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Retour de vacances

Retour de vacances



La rentrée s’annonçait et les gens revenaient graduellement : on voyait à nouveau quelques embouteillages et les supermarchés retrouvaient une certaine affluence. La nuit n’était pas encore tombée mais il était déjà plus de vingt heures. On sonne à la porte de notre appartement, c’est notre voisine de pallier. Elle nous dit qu’elle vient de rentrer de vacances avec un jour d’avance et que du coup son frigo est complètement vide et qu’elle est trop fatiguée pour aller encore au restaurant. Bref, elle vient voir si on ne peut pas lui passer de quoi faire une omelette avec une baguette avant qu’elle aille faire des courses le lendemain.

La voisine : c’est une belle femme dans la seconde moitié de la quarantaine, elle est épanouie avec une belle paire de seins qui gonflent le tee-shirt qu’elle porte, des cuisses longues mais fortes et bien galbées et une paire de fesses rebondies que son short semble avoir toutes les peines à contenir si bien que la couture de devant lui rentre pratiquement dans la chatte. Elle a un beau visage, des cheveux blonds platine mi-courts et des lèvres charnues et naturellement rouges. Elle a une voix aiguë et rit fort ; certains diraient, mais pas moi, qu’elle est un peu cruche. Je ne l’ai jamais trop rencontrée car je suis souvent absent et on se croise assez rarement dans l’immeuble.

Je l’invite donc à entrer et je lui dis : « Tu vas te poser un peu après la route que vous avez faite et après on verra ». Elle répond : « D’accord mais pas plus de cinq minutes, Bernard (son mari) va s’inquiéter s’il ne me voit pas revenir ». Je lui réponds :  « Ne t’inquiètes pas, il saura bien venir sonner chez nous si tu tardes trop ». Ma femme nous rejoint, lui fait la bise et lui dit : « Comment ça va Jacqueline ? Et tes vacances ? ». Je réponds : « Justement nous allions en parler, j’invitais notre chère voisine à boire un pot pour en qu’elle nous les raconte ». Et joignant le geste à la parole, je sors du frigo une bouteille de chardonnay bien frais. Nous commençons à bavarder en buvant plusieurs verres de cet excellent vin blanc. J’interroge Jacqueline histoire de mieux faire connaissance et l’heure avançant, ma femme nous dit : « Je vais au salon voir la télé ». On répond en cœur : « D’accord » et on continue à papoter.

Visiblement, le vin fait son effet et la conversation tourne sur…. des méduses qui l’ont brûlée dans des endroits sensibles et voilà Jacqueline qui soulève son tee-shirt ce qui dévoile son soutien-gorge qui contient à peine sa lourde poitrine et elle me montre une trace rouge faite par ladite méduse. Je fais des grands : « Ohh et Ahh !!! » pour donner le change. En fait, je mate ses nichons et je commence à bander au point que ma bite déforme mon short qui est à hauteur des yeux de Jacqueline qui regarde précisément cet endroit. Elle me dit : « Et c’est pas tout, j’ai été aussi brûlée là ». Et elle me montre l’intérieur de sa cuisse, pratiquement à la jonction de sa chatte. Je m’approche pour regarder de près en me baissant à hauteur de son con.

Je prends quelques instants pour humer l’odeur qui s’en dégage et les effluves sont lourdes après une journée de voyage d’une connasse enfermée dans un short serré par jour de chaleur ! J’approche la main de la brûlure pour faire mine de vouloir mesurer l’étendue des dégâts. En fait, ma main pousse le short vers la chatte de la voisine pour la découvrir un peu plus et pour y mettre la main, comme pour l’émoustiller davantage. Et c’est ce que je fias prestement. J’y arrive sans trop de difficulté, je repousse son slip en dentelle et déjà mon doigt est sur son clito, de belle taille et sorti de son capuchon. J’en mets un autre dans sa chatte et je commence à m’activer par un lent va et vient. Pour toute réponse de sa part, elle laisse partir sa tête en arrière et se mord la lèvre inférieure. Mon autre main va explorer sa poitrine et je sors un de ses nichons de son soutien-gorge. Ma bouche a rejoint la fourche de ses cuisses et ma langue est entrain de lécher toute la longueur de son con, déjà bien rempli de mouille. Ma bite est sortie par l’échancrure de mon short et je me branle tout en faisant un cunnilingus à ma blonde voisine.

