Mon histoire s’est produite, il y a presque dix-neuf ans, en juillet. Mon nom est Hélène et mon mari s’appelle Jean. Les hommes m’ont toujours considérée comme une femme attirante et je crois avoir toujours pris bien soin de moi. Je suis fière d’entendre les amis de mon mari lui dire, encore aujourd’hui, qu’ils l’enviaient de m’avoir épousée.
La plupart des hommes trouvent mon visage attrayant, mais ma grosse paire de seins (un bon double d), mon estomac plat et, particulièrement, ma croupe ferme et rebondie, mes cuisses pleines, un peu épaisses à mon goût, constituent les principaux pôles d’attraction, bien que je ne sois jamais vraiment habillée pour les mettre en évidence. Je ne suis pas vraiment du genre vieille fille, mais je me suis toujours vêtue de façon classique, comme toute bourgeoise de province qui se respecte et désire être respectée.
Jean et moi nous sommes rencontrés à la fac, avons fait nos études ensemble et nous sommes mariés peu après avoir obtenu nos diplômes. Je suis restée vierge jusqu’à notre nuit de mariage, pour obéir à quelque chose que mon mari considérait comme important à ses yeux, sans doute en raison de l’éducation religieuse très stricte qui lui avait été dispensée dans son enfance.
Jean est devenu très rapidement un ingénieur de haut niveau, reconnu pour sa valeur, et rémunéré en conséquence. Ainsi, il n’a pas vraiment tenu à ce que je continue de travailler. Néanmoins, j’ai continué à le faire à temps partiel dans la même entreprise que lui, pendant quelques temps, jusqu’à ce que nous ayons décidé qu’il était temps de commencer à fonder notre famille. Catholiques pratiquants, nous utilisions la méthode de rythme de contrôle des naissances et ainsi, je n’ai jamais pris la pilule. Après deux ans sans résultats, nous avons décidé qu’il était temps de rechercher de l’aide auprès de professionnels de la santé.
Je suis devenue rapidement une experte pour déterminer mon heure de conception la plus fertile et mon mari se précipitait toujours à la maison, suivant mes consignes, pour mettre toutes les chances de notre côté. Malheureusement, toujours rien. Nous sommes passés par toutes les méthodes utilisées par les couples dans notre situation, avons subi toutes sortes d’examens, nous apprenant que tout allait bien de mon côté, mais que le sperme de Jean n’était pas de grande qualité, pas très « riche ».
Nous avons choisi d’ignorer ceux qui nous ont suggéré d’adopter un enfant ou de pratiquer l’insémination artificielle. Cette dernière solution était écartée par Jean en vertu de ses vieilles valeurs morales, mais aussi et surtout en raison de sa fierté de mâle. Les problèmes concernant l’adoption et le temps que cela prend, nous ont donc encouragés à insister dans nos tentatives jusque là infructueuses.
Par la suite, nous avons trouvé un docteur qui avait connu des réussites avec de nombreux couples et l’avons consulté. Après de multiples examens, il nous a indiqué qu’il n’y avait rien de vraiment rédhibitoire avec l’un ou l’autre de nous deux et que nos chances de parvenir à notre but étaient bonnes si nous changions juste notre approche. Il a dit que nous étions trop stressés par notre désir d’avoir un enfant, une erreur que beaucoup de couples font dans notre situation. Il a suggéré que nous devrions nous abstenir de sexe pendant environ six semaines, laissant la possibilité au sperme de Jean de s’accumuler, et de compter sur cette accumulation en combinaison avec un médicament fertile puissant pour parvenir à nos fins.
Alors, à la période la plus fertile de mon cycle, nous devrions essayer encore avec de grandes chances de succès. Je dois admettre que c’était la logique même. Nous avons regardé le calendrier et, six semaines plus tard, nous étions invités à la soirée de mariage d’un membre lointain de la famille de Jean, du genre cousin germain, que Jean, lui-même, connaissait à peine. Nous trouvions, finalement, que c’était l’occasion rêvée pour le genre de nuit qui nous attendait. Un cousin quasiment inconnu se mariait et voilà que nous attendions cette nuit pleine d’espoir. Nous l’avons marquée sur le calendrier comme étant notre » rendez-vous « .
Mon mari, contrairement à moi, a une famille très nombreuse que je connaissais très peu, à cette époque-là (pas beaucoup plus aujourd’hui), et il m’avait dit que son père serait également au mariage. Son nom était Pierre et il était veuf depuis environ deux ans. Ils avaient eu d’excellents rapports presque jusqu’à notre mariage, puis s’étaient violemment disputés pour des histoires d’argent ou d’héritage, quelque chose comme ça.
Je savais que Jean espérait utiliser le mariage comme l’occasion de s’expliquer, de remettre les choses à plat et de revenir enfin à un comportement amical et de complicité père-fils qui lui manquait beaucoup.
