Chapitre 3 : le gamin chute dans les profondeurs du vice
– Ma fille, seulement à ta majorité. Nous ne pouvons te prendre avec nous tant que tu n’es pas en âge de décider sans tes parents. Seulement à ce moment, nous te prendrons avec nous. Tu sais ce que tu subiras ?
– Non ma mère, mais il me tarde de savoir.
– Ta première année, ces novices peuvent te le dire, douleur, peu de plaisir, soumission à nos règles très sévère, nos plus bas instincts. Puis, durant la seconde année, la douleur s’adoucit, plus de plaisir et soumission sans faille à nos vices, nos ordres. Le jour où nous te sentirons prête, prête à tout accepter, tu prononceras tes vœux dans une bacchanal durant laquelle tu te donneras à nous sans aucune réserve, sans plus aucun tabou, ma fille. Dès cet instant, tu seras des nôtres. Dès cet instant, nous, les anciennes, nous ferons de toi ou une servante comme cette salope de Gisèle ou une institutrice peu vertueuse et diaboliquement sévère envers tes élèves. Il te faudra nous faire montre de ta grande sévérité, de ton manque de pitié quand le moment de punir viendra. Il te faudra nous prouver que tu es capable de prendre ton pied en punissant nos élèves.
– Je vois, ma mère. En fait, vu ce que je vis depuis peu, ne peut-il pas être possible d’être soumise et dominatrice. Dominatrice envers les élèves, cela va de soi.
– Bien entendu. Cela dit, dans ce cas, c’est en portant le cilice que tu éduqueras tes élèves. Soumise, on ne l’est pas qu’en dehors des cours que nous dispensons, ma fille.
– Je sens que le vice ne vous a jamais quitté, ma mère.
– Parce que je suis ici depuis ma septième année, ma fille. C’est ici que j’ai vécu la plupart de ma vie. C’est ici que je me suis vue admirée pour ma différence. J’ai été abusée de bien des manières, pas toujours jouissives. Je n’ai quitté ce lieu de perdition que pour enterrer ma famille, mes proches.
Je la regarde, elle y voit, dans mes yeux, tous mes désirs, toutes mes envies. Cette mère supérieure vient de nous avouer l’origine de ses vices les plus immoraux. Mais, il y a cette question que me hante depuis un instant, d’où vient cette furieuse envie de souffrir et jouir, de faire souffrir et jouir ou, comme dans le cas de Martine et moi, de nous faire souffrir, en éprouvé du plaisir et nous faire jouir, nous les ados.
– Mon fils, pour toi, la chose n’est malheureusement pas possible. Crois-moi ou pas, s’il nous était possible de changer une virgule de nos règles ancestrales. Nous voudrions le faire, rien que pour te garder ad-eternam. Mais pour cela, seul la plus haute autorité de notre église est à même de modifier nos règles. Crois-moi, tu n’es pas le premier pour qui nous voudrions le faire. Seulement, cela prendrait des années avant que cela ne change.
– Une bien triste nouvelle, ma mère.
– Oui mon fils, une triste nouvelle pour nous tous. Mais que cela dise, il te reste quelque chose comme trois ans à passer parmi nous. Alors, prend plaisir à baiser celles que nous te donnerons, mon cher fils. Ce sera une bien faible compensation en regard de ce que tu as subi.
– La compensation, c’est celle du malin ou celle de votre congrégation qui n’a eu de cesse que de m’humilier, me punir plus sévèrement et plus souvent que toutes les filles.
– Cela, jamais tu ne nous le pardonneras, mon fils, c’est bien exact ?
– Ma mère, je ne suis pas de nature rancunière. Aussi, si pendant ces trois années qui me restent à vivre en ce lieu, si je pouvais assouvir une partie, par la vengeance, des sévices reçus. Je ne vous cache pas que j’en aurais d’immenses plaisirs.
– C’est du domaine du possible, mon fils. Mais pour cela, Martine devra faire serment de ne jamais rien rapporter de ce qui se passe en ces murs.
