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Apprentissage et decouverte

Apprentissage et decouverte



Au temps ou l’internet ne permettait pas de trouver un porno en deux coups de clics et ou nous devions nous armer d’ingéniosité pour trouver la perle rare qui exciterait nos nuits d’ado pour plusieurs semaines. La camaraderie et l’amitié nous permettaient de partager nos trésors et ainsi renouveler les pages collés par nos l’ADN.

Nous étions 3 dont l’amitié avait été celée par les années de scolarité que nous avions passé ensemble. Régulièrement durant les vacances nous avions l’habitude de nous inviter avec l’accord de nos parents à dormir les uns chez les autres et ainsi nous pouvions profiter ensemble, de nos découvertes. Excité il arrivait que chacun de notre coté, caché sous nos draps, nous nous masturbions pour expulser dans un kleenex, notre trop plein d’hormones.

Au fil des mois, a la faveur de nos vacances scolaires, nos petites soirées entre potes s’enchainaient et nous devions nous contraindre parfois a nous séparer de quelques revues devenues trop cartonné par notre semence pour pouvoir encore être excitante.
Un soir, l’un d’entre nous nous apporta une nouvelle prise de guerre qui nous présenta fièrement…. des capotes récupérés sous le lit de ses parents. Nous étions à l’époque inondé de publicité nous informant des risques du SIDA et des moyens de s’en protéger. La Capote avait le vent en poupe, mais nous n’en avions jamais vu en vrais.

Le petit carré en aluminium dans les mains, nous commencions sans attendre la lecture assidue de la notice d’utilisation. Machinalement, allongé chacun de son coté, nous sortions nos sexes gonflés d’excitation et entre nos mains nous nous efforcions de revêtir nos bites de ce bout de plastique ou il était bien précisé qu’il fallait pincer entre le pouce et l’index le réservoir avant de le dérouler.

Cette petite capote, a contribué à un changement majeur dans nos rendez vous de vacance. Pour la première fois nous nous étions montré nos sexes en érection. De plus en plus curieux nous continuions nos masturbations à la vue de tous et cette fois ci sans kleenex grâce à ce petit réservoir. Nous en profitions pour regarder nos bites du coin de l’œil au début ce qui nous permis de savoir si nous étions normalement constitué. De mon point de vue, la bite de Mathieu me paraissait plus grosse que la mienne, mais je me soulageais en pensant que celle de Thibaut était plus petite.

Lorsque l’un de nous s’apprêtait à jouir, les deux autres se rapprochaient pour contempler le remplissage du petit réservoir par le liquide blanc que nos sexe expulsaient pas saccade. Puis, une fois débandé, nous allions chacun à notre tour vider notre semence dans l’évier et nettoyons notre petit capote pour ne pas la jeter, on en avait qu’une 😉 . Quelques semaines plus tard, nous trouvions le courage, quand la rue était vide, d’aller en chercher dans les distributeurs des devantures de pharmacies.
Les vacances d’été aller nous permettre une nouvelle fois et pour plusieurs mois d’explorer un peu plus profondément notre sexualité.
En l’absence de ses parents Mathieu nous avait Invités chez lui en journée. Il nous fit découvrir pour la première fois une cassette VHS. Un porno américain qu’il avait déniché derrière tout un tas de cassettes entreposées sous la télé.
Positionné confortablement sur le canapé nos cœurs se mirent à battre très fortement dans nos poitrines au moment ou commençait à défiler le générique sur la télé.

Nos sexes se durcissaient instantanément sous nos shorts. Nos bites gorgée de sang nous lancée à en faire mal. Le short de Mathieu ne cachait plus son gland qui avait réussi à franchir la barrière de l’élastique de son slip. il pointé maintenant à l’aire libre.
Nous n’avion plus peur de nous monter nos sexes. C’est donc sans complexe que nous abaissions nos shorts sous nos fesses et commissions à nous masturber. Nous contrôlions notre désir pour ne pas jouir avant la fin de la scène. Au moment où la fille avala goulument le foutre du gars qui venait de la baiser, nos couilles ne supportaient plus la pression qu’elles avaient emmagasinée et chacun après l’autre nous recevions dans nos mains notre jus.
La pression accumulé dans la bite à Thibaut devait être bien plus forte que dans les nôtres, car sa main n’a pas réussit à contenir tout son foutre et une giclée atterrie à quelques centimètres du visage de Mathieu, ce qui nous a bien fait rire nais il a fallu brosser le canapé pour ne pas laisser de trace.

Par la suite, des que les parent à Mathieu s’absentaient, nous nous donnions rendez vous chez lui pour poursuivre la vidéo. Nous ne tarderions pas à la connaitre par cœur. Par habitude, nous savions quand nous devions accélérer nos aller et venu sur le long de nos sexe pour pouvoir jouir en même temps que l’acteur. Nous avions ainsi l’impression qu’on venait baiser et que c’est notre foutre que cette fille avait dans la bouche.

Durant ces deux mois d’été, ce fut au tour de Mathieu à nous Inviter à dormir chez lui. Thibault et moi-même, en tant que bon invité avions pensé à apporter dans nos sacs, de petits journaux portant le doux nom « UNIONS ». Ces revues narraient,i comme je le fait pour vous aujourd’hui, les histoires de cul que des couples avaient bien voulus faire publier.

Une fois la journée passée et l’heure de dormir approchant, nous nous enfermions dans la chambre de Thibault, et, une fois que nous avons eu la certitude que ses parents venaient de se coucher, nous sortions de nos sacs nos cadeaux d’invitation. La lumière fut tamisée au maximum pour ne pas trahir le fait que nous n’étions toujours pas couchés. C’est alors qu’a tour de rôle nous avons entrepris la lecture des récits de ces couples.

L’excitation grandissait au fur et à mesure des lectures de ces récits. Seul des t-shirt recouvraient nos corps. Assis à coté les uns des autres nos bites étaient fièrement levé. A la lecture de l’un les deux autre faisaient délicatement décalotter leur gland et commençaient lentement la masturbation de nos sexes tout veineux. Nous nous montions alors notre pré sperme en tapotant notre gland de l’index pour en extraire un fil de bave. C’était à celui qui l’étirait le plus loin.

Suite à venir.

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