Histoires de sexe Histoires de sexe de voisins Histoires gays

Première aventure biarrotte

Première aventure biarrotte



Ce lundi-là, j’étais seule au domicile de ma fille, tout le monde était parti vaquer à ses occupations.
N’y tenant plus, après quelques quinze jours d’enfermement, je décidais de faire prendre l’air à Delphine. M’étant discrètement renseignée, je pris la direction d’une plage que je savais connue pour nous y accueillir. Sous mon short et mon tee-shirt, je dissimule un ravissant maillot de bains, deux pièces. Dans le string, je dissimule tant bien que mal, mes attributs. Quant au soutien-gorge, il révèle plus qu’il ne cache mes seins. Arrivée sur place, je décide de trouver un petit coin tranquille. Ceci étant fait, je me déshabille, fais disparaître mes vêtements dans un sac, étale ma serviette, m’enduis de crème solaire pour ne pas me transformer en homard et m’allonge sur le ventre, face à la mer. Les yeux cachés derrière des lunettes aux verres foncés, j’observe les alentours. Au bout d’un certain temps, je me retourne pour me mettre sur le dos. Je n’ose pas trop écarter mes cuisses … Par contre, j’ôte le haut du maillot pour exposer mes tétons aux rayons du soleil. Cela fait, à peu près, une heure que je suis là, je sens des regards fixés sur moi. Je me redresse et me trouve face à un couple. La dame dans la quarantaine, le monsieur dans la trentaine. Elle est la première à m’adresser la parole, « c’est la première fois que vous venez ? ». Je réponds par l’affirmative. Le monsieur enchérit en me disant qu’ils s’en doutaient un peu. « Cela vous dirait que nous fassions plus ample connaissance » me dit la dame. « Avec plaisir » que je réponds. « Venez avec nous » me dit-il, nous connaissons un endroit plus calme et plus discret. Sans réfléchir, je me lève, et nous voilà partis.
Un peu plus loin, effectivement, une autre plage avec moins de sable mais plus de rochers où nous installés. Durant le court trajet, nous échangeons nos prénoms. Madame se prénomme Maïté et le monsieur, Daniel. Très peu de temps après être arrivés sur place, les choses sérieuses commencent.
Maïté enlève le haut de son maillot. J’ai devant mes yeux, une paire de seins, magnifiques, un bon 95d, dont les tétons sont piercés. Elle retire le bas et je découvre d’autres piercings. Daniel, quant à lui est tatoué sur la fesse gauche d’une dominatrice. Son sexe fait dans les 17×4. Ne pouvant faire autrement, je me mets nue à mon tour. Nous nous allongeons et échangeons nos premières caresses. Contrairement à ce que je pensais, c’est Daniel qui semble le plus entreprenant vis-à-vis de mon clito. Il le prend en main, le caresse, le soupèse. Trop heureuse, je me laisse faire. Maïté entre à son tour dans la danse. Elle titille mes tétons de ses dents, joue avec mes seins, les malaxant entre ses mains douces. Puis, elle remonte lentement vers mes lèvres et me claque un baiser. Je sens que sa langue veut pénétrer dans ma bouche. Je ne résiste pas bien longtemps. Nos langues se nouent. Nouvelle surprise pour moi car sa langue est, elle aussi, piercée. Je prends rapidement goût à leurs caresses conjointes. Changement de positions. Maïté s’installe d’autorité sur ma bouche, att**** mes chevilles et les lèvent vers le ciel. Je suis dans l’impossibilité de bouger et de crier. Daniel s’agenouille et vient placer son sexe sur les lèvres de ma chatte. Du sac de Maïté surgit un tube de gel et un préservatif. Après m’avoir tartiné et avoir recouvert son sexe de son habit de latex, Daniel s’enfonce en moi. Ses mouvements sont prévenants. Il commence sa pénétration tout en douceur. Pendant ce temps-là, Maïté m’intime de dévorer sa moule. Ma langue s’enfonce délicatement dans les replis intimes de ses chairs tendres. Pour m’inciter à aller plus loin, elle fait peser sur mon visage, ses fesses musclées. Ma langue s’aventure de plus en plus loin dans