Dimanche 28 Juillet 2013
Ce matin, histoire de faire progresser les choses, notre trio descend au petit-déjeuner directement en string-ficelle de bain: moi en jaune, Lola en bleu et Ju en noir. Hélène a l’air d’en avoir pris son parti et porte juste un T-shirt ample sur son bas de bikini. Elle semble avoir décidé de laisser définitivement plus de liberté à ses tétons, au grand profit de Thomas qui lorgne sur toutes ces nudités mises sous son nez.
La sortie programmée est un pique-nique au lac d’Esparron, sur une plage que Je connais et que j’ai proposé de faire découvrir à Hélène car c’est la plus proche de sa maison.
Arrivés sur place, Hélène et Thomas ont la surprise de voir pas mal de gens à poil. Je leur révèle alors que c’est un secteur autorisé naturiste. Il y a aussi des gens en maillot, et pour ne pas se défiler, Hélène se pose en essayant de ne pas trop regarder les anatomies dévoilées autour d’elle. Vu le contexte, elle se met topless comme la veille. Seul Thomas détonne du groupe avec son caleçon large alors que nous trois sommes en string. Mais il n’est pas le seul dans cette tenue sur la plage.
Après le pique-nique, Je demande si ça gênerait quelqu’un du groupe si je me baignais à poil. Comme personne n’ose s’y opposer, je vire mon string et me lève pour aller à l’eau, la différence avec ou sans la ficelle n’étant pas énorme vu de dos. Du coup, sans rien demander, Lola me suit, puis Ju. Hélène se décide à nous rejoindre mais garde son bas de bikini. Quant à Thomas, son érection lui interdit de se lever car elle serait trop visible même avec l’ampleur de son short.
C’est quand nous ressortons de l’eau que la différence est vraiment visible. Revenant la première, Thomas découvre alors que je n’ai aucun poil pour masquer ma fente. Il sent une érection monter dans son caleçon et l’arrivée de Lola n’arrange rien car il constate qu’elle n’a pas plus de poils entre-jambes que moi. Quand nous sommes installées sur nos serviettes, nous ne faisons rien pour serrer leurs cuisses, bien au contraire. Aussi quand Hélène revient à son tour, elle remarque enfin nos épilations. Bien que visiblement troublée, elle s’essuie puis s’assoit elle aussi sans faire de remarques. Enfin, Ju sort lui aussi de l’eau, leur présentant sa panoplie trois pièces, imposante même au repos et son plumeau de poils.
Hélène se surprend à regarder avec insistance cette apparition.
De retour à la maison, ce sont les hommes qui passent les premiers à la salle de bains, suivis par Lola.
Alors qu’Hélène est sous la douche, J’ouvre la porte de la salle de bains:
– Je peux entrer?
– Euh, oui, vas-y…
– Je voulais te demander: j’espère qu’on ne t’a pas choquée avec le naturisme?
– Euh, non. En fait, ça m’a surprise, mais c’est vite passé.
– Bon, ça me rassure, j’avais peur de t’avoir mise mal à l’aise.
– Oh, ça ira. Par contre, je sais pas pour Thomas…
– Je pense qu’a son âge, ça a plus dû l’intéresser que le gêner!
– Oui, tu as peut-être raison, voir des femmes nues…
– Et surtout bien épilées!
– A ce propos justement, les poils ne vous encombrent pas trop, tous les trois…
– Oui, c’est bien plus agréable. Et donc tu as remarqué aussi pour Ju?
– Bien obligée. en plus, je t’avoue que j’en avais jamais approché d’aussi grosse!
– Et encore, il était au repos!
– Hum…
Sur ce, Hélène ferme l’eau et prend la serviette pour s’essuyer et sortir de la douche. J’en profite pour virer mon string jaune et passer sous le jet:
– Et toi, commet tu fais depuis que tu as divorcé? Tu as un ami?
– Ben non, je t’avoue que je suis un peu en manque depuis un moment.
– Oh, tu vas bien rencontrer quelqu’un, je te le souhaite.
Après ce rinçage rapide, je ressors et prends la serviette des mains d’Hélène pour m’essuyer, la laissant totalement nue au milieu de la salle de bains:
– Oh, et toi tu as un joli ticket de métro. Dommage que je sois la seule à en profiter…
– Oui, je continue à m’entretenir, on ne sait jamais. Et puis, c’est bon pour le moral!
