Mon cœur semblait vouloir sortir de ma poitrine quand j’ai sonné à sa porte.
Il m’ouvrit avec un grand sourire, me pria d’entrer et m’installa sur son sofa. Son
intérieur était sommaire, sur lumineux, un peu éblouissant. D’un design assez
futuriste, il y faisait très chaud.
Il s’appelait David et correspondait à la description qu’il m’avait faite de lui ainsi
qu’aux photos qu’il m’avait envoyées. Il me dépassait d’une bonne tête, bel homme
d’une trentaine d’années, sa carrure sportive démontrait qu’il savait s’entretenir.
Rien sur son visage ne laissait présager ses penchants mais tout dans ses yeux ou son
sourire me laissait penser que ce type était un queutard. Ma jeunesse, mes traits fins
et mon « physique efféminé » étaient, selon lui, les principales raisons pour lesquelles
il m’avait contacté ainsi, bien sûr, que mes envies…
En effet, trois semaines auparavant, j’avais publié une annonce sur un site de
rencontre à laquelle il avait répondu (parmi d’autres).Après avoir beaucoup échangé,
nous avions décidés d’une rencontre ce soir-là.
David vint s’installer à mes côtés et déboucha une bouteille de champagne qui nous
attendait dans son sceau à glace. Après nous avoir servi, il entama la conversation:
-Tu as trouvé facilement?
-Oui
-C’est quoi ton prénom, tu peux me le dire maintenant?
-Oui, c’est Léo.
-C’est joli ça, Léo, en plus ça te va bien. On trinque?
– Heu… Oui! A quoi?
-A ta première leçon! Je te promets de tout faire pour être un bon professeur.
– Et moi un bon élève!
Nous avons trinqués et j’engloutis ma flute d’un trait. Il s’étonna de voir que
j’étais tant pressé d’apprendre mais je lui assurai que c’était pour tuer le trac que
je subissais. Il assura à son tour que c’était tout à fait normal mais que ça
passerait au fur et à mesure de la leçon.
Il vida lui aussi sa flute et me pria, si j’étais d’accord, de commencer. J’acceptai
d’un petit signe de tête. Il m’invita, pour commencer, à me déshabiller au milieu du
salon pour qu’il puisse apprécier le string que je lui avais promis de porter.
Tremblant, troublé, je m’exécutai et exhiba mon corps dépourvu du moindre poil et
seulement vêtu d’un string féminin noir aux yeux de cet étranger. Son visage reflétait
la satisfaction, il se leva pour pouvoir apprécier mon corps de plus prés… Il
renifla l’odeur de ma nuque et me caressa de ses mains rugueuses un peu près tout le
corps me complimentant sur la douceur de ma peau.
Il sortit un gode de nul part en m’expliquant que, comme je débutais il préférait
commencer par un peu de théorie. Il me l’approcha de la bouche en me demandant de lui
montrer ce que je savais faire avec. Je pris ce morceau de latex en bouche et très
vite il me demanda de le lécher puis de le sucer. Il le gardait en main et m’attira de
nouveau sur le sofa. Il me disait de faire comme si, ou comme ça, dans différentes
positions en ne se privant pas pour me mater ou me ploter selon ses envies. Tout ça
m’excitait beaucoup, je m’appliquais vraiment à appliquer ses conseils.
Puis, il posa le gode car il pensait qu’on en avait plus besoin. Il me dit que je lui
faisais beaucoup d’effet et que j’apprenais vite, du moins pour la partie théorie, et
que tout devrait bien se passer pour la pratique. Il me demanda ensuite mes
impressions donc je lui assurai que tout allait bien et que l’apprentissage va
d’autant plus vite que le prof est bon.
Il décida donc qu’il était temps de passer à la pratique, que je pourrai faire une
pause si je le désirai à n’importe quel moment. Il m’assura ensuite avoir une
récompense pour moi si je me montrais toujours aussi motivé pour la suite de la leçon.
Une récompense? J’étais d’autant plus motivé et je m’empressai de demander par quoi
commencer. Il prit ma main et l’amena et la pausa sur sa cuisse en me conseillant de
commencer par la caresser puis, quand il sera temps, de la faire sortir à l’air libre.
J’ai donc caressé puis malaxé sa queue que je devinais sous le jeans et il en profita
pour se mettre torse nu .Il appréciait mes caresses et ne cessait de profiter de ma
peau si douce à son toucher. Tenant compte de ma timidité naturelle, il déboutonna son
jeans comme pour me donner le signal. Nos regards se croisèrent et son signe de tête
me convainc de continuer. J’ouvris sa braguette et tenta maladroitement d’abaisser son
jean. Il se leva pour me faciliter la tâche et je me retrouvai nez-à-nez avec la bosse
que formait son manche dans son boxer blanc. Je sentis alors sa main appuyer doucement
sur ma tête et je laissai faire jusqu’à ce que je sente sa dureté contre ma joue. Je
sentis aussi cette odeur caractéristique qui ne faisait qu’augmenter sensiblement
l’excitation qui m’envahissait. Sans m’en apercevoir vraiment, je m’était agenouillé
au sol devant lui et je frottait mon visage contre cette bosse objet de ma convoitise,
il me le fit remarquer et me félicita de mettre autant d’entrain pour un novice.
