Je termine mes dernier achats pour le réveillon. Je regagne ma voiture. Sur la route, La radio passe des chants de Noël. Je suis distraite. A quelque minutes de chez moi, je suis surprise par un motard dont le feu arrière ne fonctionne pas. Je tente de l’éviter mais le percute et le fais chuter. Je me précipite vers lui en m’excusant et lui demande si s’il n’est pas blessé.
« Non ça va. Juste un peu sonné. Merci. »
« J’habite tout près. Voulez- vous que je vous emmène chez moi et l’on pourra téléphoner pour récupérer votre moto. Ici il n’y a pas de réseau.»
Arrivé chez moi, sa veste et son jean étant recouvert de boue, je lui propose de lui enlever pour les mettre au lavage. Il me regarde curieusement et enlève son pantalon. Je met le tout dans la machine à laver et lance le programme. Je reviens dans le salon avec deux verres de whisky. Et m’assoie devant lui. Il n’est pas mal ce motard me dis-je, en dégustant mon whisky. Des fourmillement chatouille mon bas ventre et mes seins durcissent déjà. Ce bel inconnu ne m’est pas insensible.
« Je m’appelle Michèle et vous ? »
« Fred. Madame. Pourrais-je téléphoner pour qu’on embarque ma bécane et qu’on vienne me chercher ? »
« Oui bien sûr ! Mais votre pantalon est au lavage et il ne va pas être sec. Si vous voulez, rester ici cette nuit, demain je vous reconduirez chez vous. ».
« C’est bien gentil. Merci. »
Installez-vous confortablement, je vais me changer. J’ai envie de lui et dans mon dressing, je cherche quelle robe je pourrais enfiler pour allumer mon motard. Je choisi une robe en stretch moulante et très décolleté que j’enfile nue dessous. Je me regarde dans le miroir et me trouve bandante.
Quand je reviens au salon, Fred me déshabille du regard. Ses yeux s’attardent sur mes seins. Il reste ainsi un instant à me contempler. Son regard sur moi me fait un effet fou. J’ai une envie folle qu’il me culbute là à même la table de salon ou sur le sol. Je tente de reprendre mes esprits en lui servant un deuxième verre. Quand je me penche pour le servir, il ne quitte pas des yeux mon large décolleté qui s’offre à quelques centimètre de lui. Il me propose de m’asseoir à ses côtés. Je suis sous le charme et lui obéis. Mon regard se porte sur son boxer. Je constate que ne suis pas la seule a avoir des envies, vu la grosseur impressionnante qui déforme son sous-vêtement. Il passe son bras par dessus mes épaules et m’embrasse sur la bouche. Je réponds à son baisé m’abandonne. Sa langue joue avec la mienne. Il la suce comme un sexe. Je mouille et machinalement j’écarte légèrement les jambes. J’ai envie qu’il me prenne. J’ai envie de le sucer et sentir sa verge vibrer dans ma bouche. Mais je le laisse faire et prendre les initiatives. Il continue à m’embrasser, ses mains juste posées sur mes épaules. Il me fait languir. Il sait y faire en me faisant monter en pression. Puis, subrepticement, il fait glisser les bretelles de ma robe pour libérer mes seins qui dardent fièrement. Il passe un doigt sur mes tétons dure comme la pierre. Je gémis légèrement et bascule ma tête en arrière le laissant s’amuser avec mes bouts. Il se met à malaxer ma poitrine en jouant avec mes tétons. Un feulement profond de chatte en chaleur l’encourage à manipuler mes globes. Il me suce les mamelons et mordille mes tétons. J’adore ça et il dit de continuer. Des vagues de plaisir parcourent mon corps. Je me laisse aller à ses caresses et me cambre de plaisir. Il pose sa main sur ma tête et me dit :
« Suce-moi ! »
Je n’attend que ça. J’écarte l’élastique de son boxer, libère sa queue qui se dresse comme petit diable qui sort de sa boîte et vient frapper ma bouche. Je prends ses couilles dans une main et gobe son gland. Il pousse sur ma tête et sa queue s’enfonce au fond de ma gorge. Sa main maintient ma tête. Je reste empalée sur son engin et je commence à étouffer. Il relâche sa pression. Je sors la bite de ma bouche et reprend respiration haletante. Il me regarde amuser sûre de son charisme et du pouvoir qu’il a sur moi. Il m’ordonne :
« Fais-moi un strip-tease ! »
Je me relève et fais comme il le désir. Mon effeuillage n’est pas long puisque je suis nue sous ma robe.
« Viens t’empaler sur mon engin Michèle ! »
Je monte sur le divan, descend sur sa bite et m’empale sur ce pieux tant convoité. Je mouille tellement qu’il me pénètre sans peine. Il est gros et me remplit bien. Les parois de mon vagin se contractent et massent son sexe. J’ondule sur ce sexe qui me fourre si bien. Il pelote vigoureusement mes seins comme j’aime. Je me déchaîne sur sa queue. Je m’entends lui dire des choses incohérentes. Il m’insulte et ça ne fait qu’augmenter mon désir. Soudain, il décharge de longues giclées qui inonde mon vagin. Sa jouissance déclenche mon orgasme. Ce n’est pas un orgasme ordinaire. C’est une déferlante, une vague scélérate qui s’empare de moi. Il en profite pour se saisir de mes tétons et les maltraiter durement. Je m’écroule sur lui terrassée par trop de bonheur. Quand je reprends conscience, il est encore en moi. Sa semence mélangée à ma cyprine s’échappe de ma chatte en coulant sur ses testicules. Je me met à genoux devant lui et, consciencieusement, je nettoie sa hampe ramollissante. Je le suce, lèche ses couilles, avale son sperme et ma cyprine. Je passe ma langue sur son méat pour recueillir les dernières gouttes de son miel bienfaisant. Mais coups de langue ne le laisse pas indifférent. Son sexe se remet à vibrer et se tend à nouveau majestueux devant mes yeux ébahis. Je la prends entre mes seins et la masturbe entre mes deux mamelles. Il m’avoue :
« Ma soirée n’aurait jamais pu être aussi bien sans ce stupide accident. T’es trop bonne toi ! J’ai envie de te sodomiser. »
Sans qu’il en dise plus, je me met à quatre patte et lui lance :
« Vas-y fais toi plaisir mon cul est à toi. »
Il écarte mes fesses, me pénètre de son pouce pour faire le passage et commence un va et vient. Je me cambre un peu plus en gémissant. Ses doigts s’agitent dans mon étroit conduit. Il remplace ses doigts par sa queue et me bourre le cul avec une v******e peu commune. Il m’insulte et je hurle mon plaisir d’être secoué ainsi. Au moment d’éjaculer, il me prend par les cheveux et dirige sa verge sur mon visage pour jouir dessus. J’en ai partout. Des filets de sperme coulent de mon menton sur sur mes seins. La tension sexuelle redescend doucement et en se regardant, nous éclatons de rire.
Je me lève, ouvre une bouteille de champagne et portons un toast à notre rencontre. Il
verse le fond de la bouteille sur mes seins maculé de son sperme et me lèche en insistant sur les boutons tendus. Je n’arrête pas de mouiller. Pendant qu’il s’occupe de mes seins, je me masturbe et joui de nouveau. Mes jambes ne me tiennent plus et il me soutient pour que je ne m’écroule pas.
Cette foi, nous sommes épuisés. Comme mon mari n’est pas là, il passe la nuit dans le lit conjugal tout blotti contre moi.
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