Je suis employée de maison chez de gens un peu ruiné. Monsieur est grand, sérieux et très poli : il me laisse tranquille, pas comme dans certaines maison où les patrons ne pensaient qu’à mes fesses. Madame et moins sérieuse. Je l’ai appris plus tard, elle est surtout nymphomane. Si au début mes patrons se tenaient correctement, au fur et à mesure ils me paraissaient moins sérieux : je surprenais, sans qu’ils cessent, la main de Monsieur sur les cuisses de Madame, même souvent bien haut : il la masturbait. Elle le lui rendait : je trouvais des taches de sperme sur la nappe en débarrassant.
J’avais l’après midi libre : j’en profitais pour faire un peu de sieste en me masturbant avant de m’endormir. J’aime beaucoup la masturbation depuis que je suis seule, puisque avant je me faisais mettre par un homme que j’aimais assez, par tellement que ça puisque je m’en passe. Je n’ai plus de contact avec un homme depuis que je suis là.
Un après midi: surprise, c’est Madame qui vient dans ma chambre. J’ai juste le temps de me remettre un peu : elle a coupé ma masturbation presque au moment où j’allais jouir, dommage.
Elle a besoin de moi dans sa chambre. J’ai du louper quelque chose en faisant son lit.
– Déshabillez-moi.
Je ne comprends pas trop, je ne l’ai jamais aidé à se mettre au lit. Je l’ouvre pour qu’elle puisse se coucher.
– Je vous demande de me déshabiller.
– Bien Madame.
Elle me tourne le dos pour que je défasse sa fermeture éclair. Je le fais quand sa robe tombe : elle est nue dessous. Je regarde son dos et ses fesses : elle me plait comme femme. Quand elle fait un tour sur elle-même, elle se montre en entier. Ses seins sont bien hauts, sa chatte n’est pas rasée. L’ensemble est fort joli. Si j’étais un homme je sais que je lui sauterais dessus.
Elle se couche, tend une main pour prendre la mienne. Je ne comprends pas trop ce qu’elle veut, ou plutôt si, elle veut quelque chose de particulier.
– Branlez-moi, Suzanne.
– Pardon ?
– Branlez moi, faites moi jouir.
Je reste interloquée un instant : ma patronne me demande de la faire jouir, alors que j’ai encore dans mon ventre, l’envie de jouissance. Et puis, je ne sais ce qui s’est passé : j’ai obéi.
J’ai mis ma main sur sa chatte mouillée. J’ai vite trouvé son clitoris. Je l’ai caressé, oh pas longtemps, elle a jouit trop vite, aussi je n’ai pas arrêté, j’ai fait comme pour moi, j’ai continué pendant ses spasmes.
– Déshabillez-vous.
Je n’ai pas réagit de suite :
– Je vous demande de vous mettre nue.
Là, je me suis lancée dans cette nouvelle aventure que je ne regrette pas du tout. Nue, elle m’a demandé de me retourner pour me voir, alors que je trouve mes seins trop petits comme mes fesses.
– Vous êtes drôlement sexy. Venez dans mon lit avec moi. Nous allons baiser.
– Bien Madame.
– Je ne suis plus Madame, je suis Jo. Embrasse-moi.
Je l’embrasse sur les joues quand elle tourne sa tête pour que nos lèvres se touchent. Sa langue entre dans ma bouche, je me laisse faire, elle embrasse divinement bien. Nos langues se caressent longuement. Elle me fait coucher à ses cotes, commence par caresser mes seins qui enflent. Sa bouche remplace sa main qui elle descend vers mon ventre. Elle me caresse comme un chat, sauf que moi, je ne demande rien de particulier, elle me donne envie de jouir, de reprendre là où j’en étais quand elle est venue me chercher dans à ma chambre.
Je savais bien que les femmes se font des choses entre elles. Je ne pensais jamais être l’une d’elle. Je me laisse faire surtout quand sa main est enfin sur le clitoris. Là je la laisse faire avec plaisir. Je suis tendu vers sa main. Que c’est bon de se faire masturber, pourtant :
– Caresse moi partout, branles moi encore.
Je caresse enfin sa poitrine : ses seins sont doux et durs à la fois. Ses tétons bandent un peu. Ma bouche sur la sienne embrasse profondément. Je me décide à encore une fois mettre ma main sur sa chatte. Après le clitoris je suis dans son puits. C’est chaud à l’intérieur, je comprends pourquoi ce lieu est la vite préférée des hommes. Je fais aller et venir mon doigt quand je la sens jouir encore.
Elle me le rend bien en allant toujours sur ma chatte cette fois plus bas que mon con : elle est sur mon anus. Je n’ai jamais considéré ce lieu comme faisant parti de la sexualité. Pourtant elle me décoince de ce coté là : c’est agréable d’être caressée par sa main.
– Oui, j’aime bien.
– Fais-le-moi
Je ne peux refuser ce que je viens d’apprécier, mes doigts font comme les siens. Si elle survolait mon cul, moi je n’hésite pas à entrer. Elle en gémit longuement avant de partir dans un orgasme aussi long que le dernier.
– Connais-tu les 69 ?
– Oui j’en ai fait quelques un avec un copain.
– Tu verras c’est mieux avec une femme, tu ne reçois pas de sperme dans la bouche.
– J’aimais bien pourtant.
– Avec une femme c’est meilleur crois moi.
Elle me faire écarter les cuisses pour y mettre sa tête, elle m’enjambe pour me donner son sexe dans la bouche. Je suis frappée par le rosée de sa cicatrice et par son odeur agréable. Je ne parle pas du gout que j’aime maintenant. Si elle vise directement mon clitoris puis mon rectum, je vais sur le sien sans attendre. J’entre aussi deux doigts dans son puits. Ma langue en forçant bien un peu entre dans le cul offert. J’aime quand elle jouit, quand ma langue est prise dans se spasmes. Je dois lui en rendre autant.
Le temps passe, le mari risque de venir.
– Qu’Est-ce qu’il ferait s’il nous voyait.
– Rien de méchant, il nous baiserait toutes les deux et ça je ne le veux pas avec toi au milieu.
– Dommage.
– Maintenant nous arrêtons, nous referons l’amour ensemble demain après midi. Je ne suis plus Jo, je suis Madame.
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