Le restaurant
J’espère vraiment que le style vous plaira ! Inutile de vous dire que j’ai eu du mal à terminer l’écriture de ce chapitre là !!!
Bonne lecture 🙂
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Nous nous sommes dépêchés de retourner à la voiture, et Eloïse nous a guidés jusque chez elle. Elle habitait dans une petite rue piétonne, pas loin du centre-ville : l’immeuble était un peu vieillot, mais elle nous a dit qu’elle s’y plaisait. Elle nous a invités à monter prendre un verre d’eau pour nous remettre de nos émotions, et nous l’avons suivie dans les escaliers jusqu’au deuxième étage où elle nous a ouvert sa porte.
Son appartement était bien plus accueillant que ne l’était l’immeuble. Il était entièrement refait à neuf, et ses grandes fenêtres donnaient beaucoup de lumière aux pièces de la façade. Elle aimait bien nous disait-elle, sauf qu’elle ne pouvait pas se résoudre à vivre nue chez elle par peur que les voisins d’en face –qui devaient tout voir chez elle, ne voient tout justement…
Nous avons trinqué avec nos verres d’eau, descendus d’une traite. Puis Eloïse m’a entrainé à sa suite dans sa chambre pour l’aider à choisir ses vêtements. Elle a baissé les stores et elle a ouvert ses armoires pour chercher quoi se mettre, me laissant le loisir d’observer la pièce. Elle avait tout rangé et nettoyé du sol au plafond : elle habitait plus souvent chez moi qu’ici après tout. Dans un coin de sa chambre, j’ai vu un carton qui débordait de ses anciens sous-vêtements qu’elle ne portait plus.
Elle s’est retournée et m’a présenté un premier ensemble : une veste de tailleur par-dessus un chemisier blanc, et une robe étroite de la même teinte de gris que son haut. Je lui ai fait signe d’essayer, et elle a commencé à se déshabiller.
Pour mon plus grand soulagement, elle a rougi, et m’a même tourné le dos pendant qu’elle se déshabillait et se rhabillait. Après ses exploits de l’après-midi, j’avais eu peur de l’avoir trop changée… La faire s’exhiber dans la voiture était de loin la chose la plus folle qu’elle avait faite pour moi. Elle m’avait montré qu’elle n’avait pas peur du regard des autres à ce moment-là, mais je craignais qu’elle n’ait plus aucune peur. Voir sa pudeur reprendre le dessus, même face à moi m’a donc soulagé d’un fardeau que je portais depuis un petit moment.
« Je me suis retournée vers Lui, toute souriante dans ma plus belle robe. Je voulais Lui plaire ce soir, je voulais qu’Il choisisse pour moi tout ce qu’il Lui ferait plaisir.
-Superbe
– Vous aimez Maitre ?
– Tu es ravissante ma grande… Mais il fait chaud dehors, et je ne suis pas certain que le restaurant soit assez climatisé : tu n’aurais pas une jupe plutôt que ta robe de gala ?
– Si si
J’ai cherché autre chose dans mon placard, et j’ai sorti ce que Maitre m’avait demandé. Je ne sais pas si Son excuse de la chaleur et de la clim était vraie, ou s’Il voulait simplement voir mes jambes, mais peu importait : quelle que soit la vérité, je serais plus à l’aise en jupe, Il avait raison.
J’ai enfilé une deuxième série de vêtement, un haut assez serré, le même tailleur et une jupe mi longue, ouverte sur le côté jusqu’à mi-cuisse. Je me suis retournée et j’ai vu que Mademoiselle Amandine avait rejoint Maitre. Elle me regardait avec autant d’envie que Lui, mais c’est elle qui est venue vers moi pour finir de m’habiller correctement. Elle est passée derrière moi puis elle a redressé mon haut, ajusté et lissé ma jupe, puis m’a faite tourner sur moi-même pour admirer le résultat
-Parfaite
– Maquillage ?
– Un peu de rouge à lèvres mais pas plus, tu sais que je te préfère naturelle
– Oui Maitre !
