Chères lectrices, chers lecteurs,
Je ne doute pas un seul un instant que vos regards avertis ont remarqué sur les quelques clichés qui accompagnaient la dernière publications qu’ « L » étaient ouvertes devant le miroir, détrempée, la tête basculée en arrière appuyée tout contre moi?
La pose ne pourrait être que la recherche d’un esthétisme photographique. Ce n’est pas le cas puisque l’intégralité de la rencontre, surprises exceptées, s’est déroulée sous le sceau de la spontanéité. Voyez-y l’abdication d’ « L », la transition de jeux d’interaction à ceux où elle n’est plus en capacité d’être actrice tellement les plaisirs qui la submergent la contraignent à se concentrer sur elle-seule.
Face au miroir sa main glisse entre ses cuisses pour agacer à travers le tissu sa vulve ruisselante et gonflée d’excitation. A partir de cet instant, elle alternera selon la position et le déroulé entre se masturber et s’effleurer les mamelons.
Ses seins lourds ornementés se dressent avec fierté.
Le visage d’ange se transforme peu à peu. Elle me provoque via le miroir où nos regards se croisent, se défient. Je la devine, je l’anticipe. Nos longues discussions ne laissent aucun doute sur le cheminement de ses pensées désormais moins douces que lubriques, a****les.
Elle veut me pousser dans mes retranchements pervers, que le dominant viennent m’animer. Jeckyll n’est jamais loin. Mes mains enserrent son cou, elle se pame de plaisir dans un râle. Elle est à ma merci. Je serre avec délicatesse. L’augmentation de la pression accentue ses soupirs d’aise. La pression se fait plus forte, elle est secouée de spasmes…
« Quel effet cela te fait-il de te sentir vulnérable entre mes mains ? » Elle défie avec outrage pour seule réponse. Un sourire espiègle, un sourire de chienne qui désire plus, qui l’implore, qui le supplie car elle sait mériter sa peine.
Je la saisis fermement par les cheveux, lui bascule la tête en arrière et lui lape la joue avec langueur, l’oeillade salace. Elle reprend sa masturbation et soupire à nouveau d’aise… « Cela semble plus que t’exciter jolie chienne ».
Elle me refuse une nouvelle fois toute réponse verbale et se cantonne à porter à sa bouche les doigts qu’elle a laissé glisser sur sa chatte. Elle pue le sexe. Elle sourit crânement, fière de me dévoiler sans absolument aucune pudeur la femme libre et libérée qu’elle cache aux autres, la salope assumée qu’elle n’offre qu’à son bon vouloir aux hommes sur lesquels elle a jeté son dévolu, qu’elle a transformé en objet.
– « Ne te trouves tu pas admirablement belle petite pute soumise ? »
– « Hoooo que ouiii ! » me lance-t-elle avant de partir dans un râle de plaisir sous l’effet de ses doigts inquisiteurs.
Je la force à nous regarder enfonçant mes doigts dans cette bouche qui se jette goulument sur eux pour les sucer, les aspirer. Un, deux puis trois, sa gourmandise est tout aussi surprenante que ses aspects sages qui la caractérisent.
Le voile est tombé avec les bretelles de la robe écrue. J’observe avec délectation la Femme assumée qui veut être baisée selon son bon vouloir, qui adapte son langage corporel pour que l’homme naïf soit obnubiler par le désir de la chaudasse qu’il estime sienne, de la petite pute qu’il compte rémunérer gracieusement en nature.
Pauvre hère… Avec passion, précision, elle a fait de moi ce soir la marionnette de ses sens.
Assez ! Je suis au pilori mais décide de ne pas céder à l’envie de la posséder.
