A peine arrivé, Melinda se dirigea vers la salle de bain, enlevant sa robe dans le couloir. J’eu juste le temps de détourner le regard, mais apercevant furtivement son dos et son string. Marc rigola de ma gêne, Melinda se retournant avec un regard coquin avant de pénétrer dans la salle de bain.
Marc me fit faire le tour du propriétaire, jardin et intérieur, me narrant certaines fantaisies arrivées ici avant de m’amener au salon ou trônait en plein milieu une fucking machine et divers godes placés un peu partout; une vraie antre du plaisir. Afin de ne pas paraitre idiot, je lançais « Vous aviez prévu un weekend très sexe avec des amis? »
Un « non, juste avec toi » retentit derrière moi. Melinda était vêtue d’une petite jupe écossaise rouge et d’un bustier en dentelle blanc dissimulant difficilement sa poitrine. Je restais sans voix autant par la beauté très sexuelle de Melinda que par ses paroles. N’attendant pas de réponse de ma part, elle en profita pour se coller à Marc, lui caressant le sexe sur son pantalon et lui demandant si nous pouvions aller se promener un peu près de l’étang des plaisirs (ainsi nommé pour les activités qui s’y déroulent régulièrement).
J’étais totalement sous le charme de Melinda et elle le savait bien. Moi qui lui avait dis tant de fois que je résisterais, j’allais surement devenir son jouet avant la fin de la journée. Nous priment leur voiture et me mettant naturellement à l’arrière je fus surpris que Melinda se place à coté de moi. Qu’avait elle en tète?
A peine démarré, Melinda se pressa près de moi, pour « te montrer plus facilement les trésors cachés de la ville » me dit elle, sous entendus très équivoque tant son bustier avait du mal à cacher ses seins et que j’avais de plus en plus de mal à éviter du regard. Tout en me montrant tel ou tel bâtiment, elle se collait à moi, posant de temps en temps la ma sur ma cuisse. Marc nous observait par le rétro et ne manquais rien du petit jeu de sa femme.
Au détour d’un virage serré, la main de Melinda dérapa vers mon entrejambe et aucun doute pour elle que j’étais plutôt ravi de sa présence à mes cotés. « Alors je croyais que tu devais être inébranlable devant moi » dit elle avant de me faire un bisou sur la joue tout en commençant une douce caresse sur mes parties. Un peu paniqué par la tournure des événements, je regardais dans le rétro et vis le regard amusé et approbateur de Marc. Melinda approcha sa bouche de mon oreille pour me dire « je sens bien ta queue sous mes doigts, je vais adorer la sentir dans ma bouche ».
Je vis son autre main glisser sous sa jupe, la remonter et commencer à se caresser, la belle ayant omis de mettre une culotte. Ma morale ne valait plus grand chose sous ses doigts habiles et devant cette vision érotique. J’avais éperdument envie d’elle, mon regard passait de sa bouche à ses seins, de ses seins à son sexe et sa main qui continuais à me caresser le sexe qui devenait de plus en plus dur.
La voiture s’arrêta, me ramenant à la réalité. Melinda retira ses doigts de sa chatte, se les lécha en me regardant. Puis elle sorti de la voiture pour rejoindre Marc. Je les suivais comme un automate me demandant ce qui allait se passer. Marc avait passé la main sous la jupette de Melinda et caressait ses fesses dénudées.
Arrivé à une petite clairière donnant sur l’étang, ils s’enlacèrent en un long baiser, ne s’occupant plus de moi. Melinda s’agenouilla et descendit le pantalon de Marc, celui ne portant pas de slip. Le sexe de Marc était déjà bien raide et Melinda le prit en bouche directement le suçant sans utiliser les mains comme la bonne salope qu’elle est .
Le cadre était joli, la vue des ces 2 amoureux très sensuelle et érotique. Mon sexe commençait à me faire mal étant bien trop à l’étroit. Marc encourageait Melinda en des termes bien choisis, passant de divine suceuse à pompe à sperme. Cela dura quelques minutes et Melinda s’arrêta, me fixa en me disant « vas y sors ta bite, je veux que tu te branles en nous regardant, mais interdiction de jouir ».
Impossible de refuser sans passer pour un coincé du cul, et puis je mourrais d’envie de me branler en les regardant. « et enlève ton pantalon se sera plus facile » me dis Marc. Je m’exécutais et commençais une lente masturbation. tout en me caressant, je me demandais pourquoi Melinda ne voulais pas que je jouisse?
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