Bien que j’aie seulement rencontré Pierre une douzaine de fois avant leur terrible dispute, j’avais réalisé que ses rapports avec Jean s’étaient refroidis terriblement et que, juste très récemment, et par téléphone, ils avaient recommencé à s’adresser la parole. Mais de toute façon, ce n’était pas ma préoccupation principale du moment, du moins le pensais-je.
Jean, ingénieur de haut niveau, travaillait de longues heures et chaque nuit nous laissait, tous les deux, plutôt frustrés et, sans rapports sexuels, les six semaines paraissaient bien longues. Sachant que la nuit du mariage serait la période la plus fertile, j’avais projeté de mettre toutes les chances de notre côté… Et pour ça, de faire quelques emplettes vestimentaires en achetant des choses dans lesquelles il n’était pas habitué à me voir, en espérant le surprendre et le provoquer.
Il aime me montrer à tous ses amis, aussi j’étais à peu près sûre qu’il approuverait mon nouveau look. Il essaie toujours de m’obliger à m’habiller plus sexy. Mon choix s’est arrêté sur une robe rayée multicolore, très courte, en matériau à base de lycra fin, ce qui lui donnait un aspect métallique et brillant, tout en épousant étroitement mes courbes. Très décolletée, elle laissait apparaître le dessus de mes seins et descendait bas dans mon dos, avec une fermeture éclair.
Pour compléter, j’avais acheté une petite culotte assortie, brillante aussi, dans le même tissu, des bas élastiques, couleur chair – la robe était vraiment trop courte pour un porte-jarretelles – et j’avais décidé de ne pas porter de soutien-gorge, chose que je ne fais jamais, sauf quelquefois à la maison. Mes gros globes en poires étaient encore bien fermes, je n’avais que 23 ans, mais ballottaient un peu sans aucun soutien. Je savais que si j’avais un peu froid, mes tétons pointeraient aussitôt sous le fin tissu…
Quand la soirée du mariage est arrivée, j’ai commencé à me préparer très tôt car la réception était presque à une heure de voiture. J’avais pris ma température un peu plus tôt dans l’après-midi et étais heureuse de constater que mon ovulation était bien dans les délais prévus. Parfait. Pour fêter ça, j’ai même bu un petit verre, chose que je fais très rarement, mais sur laquelle je comptais pour m’aider à me détendre car je n’ai jamais été habillée comme çà en public.
Quand Jean n’est pas revenu à la maison à l’heure prévue, j’ai commencé à m’inquiéter. J’ai bu un autre verre, ai enfilé ma nouvelle tenue et me suis regardée dans le miroir. Quel choc ! J’avais l’impression que ce n’était pas moi. Quoique la robe ait été censée être classique, on l’aurait dit peinte sur mon corps. Je me rendais compte qu’elle me rendait très sexy et mourais d’impatience de connaître la réaction de Jean. Je sentais déjà une sensation d’humidité dans ma culotte, rien qu’au fait de porter cette tenue qui me rendait un peu « salope ». Il ne voudra probablement même pas aller à la soirée en me découvrant dans cette tenue, pensai-je, rêveuse.
C’est alors que le téléphone a sonné. C’était lui et il me dit qu’ils avaient quelques problèmes très sérieux au travail avec un nouveau système informatique et il pensait qu’il ne pourrait pas partir du bureau avant qu’ils ne soient réglés. Au son de sa voix, j’ai su qu’il était effondré. Il m’a alors dit qu’il était vraiment désolé et que, peut-être, je devrais quand-même y aller toute seule. Vous pouvez imaginer ma déception, mais je l’ai compris et ai offert d’attendre son retour à la maison. Il m’a dit qu’il serait très en retard et que je pourrais aussi bien y aller sans lui et m’amuser. Aucune raison de gâcher cette soirée tous les deux. Sans compter que nous pourrions profiter de notre « rendez-vous » quand nous serons tous les deux revenus à la maison.
En temps normal, je n’aurais même pas prêté l’oreille à une telle proposition…, tout à fait inconvenante…, mais si vous considérez les boissons alcoolisées déjà ingurgitées, alliées à la seule perspective d’une nouvelle longue soirée à passer toute seule, j’ai fini par accepter d’y aller sans lui.
J’étais un peu stressée à l’idée de ne connaître presque personne, mais Jean m’a vite convaincu que Pierre étant également présent, il prendrait soin de moi et me présenterait aux autres invités. Il m’a même demandé d’essayer d’arranger les choses entre eux, et d’en profiter pour inviter Pierre à dîner à la maison bientôt, comme nous aimions à le faire avant leur accrochage.
Je ne connaissais pas très bien Pierre, comme je vous l’ai déjà dit, mais il reste gravé dans ma mémoire comme un grand gaillard de 1m90, bâti comme toutes les femmes en rêvent. C’était, sans nul doute, un « homme à femmes » et j’étais persuadée qu’il devait maintenant être remarié et que ce serait très agréable d’être assise avec lui et son épouse pour me tenir compagnie pendant la soirée.