– Tiens, tant qu’on est là, tu devrais essayer de porter des strings comme maillot!
– Non, tu déconnes, pas devant mon fils!
– On s’en fout, il nous a déjà vues Lola et moi en string, et même à poil.
– C’est vrai que vu comme ça. mais tout de même, je suis sa mère…
– Allez, essaie le mien, qu’on voit ce que ça donne.
Je lui tends le string-ficelle rouge que j’ai prévu comme rechange et Hélène l’enfile:
– Non, regarde, c’est vraiment un peu trop osé pour sortir devant mon fils, non?
– Bon, OK, mais avec celui que Lola portait hier, ça devrait le faire.
Et Je m’’éclipse pour revenir avec le bandeau bariolé. Hélène réalise:
– Dis, tu es allée à poil dans le couloir, tu aurais pu être surprise.
– Mais non, tout le monde est en bas en ce moment. Allez, enfile celui-là!
Comme la taille d’Hélène n’est pas exactement la même que celle de Lola, Je ré-ajuste les nœuds sur les côtés pour que le string tienne bien. Au passage je me permets quelques attouchements légers sous prétexte de bien voir si le string est en place. Hélène frémit un peu quand elle sent mes doigts lui frôler les fesses et les côtés du pubis. Elle se dit que je ne l’ai pas fait avec des intentions sexuelles, mais rien que cette pensée lui fait pointer les tétons malgré elle.
Je remarque l’excitation de mon amie et j’enfonce le clou:
– Tu vois, il te va à merveille. Et en plus c’est guère moins que ton bas de bikini!
– Oui, c’est vrai qu’il il reste soft par rapport au tien.
– Allez, tu le gardes sur toi et on y va.
– Ok, tu m’as eue, je me lance!
Le marché étant conclu, j’enfile mon string et nous descendons rejoindre les autres qui ont préparé l’apéro sur la terrasse.
En découvrant sa mère en string, Thomas ne peut s’empêcher de bander. Au début, Hélène est un peu empruntée de se sentir aussi exposée, puis elle s’y fait assez vite. Elle ne cherche même pas à aller enfiler quelque chose au moment de passer à table, d’autant plus que le dîner se fait sur place, sur la terrasse. Thomas est au bord de l’explosion quand sa mère se lève pour débarrasser et se penche en lui tournant le dos.
Maintenant, Hélène à l’air à l’aise dans sa nouvelle tenue. Elle suit le mouvement quand les autres rentrent pour se mettre sur le canapé et les fauteuils afin de planifier la journée suivante. Lola et moi faisons en sorte de coincer Thomas entre nous deux et il montre des signes de confusion avec ces hanches nues collées à lui et ces seins librement exhibés juste sous son nez. Sans compter qu’il a en plus ceux de sa mère pile en face de lui.
Au moment d’aller au lit, J’en rajoute une couche en me levant et en passant entre lui et la table basse, lui collant presque mes fesses contre son visage. La vision de ces deux globes enserrant la mince ficelle rouge achève de lui faire bouillir le sang.
Excité par les visions de la journée, entre autres celles des fesses et des petits tétons pointus de sa mère sans oublier les chattes lisses de Lola et moi, je sais queThomas va à peine attendre que tout le monde soit arrivé à l’étage, hors de sa vue, pour virer son caleçon qui colle un peu et s’activer à évacuer le trop-plein en se secouant le manche énergiquement.
Sauf que cette fois, comme j’espère que ce seraient le résultat de mes manœuvres, je décide de descendre sous le prétexte d’aller boire un coup bien frais à la cuisine avant de commencer les grandes manœuvres avec Ju dans notre chambre.
Je n’hésite pas à le faire complètement à poil dans la pénombre, vu ce que je compte trouver en bas. Etant aussi pieds nus, je ne fais aucun bruit dans l’escalier, et en passant par le salon, j’entends des halètements et perçois des mouvements furtifs. Je réalise immédiatement que tout se passe comme prévu et je m’approche encore plus silencieusement du canapé par le dos. j’arrive derrière Thomas qui est à poil et se branle frénétiquement.
Dans le feu de l’action, il murmure:
– Oh oui, Maman…
Je le regarde faire un instant puis je me penche sur son épaule:
– Tu te fais plaisir en pensant à ta mère?
