Rita, son beau-père et son fils
La confession
Dans le secret du confessionnal.
Rita est agenouillée, angoissée sur ses pêchés et leurs conséquences, en
face, un jeune curé qui vient d’arriver dans la paroisse et qui sort du
séminaire. La scène se situe dans un village rural.
– Bénissez-moi, mon père, parce que j’ai péché. Il y a très longtemps que je ne me suis pas confessé. Depuis, voici les péché que j’ai commis, mais avant il faut que je vous explique ma situation.
– Voila mon père, je suis issue d’une famille pauvre et j’ai pas suivi une grosse instruction, très tôt, mes parents m’ont placée comme bonne dans une ferme qui allait devenir la ferme de mon mari. Mais au début, je n’étais qu’une servante. Le fermier, d’abord m’a dépucelée, mais il a fait très attention qu’il n’y ait pas de suite. J’aimai bien quand il venait après le travail m’apporter un peu d’amour, ce qui me manquait le plus depuis toujours.
Un jour, le fils ayant vu ce que faisait son père a attendu qu’il se retire et a voulu aussi profiter de moi, je ne voulais pas trop, il manquait de savoir faire et de gentillesse, mais un peu par menace et conviction, il a
réussi à pouvoir abuser de mes charmes. En soit, c’est pas si grave, mais si son père faisait très attention de ne pas me mettre enceinte, le fils, lui pas du tout, il baissait mes culottes plantait sa queue, quelques aller et retour et il envoyait le lisier. Je n’étais pas très au courant à cette époque sur ce qui allait m’arriver, car vous
pensez bien que je me suis retrouvée enceinte.
… Votre prédécesseur, que Dieu bénisse son nom, m’a sauvée. En effet, il était bien au courant comment cela se passe dans le monde rural et la pauvre fille qui se fait engrosser, si elle n’est pas soutenue, c’est comme si elle était morte. Il a obligé le fils de prendre ses responsabilités et à m’épouser. Neuf mois après, j’ai mis au monde un enfant de sexe mâle, qui a été baptisé « julien ». Le fait d’être mariée, m’a sauvé de la catastrophe et la famille a été très contente de voir un héritier mâle arriver, mais après, comme j’étais sa femme, mon mari ne s’est plus intéressé à ma pauvre personne et heureusement que son père lui a suppléé et m’a apporté
la douceur qu’une épouse est en droit d’attendre quand elle relève de couches et aussi plus tard.
Pendant treize ans, mon beau père a réchauffé ma couche, suppléant aux absences de mon époux qui trouvait plus intéressant de coucher avec le personnel qu’avec sa femme, mais il y a 5 ans, mon beau-père est décédé et depuis ma couche est tout à fait déserte. Heureusement que j’ai encore le soutien de ma belle-mère qui a bien apprécié que je la remplace au près de son époux, car elle est totalement impotente et je m’en occupe avec amour. J’ai aussi le soutien fort de mon fils et souvent il prend ma défense quand son père est désagréable.
Voila pour la version globale, mais il y a quelques jours, Julien qui est rentré de son école d’agriculture où il progresse bien a une attitude bizarre et je l’ai surpris en train de jouer avec mes sous-vêtements utilisés
et il se masturbait en même temps.
… Cette découverte m’a complètement chamboulé, je pensais que depuis la mort de mon beau-père, que pour moi le sexe était mort, mais quand j’ai vu mon fils et sa pratique, j’ai eu un flasch qui m’a coupé les jambes, je sais que c’est très mal, mais je n’ai rien pu faire contre le plaisir de voir son sexe en érection qui giclait un jus
abondant. Depuis cette image me poursuit et je sens les années d’abstinence forcée qui surgissent et troublent ma raison. Je ne sais ce qu’il faut faire, d’une part, j’ai un mari qui n’est que volage et ne s’occupe pas de moi. Je ne peux pas divorcer, car cela mettrait en danger mon fils et ses études et je sens que l’appel de la chair est toujours fort chez moi.
– Ma fille, je ne peux pas être plus cruel que notre seigneur Jésus Christ qui a dit à Marie-Madeleine :
« Tu as beaucoup aimé, donc il te sera beaucoup pardonné. » Mais il te faudra cependant être forte pour éviter de tomber dans l’abomination. J’ai aussi de terribles tentations à la sortie du séminaire que j’ai beaucoup de peine à refréner.
– Mon père me diriez-vous que vous êtes aussi soumis à la tentation de la chaire, comme vous êtes bien jeune, vous pourriez me sauver de mes penchants abominables en me soutenant.
