— Chap V —
D’autres histoires vécues a lire : http://bisoumidomi.unblog.fr
Après cette rencontre avec Michelle et Marc, nous passions souvent des soirées ensembles. Parfois je venais seul ou accompagné de l’élue du moment si elle acceptait. Durant toute cette période j’avoue que je papillonnais d’une fille à l’autre. Enfin admettons plutôt que j’avais en réserve plusieurs amoureuses et que selon l’humeur je choisissais l’une ou l’autre. Chacune ne connaissant pas forcément l’existence des autres.. Pas forcément, avec certaines cela ne posait pas de problème d’autres étant plus exclusives je devais jongler. Quand j’y repense je me demande comment cela à été possible.
Compte tenu du fait que je n’ai pas un physique exceptionnel, loin de là réussir à avoir autant de nanas m’a toujours étonné. Maintenant pourquoi se plaindre d’un état de fait? Je ne comprends pas et il est vrai que ne pas comprendre c’est ma bête noire. Je ne supporte pas de ne pas comprendre. Au mieux cela m’ennuie au pire ca me fait peur. Mais laissons cela de côté.
Donc période des plus agréable s’il en est, j’étais jeune, insouciant, la vie était belle, je découvrais la perversion, les amours multiples, les partouzes et j’avoue que je me vautrais là dedans avec délice. Au point que à part le cul pas grand chose ne m’intéressais et que souvent mes actions étaient guidées par l’espoir de faire succomber une autre partenaire. N’oublions pas que j’ai rencontré beaucoup de ces femmes qui ont peuplé mon univers, par minitel, mais aussi et sans doute plus par des rencontres avec des amis échangistes. Donc j’ai toujours eu la chance d’avoir des « sujets » dont la préoccupation ou la recherche était également le sexe.. Je suis sur que si j’avais dragué dans les lieux habituelles les filles que l’on croise tous les jours la pêche aurait été moins bonne.. Pourtant mon premier amour sérieux, je l’ai rencontré simplement lors d’un anniversaire d’un bon copain.
Sonia, ha ma Sonia.. j’ai vraiment aimé cette femme. Ce fut pourtant très tumultueux.. au début.. La première fois que je l’ai aperçue c’était lors de l’anniversaire de Philippe un vieux copain nous avions fait notre 6eme ensemble et nous avons été jusqu’au bac et après c’est dire.. Pourtant nos relations sont toujours restées amicales, pas d’histoire de nanas. Il n’était pas au courant de mes frasques du moins pas vraiment mais on se rencontrait souvent et souvent je n’avais pas la même compagne…. Donc..
A cette soirée, d’anniversaire j’étais allé seul. Je n’avais pas eu envie d’amener l’une de mes amies du moment. Et j’ai eu raison… Je remarquais très vite cette jolie fille aux cheveux courts et frisés, d’un blond très pale une peau à peine dorée, des yeux bleu-vert pâles d’une limpidité de lac. Et ce qui ne gâchais rien, un corps qui semblait être plus que joli sous cette robe de dentelle fuchsia, qui laissait à contre jour deviner des merveilles. C’était une amie de la sœur de Philippe. Je n’étais pas le seul célibataire qui était à priori intéressé par ce joli brin de fille.. Je réussis toute de même à capter son attention en plaisantant et en racontant des histoires. Elle adorait rire et était amatrice d’histoires drôles. Rapidement nous discutions de choses plus sérieuses, et je me rendis vite compte qu’elle était aussi intelligente et cultivée que jolie. J’avais flashé sur la belle pour une question de plastique mais maintenant en discutant avec elle, beaucoup trop de choses me plaisaient. Par chance l’intérêt semblait partagé. Nous avons passés presque tout le temps de cette fête à bavarder et aussi a danser. Et la tenir dans mes bras pour quelques slow fut extrêmement agréable. A la fin de la soirée.. enfin tôt me matin on se quittait en se promettant de se revoir bien vite. Avec non pas un vrai baiser, mais un petit bisou sur les lèvres tout de même on se séparait.
Et puis on se revit assez rapidement , invitation au restaurant, petites attentions, sorties.. Au bout d’un moment je compris que j’étais vraiment accroc. Je me rendis compte également, que contrairement à mon habitude je ne voulais pas brusquer les choses et passer directement au lit.. Ah bien sur on avait échangé un premier vrai baiser au bout de notre 2eme soirée.. En se quittant ni elle ni moi ne l’avons vu venir en fait.. C’est venu naturellement, on était bien on c’est enlacés pour se dire au revoir et là on a craqué tous les deux, et on a échangé un très très long baiser. Je dois dire pour en avoir parlé avec Sonia plus tardn nous avons failli faire l’amour pour la première fois ce soir là. On en avait envie tous les deux, mais on attendait l’un et l’autre beaucoup de cette relation et on a eu peur de casser la magie. Alors tout émoustillés on c’est quitté sagement.
Déjà je savais que j’étais amoureux, je ne voyais que par elle, je n’avais plus d’aventures avec d’autres copines qui pourtant me passaient régulièrement des coups de fils. Sonia.. je ne voyais plus qu’elle et je nous voyais ensembles pour très longtemps. Elle aussi était dans le même état d’esprit. On était vraiment amoureux l’un et l’autre. Sonia était surprise de la rapidité avec laquelle elle avait succombé à ce sentiment.. Moi aussi car le plus souvent dés que je ressentais cela je fuyais pour préserver ma tranquillité. Il faut dire également qu’au bout de quelques rencontres je me retrouvais dans le lit des belles de passage.. alors que là on était restés très sages.
Bien sûr cela ne pouvais pas durer.. Et on finit naturellement par se retrouver au lit. Je découvrais enfin avec délice ma Sonia, elle était vraiment magnifique, sa blondeur pale, sa peau toujours dorée car elle passait du temps sous les UV dés que le soleil ne se montrait plus. Elle avait quelques petites tâches de rousseur discrètes qui lui donnait un air de petite fille. Son nez petit et retroussé semblait toujours un peu arrogant. Sa bouche aux lèvres pleines était à perdre la tête surtout quand elle s’en servait. Elle était souple et gracile, la taille fine de longues jambes, au point qu’elle avait 2 petits centimètres de plus que moi. Ses seins était plutôt petits légèrement en poire, mais ses tétons étaient superbes comme je les adore, longs, gros et surtout hypersensibles, ils étaient visibles sous ses vêtements pour peu qu’elle oublie son soutient gorge, ce qui était très fréquent de même que sa culotte. Sonia en portait peu, en fait elle aimait être libre. Adepte du naturisme qu’elle me fit pratiquer également et tout compte fait c’est un vrai plaisir. Son ventre plat, le triangle de son sexe a peine ombré par ses poils blonds et ses petites lèvres terme oh combien inapproprié car elle s’échappaient des grandes pour se montrer entre ses cuisses. Son clitoris était caché au haut des ses lèvres que je gobais souvent avec délice. Assez gros son bouton adorait les attentions, Sonia était surtout clitoridienne même si elle ne dédaignais pas le reste. Mais si je voulais la combler il me suffisait de me glisser entre ses cuisses et de lui faire une minette pour qu’elle soit aux anges.
Notre première fois fut une explosion de plaisir. J’étais resté sage depuis notre rencontre et elle avait également été très sage de son côté. Nous avions donc disons beaucoup de retard à ratt****r et notre première nuit fut torride.. quand je dis première nuit je suis en dessous de la vérité car en fait nous avons passer le week end au lit.. notre seule activité fut de faire l’amour, se câliner, se reposer et de temps en temps grignoter et boire pour nous remettre en forme.
Il y avait une complicité incroyable, pas besoin de demandes, nous savions instinctivement ce que l’autre souhaitait. Aucun tabous, Sonia s’offrait à tous les jeux de bonne grâce. Elle avait un talent inné pour la fellation et me faisait succomber dans sa bouche très souvent. Parfois ils nous arrivait de nous satisfaire de ces caresses, la pénétration si nous l’adorions n’étais pas incontournable et pour autant nous étions l’un et l’autre satisfaits. Exhibitionniste sans aucun doute, Sonia adorait que je la regarde se caresser, utiliser des vibromasseurs, des godemichés. C’était un spectacle de choix de la regarder se donner du plaisir, et ses orgasmes étaient violents, jamais simulés. Il lui arrivait de ne pas atteindre l’orgasme, de passer tout prés sans obtenir la plénitude. Elle n’en était jamais peinée, cela arrivait peu fréquemment. Et en général c’était annonciateur de la période ou nous aurions à faire des mots croisés..