J’ai envisagé, un instant, de changer de tenue, mais puisqu’il était déjà tard et que je ne connaissais personne de toute façon, j’ai décidé d’y aller telle que j’étais. En marchant vers la voiture, je baissai la tête pour regarder mes cuisses, constatant que le bord de ma robe arrivait vraiment très haut – ras la culotte comme dirait mon cher fils – découvrant, par instants, la couture de mes bas et je me disais que je devrais faire très attention à ma façon de m’asseoir pendant toute la soirée, si je ne voulais pas que tout le monde voie ma petite culotte. J’ai ri toute seule, me demandant si Jean m’aurait invitée à y aller s’il avait pu voir mon allure sexy.
Quand je suis arrivée, je ne me suis pas du tout sentie à mon aise. Je n’avais face à moi que des visages inconnus et des regards étranges, désapprobateurs, pour la plupart d’invités qui avaient l’air de peu apprécier la manière dont j’étais habillée.
C’est alors que je l’ai vu. Pierre était encore plus impressionnant que dans mon souvenir. Je pourrais dire qu’il a été également impressionné à la façon dont il m’a regardée en découvrant ma tenue. Son expression signifiait clairement que j’étais la femme la plus « intéressante » de la soirée. Il a souri, a marché vers moi et m’a embrassée en me demandant où Jean était ce soir. Je lui ai expliqué la situation, ce qui n’a pas semblé le décevoir beaucoup et avec une lueur curieuse dans l’œil, il m’a demandé si je voulais prendre un verre et bavarder avec lui.
Pendant que nous marchions en direction d’une table libre, il m’a dit qu’il était seul aussi, qu’il adorait danser et qu’il serait vraiment ravi si j’acceptais qu’il soit mon cavalier pour cette soirée. Comme je ne connaissais personne d’autre et qu’il se conduisait comme un parfait gentleman, j’ai tout de suite accepté sa proposition. Sans compter que Jean m’avait demandé d’essayer de renouer des relations amicales avec son père. Et en plus, mon mari étant un piètre danseur, je me suis dit que j’en profiterais moi aussi pour m’amuser.
Nous avons discuté un peu au sujet de Jean et de moi, et parlé également du décès imprévisible de son épouse, qui l’avait traumatisé et lui faisait envier à quel point nous avions de la chance d’être un couple si heureux. Je lui ai confié que, malgré tout, la vie n’était pas toujours parfaite, en mentionnant nos problèmes de fertilité, comme exemple.
Nous avons ri de bon cœur au sujet de l’échec misérable de notre plan de bataille de la soirée et je lui ai dit que je quitterais probablement la réception assez tôt pour avoir une chance de sauver une partie de notre nuit de « rendez-vous » dont nous avions fixé la date depuis six semaines. Il m’a dit qu’il avait également réfléchi et pensé que lui et Jean devraient recommencer à se revoir, en oubliant toutes les rancunes passées. J’étais sûre que d’entendre ceci, rendrait Jean heureux.
Ensuite, je crois que nous n’avons pas arrêté de danser, si ce n’est pour nous rafraîchir avec une boisson, ou encore reprendre notre souffle après des séries de morceaux rapides. Les heures défilaient rapidement et je le trouvais très charmant, même si je devais le surveiller pendant les slows pour qu’il ne me serre pas de trop près et me mettre ainsi mal à l’aise.
Plus tard, alors que la nuit continuait à avancer, j’ai commencé à me détendre un peu plus et à apprécier de le sentir proche de moi. J’ai commencé à attendre avec intérêt, sinon impatience, chaque danse lente. C’était bon d’être tenue si étroitement pendant que nous nous balancions au rythme de la musique.
Un problème se posait cependant à moi… Quand son corps musclé frottait ainsi près du lycra qui recouvrait à peine ma grosse paire de seins, il me stimulait et causait une sensation d’excitation qui se répercutait jusqu’entre mes cuisses. Je ne me doutais pas d’une telle hyper sensibilité, puisque je ne suis pratiquement jamais sans soutien-gorge sous mes vêtements. Mes seins lourds ont toujours été très sensibles et mon mari sait que c’est le moyen le plus rapide de me chauffer.
À plusieurs reprises, quand nous nous sommes assis pour nous reposer, je me suis aperçue que Pierre devait avoir vu, accidentellement, mes bas, mais surtout ma culotte assortie, sexy et brillante, bombée par mon monticule assez fourni de brune. J’ai été embarrassée et gênée qu’il ait pu, peut-être, voir à quel point je commençais à devenir humide.
Mon Dieu, comme ça me troublait de danser avec cet homme, mon beau-père… Je n’étais pas la seule à le constater. J’ai levé la tête et j’ai vu Pierre qui regardait vers le bas le lycra couvrant mes mamelons et me suis rendue compte qu’ils étaient dressés et pointaient à travers le tissu. Je pouvais sentir l’afflux de sang à mon visage pendant que je rougissais. Plusieurs fois pendant la soirée, j’ai dû m’excuser pour aller aux toilettes. Je m’étonnais réellement de mes réactions car, jamais de ma vie, je n’ai envisagé de sortir avec qui que ce soit, à part mon mari. J’ai mis ça sur le compte du traitement que je suivais, qui devait affecter mon système hormonal avec les pilules pour la fertilité que je prenais depuis six longues semaines.
