J’ai rencontré ma soumise sur un site de rencontre des plus classique et très connu. Bien qu’à l’époque j’avais 21 ans, je fus attiré par une femme de 41ans qui semblait ne pas avoir froid aux yeux. Après quelques messages échangés, on parla très vite de sexe. Il fut conclu rapidement de venir passer le weekend chez elle. (je vous dévoilerez si vous le désirez, notre première rencontre qui annonça déjà la salope qui dormait en elle).
Peut après notre première rencontre, je fut surpris à quel point elle était tombé folle amoureuse de moi. Sa beauté, son coté libérée au lit et son coté soumise (c’était au point qu’elle demandait ma permission pour elle manger quelque chose alors qu’on était chez elle!) me fit craquer.
Bref, à l’époque je me suis mis en ménage avec elle, mais sans vraiment exploiter tout cela. Je tombais amoureux de cette femme qui avait 20ans de plus que moi. Pendant 3 ans nous avons vécu une relation faites de sexe et d’amour. Pendant ses 6 années de vie commune, alors que je voyais se coté vraiment salope et soumise (que vous découvrirez plus tard si vous le désirez), je n’ai jamais abusé de son caractère, vivant avec elle comme un vrai couple avec une vie sexuelle quelque peu soutenue.
C’est le décès de sa mère qui changea ma bien aimée, passant d’une femme pleine de vie à une femme passant ses journées au lit sans réussir à lui remonter le moral.
Une routine s’installa rapidement, puis sans s’en apercevoir, on vivait notre vie chacun de son coté, cependant, ses sentiments pour moi était de plus en plus intense, et à l’époque, je ne m’en doutais pas.
Nous voila 6 ans après notre premier rendez vous. Je ne voyais plus ma bien aimée avec le même amour, elle si pleine de vie et d’amour était devenue une loque passant ses journées et ses nuits à regarder la télé, ne se levant que pour manger et travailler. Je ne pouvais plus rester dans cette situation. Afin d’être sincère avec elle, je lui dit clairement que je comptais la quitter car elle était devenue pathétique et déprimante (bien sur, je mis les formes et cela dura tout de même plusieurs jours pour préparer mon départ, croyant jusqu’à la vieille que je lui fessait une mauvaise blague). Je fis tout pour que mon départ lui soit le moins douloureux possible, prévenant ses proches afin qu’elle ne se retrouve pas seule. Très vite je m’aperçus que malgré sa léthargie et sa passivité de ses dernières années, ses sentiments étaient devenu bien plus fort envers moi, comprenant que j’étais toute sa vie selon elle.
C’est ainsi qu’elle était là, à moitié nue devant moi à côté de mes cartons, pleurant toute ses larmes de son corps, me suppliant de rester, qu’elle ne pouvait imaginer sa vie sans moi. En temps normal, la sincérité de ses larmes coulant à flots sans retenue m’aurait attendrit, mais cette fois ci, je la trouvais terriblement belle et excitante. Ses seins à moitié sorties, son regard de chien battu suppliant de rester, je ne pus résister à l’envie de lui ouvrir les bras. Très vite elle arriva dans mes bras, me serrant de toute ses forces, pleurant de plus belle, c’est alors que j’entrepris de la mettre entièrement nue.
– Non stp, ne me fais pas ça. Tu veux m’abandonner et me faire l’amour juste avant ton départ? je ne le supporterais pas. Je t’en supplie mon chéri, reste, pitiés, je t’aime tellement. Si tu me fais l’amour, reste avec moi. Sinon, si tu m’aimes ou si un jour tu m’as aimé, ne me fais pas l’amour, pité chéri…
Alors qu’elle me disait ses mots entre deux sanglots, elle c’était toute même laissé dévêtir.
Nue, pleurant toujours à chaude larmes, son corps tremblant du à ses pleurs incessant et à sa douleur incommensurable de voir l’homme de sa vie partir pour toujours. Terriblement excités de la voir ainsi, dans cette situation, avec son air suppliant, je pris sauvagement ses cheveux à pleines main pour la mettre de force à genoux afin de lui enfoncer ma bite sans lui laisser le temps de réfléchir. La douleur de son cuir chevelu l’obligeant à ne pas résister.
– Putain mais la ferme salope, tiens suce. De toute manière tu n’as toujours été bonne qu’a te faire baisée.
Après quelques va et viens brutaux dans sa gorge, je l’a mis à quatre pattes sur le carrelage. Elle arrivait à m’étonner, car après avoir passer une bonne demi heure à pleurer comme elle n’avait jamais pleurer, elle continuait de chialer de plus en plus, trouvant sa respiration difficilement.
Une fois en position, une grosse claque bien sourde sonna sur sa fesse, lui arrachant un cri de douleur larmoyant aussi bien physique que sentimental. Je me plaçais derrière elle et m’enfonça dans sa chatte sans aucune préparation, lui tirant les cheveux en arrière aussi fort que possible et la fessant tout aussi brutalement.
La situation était elle que je ne pus me contenir, inondant sa chatte de ma semence épaisse. Elle s’affala par terre, toujours en train de pleurer, bien que cette fois, elle n’avait plus la force de me supplier de rester, mais ses yeux criaient sa douleur et son désarroi de mon départ.
C’est ainsi que je remplissais la voiture pendant qu’elle finissait de pleurer sa douleur allongé par terre, tremblant de tout son corps, la chatte suintante.
Une fois les cartons en place dans la voiture, elle n’avait pas bouger. Je jeta les clefs par terre devant son visage
– Tiens, j’en ai plus besoin maintenant.
Alors que je tournais les talons, j’entendis le bruit des clefs, et ses sur ses cris de douleur que je partis d’ici.
Après mon départ, son neveu, ayant mon âge et sachant mon départ, m’annonça que sa tante avait pris une semaine de congés car elle se sentait pas bien. Je lui promis d’aller la voir prendre de ses nouvelles. Quelle fut pas ma surprise en découvrant que son amour pour moi n’avait pas cessé. Voila de quoi me réjouir…
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