Sonia, est mon premier grand amour véritable. C’était elle la femme qui partagerait ma vie.. Rapidement nous étions vraiment un couple et non plus deux corps qui s’assemblaient de temps en temps. On s’entendait vraiment a merveille, même si nous avions parfois des petites prises de bec, je n’ai pas un caractère facile et elle n’était pas d’une souplesse a toute épreuve en ce qui concerne le caractère, pour le reste elle me faisait honte.. sportive elle était soucieuse de son apparence ce qui n’a jamais été le cas pour moi.. Et pourtant malgré tout on s’aimait et avec force et sincérité.
Dans une relation il arrive un moment où l’on se pose parfois la question.. est-ce que l’on se connait vraiment.. Avec Sonia il y eut un moment qui faillit bien remettre tout en question. Nous avons au bout de 5 mois de bonheur parfait bien failli aller au clash de grande envergure.. et pour cause.. l’aventure mérite d’être racontée par le menu..
Pour mon job il m’arrivait d’être absent parfois 1 ou 2 semaines dans le cadre de formations. Et donc j’étais parti a Pessac dans la banlieue de Bordeaux pour 15 jours de formation. Remonter pour un WE c’était bien long en train et Sonia en profita pour aller voir ses parents en Normandie. L’un et l’autre on s’ennuyait ferme et on passait pas mal de temps au tel histoire de se rapprocher un peu. Donc quand on m’appris qu’en fin de compte mon stage se terminerai le jeudi soir et non le vendredi à midi je sautais sur l’occasion, faisant changer mes billets pour partir au plus tôt le vendredi matin.. Et voulant faire la surprise je n’en parlais pas a Sonia.. ne faites jamais de surprises comme çà. En général ca nous retombe sur le bec. A cette époque on n’avais pas encore inventé le TGV.. donc depuis Bordeaux avec passage par Paris c’était une dizaine voir douzaine d’heure.. Je partais sur le coup de 6h du matin et je devais arriver autour de 17h00. Sonia terminait de bonne heure le vendredi après-midi et était rentré le plus souvent vers 15h00 à l’appartement.
Après un voyage désagréable, avec le train c’est toujours comme çà .. J’ai horreur du train. Enfin j’arrive.. Ma voiture m’attendait sagement.. encore une fois a cette époque pas besoin de défrayer un horodateur on trouvait une place l’auto restait là et basta.. maintenant on se retrouve avec une facture qui met de mauvaise humeur.. voir une fois arrivant tard j’ai bien failli ne pas récupérer ma voiture.. tout étant plus ou moins fermé!!
Bref.. enfin de retour.. je saute dans mon auto et direction l’appartement. Je lâche mon sac dans l’entrée.. Pas de Sonia.. flute pour une fois elle est pas là? Pourtant si.. ses chaussures sont là sagement rangées dans l’entrée.. Puis j’entends un bruit, une sorte de gémissement, de petit cri.. Je prend le couloir jetant un œil dans chaque pièce.. Après coup je me demande pourquoi je n’ai pas appelé.. sans doute envie de faire une surprise.. mais là c’est moi qui allait l’avoir.. Il ne reste que la chambre d’où cette fois j’entends des gémissements, c’est elle je la reconnaitrais entre milles là le cœur bat, le cerveau travaille a cent à l’heure.. elle est là, pas seule.. on bout, on pète les plombs.. J’ouvre violemment la porte pour voir Sonia au lit, et entre ses cuisses une autre femme une brune. Elles poussent un cri et instinctivement se couvrent avec le drap. Je suis en colère, malheureux, prêt a tout casser mais surtout interloqué.. je ne peut pas émettre un son.. Je claque la porte. Je ne vois plus rien, j’ai des larmes dans les yeux. Je ne comprend pas. Je l’aime, elle me trompe et avec une femme. C’est douloureux quand on voit çà on ne sait pas pourquoi, on se demande comment ca peut arriver.. Je me dirige vers la porte. Je m’en vais c’est fini. Je mets la main sur la poignée. Je vais la tourner quand je sent qu’on me tire en arrière..
« T’en va pas, pardon, reste, je t’aime »
Je me retourne Sonia est là accrochée a moi, en larme, défaite, j’ai rarement vu un regard aussi suppliant.. J’avoue qu’un instant j’ai levé la main et j’ai manqué de la frapper sous le coup de l’émotion.. Elle l’a vu m’a regardé et j’ai senti que si je la frappais elle l’accepterais mais que je casserais tout à tout jamais.. Je baisse ma main enlève l’autre de la poignée de la porte.
Elle se jette a mon cou « Pardon, Pardon s’il te plait pardon ». C’est dur surtout quand on aime de rester sourd à cette supplique.
La seule chose que je peux dire c’est
« Mais pourquoi? »
Sonia, m’entraine dans le salon, elle sanglote, elle est vraiment très mal. Je suis également totalement paumé.. Je suis sonné, KO debout.
Assis sur le canapé je n’arrive toujours pas à parler. Elle est effondrée devant moi, agenouillée, son joue contre ma cuisse elle pleure en agrippant mes jambes. Secouée de hoquets elle peine a retrouver la parole. J’ai l’impression que nous sommes resté ainsi sans rien dire pendant longtemps, c’est sans doute très subjectif. Je finis par poser ma main sur sa tête, elle releva les yeux et je pus voir vraiment toute la détresse du monde dans ses grands yeux mouillés. Je me sentais très mal, je voulais la relever je n’aimais pas la voir ainsi à mes pieds, mais elle refusa de quitter cette posture. Je sentais qu’elle voulais rester ainsi pour expier, se mortifier pour ce qu’elle venait de me faire endurer. Pour ma part, j’ai encore maintenant du mal à analyser ce que je ressentais à cet instant. Colère, oui d’avoir été trompé? Humiliation car c’était par une autre femme? Non car il n’est pas plus humiliant d’être par une femme ou un homme. La surprise c’est sans doute le sentiment qui m’envahissait le plus.. J’aurais pu imaginer tout, mais pas cela.
Au bout d’un moment Sonia commença à m’expliquer qu’elle avait depuis toujours été bisexuelle, qu’elle aimait femmes et hommes pour les jeux amoureux, mais qu’elle ne concevait pas de vivre sans homme. C’était la femme dans les jeux amoureux qu’elle appréciait. Sonia lors de notre rencontre, tout comme moi avait senti que nous deux ce serait plus qu’une relation de passage. Qu’il y avait plus entre nous qu’une attirance physique. Elle avait à ce moment eu peur si elle m’avouait sa bisexualité que je ne l’accepte pas ou que je ne la comprenne pas. Elle m’avait caché cette facette de sa personnalité. Elle m’assurait avec des grosses larmes qui coulaient et des sanglots plein la voix qu’elle m’aimait, que je comptais plus que tout pour elle. Elle demandait pardon, de m’avoir caché cela et surtout d’avoir profité de mon absence pour assouvir son désir avec son amie Sandrine.
Ma colère retombait, l’orage passé, la surprise envolée, il fallait trouver une solution. Soit je restais sur le fait d’avoir été trompé et au bout du compte on jetais tout à bat.. Ou je comprenais, j’essayais de trouver une porte de sortie qui serait satisfaisante pour tout le monde et peut être nous pourrions continuer.. L’amour c’est souvent une succession d’obstacle, on les franchit à deux, si un seul renâcle et ne le franchit pas tout casse. Je ne voulais pas voir s’arrêter notre aventure aussi vite. J’étais amoureux, Sonia aussi on devait aller de l’avant, et trouver une solution.