Flatté, je pris l’initiative et passa mes deux pouces sous l’élastique de son boxer
pour l’abaisser d’un coup sec.
Elle jaillit, droite, magnifique, me surplombant de toute sa longueur. J’eu un court
instant de surprise puis comme une absence, le temps de contempler ce membre. Seul le
bout du gland dépassait sous le prépuce veineux de son propriétaire. Les veines
bleutées continuaient le long de cet arc de chaire pâle et épais légèrement courbé
vers le plafond. Son pubis velu contrastait avec ses grosses couilles rasées qui
semblait bien remplis. Il décalotta son gros gland violacé, j’étais impressionné.
Ma prise d’initiative semblait avoir plus, il voulut savoir comment je la trouvais
alors je lui ai dit qu’elle était belle, mieux encore que sur ses photos. Il me
remercia et me dit qu’il me la prêtait le temps de la leçon mais que je devais en
prendre bien soin si je tenais à ma récompense. Je ne me fis pas prié et m’appliqua à
branler doucement ces vingt centimètres (selon lui) de chair chaude gorgé de sang. Il
me demanda le regarder et s’approcha lentement de ma bouche. Je l’ouvris grand et
refermait mes yeux quand il y pénétra. Il poussa un soupir de contentement ce qui
m’encouragea à entreprendre un doux va et vient. Toujours dans l’obscurité, je
dégustais avec gourmandise ce met chaud et gouteux qui m’était jusqu’alors inconnu. Il
me susurra que j’étais très doué et me suggéra de le laisser apprécier mes beaux yeux
bleus. Je vis que lui ne me quittait pas des yeux et la pression qu’exerçait sa main
sur l’arrière de ma tête me fis comprendre qu’il était tant de reprendre et, non
seulement de reprendre mais de travailler un peu plus en profondeur. Ces conseils
devenaient de plus en plus salaces, il me disait de pomper, d’aspirer, plus profond,
plus vite en joignant le geste à la parole à l’aide de sa main fermement fixée
derrière ma tête. J’avais la bouche copieusement remplie ce cette chair étrangère qui
ne cessait de coulisser entre mes lèvres tant et si bien que je les sentais comme
anesthésiées ainsi ma mâchoire commençait à se raidir .Il se retira, humide de bave,
et en profita pour s’essuyer contre mon visage. J’avais l’impression de ne plus avoir
à faire au même homme, mais plutôt à une sorte de mâle en rut qui avait trouvé fort
belle distraction en ma personne. Il me présenta ses boules et je me mis à les lécher.
Il nota que j’apprenais très vite et que j’avais peut-être trouvé ma vocation.
J’arrêtai immédiatement pour lui jeter un regard noir, il n’était pas très sympa sur
ce coup-là. Il m’encouragea à ne pas faire ma mijaurée en argumentant qu’il voyait
bien que j’aimais la bite. Vexé de cette vérité fraichement énoncée, je sortie
ostensiblement mes dents et fis mine de lui mordre ses attributs. Il s’étonna de cette
soudaine rébellion et me proposa de continuer plus gentiment si je voulais ma
récompense. Je pris alors mon air le plus provocateur pour lui objecter un NON. Il me
caressa les cheveux comme pour m’attendrir, je lui souris, de nouveau disposé. Il
agrippa alors violement mes cheveux m’empêchant in-extrémis de remettre son chibre
dans ma bouche qui me paraissait bien vide. Maintenu fermement, je l’écoutai
m’expliquer que j’allais maintenant découvrir le deeptroath ou face-fucking en
m’assurant que c’était plutôt marrant. Il empoigna ma tête à deux mains et pénétra
lentement dans ma bouche jusqu’à provoquer un réflexe de recul de ma part. Il se
retira de moitié et repris aussitôt, forçant encore et toujours en profondeur par de
petits coups secs. Je faillis déglutir à plusieurs reprises ce qui avait l’air de le
satisfaire. Lors d’un coup moment de répit, je voulu en profiter pour essuyer le filet
de bave qui dégoulinait de ma bouche, il prétexta un risque de blessure par manque de
lubrification pour me cracher toute la salive qu’il avait surement préparé dans la
bouche avant de reprendre son pilonnage de plus belle. Grimaçant, gémissant, je
subissais ses assauts incessant mais j’aimais ça, à l’évidence, je lui étais
totalement dévoué. Il ajouta ensuite une petite difficulté supplémentaire à l’exercice
qui consistait à me boucher le nez afin que j’aspire mieux son gland quand je manquais
