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La Finale

La Finale



Pour la finale de la Coupe du Monde, nous étions en vacances à Carqueirane . Muriel mon épouse et moi même étions allés voir le match chez des amis dans les quartiers ouest de Toulon ,et après la victoire de la France, nous avons repris la voiture pour rentrer sur les lieux de notre séjour.

Nous avons pu rouler , très lentement un kilomètre, mais arrivé sur le boulevard principal, la circulation était complètement bloquée. Au bout d’une demi heure, j’avisais une place de stationnement et je proposais à Muriel d’abandonner la voiture, et d’aller prendre un verre sur le port en attendant que ça se dégage.

Nous sommes descendus et mêlés à la foule, l’ambiance était bon enfant , avec beaucoup de jeunes qui extériorisaient leur joie et leur enthousiasme.

Nous avons quittés le boulevard pour couper vers le port à travers les petites rues, et bientôt nous nous sommes retrouvés au milieu de bandes de supporters beaucoup plus agités et composée d’hommes en presque totalité.

Bien sur nous ne passions pas inaperçus souvent à contre courant et surtout Muriel avec sa robe légère d’été qui lui arrivait à mi-cuisse , sa poitrine arrogante tendant le tissus de la robe, sa peau bronzée par 15 jours de plage et son fin visage encadrés par une cascade de boucles châtains.

Des exclamations et quolibets jaillissaient de ces groupes visant essentiellement mon épouse genre:

« Viens que je te baise, j’ai une grosse queue à te mettre ect »

A un moment un groupe d’une dizaine de types avec des bouteilles de champagne nous ont entouré et demandaient de trinquer avec eux. Nous avons accepté pour ne pas les contrarier et pendant que nous buvions ils en profitaient ces salauds pour tripoter ma femme , lui soulever la robe ,lui mettre la main sur les fesses, et essayaient même de les glisser entre ses cuisses.

Finalement nous avons pu nous dégager, j’ai serré Muriel contre moi , et nous avons accéléré le pas pour quitter au plus vite cet entrelacs de ruelles et nous retrouver enfin dans l’espace sécurisant des quais du port de plaisance.

Nous étions presque arrivés quand un groupe cosmopolite d’une centaine de personnes a débouché d’une traverse adjacente ., criant, hurlant agitant des d****aux .

Quand ils nous ont vu, ils nous ont immédiatement entourés, abreuvés d’obscénités et bien sur , Muriel a subis leurs attouchements vicieux. J’essayais de la protéger quand j’ai été tiré en arrière ,j’ai perdu l’équilibre et je me suis retrouvé allongé sur le goudron.

Le temps que je me relève j’étais seul au milieu des supporters déchaînés , Muriel avait disparu. Je regardais autour de moi effondré quand un témoin de la scène m’indiqua la direction prise par ma femme et le groupe qui l’entourait.

Je traversais la foule et je m’engageais dans une ruelle plus étroite. Au fur et à mesure que j’avançais il y avait de moins en moins de monde , au bout de cinquante mètres mon attention a été attirée par une tache blanche sur le trottoir, c’était le string de ma femme que je lui avait offert avant les vacances

Quelques mètres plus loin à l’entrée du porche d’un bâtiment manifestement abandonné ,je trouvais son soutien gorge dont les fixations étaient à moitié arrachées.

J’entrais dans ce couloir sombre , au fond une lumière assez vive était allumée et éclairait une salle de taille moyenne., je m’approchais de l’ouverture et je restais figé sur place devant la vue qui s’offrait à moi.

Huit homme entouraient une table basse sur laquelle, Muriel, mon épouse, à genou, la robe remontée sur les reins, les seins dénudés, était entrain de se faire prendre en levrette tandis qu’elle suçait la bite d’un homme debout devant elle.

Après un instant d’hésitation je m’avançais vers le groupe et les apostrophais

« Laissez là tranquille , bande de salaud »

A ces mots un individu qui mesurait au moins 1,90m et pesait 100Kg s’est détachais du groupe et ma violemment repoussé à l’extérieur de la pièce en me disant

« fermes là mec, et tires toi, la nana on lui fait prendre un panard pas possible »

Puis il a donné un grand coup de pied dans la porte qui s’est refermé en claquant.