Certes j’avais une femme en face de moi que j’avais cru connaître. Il était évident qu’une grande part d’ombre existait. Je n’étais pas en reste en ce qui concerne l’ombre, je n’avais pas tout dit moi non plus. Je n’avais pas parlé de mes aventures avec des couples, des parties que j’affectionnais avant de la rencontrer. Certes amoureux d’elle je m’étais acheté une conduite et je n’avais pas jugé utile de lui en parler. Maintenant la donne avait changé. Je devais jouer cartes sur table.
Je me souviendrais toujours de cet instant. Je lui pris le menton la forçant à me regarder dans les yeux. Elle me faisait vraiment de la peine et j’ai eu du mal a ne pas pleurer avec elle. Je lui ai dit « C’est oublié, je te pardonne, on va en parler je t’aime » J’ai vu alors comme une lumière intérieure qui illuminait son visage. En un éclair, le soulagement, la joie, la honte le bonheur passèrent sur cette adorable frimousse. Comme un diablotin elle me sauta au cou et me serra contre elle, blottissant son visage au creux dans mon cou, m’inondant de larmes. Elle se mit à pleurer mais cette fois elle serait soulagée.. Elle frissonnait, elle était nue, je l’enveloppais dans le plaid qui couvrait le dossier du canapé. Ma Sonia semblait revenir à la vie. Pour le moment on avait guère parlé il fallait que nous puissions parler de tout çà. Je me rendis compte que sa partenaire devait être toujours là, dans l’appartement à moins qu’elle ne se soit éclipsée. Sonia l’appela. Elle entra dans le salon, nue et enveloppée. Elle était restée, terrorisée, ayant peur de ce qui pouvait arriver. Sandrine donc avait suivi toute la scène. Elle s’excusa de son indiscrétion, je ne pus m’empêcher de répondre que ce n’étais pas de son indiscrétion qu’elle avait a s’excuser.. Remarque idiote de ma part certes mais il fallait que ça sorte. Et le dialogue s’instaura petit a petit. Sonia m’expliqua que Sandrine et elle c’était une amitié particulière de longue date. Déjà au collège elles étaient amies originaire de la même région, Sandrine avait épousé un militaire qui par le plus pur des hasard c’était retrouvé muté sur la base aérienne toute proche. Naturellement c’était une aubaine pour retrouver son amie de toujours. J’apprenais donc que son amante il faut bien l’appeler ainsi était mariée. Au fil de la discussion, j’appris que Sonia et Sandrine avaient eu leur première expérience sexuelle ensembles. Puis elle avaient chacune connu des garçons, mais elles trouvaient beaucoup de plaisir dans leurs jeux lesbiens de temps en temps. Ces explications m’apaisaient quand même. Je comprenais que c’était par jeu, par envie d’autre chose de temps a autre qu’elle avait cette relation, doublée par une amitié sans égale. Pendant que nous parlions, Sonia ne me lâchais pas, lovée contre moi elle me donnait tous les signes d’amour qu’elle pouvait, au point que Sandrine finit par dire que nous étions très mignons tous les deux et qu’elle s’en voulait de semer le trouble. Sonia dit que si on était dans cette situation c’était à cause d’elle.. Je me renseignais pour savoir si Sandrine avait mis son mari au courant.. non bien sûr.. il était dans la même situation que moi en fait, sauf que lui ne savait rien.
Après avoir cordialement détesté cette Sandrine il y avait a peine plus d’une heure, elle me paraissait plus sympathique et compte tenu de l’attachement qui existait entre Sonia et elle, je ne me gênais pas pour parler.
Je devais absolument parler de mes expériences a plusieurs, par simple honnêteté. Et puis une idée avait germé dans ma tête.. Oh non.. pas de profiter de la situation et de la relation entre Sonia et Sandrine. Simplement j’expliquais que j’avais eu pas mal de relations avec des couples et que j’avais aimé. Que pour ma part maintenant que j’étais au courant, quand Sonia et Sandrine auraient envie de faire des folies j’acceptais de leur laisser ce moment pour qu’elles en profite.
Toutes les deux furent vraiment surprises de cette proposition. Mais elles furent enchantées.. un moment. Puis Sonia dit que c’était vraiment adorable de ma part, mais qu’elle ne pouvait pas me demander cela. Elle s’en voulait trop de cette mauvaise surprise qu’elle m’avait fait. Sandrine sauva la situation, elle pensait que ayant une relation avec Sonia relation qu’elle aimerait ne pas abandonner, que Sonia était avec moi et qu’elle avait passé son temps a dire beaucoup de bien de moi.. et que pour ma part j’avais une certaine expérience des relations à plusieurs.. Pourquoi tous les trois ne pourrions nous pas nous amuser.. Seconde surprise de la journée..
On se regarda tous les trois .. Sandrine éclata de rire devant notre mine interloquée, en disant qu’elle ne plaisantais pas.. Elle prenait son pied avec Sonia, d’un autre côté elle était un peu curieuse de savoir si mon coup de langue était aussi bon que celui d’une femme.. ce dont elle semblait douter.. je ne lui déplaisais pas .. Pourquoi ne pas profiter de l’aubaine? Sonia lui fit remarquer que si son mari l’apprenais… Ce à quoi Sandrine rétorqua que si il l’apprenais ça ferais comme pour moi et qu’elle pensais que ni Sonia ni moi n’irions en parler.. Elle n’avait pas tort..
Sonia se montra tout a fait d’accord et même empressé d’adopter cette solution.. Elle ajouta même que ce serais peut être sympa de rencontrer mes amis. Je n’en demandais pas tant. Mais je dois dire que la perspective de retrouver certains en compagnie de Sonia me paraissait très alléchant. Restait à voir comment je vivrais le fait de la voir en compagnie d’un autre. C’était la position que j’avais eu quelques heures avant et je n’avais pas apprécié .. mais c’était sous le coup de la surprise.
La situation s’arrangeait, mais le coup avait été vraiment dur, la surprise totale.. Je ne pouvais mettre en doute la sincérité et je ne pouvais pas lui en vouloir. Elle aurait du me parler de son attirance pour les femmes. Si on en avait discuté avant, j’aurais sans doute proposé de nous encanailler avec quelques un de mes anciens amis.
Sonia reniflait bien encore un peu, mais elle allait mieux et c’était calmé. Sandrine tout compte fait avait mieux supporté l’incident, elle avait juste eu peur que sous le coup de la colère je fasse une bêtise. J’avais quand même failli, Sonia n’avait éviter la gifle que d’un cheveu. Je m’en serais voulu et je crois que cela aurait mis un point final à notre aventure. Je fais sincèrement partie de ceux qui pensent sincèrement que battre une femme est anormal et ne devrait jamais arriver.. Vous comprendrez plus tard tout le sens de cela.
Sonia maintenant que nous avions évacué l’incident, se fit câline. Elle était toujours nue et laissa glisser le plaid qui la couvrait. Entourant mon cou de ses bras elle se frottait contre moi. Je ne pouvais pas résister et naturellement je parcourais son corps de mes mains. Elle me prenait la bouche en un long et profond baiser. Elle arrêta et invita Sandrine à nous rejoindre. Celle ci laissa tomber le drap et me dévoila son corps. Aussi brune que Sonia était blonde, Sandrine n’avait pas l’ombre d’un duvet entre les cuisses et son abricot était rebondi. De jolis seins un peu lourds, un petit ventre rond, des hanches pleines Sandrine était moins fine que Sonia mais avait un charme certain. Ses yeux bruns était pétillants de malice. Elle s’approcha et elle se mit a embrasser Sonia devant moi, un vrai baiser, et elles aimaient çà. Comment rester de bois devant un tel spectacle?