J’ai filé à la salle de bain me maquiller, j’ai pris mon sac à main, puis nous sommes repartis en direction du restaurant.
Mademoiselle Amandine a insisté pour que je monte à l’arrière avec elle, et Maitre ne l’a pas contredite. Je me suis assise à côté d’elle, un peu appréhensive de ce qu’il allait se passer avec elle, mais rien de ce que je craignais n’est venu. Elle s’est contentée de caresser le dos de ma main du bout des doigts pendant le trajet, me regardant parfois, par la fenêtre le plus souvent.
Maitre a garé la voiture à proximité du restaurant, et en parfait gentleman nous a ouvert la porte de la voiture. Il a passé son bras gauche autour de l’épaule de Mademoiselle Amandine qui a mis son bras autour de sa taille. Cette fois plus question de jeu, je suis restée bien sagement à l’écart, du côté de ma belle-mère, comme pour montrer au monde que nous étions la famille recomposée la plus heureuse du monde. »
En arrivant au restaurant, nous avons été accueillis par le maitre d’hôtel qui nous a placés après avoir demandé notre nom. Il nous a invités à le suivre à l’intérieur, et s’est dirigé vers le fond de la salle. Il nous a installés à une table dans un angle de la pièce, et nous a apportés les menus d’un air désolé.
« – Je vous présente mes excuses, mais l’horaire des appels importe, et il ne nous restait que cette table là pour votre réservation. Vous êtes un peu isolés, mais je demanderai à votre serveur de venir vous voir régulièrement pour vérifier que vous avez tout ce dont vous avez besoin.
– vous êtes bien aimable
– C’est vous, Monsieur. Bon appétit… »
Eloïse et Amandine me regardèrent d’un air suspicieux une fois qu’il fut parti.
« – Ah non, je n’y suis pour rien !!! Je vous promets que je ne lui ai rien demandé concernant le placement, mais je vous ai bien dit qu’on réservait très tard !
– Mouais… On verra bien. »
J’avais beau clamer mon innocence, rien n’y faisait… Elles n’avaient pas pour autant l’air d’être en colère, au contraire, Eloïse me souriait de son faux air innocent, et Amandine jubilait. Eloïse s’est assise à la place contre le mur, je me suis mis en face d’elle, et Amadine à côté d’elle. Elle était bien encadrée, et si les choses devaient dégénérer, bien dissimulée aussi.
Et bien évidemment, les choses ont dégénéré. Mais pas de mon fait, promis… Peu après l’apéritif, j’ai senti un pied remonter ma jambe et venir se lover au creux de mon entrejambe. J’ai lancé un regard lourd de reproches à Amandine pour avoir spolié à Eloïse la tâche d’ouvrir les hostilités, mais j’ai vite été surpris
« -ah non, pas moi !!! »
Ma petite esclave avait son air innocent habituel, mais je voyais ses yeux pétiller d’excitation. J’ai caressé son pied du bout des doigts, et elle a un peu rougi en sentant sa respiration s’accélérer. Elle a fait tomber discrètement sa chaussure par terre, et a continué en caressant la bosse qui se formait dans mon pantalon avec les doigts de pieds. C’était terriblement excitant de faire ça en public, juste à côté du serveur qui nous jetait souvent des coups d’œil, voir si tout allait bien.
« – Tu veux jouer ma grande ?
– Non, j’ai envie que Vous me fassiez jouer… »
J’ai rempli nos trois verres de champagne, et j’ai levé le mien pour un toast. Les filles m’ont suivi en attendant que j’annonce à quoi nous buvions, et m’ont regardé avec curiosité
« – Que cette nuit soit la plus longue nuit du monde
– A cette nuit !
– Vivement cette nuit »
J’ai fait signe a Eloïse de retirer son pied en voyant le serveur arriver, et elle l’a fait en riant. Il a apporté la suite de notre repas puis s’est éclipsé. Nous ne devions pas le revoir avant quelques temps, alors j’ai défié Eloïse.