Je suis parti essayer de trouver du secours, mais très vite j’ai compris que cela ne servait à rien, devant la pagaille qui régnait en ville , alors je suis retourné attendre ma femme à côté de la salle ou elle était besognée.

Pendant ce temps Muriel livrait son corps aux supporters en rut .Je lui laisse raconter comment elle a vécu ces événements

Quand le premier groupe de supporters nous a entourer et offert à boire, je n’ai pas vraiment été effrayée, ils n’étaient pas agressifs ,seulement surexcités par l’ambiance électrique qui régnait partout dans la rue et quand ils ont commencés à me tripoter, j’ai ressenti cela comme un hommage et un compliment qui en tant normal se traduit par des mots mais dans cette ambiance étaient naturellement plus poussés.

En effet ces hommes me serraient de près , un ou deux derrière moi avaient glissé leur mains sur mes fesses dénudées car je ne portait qu’un string. D’autres sur le côté et devant me passaient les mains un peu partout

Ces caresses fugaces sur ma poitrine mon ventre, mon pubis, me faisaient de l’effet car j’étais beaucoup plus prise par l’ambiance que Dominique, mon mari et ma foi je sentais malgré moi les premiers prémices du désirs m’envahir, en cru, ils me chauffaient.

Dominique a réussit à nous dégager, et nous avons accéléré le pas ,quand le deuxième groupe nous a entouré.

Cela, avaient l’air plus violents, plus décidés, passablement éméchés surtout le petit noyau qui nous a entouré .

Il y avait là deux hommes ayant la quarantaine avec quelques jeunes à qui ils donnaient des encouragements pour les pousser à se servir de moi.

Immédiatement ,un homme se colla derrière moi plaquant son sexe contre mes fesses en m’agrippant par les hanches. Il me disait:

« Alors chéri, on se ballade la nuit dans les ruelles, tu es bien foutue , tu sens mon vier contre ton cul, ça t’excite tu veux que je te le mette. »

Un deuxième avait mis sa main au niveau de l’aine et tentait de m’écarter les cuisses, encouragé par les autres:

Vas y, montres nous sa chatte à cette salope, je suis sur qu’elle est affamée, qu’elle est prête à se faire enfiler »

C’est à ce moment dans la bousculade que j’ai été séparée de Dominique, et le petit groupe m’a entraîné dans la petite ruelle adjacente.

Il m’ont d’abord appuyé contre le mur d’une façade et pendant que un des hommes tentait de m’embrasser sur la bouche, un deuxième m’avait soulevé la robe , abaissé la culotte, et montrait ma minette aux autres:

« Hé les mecs regardez sa pacholle, c’est beau, je suis sur que si je mets les doigts elle va me tremper, je me suis pas trompé, venez touchez, elle mouille et elle s’ouvre cette salope, on va l’amener au local et se la faire, ici il y a trop de monde. »

Ils ont tous voulu , me toucher la chatte je dois avouer qu’hèlas malgré la frayeur que j’ai eu au début, mon corps répondait positivement aux attouchements obscènes de ces hommes.

Ils m’ont entraîné plus loin, mon string entravait mes jambes et j’ai du m’en débarrasser pour ne pas me casser la figure.

Pendant que l’on avançait, il continuaient à me pelotait de partout, ils ont réussit à faire glisser le haut de ma robe, me dénudant jusqu’à la taille, c’est alors que quelqu’un derrière moi a saisis la bretelle de mon soutien gorge qu’il a arraché libérant mes seins et provoquant une série d’exclamations enthousiastes

« Visez les melons les mecs , c’est pas du toc »

« Elle s’entretient, la femelle , ils sont pas avachis les nichons »

« Touchez moi ça, c’est bien ferme, ,putain je vais me régaler à les bouffer ».