– Ma mère, je vous en fais le serment le plus solennel qui existe. Que je sois maudite à tout jamais si je venais à divulguer les secrets de ce pensionnat.
– Une malédiction ? Non, certainement pas. Mais amenée ici, tu y serais punie des semaines durant pour te le faire regretter amèrement. Et là, plus question que tu enseigne, ma chérie. Cachot, tâches ingrates, baisée, enculée, tu ne servirais que nos plaisirs les plus vicieux, ma belle.
– Alors, si je parle, qu’il en soit ainsi, ma mère.
– Bien, il est grand temps de faire manger. Gisèle ! Oh, Christian, s’il te plait, retire son écarteur et qu’elle nous montre comment elle avale très lentement tes selles, mon cher fils.
À genou, la tête en arrière, le corps bien droit, elle avale mon étron comme ordonner par la mère supérieure. Puis, nourrie de mes selles, nous l’abandonnons dans la cage qu’elle habite quand elle n’est pas servie pour les plaisirs sadiques des nonnes. Je regarde Martine, montrant cette cage.
– C’est là que tu vivras si tu venais à parler. Je viendrais personnellement te torturer et y prendre mon pied.
– Christian, tu sais que cela pourrait me plaire, si toi et les nonnes, vous veniez à vous servir de moi pour jouir de vos vices les plus cruelles.
– Je te crois volontiers depuis que je t’ai vue te faire flageller en classe et être à deux doigts de jouir. J’aurais donné cher pour que tu me suce pendant le temps de cette jolie punition.
– Mais dis-moi, deviendrais-tu comme ces sœurs, un vicieux sadique.
– Ma foi, comment devenir autrement. J’avoue que le simple fait de fesser un bon gros cul n’est pas pour me déplaire, de voir sœur Gisèle de la Compassion me bouffer mes selles, ça me fait bander. Et puis, te voir boire ma pisse, celle ces nonnes vicieuses, ça me fait bander et jouir.
– Jeune ou vieux, le cul ?
– Peu m’importe. Regarde-moi, j’ai baisé une quadragénaire, la mère sup, une novice, pas encore 20 ans, j’ai enculé dans une chapelle, l’autre novice à peine 18 ans. J’ai défloré la plus belle fille de tout le pensionnat. Je l’ai même fessée. Je crois que oui, j’aime baiser, enculer, mais j’adore fesser, c’est certain.
– Sadique, alors.
– Comme nos nonnes. Je crois que si je le pouvais, je resterais ici. Oh, j’oubliais, notre mère sup et sa si belle différence.
– Ah ça, c’est vrai qu’elle nous a tous scotché avec sa biroute. Surtout qu’elle sait magnifiquement s’en servir
– Et elle est si étroite, comme toi, tiens. Bon, j’ai la dalle, on y va ?
– Tu ne mets rien ?
– Ben non, s’il faut baiser ou être baisé, autant y aller à poil.
– Tu as raison, on y va !
Dans la vaste cuisine du pensionnat, les novices mettent la table. Comme nous, elles sont entièrement nues. D’après sœur Emmanuelle, c’est même une règle absolue en l’absence des élèves. Si, elle porte bien un bout de vêtement, leur coiffe et des chaussures à talon haut. Avec ces hauts talons, cela met encore plus de piment à la chose. Ces nonnes deviennent encore plus attirantes, les jeunes comme les plus âgées. Perso, j’adore ces corps. L’âge, le corps de celle que je baise m’importe peu si je peux faire jouir et prendre mon pied. Aussi, seul mâle dans ce coin remplit que de femmes, et avec la bénédiction de la mère sup, mes mains ne se gênent plus pour palper, caresser et même fesser si l’occasion se présente. À table, la novice que j’enculais durant les matines, se glisse sous la table, avec moi assis près de la mère sup, elle se met à nous sucer et nous branler à volonté et avec notre bénédiction. De ce samedi merveilleux au dimanche, peu avant l’arrivée des élèves, les seules prières que j’entends, ce sont des exclamations de plaisirs ou de douleur. Même que je donne mon cul à Martine qui me le fesse de manière démoniaque et si jouissive pendant que je baise sœur Emmanuelle la Bien-Nommée, la plus âgée des nonnes, du haut de ses 69 ans. Magnifique corps qu’elle possède encore, mes caresses, comme mes coups de rein n’ont de cesse de la faire jouir jusqu’à demander grâce quand sœur Marie-Madeleine soulage sa vessie dans sa bouche. Laissons là ce divin week-end, d’autres sont à venir, plus exquis encore.
