Je l’avais rencontré dans un restaurant où je faisais le service de tables et il m’avait donné un gros pourboire, aussi n’ai-je pas été étonnée qu’il m’attende à la fin de mon service. Il m’avait emmenée boire un verre dans un bar et j’avais fini la nuit avec lui. Nous avions continué à nous voir et je trouvais qu’il se débrouillait bien mieux que tous ceux que j’avais rencontrés jusque là car il me faisait jouir presque à chaque fois qu’on faisait l’amour.
Un jour, alors qu’on discutait d’autre chose que de sexe, il m’avait proposé de travailler avec lui. Je savais qu’il était dans le cinéma, mais je ne savais pas trop ce qu’il y faisait. Il m’avait expliqué qu’il avait une associée et qu’ils faisaient des courts métrages. Il avait ajouté que j’avais de l’entregent et que je savais bien parler, aussi m’avait-il demandé de m’occuper des castings.
Ça ne me semblait pas très difficile parce que tous les jours, nous recevions des courriers et des coups de téléphone de filles qui ne rêvaient que de faire l’actrice. Alors, forcément, quand il a été question de les recevoir, il a fallu que mon patron m’en dise un peu plus et c’est là qu’il m’a expliqué qu’il faisait des films de cul. Ma première réaction a été de fuir, mais je n’avais pas d’autres boulot et j’ai accepté.
Ce que j’avais remarqué aussi, c’est que mon patron rayait directement les prétendantes qui avaient plus de vingt-deux ans. Un jour que nous faisions l’amour, je lui avait dit qu’il les préfère plus jeunes que moi et il m’avait répondu que je suis l’exception qui confirme la règle.
– Tu sais ce qui me plairait et que je n’ose pas te demander, avait-il ajouté ? Je voudrais te la mettre dans l’anus !
Je lui avais répondu que si ça peut lui faire plaisir… Il s’était exécuté et ça m’avait fait mal mais la douleur avait vite passé et je m’étais dite que, voilà, c’était fait, je m’étais faite enculée et après ? Puisque tout ça est rassemblé au même endroit, c’est qu’il y a bien une raison. Après tout, je m’étais bien masturbée devant lui et j’avais même avalé sa semence.
Ce lundi matin, jour où j’ai commencé à faire les castings, une fille s’est présentée. Mon patorn m’avait bien dit de vérifier leur date de naissance.
– Tu as vraiment l’âge, lui avais-je demandé ?
– Oui, madame, m’avait répondu la fille ! Madame, j’ai vraiment besoin de ce travail !
– Bon, d’accord ! Déshabille-toi, lui avais-je demandé après lui avoir posé quelques questions sur ses motivations et puis tu te caresses et tu t’allonges sur la table !
C’était une belle brune à longs cheveux bouclés, presque pas de poitrine et complètement épilée avec une vulve de pucelle. Elle a fait tout ce que je lui ai demandé. Je lui ai ensuite demandé si elle avait déjà rencontré un homme et elle avait rougi en m’expliquant qu’elle en avait embrassé un sur la bouche.
– Bon, alors, je vais te présenter quelqu’un qui va t’expliquer ce que tu devras faire dans le film, avais-je ajouté !
J’ai frappé à la porte du studio pour prévenir mon patron et je l’ai vu entrer, complètement nu et la bite déjà dressée.
– Tu sais que nous avons trois trous où nous pouvons être honorées, avais-je ajouté pour la fille ? Tu veux essayer ?
– Oui, m’a répondu la fille sans hésiter !
Elle s’est faite pénétrée dans la bouche, dans la chatte et dans l’anus sans protester puis mon patron s’était retiré et la fille, en se rhabillant m’avait demandé si j’allais la faire tourner. Je ne pouvais pas lui répondre tout de suite et je lui ai dit que je l’appellerai et la fille m’a dit une nouvelle fois qu’elle avait vraiment besoin de ce rôle.
