Cette histoire est une pure fiction. Comme il est dit au cinéma, toutes ressemblances avec des personnages ou des évènements existants ou ayant eu lieu, n’est que pure coïncidence. Cette histoire est inspirée par le début du scénario suivant écrit par « ericviewshare » :
Elle attend le RER, il a du retard. Elle se fait aborder par un inconnu. Il lui parle du temps, lui dit qu’elle « est charmante ». Elle lui dit qu’elle est mariée, mais il continue de lui parler gentiment. Elle est toute excitée en racontant cela à son mari le soir à la maison…. sous entendu : « Tu vois, si je voulais me faire baiser, ce ne serait pas compliqué ».
Après avoir raconté à mon mari, la rencontre avec cet homme dans la gare RER, et la façon dont il m’avait ouvertement draguée, je me suis sentie soudainement plus féminine encore que je ne pensais l’être. Moi, « Madame tout le monde », j’avais attiré l’attention d’un homme !!! L’épouse modèle, la mère dévouée, la femme lambda, un homme autre que mon mari avait posé son regard sur moi. J’étais donc encore désirable!!! Je m’en trouvais toute émoustillée. J’étais flattée par cette situation, excitée même devrais je dire. Au point que ce soir là, je me mis à rêver d’une aventure avec cet inconnu.
Je dormais mal cette nuit, je ne cessais de repenser à cette rencontre, et d’imaginer une suite « érotico-sensuelle » telle une adolescente. J‘essayais bien de me raisonner en me disant que j’étais ridicule de fantasmer sur cet homme que je ne reverrais surement pas, en plus il était somme toute quelconque, lui aussi un « monsieur tout le monde », surement marié, et qui devait draguer toutes les femmes qu’il croisait au cours de ses trajets de la même façon. Rien n’y faisait, je ne trouvais le sommeil que très tard dans la nuit, et lorsque le réveil sonna le matin, j’avais une tête horrible.
Je déjeunais comme tous les matins puis je partais dans la salle de bain afin de me préparer. Je me lavais la tête, prenais le temps de me faire un brushing, et de me maquiller, autant pour cacher les cernes autour de mes yeux, témoins gênants d’une nuit trop courte, que pour plaire à cet inconnu d’hier si par cas nous nous re-croisions ce matin.
Il faisait beau, et la météo avait prévu une très belle journée ensoleillée. Je choisissais une robe en jean, plutôt moulante, fermée devant par des boutons-pression, qui m’arrivait à mi-cuisses et dont le décolleté laissait apparaître le sommet de ma poitrine plutôt généreuse, bien mise en valeur par un très joli soutien gorge « corbeille » qui remontait bien mes seins. En me regardant dans le miroir du dressing, je me trouvais sexy et désirable. J’étais déterminée à « séduire » cet homme si je le revoyais.
J’arrivais à la gare comme tous les matins avec un peu d’avance pour ne pas rater mon train et … tenter d’apercevoir mon « inconnu ». Mais aujourd’hui il y avait une panne électrique à la gare et il régnait la plus grande confusion. Aucun train ne circulait, et personne ne pouvait dire combien de temps cette panne durerait. Je cherchais un endroit moins bruyant afin de prévenir à mon travail que j’aurais surement beaucoup de retard, tout en me dirigeant vers la sortie de la gare afin d’échapper au tumulte de cet endroit. Une fois mon appel passé, je cherchais dans cette foule mon « séducteur » de la veille. Peine perdue, du haut de mes 1m60, et je décidais donc de sortir de cet endroit décidément trop bruyant à mon goût, et d’aller prendre un café dans un bistrot proche de la gare. Je m’attablais en terrasse, commandais mon café ainsi qu’un croissant et un jus d’orange pour mon 2ème petit déjeuner de la matinée. Je me connectais afin de lire les mails, les actualités et consulter ma page FB. J’étais assise depuis une bonne demie heure, absorbée par ma lecture, lorsque une voix qui ne m’était pas totalement inconnue me fit émerger de ma bulle en lançant tout à côté de moi : « mais c’est ma belle inconnue du RER que je retrouve ici ».
