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L’APPRENTIE…05

L’APPRENTIE…05



SUITE DE « L’apprentie…04 »

Il était maintenant debout, inquiet et très énervé.

– Putain, tu vas tout faire foirer ! T’es vraiment une sale petite pute de merde ! dit-il en donnant un grand coup de pied sur l’un des pieds du lit.

Il la toisait, la défiant lui aussi du regard. Il reprit sur un ton plus calme :

– Si ça se trouve, tu dis ça au hasard ? Hein ?
– O inculatu ! Tu vas la fermer et me laisser tranquille ! Avec ce que j’ai appris en t’écoutant, t’as intérêt à te montrer plus coopératif !

Ange restait muet de stupéfaction. Il essayait de rassembler ses idées pour faire face à cette situation imprévue. Il était hors de lui. Vanessa en profita pour le narguer encore.

– Tu pourrais essayer d’appeler ton oncle ! Il pourrait te donner des conseils. Parce que, finalement, t’es pas grand-chose ! Une petite lopette qui se fait mener par le bout du nez !

Ange en rage l’écoutait. Elle sentait que ses paroles commençaient à faire leur effet. Elle continua à lui parler en se disant qu’elle n’avait aucune chance :

– Je crois que tout ton plan est foireux ! Moi, je ne marcherai pas comme ça ! Je veux des garanties ! Maintenant tu as compris que je pourrais tout balancer ! Le tonton sera le premier sur la liste ! Je lui parlerai de toi et de ce que tu penses de lui ! Je suis sure que ça va l’intéresser ! Allez, je te fais une fleur ! Maintenant, je suis devenue ton associée et tu n’as pas le choix ! Il va falloir que tu commences par me libérer et que tu me fasses confiance !

Ange ne bougeait toujours pas. Il n’avait aucun moyen à sa disposition. Il aurait voulu la tuer, mais il allait devoir donner des explications à la famille. Vanessa reprit calmement :

– T’es pas obligé de tout leur dire ! Tu vois, moi, à ta place, je leur dirais pas que ta petite pute comprend le corse, ce serait mauvais pour toi ! Et, on n’est pas obligé non plus de leur dire qu’on fait équipe ! T’auras leur faire croire que je suis toujours une ghjattasecca, si ça t’amuse ! Décide-toi ! T’as pas beaucoup de temps !

Ange fouilla dans sa poche et, hagard, lui lança la clé qui lui permettrait d’ouvrir les menottes et de se libérer. Elle frotta son poignet endolori, savourant silencieusement sa victoire. Elle savait qu’elle risquait gros si jamais Ange se doutait qu’elle n’avait jamais rien compris à ses conversations et qu’elle ne connaissait aucune injure corse. Elle venait de se livrer à un bluff auquel elle n’avait pas cru elle-même ! La seule chance qu’elle ait eu de s’en sortir.

La voisine de sa mère était une vieille italienne qui parlait un patois proche du corse. Elle avait seulement pu repérer quelques mots sans leur donner de signification. Elle s’était remis en mémoire les sonorités familières de la langue. C’est à force de fouiller ses souvenirs qu’elle finit par comprendre l’injure que lui avait adressé Ange. La deuxième lui avait été soufflée par Ange lui-même au téléphone.

Elle s’approcha d’Ange et lui caressa la joue, un sourire moqueur sur son visage. Il baissa la tête en grommelant quelques mots. Son front plissé traduisait l’intensité de ses réflexions. Il se racla la gorge et, désemparé, il lui déclara :

– C’est ma mort que tu veux, Vanessa ! Si jamais … s’en est fini ! Les Di Marco ne plaisantent pas avec l’honneur ! La famille, c’est sacré ! Putain, ce que tu me demandes …
– Et si je ne marche pas ? Tu y penses ?
– – Ce serait pire, putain !
C’est pour ça qu’on va le faire à deux ! Tu ne dis rien à ta famille. On trouvera bien un moyen pour que tu t’en tires ! Surtout si ça marche ! Il faut que tu te décides. Oui ou non ! C’est pas compliqué !

