Drôle d’arrêt pipi
Je suis un jeune homme d’assez quelconque, mes lunettes de myope, mes 21 ans, mes 1,75 mètres, pas très épais avec mes 58 kilos, par contre je suis de type méditerranéen, des cheveux très bruns, un système pileux très fourni au niveau des jambes, pubis et fesses. J’habite encore au domicile parental pour mes études, assez brillantes, mes parents étant très strictes.
Ne voulant pas les choquer, je reste très réservé et même timide sur mes attirances envers les garçons, n’ayant jamais eu d’aventure (si ce n’est quelques touche pipi avec des copains lors de simulacre de bagarres, sentant sous mes attouchements leur sexes parfois durcis, tout comme le mien lorsqu’ils parvenaient à me toucher à travers mon jean.)
Un jour alors que nous étions deux à nous chamailler, il avait réussi à entrer sa main dans mon caleçon jusqu’à toucher mon sexe, se marrant de sentir que je bandais. Devant une telle attaque, je me démenais pour essayer de lui baisser son short. Au moment de reprendre son souffle, il eut un relâchement dont je profitais pour le déculotter. Il eut juste le temps de remonter son short, et moi de voir son sexe demi mou au milieu de poils.
Le soir dans mon lit, je repensais à cette bagarre, en me masturbant. Décidément, j’étais vraiment attiré par les mecs.
Lorsque mes parents sont absents j’aime me promener à poil dans la maison, surtout mater sur internent les sites gays sur lesquels je fantasme lorsque je vois de beaux mecs, certains entièrement rasés, ce que je ne ferai pas, car, si mes parents s’en apercevaient je serais trop gêné, tout comme s’ils savaient ce que je vais voir sur le net, c’est pour cela que j’efface toutes traces de mes voyages qui me font me branler plusieurs fois par jour.
Un après-midi de vacances de pâques, j’ai pris ma voiture pour aller bosser à la bibliothèque à environ une heure de chez moi. En cours de route je sentais de plus en plus une envie d’uriner, je cherchais un endroit assez discret pour me garer, et me cacher des regards, je repérais un parking protégé de la route par une haie dont un bosquet permettait d’aller me soulager.
Deux camions étaient déjà stationnés.
J’arrête mon moteur, descends rapidement sans oublier de fermer à clé, puis derrière un bosquet je dégrafe ma ceinture, ouvre largement mon jean pour sortir mon sexe et mes boules par-dessus l’élastique de mon boxer. Je dégage au maximum mon gland afin de pouvoir uriner plus facilement. Arrivé à la fin je secoue ma verge qui avait grossi d’être ainsi à l’air libre, puis fais coulisser le prépuce pour pisser jusqu’à la dernière goutte.
Au moment de me rhabiller, je sens deux bras m’enserrer brutalement le torse, je me mets à crier :
– que faites-vous ? Laissez-moi, je vais appeler au secours
– ta gueule, personne ne peut t’entendre !
Un deuxième mec sorti de je ne sais d’où baissa mon jean et mon caleçon, pour l’enlever, ce qui lui fut facile puisque je n’attachais jamais mes baskets. J’avais beau gigoter, je me suis retrouvé les fesse à l’air. Le mec qui m’avait dessapé dit :
– putain il a une de ces touffes !
– fait voir !
Il relève mon t-shirt par-dessus ma tête, me fait faire un demi-tour. Il en profite pour me tripoter brutalement.
J’essayais toujours de me dégager, mais l’un me dit :
« Si tu continues à te débattre, je vais de claquer le cul », ce qu’il fit pour me donner une idée de ce qui m’attendrait.
La tête recouverte de mon t-shirt je ne voyais pas ce qui se passait, je sentis juste qu’ils me soulevaient pour me transporter, j’étais mort de trouille de ne pas savoir où ils m’emmenaient surtout sur le parking où il pouvait y avoir du monde.
Plus cela durait, plus le stress montait plus, ma bite rétrécissait, comme pour se cacher dans le paquet de poils qui l’entourait.
Ils posèrent mes pieds au sol, j’essayais une échappée, mais une énorme claque s’abattit sur mes fesses, me faisant hurler, le frappeur me dit « je t’avais prévenu, et si tu recommence je t’attache les mains et te bâillonne si tu gueule encore une fois »
Et l’autre de rétorquer :
« Hé, regarde sa bite a disparu dans les poils »
Je n’osais plus bouger ni parler. Je sentis qu’il me soulevait et entendre dire :
« Il va falloir nettoyer tout ça, en plus il en a partout dans la raie, j’aime la netteté »
J’étais mort de peur d’entendre leur projet lorsque mes pieds touchèrent le sol et une porte se refermer.