J’avais sur mes genoux 2 superbes créatures qui se roulaient une pelle et se caressaient langoureusement. Que faire d’autre que poser mes mains sur leur croupes et les caresser à mon tour. Elles étaient douces, chaudes, je sentais monter le désir. Je me sentais bien à l’étroit dans mon pantalon maintenant. Sonia se laissa glisser sur le sol, à genoux, suivie de près par Sandrine dont les yeux étaient brillants de malice. Je sentais qu’elle dégustait l’instant. Sonia elle aussi avait une lueur plus trouble encore. Elle avait maintenant l’assurance de pouvoir continuer notre aventure, sans perdre sa relation avec Sandrine et au grand jour. Mes deux coquines étaient il semble très excitées par cette nouvelle donne. Sonia commença à me mettre à l’aise avec l’aide de Sandrine. Et en quelques instants elle avaient fait tomber mon pantalon se jetant, oserais-je dire goulument sur mon sexe? Oui plus peut être.. Cette minute je ne suis pas près de l’oublier.. Pour la première fois je me trouvais avec deux femmes qui comptaient bien me partager. Sonia maitresse de maison fut la première à mettre sa bouche sur mon gland, mais Sandrine vint aussitôt chercher une petite place, si bien qu’elles se passaient et repassaient ma queue me suçant alternativement. J’avais les bras hélas trop court pour pouvoir caresser autre chose que leurs épaules. Mais je vous assure, avoir ainsi deux femmes à caresser c’est un délice.. Il y a un petit côté nabab, avec les deux odalisques soumises à mes désirs.. en fait c’est plutôt moi qui suis plutôt soumis et passif, par force .. car elle ne me laisse pas le choix.
Sonia me prenait au fond de sa gorge comme elle savait si bien le faire tandis que Sandrine m’aspirait les couilles tout en les malaxant avec beaucoup de conviction. C’en était un peu douloureux mais c’était aussi tellement bon. Il était évident maintenant pour mes deux coquines que je voulais un rôle plus actif..
Sonia poussait Sandrine sur le dos, et lui écartant largement les cuisses me dit » Mange là bien comme tu me fais » Je ne me faisais pas prier et plongeait mon visage entre les cuisses de Sandrine. Elle sentait bon.. son minou rebondi était appétissant. Sonia écartait les grandes lèvres de son amante pour me laisser accéder plus facilement au tabernacle. Les filles se regardaient intensément chacune guettant sur le visage de l’autre les sentiments, les réactions inspirées par la situation. Au moment ou ma langue entrait en contact avec la chair palpitante et d’un rose nacré de cette chatte offerte, Sandrine eut un frisson et poussa un petit feulement de chatte. Sonia me regardait avec un sourire, tenant largement écartelé ce sexe qui s’humidifiait de plus en plus sous mes coups de langue. » Oh que c’est bon gémissait Sandrine ».
Je vis le visage de Sonia changer en proie a un plaisir évident. Je vis que Sandrine avait sa main entre les cuisses de Sonia et sans aucun doute que ses doigts lui fouillait la chatte. Sandrine mouillait abondamment, son bouton était petit mais dur, il roulait sous ma langue je l’aspirais. Et chaque pression ou coup de langue faisait se tendre le corps de Sandrine. Elle lançait son ventre en avant à la rencontre de mon visage. Elle poussait de petits cris, comme Sonia qui maintenant s’empalait litérallement sur les doigts de son amie, donnant des coups de reins pour faire pénétrer les doigts plus loin en elle. Ma queue me faisait mal tellement je bandais, j’étais terriblement excité au point que je sentais monter dans ma tige les quelques gouttes qui précédent l’orgasme.. pourtant je n’avais pas l’intention de partir tout de suite. Sandrine se mit a crier, griffant les draps se tortillant, elle était prête a jouir.. Son plaisir déferla brutalement, emplissant sa chatte béante d’une crème onctueuse qui me barbouilla le menton.. Elle jouissait comme une folle.. lâchant des cris animaux, qui ajoutaient à mon excitation. Sonia très excitée, le rouge au joues, me pris par le cou, vint m’embrasser léchant le suc de sa copine sur mes lèvres.
Elle me dit d’une voix rauque « Prend là baise là je veux te voir la prendre »
Je me relevais et Sandrine m’agrippant confirma ce que Sonia venait de me demander.. « Baise moi vite.. » dit elle. J’étais tendu, ma queue gonflée Sonia posa la main sur mon membre et me guida dans le sexe ruisselant de Sandrine.. Je m’enfonçais en elle lentement, gouttant centimètre après centimètre la pénétration.. Tout le temps que j’entrais en elle, sa gorge laissait échapper un grognement. C’était bouillant, doux comme de la soie, trempé j’adore cette sensation. Je commençais à la prendre et son ventre s’agita. Son sexe se refermait sur ma queue, tentant de l’empêcher de ressortir. S’ouvrant quand le m’enfonçais en elle, Sandrine avait une chatte assez étroite et peu profonde, je butais contre son utérus ce qui chaque fois lui tirait des gémissements. Tandis que je la limais lentement, je ne voulais pas jouir tout de suite.. Sandrine attira Sonia pour qu’elle se mette a califourchon sur son visage.. Lui léchant la chatte avec application.. La position était magnifique, ma chérie se faisant brouter par sa copine me faisait face. Je voyais sur son visage les sensations que la langue de Sandrine faisait naitre. Moi je m’enfonçais dans le sexe de cette quasi inconnue il y a quelques heures.. Je me retenais pour ne pas gicler dans son ventre.. Sonia semblait sur le point de jouir, elle se mit a crier en agrippant les épaules et en m’embrassant. Je sentais tous les frissons qui naissaient dans son ventre et se diffusaient dans son corps. Son visage se crispais, parfois donnant l’impression d’une grande douleur, pourtant ce n’était que plaisir. Elle se tendit comme un arc.. enfonçant ses ongles dans mes épaules.. elle jouissait sur les lèvres de Sandrine, je n’en pouvais plus.. il fallait maintenant que je me libère à mon tour.. Sonia avait libéré le visage de Sandrine et venais goutter sur sa bouche tout le plaisir qui lui avait inondé les lèvres.. Sandrine avait les joues et les lèvres luisantes de mouille.. Sonia lui léchait les lèvres.. Elle vit que j’allais jouir. Elle me tira par le bras.. « Viens.. viens.. jouis sur nous.. » Je compris qu’elle voulais que je jouisse sur leur visage.. Je quittait le chaudron brulant du sexe de Sandrine. Je remontais vers leur visage a califourchon sur les seins de Sandrine qui me frôlaient les couilles.. Elle étaient toutes les deux joue contre joue.. bouche ouvertes.. attendant que je gicle sur elles.. Ce fut le déclencheur ces deux visages, ces deux femmes qui attendaient mon sperme comme une offrande.. Je giclais comme un fou.. Sandrine me pressant les couilles et Sonia me serrant la queue.. me branlant pour me faire gicler plus encore.. J’avais l’impression de me vider. Ce fut une explosion je tremblais sur mes genoux, agité de spasmes, je ne pouvais quitter des yeux leur visage qui giclée après giclée se mirent à dégouliner de sperme.. Elles en avait partout, sur la bouche, dans la bouche les joues les cheveux, les yeux même.. Nous étions tous trois dans un état un indescriptible. Sonia et Sandrine léchaient les coulées de sperme sur leur visage.. N’y tenant plus.. je me joignis au festin, léchant aussi leur visage pour les nettoyer.. Le goût de mon sperme il y avait longtemps que je le connaissais. Cela surpris Sandrine, mais pas Sonia qui était habitué à me voir faire ce genre de choses.. Nous échangions des baisers triangulaires.. Je fini par m’allonger entre mes deux compagnes.. qui me cajolaient. Vous ne pouvez imaginer quel délice ce peut être que d’avoir deux femmes contre soi. C’est le phantasme de beaucoup d’hommes.. et j’admets que c’est une configuration bien agréable, même si elle est épuisante..
Comme à mon habitude malgré une jouissance totale, je restais en érection. Sandrine était surprise, et me pris la queue dans sa main. Elle senti aussitôt que mon érection se faisait plus dure. Elle regarda Sonia par dessus moi et dit « Il est toujours comme çà? » Sonia répondit que oui.. Sans rien dire de plus Sandrine m’enjamba et s’installa sur moi s’empalant sur ma queue face à moi. Au bout de quelques allez retour, elle ressorti mon sexe et doucement avec ses doigts elle le poussa contre son anus. Doucement elle se laissa descendre sur ma queue, je sentais son petit trou enserrer mon engin. Elle me fit pénétrer jusqu’à la garde avant de remonter lentement. Elle montait descendait doucement. Je voyais sa chatte largement ouverte et encore trempée, mes mains posées sur sa taille l’aidait a monter et descendre. Sonia ne voulais pas rester sur la touche. Elle se plaça au dessus de mon visage me donnant sa chatte à manger. Elle était elle aussi ruisselante, ma langue se mit a la fouiller allant du bouton à son anus qui se laissait ouvrir facilement. Son odeur était forte, entêtante, mélange musqué que j’adorais humer. Son bouton était dressé gorgé de sang, le le suçais lui tirant des petits cris. J’avais perdu de vue Sandrine mais je sentais que mes deux coquines s’embrassaient se caressaient. Sandrine maintenait un rythme lent, me prenant jusqu’à la garde et allant presque jusqu’à me laisser sortir entièrement avant de me replonger dans son cul.