Les boissons me rendaient également beaucoup moins inhibée. Quand nous avons recommencé à danser, ses bras m’ont encerclée et il a commencé à caresser mes fesses pendant que nous tanguions ensemble. Je n’ai pas protesté. Je pourrais même dire qu’il avait l’air d’apprécier de faire frotter le lycra de ma minirobe contre celui de ma culotte serrée, parce que je pouvais sentir son membre augmenter de volume et commencer à appuyer contre mon ventre plat. Je ne pourrais pas dire de quelle taille il était, seulement qu’il me semblait nettement plus grand que celui de son fils.
Je me demandais, tout en dansant, l’effet que ça devait faire de sentir un gros sexe en soi, en commençant à me frotter un peu dessus, au moment où, à ma grande déception, la série de slows s’est terminée. Cela m’a tirée brutalement de ma rêverie et j’ai rapidement réalisé que c’était mieux ainsi, pour éviter d’aller plus loin. J’ai su que je devrais rentrer vite à la maison si je ne voulais pas avoir de problèmes. Je réalisais que j’étais à moitié ivre.
Quand j’ai dit à mon beau-père que j’allais devoir partir, il a exigé que j’attende pendant quelque temps jusqu’à ce que j’élimine un peu ce que j’avais bu. Je dois admettre que je ne marchais pas tout à fait droit. Je lui ai dit que j’allais appeler Jean pour qu’il vienne me chercher, et lui ai demandé de bien vouloir m’aider à trouver un téléphone. Il a convenu que c’était plus raisonnable et nous avons commencé à marcher et à traverser le hall pour nous diriger vers la réception de l’hôtel qui était plutôt grand. Nous discutions tout en marchant et avons réalisé, en riant, que ni l’un ni l’autre n’avions de la monnaie ou de carte de téléphone.
Pierre m’a offert d’utiliser celui de sa chambre et j’ai plaisanté avec lui, arguant qu’une femme mariée ne va jamais dans la chambre d’hôtel d’un inconnu et encore moins dans celle de son beau-père. Nous avons ri encore pendant qu’il me tenait le bras et m’assurait qu’il était un véritable gentleman. Je ne tenais pas à continuer à marcher pendant des heures et, convaincue que sa proposition était somme toute innocente, je me suis laissé convaincre et nous nous sommes rendus dans sa chambre.
Une fois à l’intérieur, j’étais debout et essayait de composer le numéro de téléphone pour appeler Jean. Je me sentais mieux, mais étais toujours plutôt instable et j’ai senti Pierre se tenir derrière moi pour m’aider à garder mon équilibre pendant que je composais le numéro. Pendant que ça sonnait chez nous, Pierre caressait doucement mes hanches. Ça ne répondait pas et quand je me suis retournée pour le dire à Pierre, ses lèvres se sont tout de suite posées sur les miennes.
Ses lèvres étaient très différentes de celles de mon mari et, quoique j’aie su que je ne devrais pas faire ça, j’ai entrouvert la bouche et nous avons commencé à nous embrasser. Il a poussé sa langue dans ma bouche, m’obligeant à ouvrir davantage la mienne, tout en me serrant contre lui et a recommencé à peloter mes fesses. C’était booonnn ! Mais, je savais que je devais cesser. J’ai arrêté notre baiser et lui ai rappelé que j’étais une femme mariée et, de plus, l’épouse de son fils. Je lui ai alors dit que j’allai retourner dans le hall de l’hôtel, en attendant de me sentir mieux.
Il a chuchoté des excuses à mon oreille, me demandant pardon, me disant avoir beaucoup de mal à se contrôler en me voyant dans une tenue si sexy qui me rendait très désirable, encore plus, après m’avoir serrée contre lui pendant nos slows. Il m’a dit que Jean était un homme très chanceux d’avoir une femme avec mon allure et qui s’habillait comme ça, qu’il était désolé que je n’aie pas voulu de lui, mais qu’il me comprenait, que j’avais certainement raison. Ooohhh, il savait vraiment trouver les mots justes et se comportait tellement en gentleman !! Et j’étais si excitée !
Je lui ai expliqué que ce n’était pas que je ne voulais pas de lui, mais que j’étais mariée avec son fils et ne voulais pas tout gâcher. Je ne sais pas pourquoi, mais je me suis sentie obligée de l’embrasser encore. J’ai ouvert ma bouche pour sentir sa langue une fois de plus avant de partir.
Six semaines étaient si longues. J’allais juste interrompre notre baiser pour m’en aller quand il a commencé à caresser, doucement, mon sein gauche à travers le tissu mou de ma robe. Mon talon d’Achille. C’était si bon, que je sentais mes genoux fléchir. Juste quelques minutes de plus et puis, je partirai.