Je la saisis et l’amène sur le coin convivialité du bureau, l’invite à s’y asseoir puis s’y allonger cuisses largement ouvertes. C’est une vision mémorable. Souvenir photographique indélébile qui me hante. J’immortalise la scène pour son homme. L’aide à se redresser pour se contempler et qu’elle mesure à nouveau de son pouvoir de séduction. Son visage ne peut plus mentir, elle se plait. Quel plus cadeau qu’une femme se semble belle et désirable dans un moment de volupté partagée ?
Elle s’offre à moi en toute confiance. Elle me donne le sentiment d’être un artiste dont elle est la muse, la pièce centrale de l’oeuvre.
Je prends place devant mon chevalet après l’avoir embrassé avec passion. Assis devant la scène, la palette des plaisirs à lui offrir m’assaille d’idées les plus sensuelles les unes que les autres.
La culotte gris/blanc est désormais un gris détrempé que ne renierait pas une soirée t-shirt mouillé. J’observe que le tissu est totalement imbibé bien au delà de sa vulve, par devers sa croupe. Au toucher, il est totalement gluant, baveux.
Elle exhale des phéromones puissantes. Très instinctivement, j’hume le textile face to face. Ses fragrances m’enivrent. Je la respire millimètre après millimètre. Elle est particulièrement sensible : mon souffle sur ses cuisses, sur le tissu lui arrache des plaintes adorables.
Je colle peu à peu mon visage à elle. Le contact de ma peau, même à travers le tissu, la transporte au gré de mes vas et viens entre son mont de Vénus et son petit cul.
Je varie l’intensité de l’effleurement, joue de ma barbe naissante, douce au demeurant grâce à un entretien depuis de longues années, pour varier les plaisirs tactiles.
Son corps ondule. Une houle la parcourt de la tête aux pieds. Je suis transporter par ces vagues continues qui l’anime.
N’y tenant plus, je me vautre dans la fange et plonge mon visage dans la culotte qui me colle à la peau, délivre tous ses sucs, imprègne ma peau. Je lape la culotte et file partager son nectar avec « L ».
Tout son être me supplie de prolonger et d’aller extrêmement plus loin.
Mon seuil de résistance est dépassé, j’écarte délicatement le tissu et enfin la goûte tout en retenue…
Sa vulve palpite. Elle est inondé et ruisselle jusqu’entre ses fesses.
Je continue à l’observer. Cette position singulière est phénoménale. La tension ne quitte pas son buste.
Je parcours le sillon central d’une langue pleine et ferme. Le miel inonde ma bouche. La quintescence de ses saveurs et plus intimes explosent sur mon palais. Mes papilles se régalent et me confinent à grogner d’aise.
D’un bout de langue pointue, je sépare une à une chacune des lèvres collées l’une à l’autre par la cyprine épaisse. A chaque respiration, des filets de nectar s’étire entre nos lèvres. Nous partageons le plaisir visuel qu’elle immortalise avec quelques clichés.
Elle est divinement appétissante, réactive et sensible.
Je suis conquis et conforter par ses gémissements, douce mélodie de l’amant qui tente de trouver la clef du plaisir de sa partenaire.
Les jeux de bouche et de langue se font plus persévérants, plus fouilleurs, fouineurs et finissent tendus dans son vagin bien ouvert. Je suis couvert de mouille, je m’en replais avant de définir ma destination principale : la libération de son bouton, pauvre prisonnier de sa gangue malgré qu’il soit en hyper tension. Je saisis son pubis au dessus de ton clito pour exercer une traction vers le mont de Vénus tout en lapant fermement. L’objet de mes désirs jaillis dés lors devant ma bouche et fait l’objet des attentions les plus suaves : succions, aspirations, mouvements linguaux avec variations de vitesse.
« L » est au seuil de l’implosion.
Je saisis ce temps critique pour me retirer. Le lingus interruptus la surprend même si elle navigue toujours dans les méandres cotonneux de l’Ether.
C’est un sacrifice de quitter la moiteur de cet antre si accueillant mais quelque soit la voie que j’emprunte je déserte un ravissement
Ajouter un commentaire