Octobre 2004, cela fait environ 1 mois que j’ai débuté mes études à Nantes. J’ai trouvé un petit appart de 30m2 dans une petite résidence près de la fac. C’est la totale liberté sans les parents sur le dos, même si je rentre chez eux régulièrement le weekend.
Au départ, je n’avais pas encore la télé et certains soirs, je me suis ennuyé mortellement. Je suis constamment sur mon ordi portable à faire des jeux où à parcourir Internet. Bon j’ai étudié aussi parfois…
Un soir, j’ai découvert un site de tchat. J’ai trouvé ça sympa de pouvoir faire connaissance avec plein de personnes différentes et d’une certaine manière, ça me faisait de la compagnie.
J’ai alors commencé à faire 2 ou 3 rencontres, mais j’ai été rapidement déçu. Et oui, car l’inconvénient avec les tchats, c’est qu’on ne voit pas à quoi ressemble son interlocuteur. Pour moi c’était des interlocutrices en l’occurrence. Bref, après être tombé sur ces laidrons, j’ai hésité à continuer, me racontant que de toutes façon les belles nanas ne viennent pas sur ces sites car elles sont sûrement déjà en couple.
Et puis, un jeudi soir, après être rentré d’une soirée un peu arrosé, je me suis connecté au tchat un peu par dépit. Sur le listing des tchateurs, j’ai aperçu le pseudo « starlette44 » 20ans. J’ai cliqué dessus et j’ai écrit une phrase bateau de genre: « Bonsoir, ça va? Ça te dit de faire connaissance? »
Sa réponse positive m’a rempli d’espérance. Elle se prenommait Gaëlle. Je lui ai raconté ma soirée et elle m’a écrit qu’elle était assez fêtarde aussi. Nous avons dialogué un bon moment, le feeling passait très bien entre nous.
Après avoir donné nos descriptions physiques et expliqué ce qu’on faisait dans la vie (elle était esthéticienne),elle m’a annoncé qu’elle n’était pas célibataire. Je lui ai demandé pourquoi elle était inscrite sur le tchat. Elle m’a confié qu’elle avait besoin de parler, de s’évader. En effet, son mec n’était pas correct avec elle. Il n’était pas violent, mais il l’insultait régulièrement, la rabaissait sans cesse. Je lui ai conseillé de le quitter, mais elle avait peur de sa réaction.
Nous avons longuement dialoguer de sa situation et d’autres choses, jusque tard dans la nuit. Nous avons échangé nos numéro de portable avant de nous quitter. Et même si elle ne souhaitait pas que l’on se rencontre, je me suis imaginé ce que cela aurait pu donner.
Les jours suivants, on s’est envoyé plusieurs messages et un soir elle m’a appelé.
Gaëlle: Bonsoir ça va?
Moi : oui et toi?
– Je ne te dérange pas?
– Non pas du tout, mais je suis surpris de ton appel
– Je suis toute seule ce soir et je voulais entendre ta voix. Tu fais quoi de beau?
– Rien de spécial, j’écoute la radio dans mon lit et toi?
– Je suis également dans mon lit prête à faire dodo.
– Ha bon et tu dors toute nue?
– Non en nuisette petit coquin et toi?
– Moi j’ai un short de foot, mais si tu dormais avec moi je serai nu…
– Hum si j’étais avec toi, j’enleverai ma nuisette.
On a continué à se chauffer et a s’exciter en parlant de cuni, de fellation, de 69, de bonne baise hard. Bien évidemment, nous avons fini à poil en nous masturbant chacun de notre côté. Soudain j’ai entendu des « floc,floc,floc ». Elle m’a fait écouter les bruits de ses doigts trifouillant sa chatte inondée de mouille tiède. Après avoir éjaculé une sacrée quantité de sperme sur mon ventre, remplissant mon nombril, je lui ai dit que j’aimerais réaliser tout ça réellement. Elle m’a répondu:
– Peut être un jour…bisous bonne nuit.
Nous avons réitéré le téléphone rose 1ou2 fois, puis plus aucune nouvelle pendant presque une semaine. Je me suis posé quelques questions et puis j’ai lâché l’affaire.
Un soir, j’ai reçu un texto, c’était Gaëlle. Elle m’a donné rendez-vous dans un jardin public près de chez elle en milieu d’après-midi. Elle a conclu en m’écrivant qu’elle avait besoin de me voir.
Je suis allé la voir, elle m’attendait sur un banc. J’ai enfin découvert Gaëlle. Elle était assez mignonne, brune aux cheveux longs les yeux marrons. Elle était maquillé et portait un pantalon noir moulant, un chemisier blanc et une veste noire. Nous avons discuté un moment sur le banc. Elle m’a expliqué qu’elle avait été distante car son mec, qui était super possessif, l’avait grillé sur le tchat, il avait vérifié son historique. Il l’avait à nouveau traité de tous les noms.
– Mais largues ce connard, une belle fille comme toi mérite mieux.
– Ne parlons plus de ça et viens avec moi m’a-t-elle dit en me prenant par la main.
Elle m’a emmené dans les toilettes publiques. Nous sommes entré dans un chiotte à la turque, il y avait une odeur nauséabonde, pas très chic tout ça, mais super discret.
Elle a fermé la porte à clé, elle m’a plaqué contre le mur et elle m’a embrassé. C’est rapidement devenu torride entre nous s’arrachant presque les fringues.
Son soutif parterre, j’ai mangé ses 2 belles pommes bien rondes et bien fermes. Un beau 90C aux tétons sensibles, vu comment elle gémissait quand je les ai leché et sucé.
J’ai ensuite déroulé son string le long de ses jambes. A hauteur de sa minette, rasée avec un ticket de métro sombre, j’ai sorti ma langue et j’ai simplement léché ses lèvres pour récupérer son nectar salé. Je me suis relevé et l’ai embrassé en caressant son cul bombé. Puis c’est elle qui s’est baissé. Accroupie sur ses escarpins noirs, elle a déboutonné mon jean’s, elle a sorti ma queue gonflée aux veines distinctes et elle m’a fait une pipe royale en se titillant le clito.
Elle s’est relevée en me disant:
– j’ai envie que tu me fasses jouir.
Je l’ai plaqué à plat ventre contre le mur, elle a posé sa jambe gauche sur la rambarde. Elle en équerre et moi debout avec le pantalon et le boxer aux chevilles, je l’ai pénétré sans fioriture. Je l’ai baisé bestialement jusqu’à jouir en elle. Je suis tellement bien en elle que je ne debande pas. J’ai continué de la limer et cette seconde fois ça a duré plus longtemps. En entendant ses « hum oui c’est bon,continue, plus fort », j’ai attrapé ses seins entre mes mains et j’ai accéléré le rythme en tapant bien au fond de sa chatte. Le chiotte empestait l’odeur de sexe et dans un dernier va et vient, j’ai giclé en elle une seconde fois en lui pressant les seins très fort. En recevant une seconde couche de sperme, elle a joui aussi en faisant attention de ne pas crier trop fort.
Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais lorsque nous sommes sorti des toilettes, le soleil commençait à se coucher.
Gaëlle m’a embrassé une dernière fois en me disant:
– Bon bah merci, mais je dois y aller.
– On se revoit bientôt?
– Euh le prend pas mal, mais c’était juste comme ca, je voulais me venger de mon mec c’est tout.
– Ah ok, pas de problème, salut alors.
Elle s’était uniquement servie de moi, j’ai apprécié…
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