« – Fais toi durcir les tétons ma toute belle, j’ai envie de les voir pointer sous ton chemisier… »
Eloïse a donc commencé à se caresser les seins par-dessus le tissu de son chemisier, puis a continué en se pinçant doucement. La table d’à côté était toujours vide, et ma petite esclave a vite gagné en assurance en passant sa main sous son haut. Au bout de quelques minutes de ce jeu, elle a tendu son vêtement par-dessus sa peau, et effectivement, j’ai vu deux petites bosses le déformer et je lui ai souri pour la féliciter.
Elle a pris un air victorieux en portant son verre de vin à ses lèvres. Moi, le plus négligemment du monde j’ai pris une fourchetée en bouche, et une fois fini je lui ai lancé :
« – Montre les moi maintenant… »
« Maitre était taquin ce soir… très taquin. Cela ne laissait présager que des bonnes choses pour la suite de la soirée. Je comprenais son toast maintenant, et je me prenais à rêver que la nuit qui arrivait soit effectivement la plus longue du monde.
J’ai défait les deux boutons du milieu de mon chemisier, laissant celui du haut et celui du bas. Puis me sentant l’âme d’une superwoman, agrandi l’ouverture en tirant de chaque côté avec mes mains, comme pour révéler mon costume –mon plexus nu en l’occurrence.
Sauf que…
Maladroite comme je suis, j’ai tiré trop fort. Et le bouton du haut a sauté droit dans le verre de vin de Maitre. Je me retrouvais ainsi les seins à l’air, le chemisier grand ouvert et l’air terriblement stupide, face à Maitre qui –ma victoire de la soirée assurément, a rougi de gêne en me voyant, et à coté de Mademoiselle Amandine qui était hilare.
Avec la vue que je Lui offrais, Maitre a eu tout le loisir de vérifier que mes tétons pointaient bien. Il en a profité un moment, puis m’a permis de me cacher. Morte de honte, j’ai refermé les deux boutons intacts, mais le mal était fait. Je me retrouvais avec un décolleté plongeant, et n’importe qui qui se tiendrait debout à coté de nous –un serveur par exemple ? aurait tout le loisir de voir que je ne portais pas de soutient gorge.
Mais Maitre ne comptait pas me laisser m’en tirer comme ça… Je L’avais provoqué, et j’en faisais maintenant les frais. Non pas que ça me dérange, mais L’entendre à haute voix dans un restaurant me demander si ça me faisait mouiller pouvait paraitre suspect aux oreilles dans lesquelles cela tomberait.
-Oui !
– Amandine ?
Sans hésiter, la compagne de Maitre a plongé sa main dans ma robe et a passé son doigt dans mon sillon trempé. Non contente de le confirmer à Maitre d’un hochement de tête, elle Lui a tendu ses doigts pour qu’il vérifie de Lui-même.
-Ca répond à ta question ?
– Plutôt, oui…
Elle a fini de m’humilier en me les tendant pour que je les nettoie. Un œil dessus et un autre sur le serveur, j’ai pris ses doigts souillés de mon jus dans ma bouche et je les ai sucés de haut en bas pour les laver. Mademoiselle Amandine a eu l’air impressionnée de me voir faire ça, et après coup elle en était toute contente. Elle a posé sa main sur ma cuisse par-dessus ma jupe et m’a félicitée. »
Le dessert est arrivé à son tour, et nous avons su que nous allions bientôt partir. Ni Eloïse, ni Amandine, ni moi n’en n’avions envie, et nous voulions continuer nos jeux, mais bon… Pour finir en apothéose, j’ai sorti de mon sac le jouet que j’avais acheté à Eloïse plus tôt dans la journée, et je lui ai tendu.
« -Tiens ma toute belle, enfile ça…
-B…bien Maitre ! »
Je n’ai pas dû lui dire deux fois. Elle a rapidement enlevé les boules de geisha de la table pour les cacher à côté d’elle.
