus une soudaine envie d’uriner. Je lâchais un fin filet d’urine qui coula sur Marion. Elle se mît à rire puis apprécia cette chaude sensation. Je remontais mon jet pour atteindre les poils de sa chatte. Elle écartait ses lèvres pour que ma pisse lui éclabousse le clito. J’approchais mon gland de son vagin, le plaçais juste à l’entrée de son trou. J’étais à la limite de la pénétration. Je lui pissais dans la chatte et elle aimait ça. Juste avant que je termine elle se mît à genoux et prit les dernières gouttes en bouche. Elle se releva et m’appuya sur les épaules pour me baisser. Elle écarta sa chatte et me pissa à son tour dessus. Sa pisse chaude rentrait dans ma bouche et coulait jusqu’à mon sexe. On se savonna de nouveau puis on alla se coucher épuisés. Depuis ce jour là, nous sommes encore plus de connivence qu’avant. On se masturbe régulièrement ensemble. On se fait parfois des 69 et on termine toujours par s’uriner dessus. Marion me sodomise de temps en temps avec le gode ou ses doigts. Nous n’avons jamais fait l’amour ensemble et nous n’en n’avons pas envie. On se donne juste du plaisir avec nos langues et nos mains et nous n’avons pas l’impression d’avoir une relation i****tueuse mais juste une grande complicité entre jumeaux.

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