Au bout d’un moment Sandrine voulu changer de position, se mettant en 69 avec Sonia elle me présentait ses fesses. Elle voulait encore que je la prenne par derrière mais pendant que Sonia et elle se mangeaient le minou. Je plongeais dans son cul avec facilité, elle restait très ouverte. Sonia léchais avidement la chatte de Sandrine, me léchant aussi les couilles par moment. Très excité je donnais de grand coup de rein, Sandrine poussais un petit cri a chaque fois, mais étouffé car sa bouche était enfouie dans le sexe de Sonia..
Je sentis un doigt s’insinuer dans mon anus, Sonia savait que j’aimais cette caresse et là.. j’adorais.. Elle avait le don de trouver l’endroit qui me mettrais en transe et encore une fois elle trouva le bon angle et se mit a me masser la prostate pendant que je besognais le cul de Sandrine. Instantanément je sentis, sourdre la petite source que déclenchais chez moi ce massage, je me vidais lentement goutte a goutte dans cet anus accueillant en prélude à l’explosion qui ne tarderais pas.. Je crois que chose rare nous avons atteint tous les trois l’orgasme au même instant .. Ce ne fut que cris, râles et je sentais ma semence se déverser dans l’étroit pertuis que je tentais de ravager. Je me retirais, Sandrine avait l’anus largement écartelé et mon sperme se mit a dévaler, ruisselant sur sa chatte trempée que Sonia lapait toujours et elle reçut l’averse sur ses lèvres, buvant à même la source. Spectacle presque dantesque, nous étions tous trois dans un état d’excitation assez peu commun. Sandrine avait les fesses luisantes, ainsi que l’intérieur de ses cuisses. Sonia le visage barbouillé de sperme, de mouille avait la respiration courte car elle avait elle aussi jouit violemment. Et moi j’étais là toujours aussi excité et la queue toujours bandée, rouge, les veines saillantes le gland presque violacé.
Sandrine c’était retournée et me voyant toujours en érection s’écria à l’attention de Sonia « C’est pas vrai!! Comment il fait? » Celle-ci eut un petit sourire et dit « C’est mon homme .. Il aime çà » Elles étaient excitantes en diable, souillées de tous côtés, humides, la peau moite de sueur. Il flottait dans la pièce une odeur particulière, celle des corps échauffés, de la sueur c’est une senteur très aphrodisiaque. Elles étaient superbes, maintenant enlacées toutes les deux.. se bécotant.. Je ne pouvais faire autrement que de me caresser.. me branler en les regardant.. Sonia et Sandrine me regardait faire.. les yeux brillants.. « Tu peux encore jouir dit Sandrine? »
« Oh oui dit Sonia, regarde le j’adore quand il se branle sur moi .. on partage..ma chérie? »
Je continuais à m’astiquer franchement cela commençais à être douloureux, mais la tension était si forte que je devais absolument jouir encore que je voulais m’apaiser. Elles étaient assises contre le canapé, moi a genoux devant elles,ma queue dure comme un bâton, aussi noueuse.. plus j’étais excité plus le sang gonflait les veines. Il m’était impossible de recaloter le gland, Sonia se redit compte que mon sexe était pas assez humide elle me prit dans sa bouche le couvrant de salive.. JE faillis bien jouir dans sa bouche.. Elle me laissa continuer ma masturbation.. tendant la main elle me prit un téton entre ses doigts le faisant rouler, le pinçant.. tout en disant a Sandrine de prendre l’autre.. Ce fut une décharge électrique, le signal qui me fit partir .. et sous leur caresses et celle de ma main je giclait sur leur corps déjà humides, un éblouissement, la tête me tournait, cette fois c’était fort.. je poussais un cri qui dura longtemps alors que je me vidais par saccades. La tête me tournait Je me laissais tomber sur elles pelotonné contre mes deux amantes qui s’embrassaient.
Nous restâmes un moment silencieux.. avant que Sandrine toujours volubile ne s’exclame.. « Quel pied mes chéris.. »
Cette soirée n’était pas terminée.. pour autant..
Il était temps pour nous de passer dans la salle de bain.. cette fois la douche s’imposait et quoi de plus sympa qu’une douche en commun… Quel plaisir de caresser, savonner s’attarder sur la pointe d’un sein, sur l’intérieur d’une cuisse, un sexe, frôler un clitoris qui n’attend que les caresses. Sandrine et Sonia jouaient le jeu, me rendant la pareille, me caressant et me savonnant dans tous les recoins.. Bien sur à ce jeu.. je me retrouvais rapidement en érection à la grande surprise de Sandrine « Mais t’en a pas eu assez tu bandes encore!! » Sonia qui était habituée lui expliqua que j’étais comme çà et que ca pouvait durer longtemps.. Sandrine toujours espiègle et joueuse croyais que Sonia exagérait. « Allez ma chérie on lui fait une bonne petite pipe, on va voir si ca marche » Et joignant le geste à la parole, Sandrine s’agenouilla prenant ma queue maintenant toute propre dans sa bouche. Elle me massait les couilles, les pressait elle aimait jouer avec parfois un peu brutalement mais cette vigueur me plaisait bien. Sonia ne voulut pas être en reste et nous voilà dans la salle de bain, les deux belles agenouillées devant moi à me pomper savamment le nœud. Même les yeux fermés j’aurais reconnu leurs bouches. Sonia était douce et appliquée tandis que Sandrine était plus vorace plus brusque comme si elle était pressée d’arriver au but. L’alternance des bouches, la vision de mes belles compagnes, cette situation tout contribuait à mon excitation.. Sonia glissa a nouveau sa main entre mes fesses et cherchais à glisser son doigt dans mon anus.. Sandrine se rendit compte de la manœuvre.. « Il aime çà? » Dit elle.. Sonia fit signe que oui et laissa la place à la main de Sandrine.. qui se mit a œuvrer, avec un doigté certain elle m’expliqua ensuite que son mari adorais çà également. En attendant je sentais son doigt qui investissait mon cul, et elle savait y faire elle trouva le point idéal.. Aussitôt j’eus un frisson et je sentis monter le long de ma queue la goutte qui allait perler au bout de mon gland. Sandrine regardait cette perle transparente se former. Elle recueilli cette grosse goute du bout de la langue. Son doigt s’activait encore plus faisant monter encore plus de liqueur.. Au bout de quelques instants, ma queue laissait couler de longs filaments translucides. Sandrine était étonnée de l’abondance de ce fluide « Il mouille comme une nana ton mec , C’est genial!!! » dit elle a Sonia qui elle aussi me caressait. Ma queue était encore une fois gonflée et tendue. Sonia me serrait la base avec ses doigts en anneau ajoutant encore à la pression naturelle. Je savais qu’elle adorait quand mon sexe était noueux avec les veines qui ressortaient. Elle était gâtée. J’avais du mal maintenant a me contrôler et je tremblais sur mes jambes. Le massage de prostate ajouté au pompage de mes deux femmes m’avais amené aux limites de ce que je pouvais supporter.. Et en un éclair je me vidais dans la bouche de Sandrine qui fut extrêmement surprise de la quantité et de la consistance de ce qui giclais dans sa bouche.. Elle ne put garder tout d’ailleurs et Sonia vin à la rescousse happer ce qui coulais de sa bouche.. Mes jambes ne me portais plus et je me laissais tomber presque assis par terre alors que les deux furies me pompaient avidement.. Cette fois j’étais sonné.. Pourtant et Sandrine le remarqua je mis bien 10 bonnes minutes a débander.