Après son départ, je suis allée discuter avec mon patron. J’étais furieuse qu’il se soit tapée cette fille sous mes yeux mais je n’ai pas réussi à lui en parler et j’ai demandé ce qu’il pense de cette candidate. Il m’a répondu qu’on a un rendez-vous dans cinq minutes.
Cette fois, c’était encore une brune avec des seins un peu plus gros et les cheveux courts et la même scène s’est rejouée avec mon patron et cette fois, je n’ai pas pu m’empêcher de lui en parler. Il m’a répondu que je n’ai qu’à faire tout le boulot moi-même. Je n’avais pas besoin d’explications. Je lui ai crié à la figure que je suis capable de faire la lesbienne et je me suis occupée de la fille. Quand je lui ai demandé d’ouvrir les cuisses, elle n’a pas hésité et quand j’ai commencé à lécher sa chatte, elle a posé sa main sur ma tête puis elle s’est mise à ronronner de plaisir et quand mon patron m’a dit d’inverser les rôles, je m’y suis pliée.
Après, je lui ai demandé ce qu’elle préfère, les hommes ou les femmes et elle n’a pas hésité.
– Les femmes, m’a-t-elle répondu ! Vous me plaisez beaucoup !
La troisième personne que j’ai reçue ce jour-là, était blonde et elle avait de longs cheveux et surtout le bras droit tatoué de l’épaule au poignet. Je lui ai demandé pourquoi elle n’en a pas ailleurs et elle m’a répondu que c’est parce qu’elle aime regarder ses tatouages. Je lui ai alors demandé leur signification et elle m’a expliqué que celui-ci était pour elle, celui-ci pour son père décédé, les troisièmes, quatrième et cinquième pour l’ami étranger qui lui a payé ces tatouages.
– Et tu couches avec lui, lui ai-je demandé ?
– J’aurais bien voulu mais il n’a pas osé me le demander, m’a répondu la fille !
– Tu aimes les filles, ai-je insisté ?
– Un peu…
– Un peu beaucoup ? J’ai l’impression que tu n’as pas souvent fait l’amour, ai-je encore insisté !
– Si, une fois, m’a répondu la fille ! C’était il y a quelques années et j’ai demandé à un ami de mon père. Il m’a fait l’amour mais je n’ai pas aimé ça !
Et ce dernier tatouage, lui ai-je demandé ?
– C’est toujours pour mon ami ! Il m’a emmenée à Disneyland et…
Je comprenais pourquoi elle avait ces Mickeys sur le haut de l’épaule. Je lui ai suggéré de demander à son ami, la prochaine fois qu’elle le verrait, de faire l’amour avec elle. Elle me l’a promis et nous avons procédé au casting et comme elle semblait préférer les filles, je me suis encore dévouée.
Je dois avouer qu’à part une ou deux fois, je n’ai pas vu nos futures vedettes tourner un film pour nous. Pour certaines, c’était comme un selfie car elle se faisaient filmer en train de faire l’amour avec un de nos amis. D’autres se contentaient de se masturber devant la caméra. D’autres encore venaient avec une copine.
Une autre fois, la fille avait voulu faire un gangbang et nous avions rameuté toute une bande d’amis qui l’avaient pilonnée tout un après-midi.
Il va de soi que nous n’avons jamais payée personne pour tourner avec nous car ces filles faisaient ça dans l’espoir d’être remarquées et leurs films partaient sur les sites pornos du net.
Un jour, une femme s’est présentée à nos bureaux. Elle était furieuse et il s’est passé un moment avant que je n’arrive à la calmer pour qu’elle m’explique que sa fille était venue pour un casting chez nous. C’est alors que j’ai déployé tout mon talent pour la convaincre de faire l’amour avec moi et ensuite mon patron s’est mêlé à nous.
– C’était bien nous avait dit la mère en repartant ! Vous allez faire quoi du film ?
Mon patron lui a répondu que nous n’avions rien tourné mais ce n’était un mensonge car vous pouvez trouver ce film facilement sur le net.
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