d’air. Les quelques minutes qui suivirent furent vraiment intense, les apnées
répétées, les hauts les cœurs, deux mains qui secouaient ma tête autour de ce pilon,
je ressentais des bouffées de chaleur et, me sentant un peu partir je reçus quelques
petites gifles pour me ramener à la réalité. Je m’excusai bêtement prétextant le
manque d’habitude et il me rassura stipulant que le niveau du court était trop élevé
pour un novice mais qu’il voulut quand essayer vu que je m’étais plus que débrouillé
jusque-là. Il s’assit sur le sofa, affirmant qu’il fatiguait un peu, et m’assura que
j’étais son meilleur élève et, qu’après encore quelques efforts de ma part, j’aurai
droit à une belle récompense. Ces nouvelles flatteries me motivèrent et je repris la
fellation agenouillé sur le sol. Il appréciait la gâterie, jambes écartées, me
rappelant de temps à autre de bien ouvrir ma bouche ainsi que mes yeux mais aussi d’y
aller plus profond, plus vite ou plus lentement, d’utiliser ma langue sur son gland
ainsi que sur ces couilles et en profita pour me faire lécher son trou du cul. C’était
écœurant mais heureusement il n’y s’y attarda pas. Sa queue de nouveau en bouche je
m’appliquais de tout mon possible redoutant qu’il ne finisse jamais. En effet, ça me
tirait dans la nuque, mes mâchoires étaient douloureuses et lui n’avait pas l’air prêt
à envoyer la purée pour en finir. Le bout du tunnel ne devait pas être si loin car il
me proposa un dernière exercice avant la fin de la leçon. Il consistait à apprendre à
parler la bouche pleine. Tout en le suçant je dû lui redire mon prénom, ma date de
naissance et quand il ne comprenait pas assez la réponse il me relevait la tête pour
me cracher au visage en visant ma bouche ouverte. Parler avec un pilon actif dans la
bouche n’était pas chose facile. Je pris donc quelques crachats en pleine figure entre
lesquels je lui avais affirmé, aimer les cours de pipes et faire des pipes tout cour,
que j’allais me faire un plaisir de mettre en pratique ses conseils, que j’avais
trouvé ma vocation, que j’adorais les grosses queues dans ma bouche et que j’en
voulais encore.Ca devenait très humiliant mais je n’avais pas la force ou peut-être
pas l’envie de dire stop. Il continua son petit jeu et me faisait maintenant imiter
différents cris d’animaux, le chien, le chat, le cochon ou la grenouille et m’avoua
ensuite qu’il n’avait pas prévue ça non plus mais qu’il avait envie de se distraire un
peu. Il me proposa ensuite de choisir entre trois manières de terminer la séance, je
devais choisir. Pour la première, il me proposa d’enchainer directement avec une cour
de sodo en m’assurant qu’il allait faire jouir mon petit cul de lope avant de me
récompenser. La deuxième consistait à finir le cour comme il avait prévu au départ et
de me récompenser après. La troisième prévoyait comme la deuxième avec une petite
surprise en plus. Il me laissa une minute pour y réfléchir me rappelant de continuer
la gâterie le temps de la réflexion. J’étais déjà bien trop usé pour opter pour la
première, étant vierge, je ne me sentais pas prêt pour ça maintenant. Il me restait la
deux et la trois qui étaient équivalentes, mais, curieux de nature, la minute une fois
écoulée, je choisis la troisième .Il me demanda de confirmer ma réponse et me fit
allonger adossé au sol. Il se positionna ensuite à genoux par-dessus mon torse.
Impuissant sous son poids, je ne pouvais que le contempler se masturber juste au-
dessus de mon visage. Je voyais venir la surprise mais ça ne me dégoutait pas, au
contraire, qu’il déverse sa semence chaude sur mon visage ou ma langue m’était plutôt
excitant.je sortit ma langue pour l’exciter en essayant d’atteindre le bout de son
bout mais lui s’amusait de moi en le laissant toujours hors de portée. Il m’indiqua
qu’il était préférable de fermé les yeux et d’ouvrir bien grand la bouche pour la
surprise. Aussitôt dit, aussitôt fait, j’attendais impatiemment de connaitre cette
sensation mainte fois fantasmée. Il me dit de ne pas bouger et je sentis un jet chaud
et continu remplir ma bouche, le gout était horrible et le jet n’en finissait plus
tant et si bien que je compris que ma bouche ne débordait pas de sperme mais d’urine.