« -Prends ton temps, je te fais signe si le serveur viens vers nous
– Merci Maitre ! »
La table me cachait ce qu’elle faisait, mais je pouvais lire sur son visage comme dans un livre… Elle a eu quelques difficultés à trouver une position suffisamment discrète mais assez confortable pour passer ses mains sous sa jupe et enfiler son jouet. Je l’ai vue prendre sa respiration et bouger légèrement son bras pour pousser une première boule dans son sexe. J’essayais de garder un œil sur le serveur, mais le visage de ma petite esclave me captivait. Elle avait toujours été assez expressive, mais là son visage à lui seul parlait pour le reste de son corps.
Amandine, elle, n’en perdait pas une seule miette. Elle a aventuré une main sous la table, probablement pour caresser la cuisse d’Eloïse, mais en la voyant se mordiller la lèvre, j’ai compris qu’elle avait un spectacle beaucoup plus érotique sous les yeux. Eloïse avait probablement la jupe entièrement remontée pour avoir l’entrejambe plus facile d’accès.
Un éclair est passé dans les yeux d’Eloïse, et sa bouche s’est ouverte et fermée sans faire le moindre bruit. La première boule avait trouvé son chemin en elle.
« -Et de une…
– Elle est toute douce !
– Serveur ! »
A mon signal, les filles se sont remises correctement. Eloïse remis ses mains sur la table, laissant Amandine baisser sa jupe pour cacher ce qu’elle faisait. Tout sourire et sans se douter le moins du monde de ce qu’il se passait –ni à quel point il nous dérangeait, le serveur nous a proposé un café que nous avons accepté en prévision de la longue nuit qui s’annonçait. Il n’a pas vu Eloïse devenir écarlate, heureusement.
A peine avait-il tourné le dos qu’Eloïse recommençait, mais je lui ai fait signe d’attendre que le café arrive pour ne pas être interrompus à nouveau. Elle m’a obéi de mauvaise grâce, visiblement pressée de sentir le jouet plus profondément en elle. Elle avait l’air de beaucoup l’apprécier…
« – Relève ta jupe en fait…
– Mais… le café n’est pas arrivé ?
– Tu mettras ta serviette dessus pour te cacher »
Elle s’est exécutée, et quand le serveur est revenu avec nos trois cafés, elle n’a rien laissé paraitre de sa nudité. Plus elle était exposée, mieux elle semblait se contrôler, c’était amusant ! Elle a vidé son café d’une traite pendant qu’il était encore chaud, puis a repris ses activités sous la table. Une deuxième boule, puis la dernière, et ma petite esclave nous regardait avec un visage béat. Elle avait l’air comblée !
« – Superbe mon cœur… Maintenant ferme la pince sur ton clitoris, et tu auras le droit de baisser ta jupe !
– Ouille… Pince pas fort, pince pas fort, elle Vous a bien eu…
– Tu as mal ?
– Un peu. Mais ce n’est pas désagréable, au contraire.
– Habitues toi ! Si tu les perds, il n’y aura que la pince pour éviter que ton jouet ne tombe par terre !
– Ca va être drôle de la voir marcher avec !!! »
« Pas tant que ça finalement… Bien sûr, la sensation était extrêmement bizarre, et assez nouvelle pour moi, mais globalement je n’ai pas eu trop de mal à marcher pour sortir du restaurant et revenir à la voiture. Mademoiselle Amandine marchait derrière moi et je sentais qu’elle me regardait fixement les fesses, mais Maitre m’a dit que je me débrouillais très bien.
Plus je les portais, et plus j’aimais ces boules de geisha. La douceur du satin de la première boule avait cédé sa place au métal froid des deux suivantes, mais la différence des textures me faisait ressentir une gamme de sensations inespérée ! Je m’amusais à serrer et desserrer les muscles de mon bas ventre pour sentir mon vagin prendre la forme des boules, et des vagues de plaisir ont commencé à me transporter.
Arrivés à la voiture, Maitre m’a faite monter devant. Nous sommes entrés presque tous les trois ensemble, pourtant Maitre n’a pas démarré de suite. Il a fouillé dans son sac, puis à triomphalement sorti ce qu’Il cherchait : la télécommande de mon jouet.