C’est cette scène que ma femme découvre quand elle arrive dans la cuisine profitant d’un moment de pub à la télé ayant interrompu son feuilleton. « Maudite publicité !!! » me dis-je en moi-même. Je sais que globalement ma femme est assez cool en matière de sexe mais je crains le pire s’agissant de notre voisine. Elle nous apostrophe : « Eh bien ! On ne s’embête pas pour se raconter vos vacances ! ». Et elle ajoute regardant directement Jacqueline : « Toi, tu ne perds rien pour attendre, viens avec moi, on va dans la chambre ! ». Penaude, Jacqueline s’exécute, me plantant là, la bite à l’air.

En fait, ma femme n’est pas fâchée du tout, je m’en rend compte rapidement quand elle file vers notre chambre avec Jacqueline enlacées, chacune la main de l’autre sur les fesses. Je me rends compte qu’elles se connaissent de manière intime depuis longtemps et que ma femme m’en veut un peu de lui avoir voler sa femme en suçant le gros clit de Jacqueline. Le reste va me le prouver. Sitôt dans notre chambre, elles se jettent sur notre lit en s’embrassant goulûment. Leurs mains sont maintenant sur leurs chattes respectives et je pressens que leurs doigts s’agitent. Ma femme ne met pas longtemps à se mettre nue quant à Jacqueline, elle fait passer son tee-shirt au-dessus de sa tête, son soutien-gorge libère ses seins et son cul et sa chatte apparaissent à mes yeux dans leur ensemble.

Je me régale de cette vue et je bande comme jamais. Ma femme me dit alors : « Tu as voulu baiser notre voisine Jacqueline dans mon dos, pour la peine, tu vas devoir t’astiquer le manche en nous matant, c’est tout ce que je te permets pour l’instant ». Et là, elle vers le tiroir de la table de nuit où je sais qu’elle range ses godes et elle en sort deux de belle taille, avec les veines et les glands bien formés. Elles se placent tête bêche, ma femme en-dessous et Jacqueline dessus. Son gros cul de blonde, d’une blancheur diaphane qui laisse voir ses veines bleuâtres illumine la pièce et le travail de leurs langues, de leurs doigts et de leurs mains commence.

Dans la chambre, c’est un concert de gémissements. J’ai la bite qui me mal tellement elle est gonflée de désir. J’ai envie de me finir et de lâcher mes jets de liquide blanchâtre mais j’attends le moment de la fourrer dans une chatte. A ce stade, je ne sais pas encore si ce sera dans celle de ma femme ou dans celle de Jacqueline.Ma pensée est interrompue pas un bref coup de sonnette à la porte de notre appartement. Je vais pour ouvrir sans me rendre compte que j’ai la bite à l’air qui sort par un coin de mon short que je n’ai pas retiré. C’est le mari de Jacqueline, Bernard qui vient voir ce que devient sa femme qui et chez nous depuis bientôt une heure. Je me dis : « Il était temps qu’il se préoccupe de ce qu’elle devenait ou bien c’est qu’il est habitué à ce que sa femme passe pas mal de temps chez nous ».