Pendant qu’elle lui parlait, elle avait enfilé les vêtements qu’il lui avait apportés. Ce con avait bien oublié les sous-vêtements ! Elle était à poil sous son jean, sans soutif et sans chaussettes. Franchement, pour l’instant, elle s’en foutait royalement. Il ne lui restait plus qu’à pousser un tout petit peu Ange pour le faire basculer.

– T’as plus que trois secondes pour te décider, mon biquet ! A trois, je me tire. UN … DEUX …

Il était sonné, prêt à suivre n’importe quelle idée.

– OK, on fait comme tu dis. On marche ensemble.

– D’accord, mais à mes conditions ! Un, je veux tout savoir ! C’est pas trois minutes au téléphone qui vont me permettre de comprendre de quoi il en retourne ! Deux, tu m’obéis sans discuter ! Trois, t’avise pas de me doubler ! Et quatre, on baise quand je le décide, si on baise ! Alors, je t’écoute !

Ange s’était montré bavard, bien au-delà de ce que Vanessa espérait. Assis à la table, il parla sans s’arrêter de longues minutes entrecoupées de silences. Il savait qu’il risquait gros en confiant les secrets de la famille à une étrangère. Il se disait qu’il n’aurait jamais dû lui faire confiance. Elle semblait si naïve, si désemparée et surtout sans argent quand il l’avait rencontrée. Il s’était dit qu’elle était une proie trop facile pour lui, qu’il en ferait ce qu’il voulait avec quelques robes de luxe. Et, maintenant, il se retrouvait face à elle, dans une position peu enviable, pas celle d’un Di Marco en tout cas.

Quand il eut terminé, elle accepta de suivre ce que la famille lui imposait. Ils trouvèrent rapidement comment leur faire croire que Vanessa les renseignerait sous la contrainte. Elle serait enceinte de lui et voudrait garder le bébé qu’on voudrait lui enlever à la naissance. Le chantage était simple, efficace et suffisamment crédible pour que personne ne soupçonne rien.

Dans la boutique du photographe, elle avait maintenant un soi-disant nouveau rôle à jouer. Elle ne dévoila pas ce qu’elle savait déjà de son patron à son nouvel associé. Elle préféra lui faire croire qu’elle n’avait jamais rien remarqué. Elle apprit aussi que Ange s’était déjà servi d’elle à son insu en faisant casser la gueule à Narcisse. Il avait emprunté les clés du magasin dans son sac pour le faire fouiller tranquillement. Seulement, il n’avait pas prévu que le photographe serait dans sa boutique à cette heure aussi matinale. La lettre était également de son initiative. Il avait signé du nom du patriarche sans l’avertir. Ces deux actions d’éclat n’avait pas été du gout de la famille. Elles permirent à Narcisse d’être prévenu qu’on s’intéressait à ses activités dissimulées. De là à penser qu’il se méfierait encore plus, c’était plus que probable. Ange s’était montré à leurs yeux, incapable de gérer la situation. Il était placé sous la surveillance directe de son oncle qui ne passait pas pour un tendre.

Elle comprit aux propos de Ange ce qui se passait exactement dans la boutique. Elle en connaissait déjà une bonne partie, mais il lui révéla quelques détails qu’elle ignorait. Elle apprit que Narcisse se servait des nombreux reportages qu’il faisait pour prendre des photos à l’insu de certaines femmes. Lorsqu’elles venaient reprendre les tirages, il les menaçait d’envoyer les clichés compromettants à leur employeur ou à leur mari. Mais, il avait développé sa petite entreprise d’escroquerie d’une façon bien plus subtile.

Durant les réceptions, il remarquait les plus jolies femmes ou les proies faciles et sous couvert de photos d’art il leur faisait miroiter la possibilité qu’elles deviennent mannequin ou modèle.
Il leur demandait alors de se mettre à l’écart, dans un endroit discret et de dévoiler une partie de leurs charmes sous ce prétexte d’art photographique. Les femmes qui acceptaient se trouvaient prises dans un engrenage et il percevait une grosse somme d’argent en liquide en échange des clichés compromettants. Il n’avait, curieusement, jusque-là, jamais failli à sa parole.