-Les règles du jeu sont simple ma grande… Je vais mettre en marche les vibrations, et je vais te laisser y prendre autant de plaisir que tu veux. Ma seule condition : si tu jouis, tu gardes la pince fermée sur le clitoris pendant toute la nuit, c’est compris ?
– Oui Maitre ! Merci beaucoup !
– De rien ma toute belle…
– Elle va tricher, elle va jouir en silence.
– Crois-moi mon cœur, tu ne l’as jamais vue jouir ! »
J’ai mis les vibrations en marche comme je lui avais dit, et elle a sursauté tellement fort que sa ceinture de sécurité s’est bloquée sur elle pour la maintenir sur son siège, comme si elle avait été projetée trop fort en avant. Quasi immédiatement, elle s’est mise à gémir : pas besoin de musique pour le retour, le ronronnement du moteur et celui de mon esclave formaient un agréable bruit de fond.
Nous en avions pour environ vingt minutes de route, les vingt plus longues minutes de ma vie…
« Les vibrations du jouet étaient beaucoup plus puissantes que ne le laissait imaginer sa petite taille. J’avais été littéralement jetée en avant quand Maitre les avait lancées, et sans la ceinture de sécurité, j’aurais terminé le repas en mangeant le pare-brise…
Maitre m’avait dressée à retenir mon plaisir, et j’y arrivais désormais à merveille. Il devait parfois Lui-même mettre dix bonnes minutes à me masturber pour me faire jouir, mais j’avais peur que Son cadeau ne me mette KO bien avant.
Tenir jusqu’à la maison… Il devait y avoir quinze minutes de trajet, peut être vingt… Elles allaient être les plus longues minutes de ma vie »
Du coin de l’œil, j’ai vu Eloïse être secouée par un nouveau spasme, à nouveau stoppé par sa ceinture de sécurité. Cette fois elle n’a pas gémi, mais crié son plaisir. Elle avait fermé les yeux pour se concentrer comme quand nous travaillions ensemble à contrôler ses orgasmes, mais son visage trahissait son plaisir qui montait.
Les veines de ses tempes se gonflaient et se dégonflaient au rythme de son cœur, et sa bouche s’ouvrait et se fermait sans qu’elle ne puisse contrôler ses lèvres.
« Sans pouvoir commander mes membres, mes mains se sont emparées de mes seins et je me suis pétrie énergiquement la poitrine en grognant de plaisir. Mes bras se sont emballés, et ma jupe s’est rapidement retrouvée par terre à mes chevilles, laissant la voie libre à mes mains pour me caresser.
J’étais en transe, mon cœur semblait battre au rythme des vibrations des boules de geisha»
Mon érection me faisait mal tellement mon sexe avait gonflé d’excitation, rien qu’en l’écoutant prendre du plaisir. Je ne devais pas la regarder, sous aucun prétexte… Les images qui me venaient à l’esprit ne faisaient qu’empirer les choses, je la voyais à mes pieds, se tordant de plaisir, incapable de jouir pliée à mon interdiction, me suppliant de la prendre
Penser à autre chose !
« La seule image que j’avais en fermant les yeux était Maitre, qui avançait lentement vers moi. Il me faisait signe de me mettre à quatre pattes, passait à côté de moi sans s’arrêter, mais s’agenouillait derrière moi, arrachait d’un seul coup les boules de geisha et enfonçait Son membre en moi pour prendre contrôle de mon sexe encore ouvert. Mon hurlement de douleur cédait la place à des hurlements de plaisir et Il me prenait comme ça pendant des heures.
Penser à autre chose ! »
Les rues étaient désertes. Il suffisait que je gare la voiture et que je fasse un geste pour qu’elle s’affale sur la banquette arrière les jambes ouvertes et que je la prenne dans la voiture
« C’est comme si nous étions seuls au monde, Lui et moi. Pas besoin de nous cacher, Il pouvait me prendre n’importe où ! Sur le capot, dix mètres devant la voiture éclairés par les phares, sur la banquette arrière »
Prenez-moi Maitre, là tout de suite, je vous en supplie !!! Eloïse avait-elle vraiment dit cela, ou bien commençais-je à entendre des voix ?