Je levais instantanément les yeux et tournais la tête vers cette voix car cette phrase ne pouvait que m’être destinée. Et c’était lui, mon inconnu d’hier. A moins d’un mètre qui s’était arrêté sur le trottoir face à moi, et qui me souriait. Sans réfléchir, je lui proposais de s’assoir à ma table et de prendre un café avec moi. Il ne se fit pas prier, et s’assit en face de moi en me remerciant de cette proposition : « Je ne peux pas refuser une telle invitation » me dit il, « surtout provenant d’une femme aussi ravissante que vous » rajouta-t-il. Il commanda son café, et me demanda si moi aussi j’étais « en panne de train ». Je lui confirmais, et il commença à me questionner sur ce que je faisais dans la vie, l’endroit où je me rendais, sur mon travail …. Il en profita pour glisser un compliment sur ma tenue vestimentaire qui pour lui m’allait parfaitement. « Vous êtes sublime dans cette robe » finit il par me dire. J’étais vraiment flattée par ses compliments, même si je savais ce que cela sous entendait. Mais ce matin, j’avais très envie d’entendre des paroles comme les siennes. J’avais envie de me sentir désirée par cet homme rencontré la veille et dont je ne savais presque rien, et ses compliments répétés, son sourire charmeur, et sa voix grave me comblaient de joie. J’étais excitée par cette situation. Moi, assise là, à cette terrasse de café avec cet inconnu à cette heure matinale, au lieu de me trouver à mon travail comme toute bonne employée !!!! Mais qu’est ce qu’il m’arrivait? Je sentais mon coeur qui battait fort et vite dans ma poitrine, j’avais l’impression que mon visage était rouge écarlate, et que mon désir de pousser plus loin ce « jeu » se lisait dans mon regard.
Il finit par me demander : « que comptez vous faire aujourd’hui si la situation à la gare ne s’améliore pas? »
Je lui répondait hésitante que je ne savais pas. En disant cela, je me sentais rougir encore plus. Secrètement, je souhaitais qu’il m’invite à passer la journée avec lui. Je finissais par lui demander ce que lui comptait faire également, puisque nous étions tous les deux dans la même galère. Il me proposa de revenir à la gare pour voir où en était la situation, et si quelqu’un pourrait nous fournir quelques informations. J’acceptais sa proposition, nous nous levions et nous dirigions vers la gare. A l’intérieur régnait toujours le même désordre. Les gens exaspérés se plaignaient, criaient, en comprenant que cette situation risquait durer toute la journée.
Nous nous sommes regardés, étrangement calmes l’un et l’autre comme si cette situation nous arrangeait tous les deux. Le destin était il en train de combler mon fantasme, né seulement depuis hier soir? Je lui proposais de ressortir de cette gare décidément trop bruyante à mon goût et d’aller marcher dans la rue. Il accepta encore une fois sans se faire prier, trouvant cette idée excellente, et qu’il ne pouvait rêver plus belle compagnie pour occuper cette journée qui avait si mal commencé.
Nous avons marché sans réellement nous soucier du chemin que nous parcourions ou des gens que nous croisions. Nous étions seuls au monde au milieu de cette effervescence, et le temps pour nous semblait arrêté.
Au bout d’un moment, il me proposa de nous arrêter dans une petite brasserie où il avait l’habitude d’aller afin de déjeuner. Il était déjà plus de midi. Le temps était passé si vite en sa compagnie. J’acceptais volontiers bien que je n’avais pas une faim de loup. Le serveur nous amena dans un coin un peu reculé de la salle à l’écart des autres tables. J’en déduisais que mon « nouvel ami » était connu en ce lieu, et qu’il devait y venir souvent pour réussir à obtenir si facilement une table dans un coin calme voire intime.
Il m’avoua qu’il habitait tout près, et que cette brasserie était un peu sa « cantine ».