Je n’étais pas trop inquiète parce que je savais que je pourrais l’arrêter n’importe quand, de toute façon, il n’était pas violent du tout et était un vrai gentleman. Je me suis convaincue qu’il ne s’agissait que d’un peu de flirt, de pelotage, choses que j’avais déjà faites avec d’autres garçons à l’époque du lycée et de la fac. Jean n’en saurait jamais rien. Juste un petit jeu excitant et inoffensif.
C’était si bon que je l’ai laissé continuer. Il a descendu un peu le haut de ma robe, exposant les mamelons durcis de mes gros nichons pendant que nous nous embrassions à pleine bouche. Il a commencé à les rouler doucement entre ses bouts de doigts pendant que je caressais son torse musculeux. Cet homme était magnifique.
Quand il a ouvert un peu la fermeture éclair dans le dos de ma robe et a pu, ainsi, dégager mes seins plantureux par dessus, pour bien les soupeser, les masser, les presser l’un contre l’autre, j’ai sursauté. J’ai commencé à vouloir le repousser, m’écarter de lui, mais il s’est penché et s’est mis à sucer si avidement les pointes de mes mamelles que ça devenait trop bon pour que j’aie envie de le faire cesser. Je ne pouvais pas croire ce qui m’arrivait et mon esprit s’emballait. Mes genoux fléchirent de nouveau et j’avais absolument besoin de m’asseoir au bord du lit. Je peux encore patienter un peu me disais-je…, ça fait six semaines que j’attends. Pour une raison inconnue, je trouvais terriblement excitant de mal me comporter avec quelqu’un autre que mon mari, particulièrement avec son propre père.
Il est venu s’asseoir à côté de moi et, rapidement, j’ai senti sa main chaude qui commençait à me caresser l’intérieur des cuisses, d’abord sur mes bas, puis juste au-dessus, là où la peau est très fine, très douce. Je n’ai pas résisté quand sa main a soulevé le bord de ma robe et que j’ai senti qu’il commençait à masser doucement ma chatte à travers le tissu de ma petite culotte. C’est de contact direct dont j’avais besoin. J’ai étouffé un gémissement. Ses mains ont écarté davantage mes cuisses pleines et il a, délicatement, empaumé ma petite chatte humide par dessus ma culotte. J’ai pensé, à ce moment-là, qu’elle allait, très vite, être toute mouillée, à ce régime là. C’était si bon ! J’ai décidé de le laisser faire encore quelques minutes avant de lui demander de s’arrêter pour de bon.
Pierre a tiré sur l’élastique de mon slip, par le côté et sa main était maintenant à l’intérieur, avec un de ses doigts entrant dans l’ouverture serrée de ma chatte. Alors que ma chatte devenait de plus en plus humide et chaude il en a profité pour y entrer deux doigts supplémentaires. Enfin j’ai réagi :
« Pierre, nous devons arrêter, je t’en prie ! J’ai si chaud…, je ne devrais pas être ici ! »
Il a répondu en descendant sa bouche vers mon estomac, puis plus bas et à la frotter sur le tissu de ma culotte, juste au niveau de mon clitoris. Mon Dieu ! Il allait manger ma chatte, quelque chose que mon mari ne m’a jamais fait !
C’est quand il a commencé à vouloir retirer ma culotte que je l’ai finalement arrêté et lui ai dit que nous nous étions laissé emporter, mais que je ne pouvais pas laisser les choses se faire ainsi. Il m’a répondu qu’il comprenait, m’a promis qu’il ne ferait rien que je n’aurais pas voulu qu’il fît et s’arrêterait dès que je le lui dirais. Il m’a aussi promis que personne ne saurait rien de tout ça. Rassurée par ces bonnes paroles, j’ai soulevé un peu mes hanches et l’ai laissé retirer ma culotte complètement. J’avais trop envie de la sensation de sa bouche sur ma fente.
Je me suis allongée sur le dos et il a commencé en embrassant lentement la zone autour de ma chatte avant de se mettre à lécher alternativement mes lèvres devenues très humides et mon clitoris que je sentais gonfler. Tout en le faisant, il continuait de pincer mes mamelons et à bouger ses doigts à l’intérieur de moi. J’étais dans une sorte d’extase, car c’était tout ce dont j’avais toujours rêvé. Pas de doute, il savait s’occuper d’une femme.
Peu de temps après, j’ai commencé à sentir monter en moi un orgasme. Je guettais toutes les sensations de mon corps, il semblait venir de si loin, paraissait si profond. Jean me fait très rarement venir comme ça, aussi je l’attendais avec une envie folle, me disant que je m’arrêterais après. J’avais trop besoin de jouir.
J’étais tellement chaude maintenant que je gémissais très fort et n’avais même pas remarqué qu’il avait descendu son pantalon et s’était mis entre mes jambes. Quand j’ai senti son contact sur mes lèvres j’ai ouvert les yeux pour découvrir Pierre au-dessus de moi et j’ai baissé la tête pour le voir guider son gros sexe dans ma fente frémissante. Il était énorme, presque deux fois la taille de celui de mon mari. Je tremblais un peu devant sa taille pendant qu’il commençait à pousser le gland large, épais, à l’intérieur de ma chatte.