S’il est un chose qui nous rend fou, ce sont bien les vacances, c’est ce que tous rêvent une fois de retour de week-end. Quitter ces murs pour rejoindre nos parents, ne plus subir les supplices de ces nonnes plus dévergondées que ce monde qui nous entoure. Dans ma ville, après le car de la poste, j’y arrive par le train, fatigué après une matinée bandante autant que jouissive. Après une journée de train sans fin, sur le quai, personne n’est là pour m’accueillir, sympa la famille. Mince, ils sont aux vêpres. Ben oui, vu l’heure. Ok, à pied, je marche le long de la route quand une voiture s’arrête à ma hauteur. C’est une femme d’une bonne trentaine d’année qui m’interpelle.
– Montez, jeune homme, je vous conduis chez vous.
– Ce n’est plus très loin, vous savez.
– Je sais, oui, mais le temps est à l’orage.
Et le tonnerre gronde au même moment, accompagné d’un éclair menaçant. Autant dire que je jette ma valise à l’arrière de l’auto et que je me glisse à l’intérieur vite fait. Ma valise sur le siège arrière, la conductrice avise l’étiquette qui y pend.
– Comme ça, on est au Pensionnat de la Pelouse-Verte ! Que de souvenir, j’y ai passé mes plus belles années, vous savez.
– Quoi, vous aussi ?
– Oui, dites, la mère supérieure, toujours aussi vache ?
– Avec les garçons, c’est une véritable peau de vache, une sadique. Mais il n’y a pas qu’elle, vous avez. Il y a même pire. Enfin, il y avait aussi
– Oui, sœur Marie Madeleine de Jérusalem, Sœur Emmanuelle et cette nonne, cette pute, sœur Sainte Clothilde si ma mémoire est bonne.
– Elle n’est pas à la Pelouse-Verte en ce moment. Elle est en mission en Afrique.
– Oh, elle va y dresser des petits noirs. Elle, c’est une salope de première. Jamais je n’ai vu une pervers telle que cette femme.
– Mais vous ne m’aviez pas dit avoir passé vos plus belles années ?
– Oui, êtes-vous au courant qu’il y a un superbe hermaphrodite dans ces murs ?
– Je suis au courant sans savoir qui s’est.
– La mère sup et elle t’encule comme personne.
– Oh, il se passerait donc des choses là-bas ?
– Pas qu’un peu. C’est même elle qui m’a faite femme et nonne du même coup ! Et en me fessant en plus. Depuis combien de temps vous y êtes ?
– Moi, depuis mes six ans.
– Et tu en as ?
– Là, je vais sur mes seize en début d’année prochaine.
– Encore deux ans et quelque. Oui, je suis certaines qu’elles auront à cœur de faire de vous un pro du sexe.
– Comme vous parlez, on dirait que vous regrettez de ne plus y être.
– Parfois oui, cela m’arrive. Mais le fait d’en parler avec un autre pensionnaire, qui plus est l’un des premiers garçons, ça me fait me souvenir.
– Serait-ce trop vous demander si c’est jouissif que d’en parler ?
– Mais oui, on n’oublie jamais ce que nous avons vécu en ces murs. Même si toutes mes copines n’ont pas eu cette chance.
– Les religieuses trient qui mérite ou pas leurs attentions saphiques alors ?
– Oui, et quand elles vous tiennent, cela devient merveilleux à en crever.
– Je parie que vous seriez restée. Mais en tant que quoi, éducatrice ou souffre-douleur ?
– Hein, Ooooooh le vilain cachotier, toi, tu fais partie des élus, c’est ça, dis-moi ?