Lorsque le serveur nous eût apporté les cafés, il me demanda si j’accepterais de terminer cette journée chez lui. Je me sentais tellement bien avec lui. Je n’avais pas ressenti un tel bien être avec un homme depuis très longtemps. Je n’avais aucunement envie d’écourter cette rencontre. Je lui répondis, non sans avoir fait mine de réfléchir, que j’étais d’accord.
Nous sommes sortis de ce restaurant après qu’il eût réglé l’addition, et nous nous somme dirigés vers son appartement. Il m’invita à m’asseoir dans son canapé, et me demanda si je désirais écouter de la musique et ce que j’aimais. Il mit un cd de musique douce très appropriée à la circonstance, et s’assit à côté de moi. Il me prit par la main et son autre bras entoura mes épaules, me faisant basculer vers lui. Je fermais les yeux tant j’avais envie de cette étreinte. Je me laissais aller sur son canapé, envahie par le désir. Je m’abandonnais à ses baisers sensuels et ses caresses. Sa main droite avait gagnée ma jambe, et allait et venait de mon genou au sommet de ma cuisse. Ses baisers se faisaient de plus en plus passionnés. Ses mains caressaient à la fois mon dos et mes cuisses, s’insinuaient sous ma robe, passant maintenant sur mes deux cuisses, remontant vers mon ventre et ma poitrine. Il continua vers mes seins qu’il palpa au travers de ma robe avant de la déboutonner rapidement en tirant sur le tissu afin de faire céder les pressions et de découvrir mon soutien gorge, pour lequel il eût un sourire de ravissement en le découvrant et en me complimentant sur la beauté de mes dessous. Les derniers boutons ne résistèrent pas longtemps, et je me retrouvais bientôt la robe totalement ouverte et un sein en dehors de son fourreau. Il attrapa ce sein à pleine main, le pétrit vigoureusement avant de le prendre dans sa bouche pour sucer le mamelon déjà durcit par le désir ardent qui m’avait envahi. D’une main experte, il dégrafa mon soutien-gorge, libérant mes seins qu’il s’empressa de pétrir et de déguster de nouveau.
Il s’agenouilla ensuite devant moi, ses mains parcouraient maintenant tout mon corps, sa bouche déposait des baisers sur mon ventre, son visage s’enfonçait entre mes cuisses, s’arrêtant pour déposer des baisers sur ma chatte encore recouverte du minuscule morceau de tissu me servant de culotte. Celle ci ne resta pas non plus très longtemps à sa place. Il la fit glisser jusqu’aux chevilles pour m’en débarrasser, et ainsi il put se délecter de mon sexe qui n’était plus que fontaine d’où s’écoulait mon désir. Sa bouche ne s’intéressait plus qu’à mon sexe, tandis que ses mains pétrissaient mes seins. Il me dégustait avec sa langue, avec ses lèvres, tantôt jouant avec mon clitoris, tantôt léchant mes lèvres gonflées de plaisir, tantôt enfonçant sa langue au plus profond de ma chatte. C’est ainsi qu’il me procura mon premier orgasme d’une intensité que je n’avais pas connue depuis longtemps, m’arrachant des cris de plaisir inhabituels pour moi qui suis d’une nature introvertie en temps normal.
Je n’étais pas encore revenue de mon orgasme, que je sentais son sexe à l’entrée de mon vagin. Il caressait ma vulve délicatement avec son pénis. Mes yeux se portaient alors vers lui. Je me rendis compte qu’il était très correctement membré, beaucoup plus que mon mari et que la plupart des hommes que j’avais connus jusque là. Un sexe plutôt long mais surtout terriblement épais. Je ne pouvais plus décoller mon regard de son pénis, et je regardais son engin me pénétrer délicatement. Je ne pouvais quitter des yeux ce sexe énorme qui s’enfonçait en moi, qui allait et venait maintenant sur toute la longueur de cet arbre dur comme de la pierre et massif comme un chêne. Je le sentais s’enfonçait au plus profond de moi et ses couilles venaient battre en rythme contre mes fesses. Il frottait contre les parois de mon vagin, le dilatant comme jamais, m’arrachant des cris de plaisir que je ne pouvais retenir. Mon amant m’offrit mon deuxième orgasme de l’après-midi, aussi intense que le premier. Me voyant jouir, il accéléra ses mouvements de va et vient sans jamais arrêter de me caresser les seins et en me disant combien il me trouvait belle en faisant l’amour.