« Non Pierre, arrête, on ne peut pas faire çà…, on n’a pas de protection ! »
J’ai crié, sa réponse m’a étonnée :
« Je te promets que je me retirerai…, s’il te plaît…, j’ai vraiment besoin de me sentir dans toi quelques instants.. !
.. Ooohhh, oui…, hhuuummm, c’est bon comme ça ! »
Et il a continué de s’enfoncer un peu plus en moi. J’ai été horrifiée, il n’allait pas s’arrêter !!! Il allait me baiser ! J’ai protesté encore :
« Non, Pierre, s’il te plaît ! Arrête, je t’en supplie, je ne peux pas…, pas aujourd’hui…, mon mari…, et moi…, on att…, attendait…, mmoon…, ovuulaatiiiooonnn… ooohhhhnnooonnn ! »
J’ai essayé de resserrer mes jambes, mais il était trop sur moi, je commençais déjà à venir alors qu’il s’enfonçait toujours plus loin, écartant bien les lèvres de ma chatte de chaque côté, plus qu’elles ne l’avaient jamais été. Mon corps m’a alors trahie avec mes hanches qui commençaient à pousser et à se déplacer contre lui, au fur et à mesure de la montée de mon orgasme. Je ne pouvais pas m’en empêcher, je ne pouvais même plus parler. Je ne pouvais que gémir et donner des coups de reins pendant qu’il me conduisait à prendre mon pied.
Il l’entrait et la ressortait, descendant plus profondément dans ma chatte à chacune de ses poussées, jusqu’à ce que finalement sa queue toute entière soit dans mon ventre, me remplissant complètement. Je sentais son pubis dur collé contre le mien. J’ai recommencé à protester du bout des lèvres quand j’ai senti son énorme barre encore plus loin, jusqu’à toucher l’ouverture de mon utérus.
Elle l’a effleurée. J’ai explosé à ce moment-là avec ce qui devait être le premier véritable orgasme de toute ma vie, pensant même que j’allais mourir pendant que les vagues de plaisir se succédaient dans mon corps. Lorsque j’ai finalement récupéré un peu, j’ai réalisé que ma chatte s’était ajustée à la taille si imposante et que sa tige massive coulissait sans à-coup dans ma fente humide. Toutes les pensées concernant mon mari et mon ovulation se sont envolées. J’étais amoureuse de cette grosse pine. Mon corps a finalement eu ce qu’il avait attendu toute la nuit. Je gémissais pendant qu’il me limait bien à fond, jouissant purement et simplement du plaisir fou que me procurait son mandrin.
C’était fantastique d’avoir cette queue si grosse, si dure, si…, interdite…, à l’intérieur de moi et j’ai senti mon deuxième orgasme qui commençait à monter rapidement, au niveau de mon estomac. J’allais encore jouir !
Pierre, ahanant au dessus-de moi comme un bûcheron, j’ai réalisé qu’il était sur le point de venir aussi. J’ai été, en quelque sorte, déçue parce que je réalisais qu’il devrait se retirer avant que j’aie joui une nouvelle fois. J’en étais si proche…
C’est alors que je l’ai senti. La sensation à laquelle j’aspire encore chaque jour, aujourd’hui, depuis ce moment là. Son corps entier a basculé en avant et j’ai senti l’extrémité de son gland contre mon col. Il a gémi très fort et a lâché les premiers jaillissements de son sperme profondément en moi. Mon Dieu, il ne se retirait pas ! Mon beau-père jouissait dans mon ventre ! J’étais à la fois terrorisée et au bord de l’extase absolue. J’ai essayé de le repousser, mais il était trop tard. Ses mains tenaient les miennes et il giclait en moi, avec toute la force et l’intensité de son orgasme.
Ce qui m’a vraiment étonnée, c’est que la sensation soit si incroyable !
Quand mon mari jouit, ça coule simplement hors de lui. Mais avec Pierre, je pouvais sentir son sperme chaud juter littéralement en moi. Il jouissait avec tant d’intensité et de force que je pouvais ressentir chaque giclée interdite venir frapper mon col et pénétrer mon utérus. :
« Tu…, tu…, m’avais dit…, queee…, tuuu…, te…, retirerais…!, ai-je haleté.
.. Oohhh, je…, peux…, ssseentiirr…, tonn…, speermeee…, à l’int rieur de moi…, OOHHH !
.. Nooonn…, nnoonn…, C’EST BBBOONNN…, JE JJOOOUUUIIISSS…, OOOHHH !!! »
Mes hanches ont recommencé à onduler contre lui sans que je puisse les contrôler. J’ai alors eu l’orgasme le plus intense que je n’ai jamais eu alors qu’il continuait à pousser fort et que la seule chose que je faisais, était de cramponner ses fesses pour l’amener en moi, le plus loin possible. Mon esprit tout entier était concentré sur ce plaisir entre mes jambes maintenant et je criais de plaisir à cette expérience sexuelle incroyable. La vague de plaisir s’est encore intensifiée quand j’ai enroulé mes jambes autour de sa taille et l’ai attiré encore plus profondément.