Puis ils m’ont tiré dans un couloir sombre jusqu’à cette pièce qu’ils appelaient le local et ou Dominique m’a trouvé.

A peine entré, il m’ont fait mettre à genoux sur une table basse ont retroussé ma robe , et m’ont écarté les jambes.

J’était là exposée aux regards concupiscent de ces hommes, fragile , ouverte, un léger courant d’air me faisait frissonner et accentuait encore mon impression de nudité. Je les entendais discuter avec un accent du midi prononcé , employant des termes inhabituel à mes oreilles, pour savoir qui allait me prendre en premier puis finalement un certain Yvan qui avait l’air d’être le chef dit:

« Vas y Dédé, tronches là le premier, pendant que Mohamed se fera sucer , moi je serai le premier à l’enculer, les autres ,ils passeront après »

Une queue s’est positionné à l’entrée de mon sexe, et sans me déchirer comme je le craignais , s’est enfoncé dans mon vagin me procurant , sans que je le veuille, un frisson de plaisir et m’arrachant un soupir de satisfaction.

« Elle aime la cochonne, c’est la première fois qu’on se farci une meuf aussi belle, vas y Mohamed qu’on voit si elle suce aussi bien qu’elle remue le cul »

Oui, j’accompagnais les mouvements de Dédé pour qu’il s’enfonce au plus profond de ma grotte, pour me sentir posséder par ce mâle, que seul un désir a****l animait.

Mes relations me trouvent belle intelligente agréable, ayant une certaine classe ,mes rapports avec mon mari et ,avant avec mes amants, ont toujours été basés sur une complicité ,une entente ,une attirance physique et sociale induisant une certaine retenue inconsciente ,même si d’un autre côté je suis assez libre et ouverte à toutes les fantaisies ce dont mon mari et un vieil ami d’enfance ont abondamment profités.

Mais là c’était la première fois qu’on me désirait uniquement pour mon corps, que j’étais uniquement une femelle à prendre, que je n’avais qu’à laisser libre cour à mes instincts et j’étais profondément troublée, avec un désir fou, contre toute raison d’être prise et reprise par ces voyous.

Mohamed présenta sa bite devant ma bouche, elle était très brune, avec un gland gonflé encore plus sombre, et je l’ai avalée sans rechigner,. Elle avait un goût acide de sueur et palpitait doucement contre ma langue, je fermais les yeux et suçais, salivant abondamment, jouant avec ma langue et mes lèvres du pipeau et la musique si elle n’était pas très harmonieuses, comblait le propriétaire de l’instrument et arrachait des cris d’admiration aux spectateurs.

« chef ,tu as vu comme elle suce, ,regardes Mohamed il en peu plus, et, Dédé ,il pistonne comme une locomotive »

« Dépêchez vous, les mecs nous aussi on voudrait bien tremper le biscuit »

« Patience , il y en aura pour tout le monde, Dédé il est en entrain de la chauffer, personne lui suce les nichons, je vais m’en occuper moi même »

Au milieu de ces exclamations j’ai entendu la voix de Dominique ,j’ai ouvert les yeux et j’ai vu celui que l’on appelait chef l’expulser en dehors de la pièce.

Celui qui venait de prendre la parole se glissa sous moi et immobilisa mes seins qui balançaient au rythme de la queue qui s’activait dans ma grotte avec sa bouche et avec sa main.

C’est fou ,mais j’ai aimé la pression de cette main inconnue caressant mon sein gauche, et la bouche humide léchant mon sein droit et en suçant la pointe , je rêvais, ce n’était pas moi.

Et ma bouche a subitement accueilli la semence de Mohamed, ,j’ai avalé car il est resté dans ma bouche tout le temps de son plaisir, c’est la première fois que cela m’arrivait car en général je goutte et déguste un peu mais laisse le reste se répandre à l’extérieur de mes lèvres..