Il entre et il est un peu interloqué de voir ma bite qui dépasse de mon short. Sans attendre, je lui dis : « Nos femmes sont dans notre chambre, viens voir ! » et nous voilà au seuil de la porte de notre chambre. C’est le même concert de gémissements mais cette fois, c’est ma femme qui est dessus et on voit bien sa chatte de brune, au sillon qui sépare ses fesses et aux lèvres de sa chatte très bruns, presque noirs. Cette vue le laisse sans voix et instinctivement il porte une main à sa bite qui visiblement commence à grossir. Il me dit à voix basse : « Elle a l’air bonne, ta femme. Je ne l’avais jamais vue sous cet angle » avec un sourire. Sous elle, Jacqueline lui lèche la chatte tout en manipulant le gode d’avant en arrière.

Moi, j’ai repris ma bite en main et je la caresse plus que je ne me branle, toujours avec le souci de pouvoir baiser. Mon gland est complètement décalotté, il est rouge et luisant des gouttes qui perlent par le méat et que j’étale sur mon gland. Bernard a sorti la sienne, un bel engin qui bande au maximum. On est l’un contre l’autre et nos shorts sont à terre, on a les fesses et la bite à l’air. Je vois que Bernard passe de la vue de ma bite à celle du cul de ma femme et je ne sais pas vraiment ce qui l’excite le plus. Je sens que je ne vais pas tenir très longtemps et je me décide à entrer dans la chambre où les femmes sont elles aussi au bord de la jouissance. Je vais où ma femme a sa bouche sur le con de Jacqueline et je lui présente ma bite. Elle délaisse alors la chatte pour me gober le gland et elle me suce, tournant sa langue tout autour. Bernard, lui, s’est emparé de sa langue du cul et de la chatte de ma femme, partageant ces deux trous avec Jacqueline qui, elle, prend sa bite en bouche.

Les choses vont ensuite très vite et ma femme me dit : « Maintenant, tu peux baiser Jacqueline pendant que je vais me faire mettre par son mari ». J’installe alors Jacqueline sur une moitié de notre couche conjugale, pendant que ma femme se place sur l’autre moitié. Je m’empare de la chatte de Jacqueline avec ma bouche. C’est un trésor de mouille crémeux à souhait, épais et odorant, le gode qu’elle s’est planté dans le con ayant fait un travail remarquable. Je suis aux anges, je me régale de la lécher, ma langue lui pénétrant la connasse, tournant autour de son gros clito et me hasardant par moment vers sa rondelle. Ma femme, elle, a préféré continuer à avoir une bite dans sa bouche, celle de Bernard ayant remplacé la mienne.

L’envie de prendre Jacqueline par le con montant en moi, je me mets à genoux entre ses cuisses et je commence à la bourrer pendant que mes mains lui palpent les seins, je dirais même, les pétrissent. Une de ses mains s’est dirigée vers son clito et elle le manipulent à toute vitesse. Bernard a fait mettre ma femme en levrette et il la prend de cette manière en lui plantant sa bite avec force. J’entends ses couilles battre sur le cul de ma femme et ça me fait bander encore plus, si c’est possible, tellement je bande en bourrant le con de Jacqueline.

Sans se concerter avec Bernard, on fait changer les femmes de position : je prends Jacqueline en levrette et il se place entre les cuisses largement écartées de ma femme. On continue de nos grand coups de bite. Je vois celle de Bernard entrer et sortir en cadence dans le con de ma femme et soudain il la sort et lui arrose le clito avec son sperme. Je vois alors la main de ma femme se branler le clito avec le sperme du voisin avec frénésie. C’est là que j’arrive moi aussi à la jouissance après que les parois de la chatte de Jacqueline m’aient massé la bite de manière délicieuse et je lui jute sur la rondelle et sur ses fesses blanches.

On se regarde les uns et les autres et les sourires sont sur nos lèvres après une telle jouissance. Je me dis que finalement, il n’y a rien de tel que pour avoir une bonne connaissance de ses voisins. On se rhabille et je file vers la cuisine pour donner à Jacqueline ce qu’elle était venue chercher. On se fait la bise et on se promet de remettre ça bientôt.

Bonne reprise à toutes et à tous -:)

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