Elle regarde autour d’elle, ne peut comprendre le nombre d’hommes nus, suants, excites, elle entend une cacophonie de langues, un son de males en chaleur tout autour d’elle.
Elle les voit, avec leurs téléphones, ils la prennent en photos, certains pour les envoyer à leurs amis, d’autres pour garder un souvenir et se branler lors de leurs nuits solitaires.
Un homme lui tient les bouts de ses seins, lui tire sur ses tetons, les pincent, elle crie, elle hurle et eux se marrent.
Ils veulent la voir dans sa déchéance totale, dans son état a****l le plus brut, ils veulent la voir femelle prête à être montée et démontée à chaque instant. Ils veulent l’utiliser jusqu’au bout, voir cette femme mariée blanche devenir un lupanar de plaisir pour eux.
Ils la baisent, dans sa chatte, elle ne sait plus combien ils sont, elle sent sa chatte qui dégouline de leurs spermes, leur sperme d’arabe, d’africain, de portugais, de roumains, de chinois. Elle ne fait plus de différence entre leurs bites, elle veut juste être pénétrée, encore et encore. Elle le crie, elle leur demande : »baisez-moi, encore, encore, je suis votre salope ! votre vide-bite ! »
Elle leur dit : » je suis votre pute, votre salope, enculez moi encore, je veux une bite dans mon cul ! »
Elle voit le regard de son mari qui n’y crois toujours pas mais qui commence à la regarder avec un désir fou dans ses yeux.
Ils la prennent debout, chacun un trou, dans sa chatte et son cul, elle sent des bites monstrueusement grosses s’enfoncer en elle, la déchirer doucement, lui élargir ses trous, elle sent la bite dans sa chatte passer par-delà son utérus, l’inonder au plus profond de sperme.
Certains l’embrassent violement, d’autres lui claquent les fesses, d’autres lui giclent sur le corps.
Ils la maintiennent les mains attachées dans une grande pièce noire à un mur face à son mari qu’ils déshabillent. Ils rigolent quand ils voient qu’il s’est joui dessus et lui disent : » tu aimes ta femme pute ? « On va te la défoncer complètement, tu vas jouir encore »
Ils reviennent vers elle, elle a l’impression qu’ils sont plus nombreux, surement l ; es amis qui ont vu ses photos, d’autres hommes des chantiers autour.
Je suis assis au loin et j’observe, je vois le plaisir dans ses yeux, elle s’est finalement libérée et vit sa vie dans cet instant de plaisir, cet instant où elle devient leur jouet.
Ils recommencent a la baiser dans cette position, debout, mais elle sent dans ses chairs ces nouvelles bites, plus dures, plus rapides à jouir aussi, elle n’a aucun doute ce sont de nouveaux hommes qui ne croient pas à leur chance de pouvoir baiser cette petite bourgeoise mariée.
Elle est complétement mouillée de leurs spermes, de ses jus à elle, elle se sent fontaine.
Ils deviennent fous! Elle a rarement été secouée ainsi et elle aime cela.
Ils se déchainent tous dans tous ses trous. Elle pense qu’elle va s’évanouir sous leurs coups de piston profonds, elle ne tient plus debout, ils la posent sur un matelas au sol, sur son ventre et elle se retrouve à genoux.
Les hommes lui mettent un tissu rugueux sous son ventre, elle pense un sac de ciment. Je les vois faire, je sais que c’est la dernière des dernières, ils vont tous se finir en elle.
Les hommes se mettent dans une queue, je comprends, de la plus petite bite a la plus grosse et le premier commence à l’enculer. On sent la frénésie, ils veulent décharger tout le désir sauvage qui reste en eux, ils veulent finir de jouir une dernière fois.
Son mari continue à l’entendre hurler mais entends des moments de silence, ces instants ou un homme passe dans sa bouche pour qu’elle le chauffe avant d’aller se planter dans son cul.
De là ou je suis assis, je vois son cul et les bites qui s’y succèdent, je vois le matelas se tacher de leurs jouissances.
Les dernières bites dans son cul passent avec difficultés, se sont des spécimens gros, qui la pilonnent violement, rapidement je vois son trou élargi qui coule de leur foutre et le tout dernier se plante dans sa chatte.
Il martèle sa chatte avec ses coups de bite profonds, elle crie : » arrêtez, arrêtez, je n’en peux plus, je ne peux plus jouir. » Mais il ne l’écoute pas et continue à la baiser, je vois dans ses yeux qu’il veut qu’elle jouisse sous sa bite, qu’il veut sa satisfaction de male, de faire jouir cette salope une dernière fois devant tous ses potes fatigues, vides et rassasies de sexe.
Il continue tantôt doucement, tantôt profondément, tantôt rapidement et là son corps se raidit, elle se tends, elle commence a gémir tout doucement au début, l’homme s’acharne, il la possède complétement, et tout d’un coup elle crie, elle hurle : »oui, oui ’oui » puis les sens qui émanent de sa bouche se font incompréhensible mais on voit tous un flot de jouissance sortir de sa chatte, tout autour de la bite de l’homme, elle jouit dans une douche de plaisir, si intense que l’homme a du mal à rester plante en elle et lui s’enfonce rapidement. Il crie un cri a****l, ses couilles se tendent et il s’agrippe à ses fesses pour se vider en elle.
Tout s’arrête, le silence se fait, l’homme se dégage de sa chatte, je vois leurs liqueurs se déverser hors d’elle, elle se laisse tomber doucement, comme évanouie, épuisée, rassasiée.
Les hommes vont vers son mari, le détachent et l’emmène a ses cotes.
Ils sont maintenant très polis, très doux. Ils lui demandent de la nettoyer.
Il se place à ses cotes sur le matelas, dans la semi-obscurité et l’enlace, l’embrasse et lui dit tout doucement : »je t’aime ma petite salope »
Alors qu’elle est pleine de sueur, de sperme, d’odeurs de males en rut, il s’en met partout car son corps à elle en est couvert.
Elle ouvre un peu les yeux, le voit et sourit et lui murmure: « s’il te plait mon chou, lèche moi »
Dans le noir, il commence à lécher son cou en descendant plus bas, sa poitrine, son ventre, son sexe.
Elle sent la douceur de ses lèvres, de sa langue qui la lave, la nettoye de tous ces males.
Elle s’endort dans le confort de leur amour tout en le sentant toujours caressant, léchant et nettoyant son corps! Elle est sa Déesse à ce moment!
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