Mohamed est ressorti de ma bouche::

« Quel pied , c’est la reine de la pipe, même les putes elles sucent pas comme ça, en plus elle a tout avalé et pourtant il y en avait de la soupe »

Dédé a éjaculé , sa queue est ressortie de ma minette, et j’ai jouit, quand écartant les lèvres de mon chaton et distendant les parois de mon vagin , un énorme pieu s’est enfoncé dans mon intimité humide.

Et à nouveau, un inconnu était au plus profond de moi, me donnait du plaisir, à l’encontre de toute ma morale et mon éducation.

D’ailleurs ma bouche était à nouveau occupée par deux sexes que je suçais et léchais à tour de rôle , je savais maintenant qu’il faudrait que tous éprouvent du plaisir et je m’y employais avec une satisfaction que je ne dissimulais plus et qui ravissait la bande qui m’avait amené ici.

Soudain j’ai senti mon dos se mouiller, et un liquide tiède, me couler le long de la colonne vertébrale, celui qui m’embrassait et me caressait la poitrine, venait de jouir tout seul, projetant sa semence sur mon corps

Cela amusa beaucoup les autres,:

« Eh Mario qu’est ce que tu fais, il n’y a pas le feu , ferme le robinet »

Le sexe dans ma fente accéléra son va et vient, les cuisses de l’homme claquaient contre mes fesses, et j’ai eu mon deuxième orgasme quand la queue expulsa son liquide tout au fond de ma grotte torride.

C’était tellement bon, tellement long ,les vagues de jouissances partant de mon bas ventre remontaient jusqu’à mes seins. Je lâchais le membre qui m’emplissait la bouche pour laisser les râles de plaisirs sortir de ma poitrine j’avais les reins cambrés, la tête en extension vers le haut, les seins gonflés de désirs, les yeux fermés , le visage en extase, tellement désirable, que les deux hommes que j’avais sucé jusqu’à maintenant, sans retenue m’ont littéralement arrosé de leur sperme. La première décharge a atteint le coin de mon nez et ma joue, et le liquide a coulé lentement sur mon visage jusqu’à mes lèvres entrouvertes.

La deuxième décharge a atteint le coin de mon oreille et s’est perdue dans mes cheveux.

C’est alors que Yvan a dit:

« Vous avez bien pris votre pied, à moi maintenant, c’est son cul que je veux, Ah Max !, je t’avais oublié , fais toi sucer pendant que je l’encule. »

Deux mains se sont posées sur mes fesses écartant les deux globes, et la queue de Yvan s’est posée à l’entrée de mon petit trou. L’homme a commençait à pousser ma rondelle s’ouvrait mais pas suffisamment pour laisser passer le gland .

« Putain elle est serrée j’arrive pas à la défoncer, Dédé lèche lui un peu le trou pour que ça glisse , oui mets bien de la salive , j’essaye encore »

Yvan exerça une poussée de tout le poids de son corps, ma pastille s’ouvrit d’un coup engloutissant le sexe et m’arrachant un cri de douleur.

L’homme resta immobile et très vite mon anus s’est habitué à l’intrus, la pression sur les parois de mon cul se transmettait à mon vagin, et provoquait un plaisir diffus et inhabituel,. auquel les quelques sodomies que j’avais déjà subi sans grand plaisir ne m’avait pas préparé.

Et la valse des bittes recommença, une dans mon cul , une dans ma bouche, et je me livrais toujours sans retenue.

Et j’ai eu droit à une nouvelle rasade de sperme au fond de ma gorge, suivi presque aussitôt d’une dose dans mon cul. Ca c’est passé très vite trois ou quatre aspiration de ma bouche guère plus d’aller retour dans mon derrière , et les derniers à n’avoir pas profiter de moi ont jouit à leur tour.

Yvan s’est retiré , Mohamed s’est approché et m’a fourré deux doigt dans ma pastille dégoulinante de sperme.

