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Pute dans un square.

Pute dans un square.



Un matin, après avoir pompé mon homme et vidé ses couilles. Il me dit :
« Habille toi ! Ne te lave pas, je t’emmène voir des amis dans cet état. »

J’ai honte mais ne lui refuse aucun de ses fantasmes. J’enfile une jupe et un débardeur en prenant soin de ne pas essuyer au passage le sperme que j’ai sur le visage. Dans la rue, je suis morte de honte et me cache derrière des lunettes noires. Alain marche derrière moi pour voir la réaction des passant. Comble de l’humiliation, du foutre commence à couler et pendre le long de mon menton. Alain se rapproche de moi et me murmure :
« Tu sais que tu es bandante humiliée comme ça avec mon sperme qui goutte sur ton menton ? »

Des passants semblent choqués et certains mecs me font des réflexions carrément salaces et vicieuses en me croisant. Le mot pute revenait souvent.
« Putain tu veux pas me vider aussi les couilles grosse salope ? »
« Mais t’as vu ta gueule ? T’es qu’une serpillère à foutre ! »
Alors qu’on passe dans une ruelle déserte, un vieux vicelard me plaque contre un mur et m’oblige à lui branler la bite. Je suis surprise et apeurée mais comme Alain est là pour me protéger, je ne crie pas et le branle comme il le souhaite. Le mec s’agrippe à mes nichons et ne met pas longtemps à venir en éjaculant sur ma jupe. En repartant satisfait, il me traite de grosse pute ! »

Je vois la bosse qui tend le jeans d’Alain. Moi j’ai les jambes en coton. Je navigue entre excitation et la honte de tant d’humiliation. Mais la scène a tellement excité mon mari qu’il décide d’augmenter d’un cran mon humiliation. Le sperme sur mon visage maintenant est séché et se voit beaucoup moins. Alain décide alors de me mettre un collier de chienne et une laisse pour reprendre notre chemin.

Les quolibets fusent bien évidemment. Je mouille et je sens ma cyprine couler sur mes cuisses. Cette humiliation supplémentaire me donne presque envie de jouir
«  Quelle chienne ! »
« Mais quelle grosse pute ! Elle a même un collier de chienne ! »
« Hey grosse salope, c’est combien pour m’sucer la queue ? » Demanda un jeune arabe
accompagné par trois potes qui reprennent :
« Tu dois en bouffer des kilomètres de bites ! »
Un autre lance :
« Les mecs, elle a pas de culotte ! On voit son cul et sa moule ! J’vais lui peter le cul à cette pouffiasse ! »
Je ne sais plus où me foutre. Je voudrais être une petite souris et me faufilet dans le premier recoin venu. Mais Alain très excité et vicelard, trop content qu’on me prenne pour une pute, qu’il décide de pousser le vice jusqu’au bout. Il propose aux jeunes arabe :
« On va dans le parc et elle est à vous pour 10 balles chacun. »
Sur le chemin, les mecs me tripotent les fesses. Mes seins sans soutient gorges rebondissent à chaque pas. Ils me pelotent les seins en pleine rue. L’un d’eux fourre ses doigts dans ma chatte en disant :
«  Putain mais c’est que tu mouilles comme une pute ! »
Arrivés dans le parc, nous trouvons un petit bosquet qui nous cache un peu. Là, les beurres me déshabillent rapidement et se mettent à me tripoter sans vergogne.

« Oh putain, elle est trop bonne ta pute ça doit être un sacré garage à bites ! »
« Et ses nibards de vrais mamelle de vache laitiére ! » Dit un autre en me malaxant les seins.
« S’pèce de pute tu vas pas comprendre ce qui va t’arriver ! »
Alain alors intervient :
« Holà les mecs ! Payez d’abord et ensuite vous pourrez utiliser la marchandise ! »
Un des loubard agrippe la nuque et se branle entre mes seins, balançant ses reins d’avant en arrière.
« Branle moi avec tes mamelles de pute. T’es trop bandante ! »
Je tiens mes seins et lèche le gland de temps en temps quand il s’approche de ma bouche.

J’ai envie de prendre sa bite en bouche. Alors je la prend et commence à le sucer.tout en lui malaxant les couilles. Le jeune magrében pousse un râle de satisfaction en disant :
« Salo0000pe !!! J’savais qu’t’étais une gourmande. J’parie que t’as ouvert plus de braguettes que d’dicos dans ta vie. Oui avale bien ma queue dans ta gueule de truie ! »

Des voyeurs approchent et demandent les tarifs à mon mari.
« 10€ la pipe messieurs. 20 la baise et 30 la sodo. »
Pendant que je suce, Alain encaisse les gains. Je suis devenue sa gagneuse, une vulgaire pute au rabais. Les mecs formaient une chaîne.

Comme une chienne, je suce tour à tour les types qui se présentent. Les queues étaient dressées à la hauteur de sa bouche. Pendant que je m’applique à sucer les bites, j’en branle d’autres et un mecs se place derrière moi pour m’enfiler la chatte.

Les clients se soulagent en se vidant dans ma bouche ou dans ma chatte. Je suis entourée de queues. Mon corps ne m’appartient plus. Je prends deux deux bites en même temps en bouche pendant que mes mains en branlent deux autres. Ma bouche est distendue. Tous les hommes m’insultent, m’enfonçant des doigts dans le cul ou la chatte. Je mouille comme une chienne. Je n’arrive plus à respirer.

« Avale ça ! Avale tout souillon, une bonne pute comme toi ça avale. » Dit le mec, en éjaculant dans ma gorge. Puis Alain estimant que j’ai assez donné, dispersse les mecs et nous rentrons chez où m’attend une bonne douche.

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