Il me retira mon t-shirt, je me retrouvais complètement nu sans mes lunettes je distinguais l’intérieur d’une remorque de camion aménagé en salon avec des barres et des chaînes, je commençais à comprendre ce qui allait se passer, surtout lorsqu’il m’attacha les bras relevés à une des barres.
Ainsi presque immobilisé l’un essaya de me décalotter mais le stress avait durcit le prépuce. Je recommençais à gigoter pour éviter cette humiliation, mais une claque magistrale retentit sur mes fesses au point de pousser un cri. Puis il me dit :
« Tu peux crier tant que tu veux, personne ne peut t’entendre »
Il arriva à dégager mon tout petit gland avec ses deux gros doigts.
Je commençais à me faire à l’idée que j’étais dans un drôle de pétrin qu’il fallait que j’attende que cela passe sans trop de dégâts. Cette pensée me fit me détendre un peu, tout en étant toujours inquiet sur la suite.
« Je te remets tes lunettes pour que tu puisses apprécier le travail bien fait »
Ainsi équipé je pouvais voir les deux mecs baraqués comme des armoires à glace, la mine patibulaire, des tatouages partout, mal rasés, habillés de cuir. Ils faisaient peur.
Un des types arriva avec une tondeuse et commença à couper les poils autour de mon pubis, puis l’entre jambe et les boules, l’autre avait une bombe de crème à raser et en étalât sur toutes les parties à raser. Doucement commença à me raser. Je voyais disparaître petit à petit mes poils, d’abord sur le bas ventre, l’intérieur des cuisses, puis les boules. Une fois terminé, l’autre me nettoya avec un gant de toilette et de l’eau tiède, cette vision sans poil et le massage revigorât mon sexe qui se détendit ce qui fit dire à l’un :
« Tu vois il fait plus gros sans poil ! »Et l’autre de dire :
« Il faut s’occuper de son cul maintenant »
Autant de voir mon sexe rasé et tout doux comme sur les sites que je consultais commençait à me faire réagir, autant de s’occuper de mon petit trou me paniquais au point que je me raidis de nouveau.
Un mec me dit de ne pas bouger sinon les claques pleuvraient de nouveau puis me détachât les mains pendant que l’autre me tenait les couilles pour m’éviter de bouger.
Ils m’allongèrent sur une sorte de cheval d’arçon, une sangle autour du bassin pour me soulever le cul.
Pour voir le travail à faire, ils m’écartèrent les fesses –je me sentais humilié – lorsque l’un siffla et dit :
« Mais dit donc cela m’a l’air tout neuf ! »
Et l’autre de répondre :
« Il y a du boulot «
Je tentais bien de resserrer mon sphincter mais plusieurs claques tombèrent, c’était douloureux, mais supportable.
Je sentis la mousse se déposer sur mes fesses, puis une main s’insérer dans ma raie bien écartées pour me masser doucement, lorsque un doigt essaya de pénétrer mon petit trou, je resserrai de nouveau, mais pan sur le cul et le doigt entra et d’entendre :
« Tu vois que ce n’est pas si difficile »
Le rasage commença lentement, puis après quelques minutes le travail terminé, il fit couler de l’eau tiède entre mes fesses pour me rincer (et se rincer l’œil) avec leurs mains, cette eau chaude me détendirent complètement, ils le sentir et recommencèrent à entrer un doigt chacun leur tour en me massant, puis soudain je sentis une langue qui me léchait, je n’avais jamais encore ressenti un tel plaisir au point que je bandais, ce qui n’échappa pas à l’autre qui se saisit de mon sexe en disant à l’autre :
« Il bande dur, et c’est autre chose qu’au début »
Ils m’allongèrent sur le dos, les bras et jambes en croix attachée aux coins du lit, j’étais complètement à leur merci. Je voyais deux malabars en train de se déshabiller, lorsqu’ils se retrouvèrent entièrement nus j’avais devant moi deux ours velus de partout, des sexes en proportions qui m’effrayait en pensant ce qu’ils allaient me faire subir. L’un monta sur le lit, mit son sexe énorme au-dessus de mon visage en le secouant, ses boules tapaient sur mon nez, ma bouche, il le promenait sur mes yeux, mon front, puis pressentait son gland à ma bouche que je tenais fermée en voyant ce que je devrais engloutir, cela ne tarda pas, puisqu’il me pinça le nez pour que je respire par la bouche, dès qu’elle fut ouverte il y enfonça son sexe en me disant :
« Si tu y mets de la mauvaise volonté tu vas dérouiller » tout en me pinçant violemment les tétons.