« Merde Yvan qu’est-ce que tu as fait à son fion, tu l’a explosé et sa mounine, elle est ouverte et baveuse comme une huître de Bouzigue, elle en veut encore , à moi de l’enculer. »

« Hé la gonze lèves toi, vas y Mohamed assied toi sur la table, allez Madame regardez cette belle bite bien tendu, elle va glisser toute seule dans ton cul, n’hésites pas mets toi dessus, tu vois elle s’enfonce sans problème, maintenant penches toi en arrière, écartes bien les cuisses , je vais te troncher la pacholle , avec mon vier, regardes je bandes comme un âne. »

J’ouvrais les yeux, effectivement la queue était impressionnante, c’était sûrement celle qui m’avait fait tant jouir quelques temps auparavant et quand elle s’est enfonçait dans mon minou j’ai éprouvé les mêmes sensations, décuplées par la présence d’un autre membre au fond de mon cul.

J’étais prises par deux hommes à la foi, je savais que ça existait, je l’avais même vu une ou deux fois dans un film X à la télé, mais jamais je n’aurais cru que cela pourrait m’arriver.

Et j’aimais , je mes suis mis à remuer le bassin un peu comme une danseuse de tamouré, les deux hommes ravis m’encourageaient:

« oui bouges, bouges salope, putain que c’est bon ,vas y danses sur nos bites »

C’était l’extase, le plaisir diffus du départ, augmentait lentement, me remontait le long de l’épine dorsale,

mon vagin irradiait des vagues frissonnantes jusqu’à ma poitrine, provoquant même des petits picotements dans mon cou. L’intensité de mon plaisir croissait lentement au fur et à mesure que les mouvements de mon bassin devenaient plus rapides et mes halètements plus rapprochés et plus profonds.

Et j’ai jouit longuement, une succession d’orgasmes absolus. Ma respiration n’était plus qu’un râle, qu’un long cri de femelle satisfaite. J’ai à peine senti les deux hommes s’épandre en moi , j’étais épuisée.

Ce spectacle avait excité les six autres au plus haut point, et j’ai du subir à nouveau leurs assauts.

Ils m’ont fait allonger sur le dos toujours sur la table, les jambes relevées et écartées et ils m’enfonçaient leur pine, soit dans la minette ,soit dans le cul en se relayant à trois.

Deux autres frottaient leur queue contre mes lèvres et baisaient ma bouche, tandis que le sixième se branlait contre et entre mes seins.

Et leur jus a coulé à nouveau dans mes deux puits de plaisirs, tandis que mes seins se recouvraient de laitance blanchâtre et que ma bouche, mes joues mon visage était arrosé de cette odorante crème qui n’a rien de pâtissière et qui par petits filets s’écoulait dans mon cou.

J’étais vraiment trop lasse, mon corps ne réagissait plus à leurs attouchements, ils s’en sont aperçus ça ne les amusaient plus. Ils m’ont donné une serviette en me montrant un robinet au fond de la pièce.

Je me suis tant bien que mal débarbouillée, j’ai rajustais ma robe et suis sortis dans la rue.

Dominique m’attendait, il m’a serré dans ces bras, m’a demandé si je voulais aller voir un docteur, il avait l’air de souffrir pour moi, je ne pouvais lui dire, lui avouer que ces hommes m’avaient comblé .

Alors je lui ai dit que je voulais oublié ,que je ne voulais plus que l’on en parle. Nous avons rejoint la voiture et sommes rentrés à la maison.

La dernière semaine de vacances s’est déroulée sans que nous abordions à nouveau le sujet.

Nous avons continué à faire l’amour, Dominique était rassuré je n’avais pas l’air traumatisé (et pour cause), nous avons profité de cette dernière semaine avant de rentrer à Grenoble.

Mais toute cette année, il m’est arrivée de me réveiller la nuit et de me caresser en pensant à cette soirée de débauche.

Je ne pouvais plus garder ce secret et j’ai proposé à mon mari d’écrire cette histoire sur le net ,il découvre un an après un visage caché de sa femme.

Comment va t’il réagir, j’espère qu’il me comprendra et que notre vie sexuelle va devenir plus variée plus riche, plus en harmonie avec mes tendances profondes. J’envoie cette histoire sur le web et je l’appelles, je vais être fixée.

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Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

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