Sandrine me trouvait génial, elle n’avait jamais vu un mec qui ne débandais pas aussitôt après avoir joui. Cette fille je comprenais pourquoi Sonia l’adorait, c’était une petite bombe une pile électrique, toujours prête a faire la fête, la folle. Ce vendredi soir avait mal commencé par la découverte de la tromperie de Sonia, mais franchement.. étais ce un mal? Je crois que ce fut une aubaine.. Après avoir repris une douche nous finîmes par arriver a nous habiller et à sortir.. J’invitais toute le monde au restaurant, pensant même au mari de Sandrine je lui dit qu’on pouvait l’appeler pour aller en couple au resto.. Mais il était en alerte et ne pouvais quitter la base. Et Sandrine d’ajouter.. que a moins que Sonia et moi voulions être seuls elle était partante pour finir la soirée avec nous.. Et elle fit remarquer que les filles avait du plaisir en retard sur moi…
Les filles se refirent une beauté. Sonia me prit à part, me demanda si j’allais bien sous entendu si ne n’étais pas fâche. Elle me demanda comment je trouvais son amie. Je ne pouvais répondre que sur le plan sexe, et j’avais beaucoup aimé. Sandrine était tout comme Sonia sans tabou, joueuse, jouisseuse et sans prise de tête.. Tout cela se confirma durant le repas.
C’était amusant, de sortir ces deux jolies filles.. Et naturellement Sandrine pris le bras que laissait Sonia libre. J’ai du faire pas mal d’envieux ce jour là. Une blonde et une brune le paradis.
Nous étions prêts à monter en voiture quand Sandrine avec un air coquin s’écria « Oh j’ai oublié de mettre une culotte !! » Et Sonia en riant de dire.. « Tiens donc.. ben moi non plus j’en ai pas » .. JE ne pouvais m’empêcher de rire et de demander si c’était bien vrai.. Avec un ensemble parfait, mes deux coquines soulevèrent leur jupes pour me le prouver.. au risque de provoquer crise cardiaques et accidents car nous étions sur un boulevard plus que passant. Je me souviens même de l’oeil en biais que lança une mamie sur le trottoir d’en face qui avait bien vu la scène.
Dans la voiture mes deux coquines n’arrêtèrent pas de parler de nos ébats.. Sandrine me fit plein de compliments, elle avait adoré ma langue et disait que jamais un homme ne l’avais léché ainsi. Elle trouvait que je léchais aussi bien qu’une fille. Sonia était tout a fait d’accord et avoua que rien que pour çà elle voulait me garder. Je dis un peu vivement qu’elles s’arrangeaient bien toutes les deux.. Mais elles protestèrent en disant que les filles c’est super bon mais qu’un homme c’est mieux.. Et Sonia ajouta « Si c’est un homme comme toi oh oui.. » Tout en me faisant une caresse dans le cou.. qui fut suivie par une autre.. JE vis que Sandrine c’était approchée de moi . Heureusement que ma copine est pas jalouse.. mais j’adore comment tu fais l’amour.. et j’espère qu’on va recommencer.. « Oui ma chérie, tu dors a la maison n’oublie pas » dit Sonia.. « Dormir? T ‘est folle!! on va le mettre a genoux ».
Au restaurant, nous avons enfin pu bavarder presque sérieusement, autant qu’on le peut quand deux jolies femmes vous taquinent sous la table avec leur orteils.. Ce qui était surréaliste c’est que de temps a autre l’une ou l’autre me faisait des bisous. Inutile de dire que certains autres convives du restaurant avait les regards un peu braqués sur nous. Sandrine exubérante et volubile, plus que Sonia parlait fort et parfois de choses plus qu’intimes.. Quand Sonia lui faisait remarquer qu’elle y allait un peu fort la réponse était invariable « Je fais ce que je veux avec mon cul, si il y a des mécontents c’est des frustrés, moi je m’amuse!! »
La discussion tourna ensuite autour de moi. Sandrine n’arrivait pas a comprendre comment je faisais pour rester en forme après avoir joui. J’expliquais que si on me laissais tranquille un moment mon érection disparaissait lentement. Mais que si j’étais un peu stimulé, par des caresses ou par ce qui peut se passer dans la pièce j’avais beaucoup de mal à retrouver un état normal. Elle s’inquiéta de savoir combien de fois c’était possible. Sonia lui dit que pour le moment elle avait pas réussi à me pousser a bout et que pourtant il était arrivé que l’on fasse l’amour 8 ou 10 fois dans la nuit du moins entre l’heure de couché et le petit matin.
On discutait aussi d’autres choses, et je fini par m’apercevoir que Sandrine était intelligente, drôle sensible je dis a Sonia que j’aurais pu tomber amoureux d’une fille comme elle.. Ce qui me valu une tape mais un grand sourire de Sandrine et Sonia la prit par le cou pour lui faire un bisou en disant que maintenant je comprenais pourquoi elles étaient copines. J’enchainais en leur demandant si au fond elles étaient pas amoureuses l’une de l’autre. Elles n’étaient pas très sures de la nature des sentiments qu’elles éprouvaient l’une pour l’autre. Elles étaient certaines de l’attirance physique et de l’attachement, l’amitié profonde qui les liait. Une chose était certaine, l’esclandre de ce vendredi avait été salutaire. Sonia surtout était malheureuse de devoir me cacher son amie.. Maintenant elle était soulagée, heureuse et elle me le faisait sentir, en déployant des trésors de câlineries..
Elles me firent parler de mes expériences a plusieurs avec mes amis. Et elles avaient vraiment l’air d’avoir envie de se lancer dans de telles aventures. Pour elles aussi ce soir avait été une première et elles avaient adoré le fait de partager un amant, elles imaginaient que s’amuser avec un autre couple pouvait être vraiment plein de surprise et de plaisir.
Je fus assez surpris que quand Sonia apprit que Marc était bisex elle me demanda si j’avais essayé. Je lui répondais que non et que je n’avais pas l’intention d’essayer elle parut un peu déçue.. Avait elle envie de me voir avec un homme? Il est assez vrai que j’aimais beaucoup jouer a certains jeux et que Sonia aimait enfiler plus qu’un petit doigt dans mon anus.. et j’aimais ce qu’elle y mettais.. mais vous allez le savoir dans pas si longtemps.
Elles étaient intenables, excitées comme des lycéennes . Au dessert elles avaient approché leur chaises et nous étions trois au coude a coude, ce qui permettait sous la table des jeux de mains plus que coquins. En fait tous les trois nous étions prêt à nous sauter dessus moi je bandais comme un âne, ce qu’elles avaient constaté à tâtons et elles deux étaient mouillées comme j’avais pu le constater à leurs bouts de doigts qu’elles m’avaient fait lécher après avoir fait un tour entre leur cuisses. Nous avons fini par quitter le restaurant sous l’œil assez amusé du patron que je connaissais, mais avec des regards en biais d’une paire de vieilles pimbêches, dont les maris auraient sans doute préféré être à ma place et je n’aurais rien changer non plus.
Bras dessus, bras dessous nous retournons à ma voiture garée pas très loin. On était un peu dans la pénombre, et Sonia en a profité pour me rouler une gamelle dont elle avait le secret en se frottant contre moi. J’étais toujours en pleine forme. Sandrine c’est approché de nous et avec cet air malicieux qui ne la quittait pas elle dit à l’intention de Sonia.. « Et moi je peux? » Sonia se recula un peu et dit « Mais oui on partage tout nous deux » et Sandrine me prend la bouche mais au lieu de se frotter contre moi elle laisse sa main descendre entre mes cuisses et la referme sur ma queue. « mais tu bande petit cochon!! » Je ne pouvais pas dire non elle tenait l’objet du délit dans sa main et franchement je n’avais pas envie qu’elle le lâche. Sandrine cessa son baiser et se tournant vers Sonia dit « Si on lui faisait une gâterie tout de suite, il en a besoin, il est tout dur » Sonia acquiesça et aidant Sandrine fit glisser la fermeture de mon pantalon. Nous étions dans un coin pas trop éclairé mais sur un parking proche de la cathédrale et du centre ville donc assez passager.
