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Ma cousine avait 25 ans et était marié à un homme qui avait le double de son age. Elle l’avait épousé car il avait une très bonne situation et elle était enceinte de lui. Ma mère savait qu’elle n’était pas heureuse en couple car il était souvent absent pour son travail, et de plus (selon ses propres termes) il l’honorait une fois par mois et toujours dans la même position (le missionnaire)! une fois son affaire faite il s’endormait!
Ma mère resta interloquée, elle ne savait que dire.
Mais… Josie? déjà c’est une femme et je t’ai parlé d’un autre homme! et qu’est ce qui te ferait croire…
Je l’interrompais:
Qu’elle accepterait? ne fait pas l’innocente s’il te plait, tu sais parfaitement qu’elle n’est pas heureuse avec son mari! De plus elle t’a toujours complimentée sur ton physique et elle t’a même confié à plusieurs reprises envier mes copines! tu l’imagines avec nous? ça serait le top!
Oui sans doute, sauf que rien ne dit qu’elle accepterait, et ça voudrait dire aussi qu’elle sera au courant de notre relation!
Pour ça je ne me fait aucun soucis, elle acceptera! et si elle trompe son mari, peu importe avec qui, elle gardera le secret
Et dis donc! je pense à un truc!!! on parlait de MES fantasmes et tu parles des tiens là en fait? toi avec 2 femmes! c’est un phantasme typiquement masculin ça je crois!
Tout à fait, sauf que je vais faire d’une pierre 2 coups! une femme peut toujours jouer le rôle d’un homme non?
Ah bon? tu vois la chose comment?
Laisse moi faire! pour l’instant invite la à prendre un café à la maison, je vous laisserais seules toutes les 2
Quand?
Dès demain si tu veux!
Les affaires remballées, nous nous dirigeons vers la voiture. Le lendemain dans la matinée, ma mère appela Josie qui n’habitait qu’à trois rue de chez nous. Elle passerait à 14h. Après avoir discuté avec ma mère de comment agir avec ma cousine, je quittais la maison avant l’heure et me postais dans le hall de l’immeuble. Josie passa nous loin de moi mais elle ignorait ma présence. Ma mère la fit entrer et je quittait l’immeuble pour faire une course avant de rejoindre un petit troquet non loin de la maison. L’endroit où j’étais était posté sur le trajet entre chez moi et chez ma cousine, ce qui faisait que je la verrais passer lorsqu’elle rentrerait chez elle. Les heures passèrent, et je me demandait vraiment ce qui pouvait se passer chez ma mère. Il était 17h30 quand mon téléphone sonna. Ma mère était à l’autre bout du fil:
Coucou! je ne sais pas où tu es mais elle vient de partir!
Alors? j’avais raison ou pas?
Tu verras! je te raconterais quand tu seras là!
Ok maman d’amour, je suis là dans pas longtemps
Je raccrochais et je vis passer Josie devant le bar, elle était visiblement détendue, souriante, mais je ne savais quoi penser. Je retournais à la maison et une fois entré, je vis ma mère dans la salle de bains qui sortait de la douche. Elle enfila un peignoir et me sourit. Je bouillais d’impatience:
Alors? mais raconte!
Va voir dans ma chambre! regarde le lit!
J’allais dans la pièce et je pus constater que son lit ressemblait à un champ de bataille. Des traces encore humides montraient qu’elles n’avaient pas du s’ennuyer. Ma mère se blottit derrière moi et m’enlaça.
Tu avais plus que raison mon chéri! c’est une sacré cochonne! Il a bien fallut que j’insiste un peu au départ, mais en lui disant que vu que nos maris respectifs n’étaient pas au top de leur forme, il fallait bien que l’on pense à nous!
C’est super! et elle revient quand?
Demain à la même heure! ça te convient?
Tout à fait! mais cette fois je serais là!
Je me demande quand même comment tu vas la transformer en homme car elle a tout pour être une femme! Tu l’as déjà vu en décolleté je crois bien, et tel que je te connais tu n’as pas du en perdre une miette
Ne t’inquiète pas j’ai pensé à tout, regarde!
Je déballais le paquet que j’avais à la main devant ma mère. J’avais fais un tour dans un sex-shop non loin de la gare et j’avais acheté un gode-ceinture. Voyant l’engin ma mère fut surprise:
Woahhhh! je comprends tout! j’avoue que ton idée est bonne
Tu crois qu’elle acceptera de se prêter à notre petit jeu?
Après l’après-midi qu’elle vient de passer avec moi? j’en suis certaine!