C’était merveilleux. Je pouvais sentir sa semence ressortir et couler dans la raie, entre mes fesses pendant qu’il continuait de lâcher sa purée. Je ne pouvais pas croire qu’il y en avait tellement en lui. Alors que les décharges faiblissaient, je pouvais sentir la chaleur de son sperme dans les profondeurs de mon corps, à la recherche des mes ovules. Je restai étendue là, comme dans un rêve éveillé, m’émerveillant de la sensation de ce qui se produisait à l’intérieur de moi.
Quand je suis revenue à la réalité, j’ai réalisé alors ce que j’avais fait. J’ai regardé entre mes jambes ouvertes pour voir son sexe encore partiellement en moi, luisant de son sperme. Qu’est-ce que j’avais fait… ? J’ai commencé à pleurer. Pierre l’a vu et m’a regardée au fond des yeux, tout en continuant à me limer doucement avec son sexe qui commençait à réduire de volume. Comme il faisait ça, je pouvais davantage sentir son sperme couler hors de moi, de ma chatte tuméfiée.
« Tu m’avais dit que tu te retirerais…, tu me l’avais promis !
.. Et tu m’as peut-être mise enceinte…, toi…mon beau-père…, et pas mon mari ! »
J’ai pleurniché, sa réponse m’a choquée :
« Hélène, je suis désolé, tu étais si désirable, si excitante… !
.. Je n’aurais jamais imaginé que tu me laisserais réellement te baiser…toi, la femme de Jean… !
.. Quand tu m’as dit que c’était le soir de votre « rendez-vous », le grand soir…, je n’ai pas pu résister à l’envie de…, participer…, m’assurer que tu aurais enfin un bébé… !
.. Mais pas de ce connard de Jean ! »
J’ai fait une pause et l’ai regardé. Et tout est devenu parfaitement clair. J’ai compris que, maintenant, c’était juste une histoire de concurrence. Il avait pris ce que Jean avait de mieux : moi… ! Je suis devenue folle de rage, mais pas uniquement contre Pierre, mais également contre Jean, qui m’avait entraînée dans cette situation.
De toutes les façons, maintenant le mal était fait. Je ne pourrais jamais expliquer tout ceci à mon mari. Il ne me le pardonnerait jamais. Je me suis saoulée et j’ai laissé son propre père m’engrosser… la nuit même de notre « rendez-vous » programmé depuis six semaines… ! Pierre m’avait remplie de tellement de son sperme que j’étais, à coup sûr, enceinte de lui.
J’ai réalisé que ce genre de jeu se déroulait depuis la nuit des temps. J’avais laissé Pierre réaliser la plus grande victoire d’un mâle sur un autre mâle. Prendre la femme de son adversaire et l’imprégner de sa progéniture. Jean ne pourrait jamais lui rendre la pareille.
Comme je réfléchissais à tout çà, à la folie de cette situation, j’ai réalisé, tout à coup, que mes jambes étaient encore enroulées autour de lui et qu’il était toujours en train de me limer doucement, lentement, tendrement.
C’était vraiment un sentiment apaisant et même lorsqu’il était mou, son sexe était encore plus grand que celui de mon mari.
J’ai levé les yeux et j’ai réalisé que mon corps recommençait à répondre. Il m’a embrassé très doucement et a commencé à lécher doucement mes mamelons. À ma grande surprise je pouvais sentir que son membre commençait à durcir encore.
Mon mari n’a jamais pu récupérer aussi rapidement. Je savais que je devrais l’arrêter cette fois, juste au cas où il y aurait encore une chance qu’il ne soit pas trop tard. Je ne pouvais pas être assez stupide pour le laisser me baiser une fois de plus ! Je l’avais laissé faire une fois et maintenant il voulait recommencer.
Mais alors qu’il continuait à bouger, j’ai réalisé que je ne pourrais pas l’arrêter. J’étais encore très excitée par ce que j’avais fait. Ça avait été si bon. Il m’avait donné tout ce dont une femme pouvait rêver et j’avais terriblement envie qu’il me le donne encore. Mes hanches ont recommencé à venir à la rencontre de chacune de ses poussées. Il a libéré mes mains et nous avons commencé ce qui s’est avéré être une baise très romantique, langoureuse même.
Nous avons continué pendant longtemps et ma seule pensée consistait en son merveilleux braquemard qui pistonnait ma chatte juteuse, l’étirant dans des limites que je ne soupçonnais pas jusqu’à ce jour. Je n’aurais jamais imaginé que faire l’amour avec un autre homme puisse être aussi bon. Pendant que nous baisions, j’ai eu plusieurs plus petits orgasmes successifs. J’ai soulevé ma tête et j’ai commencé à sucer les mamelons sur son torse. Après un moment, Pierre a haleté :
« Je sens que je vais jouir encore, tu veux que je me retire ? »
Ma réponse m’étonne toujours aujourd’hui. Pendant qu’un autre orgasme montait en moi, j’ai supplié :
« Non, viens à l’intérieur de moi, je veux te sentir…, venir…, encore…, à l’intérieur de moi…, s’il te plaît ! »
Il a souri, m’a embrassée et a accéléré son rythme. Sa grosse queue s’est raidie davantage et je l’ai senti une nouvelle fois tirer un chargement incroyable de son sperme dans mon ventre pendant que je poussais mon bassin contre lui aussi fort que possible. Je pouvais sentir que chaque giclée frappait mon col, déclenchant un orgasme incroyable de v******e, alors que je sentais que son sperme allait pénétrer mon utérus.