son vagin. Pendant ce temps-là, Daniel a accéléré ses mouvements. Il se fait plus fort et s’enfonce toujours plus loin. Maïté lui demande alors, s’il se plait dans ma chatte. Oui, lui répond-il. Cette petite salope s’ouvre au fur et à mesure que je me plante en elle. Elle a l’air d’apprécier. C’est effectivement le cas. Il suffit pour s’en convaincre de voir mon clito, tendu à l’extrême, quasiment décalotté, prêt à cracher son jus, mon jus. Je voudrais que ce moment ne s’arrête pas, tellement je suis heureuse de mon sort. Je ne sais par quel miracle cela se produit mais nous jouissons tous les trois au même instant. Daniel remplit la poche de sa capote, Maïté inonde ma bouche de sa cyprine et moi je jouis sur mon ventre. A peine remis de cette première mi-temps, ils sont déjà d’attaque pour la seconde. Je leur demande de m’accorder quelques minutes pour reprendre mes esprits.
Très vite, nous remettons le couvert. Nous avons changé de positions. Je suis maintenant à quatre pattes. Daniel s’est installé face à ma bouche et Maïté a décidé de s’occuper de ma chatte. Nouveau chapeau pour le sexe de Daniel. Maïté, quant à elle, couvre ses doigts de gel. Daniel présente sa queue entre mes lèvres. Elles s’ouvrent sans difficulté pour laisser pénétrer ce délicieux sucre d’orge. J’entreprends de la sucer comme si ma vie en dépendait. Pendant ce temps, Maïté, caresse les bords de ma chatte, faisant pénétrer un doigt dans ma cavité. Ma bouche, guidait par les mains de Daniel, fait des allers retours le long de cette hampe de chair. De temps à autre, j’arrive à gober une couille et je la lèche, la couvrant de salive, puis je passe à l’autre. Daniel apprécie. Maïté n’est pas en reste. A coups de petites claques, bien senties, elle a réussi à m’ouvrir suffisamment pour pouvoir faire entrer trois doigts, simultanément. Je me trémousse de plaisirs sous ces assauts, répétés. Ma bouche joue pleinement son rôle. Les mains de Daniel imposent un va et vient de plus en plus rapide. Son sexe a gonflé sur ma langue. Il est prêt à jouir. Il se retire, ôte la capote et explose sur mon visage. Je passe ma langue partout où je le peux pour récupérer ce jus chaud, crémeux et salé. Le reliquat, c’est avec mes doigts que je vais le chercher. Maïté réussit l’exploit de me faire mouiller de ma chatte.
Le temps a passé trop vite. Il est temps pour nous de nous séparer. Très courtoisement, ils me raccompagnent au plus près de chez ma fille. Durant le trajet, nous discutons de tout et de rien, comme si nous nous connaissions depuis des années. Garés, Maïté me demande ce que je fais le lendemain soir. N’ayant rien de prévu, je lui réponds que je suis disponible. Je précise que n’ayant pas prévu ce genre de rencontres, je n’ai avec moi, aucune tenue de femme. « Ce n’est pas grave » me dit-elle. « J’ai une grande garde-robe, je trouverai bien quelque chose qui t’ira » ajoute-t-elle avant que d’éclater de rire. « Nous viendrons te chercher vers 19h » dit Daniel. Même endroit. Je descends de voiture après les avoir embrassés. La voiture s’éloigne et je rentre. J’ai le cul explosé mais j’ai pris mon pied. Vivement demain soir.
Le lendemain, à l’heure prévue, j’arrive sur le lieu de rendez-vous. La voiture est déjà là. C’est Maïté qui est au volant. Après m’avoir roulé une pelle bien baveuse, en guise de bonsoir, elle m’annonce qu’il nous faut laisser à Daniel pour se préparer. Nous te préparons une petite surprise, me dit-elle. Mais avant, j’aimerai que tu t’occupes de moi, s’empresse-t-elle d’ajouter. Nous nous dirigeons vers un parking souterrain qu’elle sait discret.