Vous avez du sacrément vous régaler toutes les deux alors
Oh que oui! ça va? ça ne t’a pas parut trop long?
Un peu! mais c’était pour la bonne cause comme on dit
Par contre excuse moi mon chéri mais je suis morte de fatigue! je sors de la douche et on va dîner c’est l’heure, mais ne compte pas trop sur moi pour faire des folies jusqu’au matin
Je ne m’inquiète pas car je sais très bien que tu trouveras un palliatif à ce petit inconvénient
Et c’est en riant que nous partîmes à la cuisine préparer le repas. Après diner, nous étions assis sur la canapé devant la télé. Elle me caressait le torse doucement. Une bosse apparu sous mon boxer. Ma mère glissa sa main pour tâter ma queue à travers mon caleçon
Dis donc! mais tu n’es jamais fatigué?
Tu ne te rends pas compte! j’ai passé toute une aprem à attendre et à fantasmer sur ce qui pouvait se passer ici, et maintenant que tu me dis que j’ai raison je pense à demain
A ces mots elle glissa sa main sous mon short et saisit mon queue durcie d’excitation. Elle se redressa, me débarrassa de mon seul vêtement et engloutit ma bite dressée. Je sentais sa main palper mes bourses. Sa bouche allait et venait sur moi, sa langue me titillait. Je sentais que je n’allais pas tarder à venir.
Je viens! je sens que je vais tout lâcher!!!
FaiS toi plaisir mon chéri! donne toute ta semence! donne moi tout!
J’eus un râle et ma verge tressauta entre ses lèvres. J’envoyais toute ma purée au fond de sa gorge et ma mère avala tout mon liquide avec un plaisir non dissimulé. Ma jouissance passée, elle continuait à me lécher doucement le gland afin de le nettoyer. Sa main me masturbait lentement. Quel pied!!!
Elle se redressa, visiblement satisfaite:
C’était bon mon chéri?
Oh oui maman! c’est toujours tellement bon avec toi
Blottis l’un contre l’autre, nous discutons de tout et de rien. Mais vu que je recommence à prendre de la vigueur, je n’ai manifestement pas eu ma dose.
Regarde maman!
Elle vit mon sexe qui avait repris sa position.
Décidément tu n’en as jamais assez! petit vicieux va!
Je me levais et la pris par la main.
Viens!
Je l’amenais vers la chambre et je m’allongeais sur le lit. Elle grimpa sur moi et me repris en bouche. C’était divin! Une véritable experte! sa langue titillait mon méat, faisait le tour de mon gland, puis elle me prit complètement, jusqu’à ce que je touche le fond de sa gorge. Elle avait les larmes aux yeux mais ne s’arrêtait pas. Elle resta ainsi un long moment puis elle se redressa et se cala sur moi, ses seins à cheval sur ma queue luisante de salive. Elle les serra sur moi, emprisonnant ma bite entre ses globes. Lentement elle me masturbait.
Tu aimes? dis le que tu aimes ce que je te fais mon salaud!
Oui j’adore maman! tu fais ça trop bien! tu es géniale! personne ne t’arrive à la cheville!!!
Je vais te faire jouir rien qu’avec mes seins! avec mes grosses loches que tu adores! tu veux?
Oh ouiiiiiiii! j’ai envie d’exploser!!!
Jouis mon amour chéri! donne moi tout!
Elle continuait à me branler, je sentais la chaleur de sa poitrine sur ma queue. Je retardais le plus longtemps possible mon éjaculation et ma mère s’en aperçut:
Mais tu te retiens! tu aimes ce que je te fais on dirait
Oh oui tu n’imagines pas!
Sans me répondre, elle continua son mouvement tout en l’amplifiant, allant bien à fond pour me décalotter le plus possible. Je me retins encore un peu et déchargeais sur elle en râlant. Elle reçut mon sperme sur le visage, elle ouvrit la bouche pour recevoir un jet au passage, le reste était sur son cou et sa poitrine. Il y en avait une belle quantité. Elle continuait son mouvement mais plus lentement, faisant sortir de ma bite une dernière goutte de semence. Le calme revint et elle se pencha à nouveau sur ma queue pour la nettoyer.
Il faudrait qu’on garde des forces pour demain qu’en penses tu maman?
Ah ben t’en as de bonnes! c’est toi qui a tout le temps la trique!
Je riait
Oui c’est vrai mais là c’est bon pour aujourd’hui
Nous partons à la salle de bains pour nous laver et nous retournons dans la chambre nous coucher. Épuisés, nous nous endormons bien vite jusqu’au lendemain matin.
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