Je me retrouve derrière ma voiture, la queue à l’air avec deux superbes femmes qui me sucent à tour de rôle en s’amusant comme des petites folles. Elles me pompent avec ardeur, émoustillées par la situation, peut être un peu grisées par ce que nous avons bu au resto également.. Je me laisse faire appuyé contre la voiture car mes jambes flageolent un peu tant la caresse est forte. Je sent monter l’orage, je pousse un cri rauque au moment ou j’asperge les deux belles qui se bousculent pour récupérer dans leur bouche le maximum de jus. En fait elles en on pris un peu partout et cela demandera un peu de nettoyage..
Ça avait été rapide mais très fort pour moi. Sandrine s’amusait à me taper sur le gland espérant lui faire baisser la tête.
« T’est trop fort, tu arrêtes jamais de bander!! »dit Sandrine et Sonia de répliquer « C’est pour çà que je l’aime !!»
Ensuite on put enfin monter en voiture et rentrer, mes deux belles, ne trouvèrent rien de mieux que de monter à l’arrière toutes les deux pour se caresser. Pas facile de conduite quand on entend les gémissements et les bruits humides.. de léchage ou de doigts dans des chattes mouillées. Le rétro ne me renvoyait qu’un petit aperçu de la bacchanale sur la banquette arrière.. Mais naturellement j’avais bien du mal à me concentrer et bien sur j ‘étais resté la queue en l’air.. Arrivé chez moi mes deux coquines étaient en 69 sur la banquette arrière et elles étaient si proches du plaisir que j’ai attendu caressant la croupe de Sonia et ma queue de l’autre main en attendant qu’elles jouissent toutes les deux ce qui arriva, Sandrine la première suivi de Sonia.. J’étais vraiment excité et j’ai bien failli me jeter sur elle pour la prendre j’en avais vraiment une envie folle.. Je devrais patienter un peu.
On finit par monter dans l’appartement, elles avaient une allure un peu louche mes deux belles, le minois un peu défait, décoiffées, le maquillage parti en lambeau surtout Sonia qui avait la particularité de souvent verser quelques larmes quand elle prenait du plaisir. Ajoutons qu’elles étaient a moitié déshabillées, retroussées. Nous n’avons croisé personne dans le couloir ou l’ascenseur heureusement.. surtout sur le palier de l’appartement ou là après quelques minutes dans la cabine j’avais la queue à l’air la chemise ouverte ma ceinture aussi. A deux étages prêt elle me violaient.
On était enfin dans l’appartement, les filles se mirent à l’aise tout de suite, laissant tomber dans le couloir leur vêtements en riant. Ensuite elle me sautèrent au cou et se mirent à me déshabiller ce qui ne prit pas longtemps. C’est vrai que j’aime bien me balader nu en général je me sent a l’aise sans rien sur moi. Certes là j’avais le sexe toujours tendu, ce qui amusait et impressionnait Sandrine au plus haut point. On se caressait, s’embrassait en allant vers le salon. Je proposais qu’on ouvre une bouteille, il faisait soif comme on dit.. Elles applaudirent des deux mains.. proposez du champagne à une femme c’est rare qu’elle refuse. J’avais toujours 2 ou 3 bouteilles au frais j’en ramenais une et 3 coupes. Je ne put résister au plaisir potache de poser la bouteille glacée sur les tétons de Sonia et de Sandrine.. pas de raison que je sois le seul a bander.
J’ai pensé qu’il fallait mieux repousser un peu les ébats à plus tard pour bavarder un peu. On riait de bon cœur en repensant à comment tout cela avait commencé, dire que j’avais bien failli gifler Sonia, et j’ai profité de ce moment pour lui en demander pardon devant Sandrine qui avait eu peur que je ne fasse une bêtise. J’ai reconnu bien volontiers que la trouver au lit avec Sandrine m’avait fait très mal, mais surtout surpris. Je ne comprenais pas pourquoi elle me faisait çà. Maintenant on c’était expliqué, on avait donné les bonnes raisons et nous étions en quelques heures devenus les meilleurs amis du monde. J’aimais Sonia peut être encore plus, j’appréciais vraiment Sandrine et pas seulement pour les galipettes. Les filles avaient découvert l’amour à plusieurs et trouvait çà génial. Sandrine regrettait que son mari soit un peu trop rigide et pas très branché sur ce genre de chose , plus préoccupé par sa carrière de pilote. Elles avaient aimé la liberté de faire l’amour devant moi, ca les motivait réellement sachant que les voir était très excitant pour moi. Sandrine avait apprécié mon attitude envers elle, car javais su lui donner du plaisir mais en faisant la différence entre elle et Sonia. Je n’agissait pas tout a fait pareil, sans être réservé, je lui laissait plus exprimer ses désirs. Mais ce qui hantait Sandrine cet jour là c’était que je bandais pour un oui pour un non que ca durait longtemps. Elle comparait avec son mari qui lui débandait rapidement après avoir joui. Je lui disait que moi j’avais toujours été comme çà, qu’en plus j’avais un sexe d’une taille tout a fait moyenne et que je n’avais rien de spécial. Ce n’était pas son avis.. Elle pensait qu’elle n’avait pas rencontré d’hommes qui avait à la fois la délicatesse, le doigté, l’imagination et la fougue que je déployais. C’était compliment sur compliment ils ne me semblaient pas si mérités que çà n’agissant que par nature sans me contraindre. J’ai compris plus tard que tant de mecs ne pensent qu’à leur plaisir que je faisais et fait encore la différence avec la majorité. Peu m’importe si moi j’ai pris du plaisir et joui si ma partenaire prend du plaisir. Pour moi voir jouir l’autre c’est plus important que mon frisson a moi , je pourrais toujours l’avoir en repensant à ma partenaire en me masturbant. Mais voir une femme perdre tout contrôle quand elle jouit c’est le plus délectable des spectacles. Alors sans aucun doute si je suis plus attentif au plaisir de l’autre je suis un peu différent. Mais les femmes aussi peuvent être différentes. Sonia était très attentive à mon plaisir, elle était un peu comme moi pouvais s’oublier du moment que j’avais du plaisir et elle aimait guetter mes expressions mon plaisir . Sandrine était plus expéditive et aimait particulièrement quand je criais, encore une chose sur laquelle je diffère de pas mal d’hommes, Sandrine me disait que quand je me mettais à crier, voir plus quand c’est vraiment très fort je peut littéralement hurler et j’ai al voix qui porte. Elle disait qu’a ce moment là elle en avait des frissons. Pourtant combien ai-je vu d’hommes qui jouissent sans même un grognement. Sans doute ne savent ils pas attendre que la pression soit à son comble. Attendre il est vrai à parfois des conséquences.. il m’arrive parfois de jouir sans autre caresses que celles que je donne à ma partenaire ou simplement la vision de sa jouissance. C’est assez curieux de voir son sexe s’agiter et de sentir sa liqueur monter lentement car en général c’est plus un écoulement qu’une éjaculation mais c’est très éprouvant car cela dure plus longtemps.
Mais fi de ses digressions revenons à notre soirée..
Le champagne était frais, les filles nues à l’aise dans cette tenue. Sandrine et Sonia était a mes côtés une a droite une a gauche. On se caressait simplement tout en parlant, un baiser de temps en temps. Parfois elle venait s’embrasser devant mon visage et voir leur bouches s’ouvrir, leur langues se mêler était vraiment excitant. Comme de bien entendu j’avais la queue dure et depuis un moment. Nul risque que je débande entre nos sujets de discussions, la situation et les caresses que me prodiguaient mes deux compagnes je n’aurais pas pu.. Et je commençais même à ressentir quelques douleurs, et a sentir mes couilles gonflées qui me semblaient de plus en plus lourdes et sensibles. De mon côté je caressais un sein, une cuisse, un dos le cou j’adore doucement du bout des doigts caresser leur cou. Je jouais aussi a poser mes doigts sur leur bouche et elles me suçaient le doigt en une fellation simulée très excitante.