Quand il est entré dedans, j’ai crié et j’ai griffé le dos de Pierre. C’était comme si le monde entier tourbillonnait autour de moi. C’était magnifique. Même mes mamelons me brûlaient. Qui pouvait me laisser imaginer que j’aurais un tel plaisir en laissant un autre homme que mon mari, surtout son propre père, me mettre enceinte, violant, en même temps, deux tabous profondément enracinés… C’était la trahison finale envers mon mari… Je savais que c’était cette trahison qui avait rendu mon orgasme si intense.
Lorsque Pierre s’est retiré lentement, sortant son long membre de ma chatte juteuse, je me suis redressée, lentement, sur mes coudes et j’ai regardé vers le bas à quoi je pouvais ressembler après une baise aussi féroce. Ma jolie robe était tirebouchonnée sur mes hanches et ma culotte trempée était enroulée autour d’une de mes chevilles. Ma chatte était rouge et toute gonflée et ma toison brune était humide, entièrement imprégnée de son sperme. Mes gros seins étaient tout rouges et couverts de marques de ses succions intenses.
Mais le plus étonnant était le fleuve de sperme qui coulait hors de ma fente, sous moi, sur les draps. J’ai saisi un oreiller et l’ai glissé sous mes fesses pour surélever mon utérus. Je voulais garder sa chaleur en moi un peu plus longtemps. J’étais ouverte comme jamais et je me suis demandée si je pourrais jamais sentir la petite bite de mon mari après un tel traitement.
Pierre, devinant ma pensée, a ri et m’a assurée que ce serait notre secret. Après environ 20 minutes, j’ai réussi à me relever, chancelante, du sperme coulant sur mes cuisses et descendant jusqu’à mes pieds pendant que je marchais. Je n’avais encore jamais rien vu de pareil. Je savais que je ne pouvais pas rentrer à la maison dans cet état. J’ai sauté dans la douche et me suis lavée autant que je le pouvais. Quand j’ai eu terminé, je suis retournée dans la chambre et j’ai trouvé Pierre dormant sur le lit avec son sexe, merveilleusement gluant, posé paisiblement à travers son bas-ventre. J’ai enfilé ma robe et ce qui restait de ma petite culotte. Je suis restée un moment à me demander si je le reverrais encore, mais ne voulais pas prendre le risque de le réveiller.
Sur le chemin du retour, je pouvais encore sentir son liquide s’échapper de ma fente et j’espérais que tout serait absorbé par ma culotte avant d’arriver à la maison. Pendant que je conduisais, j’ai continué à me demander comment j’avais pu laisser une telle chose se produire. Je me suis sentie honteuse. J’ai commencé à me doigter en repensant à tout ça. Quand je suis arrivée à la maison, heureusement, Jean dormait. Je suis rapidement entrée dans la salle de bains et ai enfilé une chemise de nuit qui a couvert mes énormes seins rouges et gonflés, avant de me glisser rapidement dans notre lit.
J’étais terrifiée à l’idée que, d’une façon ou d’une autre, il puisse reconnaître l’odeur de son père sur moi. Étendue sur le lit, je pouvais encore sentir le sperme chaud de Pierre s’échapper de ma chatte. Jean s’est finalement réveillé alors que nous étions étendus là, dans l’obscurité. Il s’est collé contre mon dos et m’a demandé comment j’avais trouvé le mariage. Je lui ai dit qu’il était très bien, mais que moi, sans raison, je ne me sentais pas très bien.
Il a semblé étonné et déçu, mais a paru comprendre. Il a juste soupiré, caressé mes fesses du bout des doigts avant de me chuchoter que notre « rendez-vous » n’était que reporté, quand je me sentirais mieux. Je savais déjà que j’aurais beaucoup de mal à le laisser me toucher encore, surtout quand j’ai eu la certitude, plusieurs semaines plus tard, que je portais maintenant l’enfant de Pierre.
Il m’a demandé si je l’avais vu au cours du mariage, s’il avait pris soin de moi. Je lui ai assuré que ça avait été le cas et que son père était vraiment un homme…, parfait ! Je lui ai dit que nous devrions, comme convenu, nous revoir plus souvent, comme autrefois, ainsi qu’il le souhaitait. Dans l’obscurité, je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en pensant que Jean n’avait pas la moindre idée que son père venait de me mettre enceinte et que j’en avais tiré un plaisir inouï… !
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