« Couche toi sur le capot les jambes ouvertes ma petite chienne adorée, je vais te prendre. J’étais tellement persuadée d’avoir entendu Maitre dire ça que j’ai failli ouvrir la porte de la voiture en marche ! »
Alors que la tension était à son comble, j’ai commencé à reconnaitre les rues de mon quartier… Plus que quelques minutes à tenir avant la fin de ce délicieux supplice. En attendant, j’ai ouvert ma fenêtre pour me rafraîchir les idées.
« J’ai cru reconnaitre un carrefour proche de chez Maitre, sur le chemin que je prenais pour aller de la Fac à chez Lui. Bientôt, bientôt je pourrais penser à autre chose et profiter de l’air frais de la nuit pour respirer ! »
J’ai garé la voiture dehors, sans prendre la peine de la ranger dans mon parking. Je n’y arriverais pas. Je suis sorti comme si de rien n’était, et j’ai ouvert la porte a Amandine et Eloïse. En sortant, son visage est passé à moins de cinq centimètres de mon entrejambe, et je suis sûr qu’elle a vu l’état dans lequel j’étais.
Nous sommes entrés sans faire de bruit dans le hall de l’immeuble et j’ai appelé l’ascenseur. Eloïse marchait derrière lentement, les jambes flageolantes. Je lui ai tenu la porte de l’ascenseur, et elle est entrée à petits pas.
Elle semblait à bout de forces. A peine les portes de l’ascenseur refermées derrière nous, elle est tombée à genoux à côté de moi, le bas du ventre tremblant de spasmes. Son visage était déformé par le plaisir et par ses efforts pour retenir sa jouissance. Elle se mordait les lèvres pour ne pas hurler dans la cage d’escalier, et m’a lancé un regard implorant pour que cesse son supplice.
J’ai passé la main gauche sous son menton, et j’ai plaqué sa tête contre ma jambe, pendant que ma main droite cherchait la télécommande pour désactiver les vibrations de son cadeau. Il aurait été cruel de la faire jouir maintenant, surtout après les efforts surhumains qu’elle avait faits jusque-là. Et puis surtout, si elle jouissait maintenant, pourrait-elle reprendre du plaisir plus tard dans la soirée ?
Ses gémissements étouffés ont laissé la place à des soupirs de soulagement, et j’ai pu glisser mon pouce dans sa bouche sans crainte qu’elle ne me morde.
« J’ai voulu me relever, mais Maitre m’en a empêché. Il était tard et mon plaisir m’avait emmené sur les rives de la folie : même si quelqu’un était entré dans l’ascenseur, je n’en n’aurai rien eu à faire. Quand j’avais supplié Maitre de me laisser respirer, je m’étais attendu à voir des reproches dans ses yeux, mais j’avais vu à la place de la fierté pour ce que je venais d’accomplir.
J’ai respiré à pleins poumons et mon plaisir est redescendu d’un seul coup.
Nul doute que Maitre saurait me faire repartir au quart de tour… »
La voir à quatre pattes sur mon palier a fait remonter d’un seul coup ma tension. Elle avait la tenue complètement défaite, et sa jupe était remontée au-dessus de ses cuisses, laissant voir à qui voudrait la chainette de son jouet sortir de sa fente touffue et mordre son petit clitoris.
« Une fois à l’intérieur, Maitre a claqué des doigts. A genoux, droite, bouche ouverte : j’avais vu son membre grossir son pantalon en sortant de la voiture, il n’avait pas pu dégonfler aussi vite. Enfin… »
J’ai passé mes mains sous ses bras…
« …Il m’a soulevée comme une plume… »
…Je l’ai plaquée contre le mur…
«… J’ai joui quand sa langue a envahi ma bouche »
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Alors ? Prêts pour la suite (promis, je reprends l’écriture :))
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