Il s’interrompit au bout d’un moment et me demanda si je voulais bien venir sur lui. Il s’assit sur le canapé et m’aida à l’enjamber. Je le chevauchai, et je sentit son sexe toujours aussi dur et gonflé s’enfoncer de nouveau en moi. Il était maintenant entièrement entré, explosant le fond de mon vagin. Assise face à lui il pétrissait mes seins avec ses deux mains et les prenait à pleine bouche, suçant mes mamelons gonflés et durcis par le désir. Il ne cessait de répéter combien il aimait ces seins gros et fermes à la fois, qu’il les trouvait merveilleusement doux. Très vite, je m’effondrais sur lui de nouveau secouée par un incroyable orgasme. Je n’avais plus la force de bouger. Je restais sur lui, toujours pénétrée par son monstrueux engin qui me paraissait de plus en plus gros au fur et à mesure que nous faisions l’amour. Il m’aida à me dégager et me demanda de m’agenouiller sur le canapé. Il me dit qu’il avait envie de me prendre par derrière. La levrette. Ma position favorite. Je me mettais en position et je ressentis une incroyable sensation, presque douloureuse mais tellement jouissive lorsque son pénis me pénétra cette fois sans ménagement. Je ne put retenir un cri de douleur en sentant son arbre s’enfoncer en moi. Ses mains parcouraient mon dos, pétrissaient maintenant mes fesses, mais par moment revenaient vers mes seins qu’il ne pouvait s’empêcher de caresser. Ses mouvements s’intensifièrent et lorsqu’il se mit à battre de plus en plus fort en moi, je m’agrippais aux coussins jusqu’à les mordre afin d’étouffer mes cris de chienne. Il ne pût se retenir plus longtemps et jouit à son tour sans prendre la peine de se retirer. Je sentais son sperme se déverser en moi. Il eut plusieurs spasmes au cours desquels il se vida. Je réalisais seulement que je venais de faire l’amour avec un parfait inconnu sans avoir utilisé de préservatif. Il resta un moment en moi sans bouger, et nous avons repris « conscience » tous les deux en même temps. J’étais épuisée, je me laissais glisser à plat ventre sur le canapé. Son pénis avait dégonflé, et il n’était plus en moi, mais lui n’avait pas bougé, toujours derrière moi. Il se mit à me masser tendrement et très sensuellement. Ses mains étaient douces et caressaient mon dos et mes fesses. J’étais merveilleusement bien. Je me laissais faire sans bouger. Je souhaitais que cet instant ne s’arrête jamais.
Je devais malheureusement mettre fin à cette après midi pour rentrer chez moi et m’y trouver avant que mon mari ne revienne de son travail. Il accepta de me laisser partir à la seule condition que j’accepte de partir sans prendre de douche. J’étais terriblement gênée mais j’acceptais ce « défi ». Je me rhabillais et je partais. Durant tout le trajet je sentais son sperme en moi et j’imaginais que tout le monde s’en rendait compte. Sitôt arrivée à mon domicile, je fonçais sous la douche afin que mon mari ne s’aperçoive pas de mon infidélité.
Une fois la douche prise, seulement vêtue d’une serviette autour de moi, je voulut prendre mon téléphone pour consulter d’éventuels messages … je ne le trouvais pas, nulle part !!! Où avais je bien pu le laisser? Au café ce matin? Au restaurant ce midi? Non, je me revois le ranger dans mon sac avant de me lever de table ….. Il n’y avait pas d’autres possibilités, il était resté chez mon amant !!!
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