A un moment Sonia prit la pointe de mon sein entre ses doigts et dit a Sandrine de faire pareil de l’autre côté. Je me cambrais littéralement , me triturer les bouts de seins me fait un effet monstrueux, si ca dure longtemps, si c’est très fort cela me mène à la jouissance, seul revers c’est que mes tétons sont hypersensibles quelques temps ensuite au point de me gêner quand ils frottent sur ma chemise.
Chacune d’elles me pinçait le téton et leurs deux mains se partageaient ma queue.
Elles m’observaient toutes les deux avec gourmandise. Sandrine ne me quittait pas des yeux.
Elle me susurrait des encouragements, des cochonneries aussi du style
« C’est bon , tu bande salaud, laisse toi aller, tu va gicler, tu me fais mouiller»
Sonia aussi faisait pareil elle me connaissait mieux et savait quels mots me faisait planer
« Tu aime que ta salope te branle hein? Tu est content tu à deux salopes là »
puis tout doucement à l’oreille elle me dit
« Tu a envie que je te prenne? »
L’invite était claire. Sonia et moi avions déjà expérimenté ce genre de jeux et j’aimais beaucoup qu’elle me prenne avec un godemiché, on avait fait l’acquisition d’un très beau modèle en latex, pas trop trop avec lequel elle me faisait décoller en jouant avec ma prostate.
« Ça te gêne pas devant Sandrine? » susurra de nouveau Sonia
Non ce ne me gênais pas bien au contraire devant une autre femme cela m’excitais.
« Continue à le chauffer ma chérie, tu va voir on va s’amuser » Dit Sonia à Sandrine avant de s’éclipser.
« Tu est dur mon chéri, j’adore ta queue, tu veux jouir? » demanda Sandrine
« Non attends pas tout de suite » répondis -je
Sonia revint, elle avait enfilé le god ceinture et ramené un peu de gel. En la voyant ainsi équipée Sandrine cru que c’était pour elle..
« Ouhh ma chérie on à jamais essayé çà!! Génial » dit elle
« C’est pas pour ton petit cul ma belle c’est pour lui » dit Sonia en me faisant un clin d’œil.
« Non!! C’est pas vrai!! Vous êtes trop mes amours!! J’adore j’ai toujours eu envie de voir çà!! »
« Allez mon chéri en place, c’est toi qui va être la petite salope maintenant. » Sonia savais que j’aimais qu’elle m’appelle comme çà.
Je me mis à quatre patte, Sandrine resta dans le canapé assise en tailleur, ce qui lui ouvrait bien la fleur. Sonia me passait la main entre les fesses, je frissonnais, me cambrais, elle me lubrifiais abondamment, enfilant son doigt ce qui me tira un gémissement.
Ma queue était tendue, mes couilles douloureuses. Je sentis le gland contre mon anus, elle le frottait sans tenter de pénétrer. J’attendais avec impatience qu’elle se décide. J’adore çà je l’avoues. Je sentais maintenant la pression contre mon petit trou. Maintenant habitué je me détendais au maximum poussant légèrement pour m’ouvrir. Sonia avait ses mains sur mes hanches, je savais que quand elle me tirerais légèrement en arrière c’est qu’elle était prête et me laisserais en fin de compte m’empaler à mon rythme. Ce ne serais qu’après qu’elle commencerais à donner des coups de reins.
Sandrine ne perdais pas une miette du spectacle, tout en se caressant la chatte.
Je sentais le gland ouvrir mon anus, je descendais lentement, le god me pénétrais comme jamais il l’avait fait.
« Doucement mon chéri » dit Sonia une peu surprise de la facilité avec laquelle je m’ouvrais.
J’avais gobé le gland maintenant je me laissais aller en arrière, je sentais toutes les aspérités du godemiché. Ma queue durcissait encore plus tendue elle touchait mon ventre. Je n’y tenais plus et d’un coup de reins je finissais de m ’empaler en gémissant de plaisir. Je sentis aussi monter ma liqueur le long de mon sexe. Cette sensation est géniale on sent nettement monter doucement ce qui va éclore au bout du gland, pour finir en un long filament translucide.
Sandrine vit nettement la perle se former avant de couler.
« Oh ma chérie il mouille ton homme, c’est une vraie salope » dit elle.
Sonia commençais à aller et venir, par petits coups au début puis elle augmentait l’amplitude. Je sentais la queue de plastique me fouiller le cul. Chaque passage sur ma prostate faisait monter un peu plus de liqueur. Mes couilles étaient rétractées à la base de ma queue. Mon gland totalement décalotté était gonflé et suintait de plus en plus. De mes mains j’avais saisi les cuisses de Sonia et je rythmais sa pénétration. Je gémissais, je me sentais largement ouvert, je prenais le god sur toute sa longueur c’était la première fois, mais j’étais vraiment dans un état d’excitation indescriptible.
Maintenant Sonia me prenait comme une folle, excitée elle aussi elle était plus brusque qu’elle ne l’avais jamais été mais c’était génial. Sandrine sur le canapé avait les cuisses largement écartées et se branlais comme une gamine, les doigts enfoncés dans une chatte gluante a souhait. Elle regardait comme hypnotisée le couple étrange qui s’agitait devant elle. Au bout d’un moment n’y tenant plus elle vin nous rejoindre se glissa sous moi, en 69 m’offrant une chatte dégoulinante a manger tandis que je sentais ses lèvres se refermer sur ma queue.
Je plongeais ma bouche dans ce gouffre brulant, son clito est dur mes doigts glissent facilement en elle et en quelques secondes un jus laiteux et épais commence a remonter et a couler entre ses fesses. J’adore çà. Je lape lèche bois le nectar qui ne cesse de couler. Sandrine est béante, elle me pompe comme une reine, Sonia m’encule comme je le mérite. Sandrine se met a jouir violemment, lâchant même plusieurs petits jets d’urine qui viennent s’ajouter à tout son petit lait. Un grand coup de rein de Sonia me fait jouir dans la bouche de Sandrine, je me déverse totalement entre ses lèvres,je suis presque au fond de sa gorge quand je lâche les plus grosses giclées.. Je suis ravagé par l’orgasme. Mon anus est palpitant dilaté comme je ne l’ai jamais été.. Sonia se retire.. Et je sent les doigts de Sandrine qui caressent ma rondelle ouverte. Je ressort de la bouche de Sandrine la queue luisante, elle à la bouche pleine et avale a petite gorgées ce que je viens d’y déposer.
Sonia arrache la ceinture, la jetant au sol et se jette sur le dos sur le canapés cuisses ouvertes. Ma chérie est ruisselante, excitée. Ses seins sont tendus , échevelée, les yeux presque révulsés elle se branle follement. Elle m’appelle de ses vœux « Viens chéri viens vite, baise moi fais moi jouir j’en peu plus » Heureusement je suis encore tendu, je me jette sur elle littéralement laissant Sandrine récupérer et je pénètre Sonia. Présomptueux de ma part car ma queue est douloureuse, je suis a peu prés certain que je ne vais pas aussi vite pouvoir jouir avec elle, mais je pense pouvoir la satisfaire.
A peine suis je en elle qu’elle m’enserre de ses jambes en criant qu’on la baise qu’on la défonce. Je la prend brutalement pendant a peine 5 minutes avant qu’elle ne s’agrippe a mon cou, dans un orgasme qui lui révulse les yeux de façon impressionnante, elle bave, elle halète je ne l’ai jamais vu comme çà. Nous sommes trempés, elle a inondé mon ventre, le canapé la moquette. Dantesque, c’est le mot.
Sandrine est venue a côté d’elle mes deux chéries se câlinent, se caressent doucement. Toutes les deux viennent de prendre leur pied.. Moi aussi mais toujours en érection hyper excité il faut que j’arrive a avoir encore un frisson. Je me masturbe frénétiquement sur mes deux femmes, elle me regardent et m’encourage. Elles attendent espèrent encore une fois ma liqueur. Contre toute attente et dans un grand bruit, frisson et douloureusement, je finis par éjaculer, plusieurs giclées peu épaisses et presque transparentes qui s’écrasent sur leur seins et leurs visages. Avant de m’écrouler littéralement sur mes amantes épuisées tout comme moi..
Ajouter un commentaire