Thomas sursaute et lâche sa bite qu’il essaie de masquer avec les deux mains mais je le rassure:
– Allons, ne t’inquiète pas, c’est naturel, surtout à ton âge.
je continue mon chemin, allant au frigo pour me servir un grand verre d’eau bien fraiche avant de retourner au salon. Thomas n’a pas bougé et me regarde qui reviens sans complexe m’assoir entièrement nue en face de lui.
Je bois une gorgée et reprends:
– Alors, c’est ta mère qui te fait autant d’effet?
– Euh, oui, j’avoue, c’est de la voir en string. J’ai honte, ne lui dis pas…
– Et qui d’autre? Ma fille? Moi? Tu fantasmes pas un peu sur nous aussi?
– Euh, oui, toutes les trois, c’est vrai. Mais aussi, vous êtes…
– Bandantes? Excitantes?
– Oui, c’est ça. Alors, tu vas le dire à ma mère?
– Non, mais à condition que tu fasses ce que je dis.
– Bon, d’accord, mais quoi?
– Eh bien commence par me montrer ce dont tu prends tant de soin à me cacher.
Thomas s’exécute et enlève ses mains, dévoilant sa bite qui s’est pas mal ramollie entretemps. Je continue:
– Bon, maintenant, finis ce que tu avais commencé, c’est pas bon de rester en plan.
Thomas hésite, alors je me lève et m’assois plus près de lui sur la table basse:
– Je vois qu’il faut te motiver pour te remettre en forme…
J’écarte les cuisses et me passe le verre frais entre les seins. Même dans la lumière faible, il voit bien la naissance de la fente. Sa queue commence à se redresser et finit par venir buter contre son ventre quand je me caresse doucement un téton et fais glisser le verre embué vers ma fourche pour lui donner des images suggestives.
Finalement, il empoigne sa tige et reprend sa masturbation. D’abord lentement, puis de plus en plus franchement quand il réalise qu’il peut faire ça impunément. Ça l’excite à mort de pouvoir le faire devant moi. C’est même trop pour lui et il ne retient plus rien. Il éjacule sans prévenir, envoyant des jets puissants tous azimuts. Une partie du sperme aboutit sur un de mes genoux.
Je me lève et m’essuie avec le drap qui est sur le canapé:
– Bravo! Il te reste à nettoyer un peu, et ensuite, dodo! Fais de beaux rêves…
Je lui fais une bise sur la joue en lui passant furtivement le bout de mes doigts dans les poils pubiens à la base de sa bite puis je m’éclipse pour retourner dans ma chambre et commencer comme la veille une baise sonore avec Ju.
Dans la chambre d’à côté, Lola doit encore se contenter de son jouet.
Dans la chambre de l’autre côté, c’est Hélène qui bénéficie aussi de la retransmission radio de cette séance. Entre les cris, soupirs et halètements, elle m’entend clairement demander à Ju de m’enculer, puis un peu plus tard Ju me demander de bien tout avaler. Ça lui met les sens en folie et elle sent qu’elle ne tiendra pas comme la veille. Elle finit par envoyer ses doigts vers son clito en demande et se fait jouir en silence.
Les péripéties de cette nuit ne sont toujours pas terminées. Alors qu’on s’est bien éclatés, Ju entend le bruit caractéristique de la chasse d’eau des WC. Comme il avait un peu envie déjà, ça le déclenche. Il se lève et sort à poil dans couloir du haut et tombe nez-à-nez avec Hélène qui sortait des toilettes. A cause de la pénombre, elle ne voit pas immédiatement sa tenue jusqu’à ce qu’il soit très près. Elle réalise alors que non seulement il est entièrement nu, mais qu’en plus après une telle séance sa queue, bien que pas en pleine bandaison, est encore volumineuse et presque à l’horizontale avec un beau gland à moitié sorti de sa capuche.
Il passe tranquillement entre elle et le mur avec une vague excuse puis entre dans les toilettes. Hélène, déjà pas mal chauffée par les échos de la partie de cul de ses invités et sa récente branlette, reste un peu sonnée puis finit par réagir et retourne à sa chambre où elle enlève le T-shirt qu’elle avait enfilé sur sa nudité pour sortir. Mais le sommeil est encore plus difficile à revenir. Finalement elle recommence à se caresser doucement le clito en repensant malgré elle à ce qu’elle vient de voir et elle sent monter le plaisir. Elle met un moment avant de jouir puis s’endort enfin en rêvant d’une belle queue.
A suivre…
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