Elle m’entraîne alors à l’arrière de la voiture, se précipite sur les boutons de mon pantalon. Très vite, celui-ci se retrouve sur mes chevilles. Rapidement mon slip l’y rejoint. Elle entame alors une fellation, qui très vite me conduit aux portes de la jouissance. Me sentant prêt à jouir, elle ralentit le mouvement de sa bouche sur mon dard. La pression retombe. Changeant de position, Maïté vient à présent se positionner au-dessus de moi. Elle s’empare de ma bite et la guide directement vers son cul. Sous la pression de mon sexe, elle se plante sur moi. « Au vu de ce que tu as montré hier après-midi, je veux que tu me défonces, que tu me bourres comme une chienne. Vas-y, défonces moi ». Joignant les gestes à ses paroles, en un tour de main, elle finit de se déshabiller. En un temps record, elle est intégralement nue. Mes mains et ma bouche ne savent plus que faire. Sentant que je perds le contrôle, elle décide de prendre les choses en mains. « Baises-moi comme une chienne » me dit-elle. « Insultes-moi, j’adore ça » rajoute-telle. Je ne me fais pas prier. Plus j’emploie des termes orduriers, plus elle active son mouvement de montée et de descente. Elle se penche en arrière. J’aperçois sa chatte. Elle se caresse le clitoris. Très vite, elle se branle. Je me répands entre ses reins, tandis qu’elle hurle de bonheur. Heureusement que le parking est désert !
Sans même me laisser le temps de réagir, elle remet son blouson pour dissimuler ses seins, se remet au volant et démarre. « Au vu de l’heure, je suis sûre que Daniel est prêt. Nous allons pouvoir le rejoindre » me dit Maïté dans un sourire qui en dit long. Nous arrivons à proximité d’une villa dont le portail s’ouvre pour nous permettre d’entrer. Nous en descendons et le rejoignons au salon. A cet instant, je constate que Daniel porte une longue robe de cuir noir et un soutien gorge. Il est chaussé de bottes à hauts talons. Il porte une perruque auburn aux cheveux mi-longs. Son visage est magnifiquement maquillé. Maïté, dans mon dos me dit « pour toi, ce soir, tu l’appelleras Danielle ». Nous échangeons un bonsoir accompagné d’un baiser sur la bouche.
« Suis-moi, salope » me dit Maïté d’une voix à laquelle je ne m’attendais pas. Direction la salle de bains. Une chose incongrue apparait à mes yeux. Dans un coin, trône un fauteuil de cuir. « Direction la douche, chienne » me dit Maïté. Je n’ose me défiler. Tout à coup, je ne sais plus sur quel pied danser. D’un côté, je me demande ce qu’elles me réservent. De l’autre, je suis excitée, à l’idée d’être la reine d’une soirée, qui s’annonce torride. C’est à l’eau froide que Maïté entreprend de me laver. Je tremble, passant du froid de l’eau au chaud de la friction. Quand elle en a fini, Danielle prend le relais pour m’essuyer. Elle aussi, frotte très énergiquement. Une fois sèche, Danielle m’installe sur le fauteuil et m’y attache grâce à des bracelets de cuir reliés entre eux par des chaînes. Les poignets en premier, les chevilles ensuite. Maïté revient et entreprend de me maquiller. Quand elle en a terminé, mes yeux sont agrandis et hyper maquillés, ma bouche est ornée d’un rouge à lèvres rouge vif. En me regardant dans le petit miroir que me présente Danielle, je ne me reconnais pas. Il ne me reste plus qu’à revêtir la perruque que Maïté me tend. C’est une perruque blonde platine à cheveux mi-longs. Je la coiffe. Je ressemble à une « bimbo ». Après m’avoir libéré de mes liens, mes deux « maîtresses » m’entraînent vers une chambre. C’est là, qu’elles entreprennent de m’habiller. Un corset en cuir est mis en place. Maïté le serre à m’en couper le souffle. Dans les bonnets, Danielle glisse de faux seins en silicone. Je fais à présent un bon 100d. A mon cou, est fixé un collier de cuir clouté rouge et noir. Pendant ce temps là, Danielle fixe des bas à mes porte-jarretelles. Mes pieds sont chaussés d’une paire de cuissardes rouges. Mes deux amies me conduisent vers le salon. Là, un équipement de photographe pro est en place. Un rideau, tiré, me dissimule une partie de la pièce. Danielle me donne des indications quant aux positions qu’elle veut me voir prendre. Je m’exécute. Les premiers clichés sont « amicaux ». Plus