Je tournai la tête en recrachant tentant par la même occasion de me dégager mais
c’était peine perdue. «Surprise » me dit-il fièrement. Le jet s’était arrêté mais
repris aussitôt ma tête remise droite. Surpris, je me mis a m’étouffer et faillit
vomir quand ce deuxième jet atterrit directement au fond de la gorge ce qui m’obligea
à en avaler par reflexe. Le suppliai d’arrêter en le menaçant de vomir mais il me
répondit de ne pas m’inquiéter, qu’il avait bientôt finit.IL ne me demandais pas
d’avaler mais juste de garder sa pisse en bouche. Je n’avais de toute façon pas le
choix et pris mon courage à deux mains pour rouvrir ma bouche. Il me remplit
rapidement la bouche et balada son jet sur tout mon visage. Je recracher le tout avec
dégout et tentai désespérément de bouger ma tête pour l’éviter mais rien n’y faisait.
Déçut que je mette autant de mauvaise volonté il me fit avaler les dernière goute de
sa vessie. Il mit son tuyaux dans ma bouche, usant de son poids pour m’immobiliser et
m’envoya ses dernières gouttes en m’encourageant à avaler. Je ne plus faire autrement
et, avant avoir pu me remettre de ce breuvage il m’invita à le sucer encore. Dans
cette position c’était plutôt difficile surtout qu’il ne se gênait pas pour utiliser
son poids à des fins de profondeurs. Moi je me sentais épuisé, autant physiquement que
psychologiquement, et quand il me fit agenouillé au sol pour être plus à l’aise, je
jetai mes dernières forces dans la bataille pour que tout ça ait une fin. Selon lui,
j’etait un gros gourmand qui n’en avait jamais assez et me demandait de confirmer en
me traitant de lope. Je sentais dans l’intonation de sa voix, sa respiration, ses
soubresauts qu’il n’allait pas tarder alors je l’ai gâté comme un affamé, de mes
mains, de mes lèvres et de ma langue…Il admit que je faisais du bon travail, se
retira en se masturbant et me tira la tête en arrière. «Voilà ta récompense « dit-il en
m’envoyant sa purée en plein visage. Je sentis les deux premiers jets, chauds et
épais, sur mon front et une joue tandis que les suivants sortirent directement de son
dar, qu’il avait approchée à l’entrée de ma bouche, pour couler sur ma langue.De
nouveau, il me pénétra pour m’injecter directement les dernières giclées. Et s’enfonça
une dernière fois car il s’y sentait bien au chaud dans cette bouche à pipes. Il se
retira pour me faire sucer encore ce qu’il lui restait d’érection. Il m’assura que le
foutre me rendait sexy et ne se priva pas pour le récolté avec ses doigts pour me le
faire bouffer. Le gout et l’odeur étaient loin d’être agréable mais c’était tellement
excitant. Il me félicita d’avoir été un bon apprenti suceur et me demanda, pour le
remercier, de me positionner de manière à ce que je puisse me jouir sur le visage. Il
inséra son majeur dans ma bouche pour humidifier puis l’inséra dans mon petit trou
sans crier gare. Il m’insista à me masturber pendant qu’il s’agitait en mon intérieur.
Je ressentis très vite un orgasme foudroyant, qui m’arracha un long gémissement de
plaisir, et par la même occasion mon foutre gicler sur mon corps bouillonnant. Il
semblait très satisfait et me laissa quelques minutes de répit, souillé mais heureux,
complétement détendu et comblé. Je rassemblai donc mes esprits tandis qu’il prenait
une douche. Il revint vêtu d’un peignoir et m’invita à en prendre une à mon tour. Je
ne me fis pas prier et, âpres avoir récupéré mes habits restés sur le sol, je lui
demandai un peu d’intimité et m’enfermai dans la salle de bains. Au passage, je me vis
dans une glace, dégoulinant de foutre, je ne m’attardai pas et fonçai prendre une
douche bien chaude. Je me nettoyai rapidement et, les yeux fermés, je profitai de
cette douche bienfaitrice. Les images crus et salaces de ce que je venais de vivre me
revinrent en flash-back. Je ne résistai pas à la tentation d’une nouvelle masturbation
et faillit m’écrouler dans la douche tellement l’orgasme procuré fut violent. Je
profitai encore un peu de l’eau chaude et je sus qu’il était temps de sortir quand
j’entendis David frapper à la porte pour savoir si tout allais bien. Une fois séché et
rhabillé, je l’ai rejoint dans le salon. Je pris place à côté de lui qui m’attendais
avec une nouvelle coupe de champagne. Il me demanda si ça m’avait plus et je ne lui
mentis pas. Il me demanda comment je trouvais ça garçonnière et je lui avouai que ce
n’est pas trop mes gouts, surtout pour ce qui étaient de ces grosses boules noir qu’on
pouvait retrouver dans toute les pièces. Il rigola et m’avoua qu’il ne s’agissait pas
de décoration mais de ….. Caméras qui avaient tout filmé.
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