Ange lui révéla comment les Di Marco s’étaient intéressé à Narcisse. Laetitia, sa tante, participait à un cocktail comme représentante d’une société de travaux publics qui avait emporté un marché truqué conséquent à Champezac. Narcisse, chargé du reportage, avait pris quelques photos volées de cette femme et avait obtenu après un chantage très efficace une très grosse somme d’argent, sans doute plus de cinq mille euros. Il ne se doutait pas qu’il était tombé sur une femme qui appartenait à la famille Di Marco. Une famille qui n’avait aucun scrupule quand il s’agissait de l’honneur d’une femme du clan et qui était prête à tout pour récupérer les clichés. Elle avait pioché dans ses comptes personnels, sans savoir qu’eux aussi étaient sous la surveillance du patriarche. Elle avait été sommée de s’expliquer sur ce retrait et elle en avait donné rapidement les raisons, sachant que rien n’échappait à sa vigilance. La famille ne plaisantant pas, l’oncle avait dépêché Ange qui avait été chargé de récupérer les clichés compromettants et faire passer l’envie au photographe se recommencer.

Il avait eu l’idée de se servir de Vanessa en la faisant employer comme apprentie par Narcisse. La famille avait perdu patience, trouvant que trop de temps s’était déjà écoulé et qu’il fallait agir.
Vanessa ne laissa rien transparaitre. Elle accepta sans réserve le rôle qu’elle aurait à jouer auprès de Narcisse puisque rien ne changerait pour elle. Elle exigea de Ange qu’il quitte son appartement. Lorsque ce dernier lui rétorqua qu’il voulait la surveiller, elle répondit simplement du même ton de voix :

– Ne m’oblige pas Ange, ne m’oblige pas !

Madame releva la tête quand Tristan fit son entrée dans le bureau. Il était comme sur la photo de son CV, grand, athlétique. Ses muscles finement dessinés donnaient l’impression d’une certaine fragilité. Elle pensa qu’il était parfait et qu’il complèterait à merveille son assortiment de jeunes mâles. Ces clientes auraient davantage de choix. Il lui faudrait certainement le ménager et ménager le planning de ces dames pour ne pas l’épuiser trop vite. Elle retint son sourire et chaussant ses lunettes elle lui dit :

– Vous êtes Tristan, c’est bien cela ?
– Oui, c’est bien ça.
– Alors, Tristan, mettons les choses au point tout de suite. Pour tout le monde, ici, je suis Madame. Pour vous aussi, naturellement !
– Oui, Madame.
– Votre CV me semble satisfaisant, cependant, je me demande pour quelle raison vous avez quitté votre précédent poste d’entraineur !
– Madame, c’est à la suite d’un malentendu. Il y avait incompatibilité d’humeur entre le président et mes méthodes d’entrainement.
– Qu’est-ce que vous voulez dire ? Soyez plus précis ! Les malentendus ne sont pas de mise dans notre centre.
– Madame …
– Vous avez sauté la femme ou la fille du président ? C’est cela ?
– Madame …
– Ne m’obligez pas, Tristan ! Sachez que je ne cherche pas à être désagréable ! Nous y reviendrons, dans un moment. Mettez-vous à poil !
– Mais, madame, …
– Mettez-vous à poil, c’est dans votre intérêt. Allez exécution ou nous ne poursuivrons pas cet entretien.

Tristan enleva son T-shirt, baissa son jean. Il portait un boxer rouge qui mettait parfaitement en valeur son sexe. Il restait debout devant elle, les bras le long du corps, le regard perdu dans le lointain. Madame se leva, et fit le tour du bureau. Elle portait une minijupe noire et une paire de bas résille qui mettait ses jambes en valeur. Elle s’approcha de lui et fit sauter un de ses escarpins. Tristan ne pouvait s’empêcher de la contempler. Elle fit glisser ses lunettes le long de son nez pour l’examiner sous toutes les coutures, soulignant d’un geste de la main les parties de son corps qu’elle trouvait à sa convenance. Tristan surpris et gêné rougissait mal à l’aise d’être ainsi scruté.