– J’étais souffre-douleur, mais depuis un bon mois, je suis passé à baiseur-fesseur.
– Toi, faut qu’on se revoient et au plus vite. Faut que tu me racontes tout.
– Je ne le peux pas sans ne pas rompre mon serment.
– Alors, je t’en délivre mon fils.
– Pardon, vous me délivrer d’un serment fait sous la croix ? Et de quel droit ?
– Oui mon fils, je suis sœur Clothilde. Vois ma marque sous mon seins gauche.
– Pardon ma sœur, je ne pouvais le deviner. Je ne vous avais pas reconnue en civil
– Et c’était là le but. Mais tu as bien résisté à mes questions. Je regrette de t’avoir bien trop puni par le passé. Aussi, donne-moi une chance de me faire pardonner.
Devant mon immeuble, elle me demande de patienter un moment. Du coffre, elle retire un sac. Puis, telle une voleuse, ou une espionne, elle se glisse dans le cave de mon immeuble pour en ressortir en nonne, une bien exquise nonne. Là, ses sévices me reviennent à l’esprit et je ne la regarde plus comme une femme, mais comme la sadique qu’elle a été avec moi. M’ouvrant la portière, elle n’oublie pas de prendre ma valise. Elle la porte même jusqu’au quatrième étage et sans ascenseur. Là, je sonne, patiente. Ma mère m’ouvre, m’accueille sans effusion autre qu’un furtif baiser presque maternel sur ma joue. De quoi sombrer dans une profonde dépression. Mais devant sœur Clothilde, ma mère change, elle s’agenouille, baise l’anneau monacale. Sœur Clothilde la bénit de manière expéditive et la relève.
– Ma fille, est-ce ainsi que vous accueillez le fruit de vos entrailles, votre fils ? Juste un baiser et sans aucune chaleur maternelle ! Mais bon sang de bois, vous devriez l’accueillir comme le fils prodigue, ma fille, éprouvez une joie sans borne, que diable ! Il est de retour après des semaines s’absences et pour vous avoir obéit sans faille qui plus est. Où se trouve votre chaleur chrétienne, pas dans votre cœur, à ce que je constate.
– Ma mère, je vous demande humblement pardon. À vous aussi, mon fils.
– Le pardon ne peut venir que dans la douleur de la punition, ma fille. Mon jeune ami, déposez votre valise pendant que j’entretiens cette pêcheresse sur sa grande faute. Oh mon fils, je ne vous avais point vu. Voici que je vous amène votre enfant et votre épouse, charmante au demeurant, l’accueille comme votre progéniture ne représentait plus rien à ses yeux. Est-ce à dire que vous ne connaissez plus la bible, les dix commandements, mon fils ? ET ON SE LÈVE QUAND UNE ENVOYÉE DU TOUT PUISSANT ET DE LA TRÈS SAINTE ÉGLISE CATHOLIQUE PÉNÈTRE CHEZ VOUS. LEVEZ-VOUS !
– Ma mère, je suis votre plus humble serviteur, ma femme sera sévèrement punie de ma main. Je vous en fais serment
– Que nenni, mon fils. Un seul ici peut punir cette femme, votre fils, le fils prodigue de votre couple, c’est lui l’humilié !
– Je suis à vos ordres, ma sœur.
– Ma mère, si vous le voulez bien, mon fils. Apprenez que c’est mon titre devant vous. Approchez donc, mon enfant. Tenez, prenez ma ceinture, elle fait mal. Ma fille, cul nu et à genou, votre postérieur relevé et la tête sur le sol. Vous aussi, mon fils, vu que vous ne montrez aucun entrain à accueillir le fruit de vos entrailles. Voilà, l’un à côté de l’autre, c’est bien. Vous, mon fils, je crois savoir que vous avez connaissance de notre règlement, quel est le tarif selon vous ?
– Vingt coups, ma mère.
– Et sur le sillon, bien au centre et frappez ferme.
Ça, il ne fallait pas me le commander deux fois.
– Bien, ma mère.
Oui, je sais rester humble, mais par jeu, vous l’aurez compris.
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