le temps passe, plus les poses se font audacieuses. Les dernières photos seront plus hardes. Entre-temps, de nouveaux accessoires ont fait leur apparition. Je me sens si bien, que je n’ose rien refuser. Des godes, des plugs sont à présent maniés avec dextérité par Maïté, qui y prend un certain plaisir. Je suce tout ce qu’elle présente entre mes lèvres, avant qu’ils ne disparaissent dans ma chatte. De temps à autre, Danielle délaisse son appareil photo et nous sert à boire. Je n’ai plus toute ma tête. Après avoir fait monter la pression, Maïté se lève et ouvre le fameux rideau. Je découvre un véritable petit donjon. Il n’y manque quasiment rien. Collée contre un mur, une croix de Saint-André me tend ses bracelets. Face à elle, se trouve un fauteuil de gynécologie. Dans un autre coin, une cage. Deux murs sont décorés par des miroirs. Je reste sans voix. Danielle m’explique alors, qu’il forme avec sa femme, un couple très libertin et qu’ils reçoivent souvent des filles telles que moi. Certaines ne font que passer. D’autres y restent plus longtemps. Elles me demandent si je suis tentée. Je réponds aussi sec : « quelle question, bien sûr mais à une condition ». « Laquelle » me demande Danielle. « Tout ce que vous voulez, mais ni s**to, ni zoo et encore moins des marques ». « Nous respectons toujours les désirs de nos invitées » me dit Maïté. Je me dirige vers la croix. Elles referment les bracelets sur mes poignets et mes chevilles, puis finissent de m’immobiliser avec une large ceinture de cuir. Je suis, à présent, soumise à leurs volontés. Cela commence par des caresses sur l’ensemble de mon corps. Leurs mains sont maintenant gantées. Elles virevoltent sur mon corps, prisonnier. Maïté titille mes tétons tandis que Danielle s’occupe de mon clito. Plus le temps passe, plus leurs gestes se font pressants. Les différents gadgets refont leur apparition. Ma chatte est de nouveau visitée. Je suis à deux doigts de défaillir. Elles s’en rendent compte et s’interrompent pour mieux reprendre quelques minutes plus tard. De temps à autre, je me regarde dans les miroirs et l’image qu’ils me renvoient est très belle. Je me complets à me débattre pour échapper à leur imagination, mais très vite, je replonge avec volupté. Plus tard, c’est dans le fauteuil qu’elles m’installent. Un tube de gel. Ma chatte en est tartinée. Un spéculum. Il s’enfonce entre mes reins. Je l’aspire. Danielle l’ouvre et je m’ouvre sur ses parois. Je suis délicieusement indécente. Danielle retire le spéculum et le remplace par son sexe. Elle me lime. Elle s’enfonce bien en moi. Ses mains s’agrippent à mes hanches. Ses va et vient se font violents. Très rapidement, elle jouit en moi. A peine s’est-elle retirée que Maïté, qui a orné sa taille d’un gode-ceinture, vient prendre la place entre mes reins. Elle aussi, me lime, s’enfonçant au plus profond de mes reins. Mes deux amies prennent, elles aussi, du plaisir. J’ai quelques difficultés à me tenir sur mes talons, tant elles m’ont épuisé. Nous sortons du donjon, faisons une rapide halte au salon, histoire de nous désaltérer. Puis, direction la chambre à coucher. Autre lieu, autres jeux. Autres extases. Une grande partie de la nuit passe. Il me faut songer à rentrer. Je suis fourbue. Retour à la salle de bains pour un démaquillage en règle suivi d’une nouvelle douche.
La parenthèse enchantée se referme.
Je fais mes adieux à Maïté, puisque c’est Danielle qui me raccompagne. Au moment de descendre de la voiture, elle me tend une carte de visite en me disant, « si à l’occasion, tu reviens … ». Je la range précieusement.
Une dernière pelle et nous nous séparerons.
Nous retournons chacune à nos vies.
Je suis rentrée à Paris. Vivement que je puisse y retourner.

A propos de l'auteur

HistoiresSexe

Je publie des histoires de sexe quotidiennes pour mes lecteurs.

Ajouter un commentaire

Cliquez ici pour poster un commentaire