Nathalie a dix-neuf ans de plus que moi. C’est ma compagne depuis 25 ans, mais il n’y a plus de sexe entre nous depuis longtemps. Elle est devenue comme une amie, un ancrage familial, bien que nous ne vivions pas dans le même appartement. Elle a vu défiler Solange, Brigitte, elle sait que je n’enfile pas des perles avec Marlène. Elle sait qu’à chaque visite de la jolie dame rousse, je déverse mon sperme dans tous les orifices de la visiteuse .
Nathalie, grande dame brune atypique, s’était bien dégourdie lorsque nous nous étions connus. Je lui avais appris à me lécher avec de grands coups de langue, comme une glace, de bas en haut, sans prendre le gland dans la bouche.
Elle trouvait excitant de me regarder, sans baisser les yeux, dans une expression obscène et joueuse. Je ne savais pas jusqu’à quel point ses lèvres s’ouvraient pour laisser travailler sa langue bien souplement, ou si un sourire s’ajoutait à sa fellation.
D’instinct, elle avait compris que son regard fixé sur le mien augmentait la réceptivité de mon gland.
-Tu vois, je suis enfin une vraie salope, je te lèche avec une grande langue offerte pour toi, j’assume chaque balayage baveux de ma langue, je te regarde, semblait-elle dire.
Quelque chose d’encore plus rieur passait dans ses prunelles lorsque le sperme s’abattait en lourdes perles sur mon ventre.
Son mari n’avait jamais pu la convaincre de se laisser sodomiser. Avec moi, elle s’était laissée pommader la rondelle, et prudemment embrocher.
Sans en raffoler comme plus tard Brigitte, elle se laissait enculer de temps en temps, pendant la journée, lorsque nous avions le temps.
C’était la première femme que j’enculais. Je me touchais un peu la bite en la pénétrant. J’étais fasciné, en palpant mon outil, de sentir le canal spermatique se gonfler, et dégorger son liquide gluant, tandis que le gland tout entier restait bien entouré dans le cul de mon amie. Cette sensation s’était accompagnée d’une pensée vague, du genre: ça y est, j’ai sodomisé une femme.
Mis à pars quelques scènes flamboyantes, nos rapports n’étaient pas épicés de propos obscènes, de positions excentriques. Ils n’en avaient pas besoin. A peine j’avais enfoncé ma queue dans le vagin de Nathalie que celui-ci me serrait, se contractait, me suçait, me trayait le foutre très rapidement, dans une jouissance simple, franche, partagée.
Assez souvent, Nathalie passait ses mains sous ses mollets pour bien s’ouvrir.
Les jambes ainsi ramenées contre elle, le vagin de Nathalie se serrait plus étroitement sur ma bite, quoique de manière moins souple.
Elle accentuait encore sa posture de dame affamée de bite, désireuse de se faire pilonner sans ménagement, lorsqu’elle raidissait les jambes comme pour une posture de gym ou de yoga, et les ouvrait très haut, parfois les mains sur les chevilles. Ses fesses était pratiquement remontées dans cette position, elle n’était plus qu’un cul, qu’une paire de fesses à la fente qui baille, avec une tête, une poitrine et des bras à l’arrière-plan.
Cela me comprimait la queue, les giclées de foutre devaient se forcer un passage, comme pour une insémination par giclées difficiles et triomphantes.
Depuis des années, il n’y a plus de sexe entre nous…mais des agaceries, des pincements pour rigoler, et des baisers sympathiques, qui frôlent une certaine sensualité malgré nous.
Ce soir là, nous regardions la télévision, et je n’arrêtais pas de tendre mes lèvres vers sa bouche. En effet, nous avions donné la permission à nos langues d’aller jouer ensemble, et sans vouloir nous l’avouer, cela nous excitait.
La question d’une petite pénétration amicale devint rapidement lancinante.
-Pas question, dit Nathalie, avec toutes les femmes que tu baises maintenant…
Elle ajoute avec une précision qui sonnait bizarrement pour notre longue intimité:
-…sauf si tu mets un préservatif.
Les pinées sans capote pour la chatte et le cul de Marlène, les giclées routinières dans les fesses de Brigitte, et le préservatif pour la compagne au foyer.
Quelque chose m’excitait dans cette réduction punitive: « ce sera beaucoup moins intime, mais j’ai quand même envie que tu m’enfiles, alors contentons-nous de cela. Au moins ce sera clair, tu me la fourres, mais je ne me fais aucune illusion. On ne reprend pas la relation de couple, c’est juste une queue dans ma chatte ». Voilà ce qui transparaissait de ses propos.
Je fonce à la maison chercher une capote, et je reviens presque en courant, craignant que Nathalie ne se soit refroidie en réfléchissant trop.
Mais non, elle était toujours prête à se faire enfiler.
Elle faisait des exercices sur un tapis de gym, dans le salon.
Sans même enlever sa chemise, elle se mit cul nu, à quatre pattes, comme si elle continuait ses exercices, en me laissant la prendre comme accessoirement passant.
Elle n’a fait aucun effort pour me branler, encore moins pour me sucer.
Je me suis paluche tout seul comme un grand, et me suis enfoncé dans sa chatte, la bite à la main, à genoux derrière elle sur le tapis de gym.
Au bout d’un moment, je ne ressentais plus grand chose.
nous nous sommes replacés sur le canapé. La sensation de ma bite gainée dans sa délicieuse chatte serrée me rappelait déjà beaucoup plus les bonnes fourrées de jadis.
Le jeu de nos langues se frôlant me rendit également plus excité.
Je jutai dans son vagin, comme un étranger, remplissant la capote, comme si j’avais été un coup d’un soir.
J’aurais bien aimé faire de même avec toutes les dames de la maison, comme ça, par défi.
ensuite, on aurait organisé une grande partouze dans la jardin, avec barbecue. Les dames se seraient misent à genoux le cul en l’air, l’une à côté de l’autre, et les hommes les plus jeunes seraient venus les prendre à tour de rôle, dans la bonne humeur.
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