Devant de tels arguments, j’ouvris le plus grand possible ma mâchoire afin qu’il s’y engloutisse, ce qu’il fit jusqu’à toucher ma luette ce qui me donna un haut le cœur il recula pour que je lui suce que le gland sur tous les angles. A un moment je sentis un peu de liqueur couler, je crus qu’il allait tout lâcher sur moi, mais c’était une fausse alerte, il se retint.
L’autre s’occupait de ma bite toujours aussi raide, il la suçait avec fougue, décalottait au maximum sur mon prépuce à m’en faire mal, puis sa langue titillait le bout pour y pénétrer, je ne pus retenir un peu de liquide qu’il lécha comme du miel. Ses mains n’étaient pas inoccupées, l’une me pétrissait les couilles, les tirait, puis passait entre mes fesses pour me titiller la rondelle qui transpirait un peu.
Je vis celui qui s’occupait de ma bouche prendre un préservatif et l’enfiler je commençais à flipper me doutant des prochaines réjouissances. L’autre me détacha les pieds me releva les jambes toujours bien écartées presque à l’horizontale, puis m’écarta largement les fesses, me lécha l’anus, me l’enduit d’un gel, ses doigts commencèrent leur travail de pénétration, je fus surpris que cela ne me fasse pas mal. Ses doigts se retirèrent et je sentis le bout du sexe capoté entrer doucement, je me cambrais légèrement, il y pénétra un peu puis de plus en plus et je ressentis son mouvement de va et vient s’accélérer. Jamais je n’aurai imaginé le plaisir que cela pouvait me procurer en poussant de petits gémissements à chaque mouvement.
Voyant que je fatiguais, il se retira je m’allongeais pour me détendre, mon sexe se relâchant, son collègue commença à me branler pour que je rebande et me le recouvrir d’un préservatif, ce qui arriva assez vite, puis doucement il se plaça au-dessus et descendit lentement pour que ma verge entre dans son anus, jusqu’à toucher mon ventre, il accéléra son mouvement, je voyais son visage profiter du plaisir qu’il prenait.
Je fus surpris de la distance que je tenais dans cette course au plaisir, n’empêche qu’il a dû sentir que l’instant du bouquet final était proche, puisqu’il se retira prestement ôta le préservatif, me branla deux ou trois fois avant d’approcher sa bouche béante et avaler les nombreux jets de foutre qui s’évacuaient après tant de plaisir.
Voyant cela l’autre qui se branlait pendant le spectacle lâcha à son tour des jets de sperme, je sentais ce liquide chaud arriver sur mon torse, mon ventre, son copain suivi à son tour pour en rajouter une couche, j’étais inondé de foutre qu’ils étalaient de leurs mains.
Après un moment de repos, ils me détachèrent sachant que je ne bougerai pas, ce qui était exact, ils me prévinrent que nos ébats avaient été enregistrés par une petite caméra, et pour le prouver me montrèrent quelques échantillons de leurs larcins, il y avait des victimes (ou habitués) de tous les âges.
De vrais prédateurs qui attendaient leurs proies prises dans leur toile.
Ils me firent descendre du camion encore nu, me suivirent sur le parking toujours aussi désert, à croire qu’ils habitaient ici et traquaient les mecs comme moi pour des parties sexe, ou bien lorsqu’ils avaient personne s’amuser entre eux.
Ils me lavèrent avec un tuyau d’arrosage, une fois sec ils me rendirent mes habits, mes clés, je remontais dans ma voiture un peu groggy mais heureux d’avoir vécu cette aventure.
Lorsque je vis l’heure sur la montre du tableau de bord je me dis qu’il était temps de rentrer.
Arrivé à la maison, ma mère me trouva la mine fatiguée, me demanda si ça allait. Je lui répondis que je n’avais pas vu passer le temps, j’étais un peu abruti d’avoir travaillé autant, que je me coucherai tôt.
Ce fut le cas, allongé dans mon lit je repensais à cet après-midi en passant mes mains sur mon ventre, mes couilles, mes fesses toujours aussi doux et ma rondelle encore douloureuse.
En passant devant ce parking, il m’arrive de le traverser pour voir si d’autres proies consentantes ou non se sont faites prendre, et parfois il y a une voiture vide stationnée. J’aimerais bien voir qui se fait prendre comme moi.
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