– Bien, reprit-elle. Je vous avais dit à poil ! Il va falloir apprendre à obéir, Tristan.
– Oui, Madame.
– Pour cette fois-ci, ça ira. Laissez-vous faire !

Madame s’agenouilla devant le jeune homme et tira sur son boxer laissant apparaître sa bite déjà en érection.

– Je vous plais, Tristan ?
– Et bien, Madame …
– Répondez quand je vous pose une question. C’est la première chose que j’attends de mes employés !
– Oui, Madame.

Sans plus attendre, elle prit le sexe et le tritura quelques secondes, comme si elle le soupesait, en évaluait la consistance, la forme, le diamètre, avant de le mettre en bouche.

Sa langue lécha longuement le gland turgescent et elle le goba entièrement. Après quelques va-et-vient rapides, elle retira la queue raide de sa bouche.

Elle se releva satisfaite.

– Maintenant, vous allez vous finir devant moi. Vous pourrez vous branler à mon signal.

Il empoigna sa hampe à une main et attendit que sa future patronne lui ordonne de commencer. Elle fit le tour du bureau et s’assit, l’observant sans relâche. Celle-ci lui tendit un kleenex et lui fit le signe de se placer devant elle. Elle se cala dans le fauteuil et d’un signe de tête, elle lui donna le signal.

Il remarqua alors qu’il commençait à faire coulisser sa main le long de sa bite que sa future patronne plongeait la sienne sous le bureau. L’idée qu’elle se branle en même temps que lui, l’excita encore davantage. Tandis qu’il s’activait, il la regarda et ne vit rien qui puisse indiquer qu’elle se masturbait. Le coude collé le long du corps, rien ne bougeait. Son visage restait impassible.

Il se mit à onduler de son bassin tout en massant les couilles. Il n’avait pas arrêté ses va-et-vient. La bouche de sa patronne s’entrouvrit légèrement et il lui sembla que ses yeux brillaient davantage. Il se saisit du kleenex posé sur le bureau et le macula de son sperme. Elle ferma un court instant les yeux, se raidit à peine et reprit une posture plus rigide avant de lui déclarer.

– Et bien, Tristan, vous êtes engagé. N’attendez pas de moi d’autres faveurs, ce sera la seule. Je ne mélange pas sexe et affaires. En plus des cours, vous aurez à satisfaire toutes les demandes de vos élèves, de vos clientes devrais-je dire. Elles paient assez cher leur droit d’entrée au Yin-Yang pour ne pas avoir à se plaindre. Vous comprenez ? Votre salaire pour les cours de tennis est basé sur la Convention Nationale du Sport plus vingt pour cent. Les clientes vous rémunéreront elles-mêmes en fonction de ce que vous leur offrirez. Vous m’en reverserez le tiers. Certains de vos collègues doublent leur paye. Bien sûr, vous oubliez tout ce qui est contrat. Vous pouvez être indésirable du jour au lendemain et repartir comme vous êtes venu. D’ailleurs, je vous signerai une lettre de recommandation élogieuse quoiqu’il arrive. Alors, qu’elle est votre réponse ?
– J’accepte, Madame. J’espère ne pas vous décevoir.
– J’y compte bien. Au fait, qui avez-vous sauté pour être remercié ?
La femme du président et sa fille. Mais, il ne savait pas pour sa fille.
Vous me surprenez, Tristan ! Vous cachez bien votre jeu ! Et, évidemment préservatifs et test. Le médecin, une femme, membre du club, passe toutes les semaines.
– Bien, Madame. Quand est-ce que je commence ?
– Demain, en extra puisque vous n’êtes pas sur le planning….

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