– Ce n’est pas si simple que cela, ma vocation m’interdit d’avoir de telles pensées, même si souvent elles m’assaillent. Ce que vous me proposez est très difficile pour moi, si je refuse de vous aider et que vous tombez en abomination, je me sentirais très coupable et autrement si j’accepte, je sauve une âme mais corrompt la mienne et pire si cela se sait, c’est ma réputation.
– Mon père en attendant que mon fils trouve une chaussure à son pieds qui ne soit pas moi, vous pourriez faire une grande BA en acceptant mon amour.
– Ma fille, vous êtes une grande provocatrice et tentatrice. Mais moi aussi j’ai de l’amour à donner et à recevoir. Je vous absous pour vos pêchés passés qui étaient plus dû à l’innocence qu’à la malignité. Comme pénitence, vous viendrez faire mon ménage 3 fois par semaine, jusqu’à ce que vos pensées inavouables vous quittent
– Merci Mon père, Je commencerai mon service tout de suite cet après midi, une fois que vous aurez fini vos obligations.
– En attendant, j’ouvre ce petit guichet en dessous du parloir et vous tend quelque chose à laver avec la langue.
Rita entend le bruit d’un guichet qui s’ouvre un peu plus bas que le parloir et un sexe bien formé se présente pour qu’elle puisse faire sa première pénitence.
– Voila ma fille, mettez vous au travail et ripolinez moi mon calice, je vous ferais don de mon jus béni que vous me ferez le plaisir d’avaler entièrement.
– Mon père, à force de le lécher, votre goupillon va briller de mille feux, je vous le promets répond Rita qui aspire cette bite qui ne demande qu’à donner l’absolution.
– Ne mordez pas, cela supprimerait l’absolution. Voila, c’est bien, continuez, je pense qu’on va bien s’entendre les deux. Ça vient !
Rita, la bouche pleine, le nez dans les saints poils du pubis du curé, sent l’arrivée de la vague qui arrive et aspire une bonne fois pour ne pas être asphyxiée à l’arrivée du pardon. Glups Glups glups
– Voila, mon père, j’ai déchargé ce qui vous pesait et l’ai pris pour moi, c’est mon dessert que je n’ai pas pris aujourd’hui
– Tu auras encore souvent ce dessert, mais il faudra aussi me donner le tien de dessert.
La Pénitence
L’après midi, Rita se présente au presbytère avec le matériel de nettoyage.
– Entrez donc, je n’ai pas encore de bonne et heureusement, ce serait plus compliqué. Voilà, posez vos affaire à l’entrée et dirigez-vous vers ma cellule. Vous vous déshabillerez et m’attendrez, j’en ai pour un tout petit instant.
– Oui mon père.
Quelques instants plus tard, le prêtre entre dans sa cellule où Rita est étendue nue sur la couche, les jambes écartées montrant son fruit intime au curé.
– Voila ce qui m’incite au pêché.
– Voyons voir ceci de près, dit le curé en avançant son nez qu’il a fort long et en écartant d’un doigt élégant la toison épaisse qui sent le savon frais. Je vois que vous avez fait une petite toilette avant de venir, c’est une bonne chose. J’aime pas trop quand l’odeur est trop forte au début tout au moins.
… Voyons voir le goût dit-il en avançant la langue sur la fleur de corail qui orne l’entre-jambe de Rita. C’est un peu fade et peu humide, je vais remédier à cela.
Il dirige sa langue vers le petit soldat qui garde l’entrée du sanctuaire et commence à le titiller.
– Hum, c’est mieux, ton jus devient tout à fait appétissant. Cela vaut bien un bon vin de messe. Je vais aussi te préparer le passage réservé à la Curie, c’est à dire ta rondelle que je vais prendre tout à l’heure.
– Mais je ne l’ai jamais fait, chuchote Rita, avec un goupillon comme le votre, il va avoir de la peine à passer.
– Justement, j’ai un goupillon spécial pour m’aider, qui date de l’époque du séminaire, quand il fallait élargir les collègues. Je l’ai acheté dans un sex-shop, je ne pensais pas devoir le servir pendant mon ministère, mais je me suis trompé.
Il va vers une commode et sort un plug et de la vaseline, oint copieusement le fion de Rita et lui met le plug dans le trou du cul.
– Voila avec cela, pendant que tu passes l’aspirateur, tu vas agrandir tranquillement l’entrée des artistes.
– Ah ! Parce que c’était sérieux l’idée de faire le ménage.
– Bien sur une pénitence, c’est une pénitence. Si tu veux l’absolution complète, il faut bien que j’y mette mon goupillon. Tu sais que pour nous curé, l’arrière vaut bien l’avant et l’avant nous est interdit à cause des risques de maternité, même maintenant l’âge canonique ne nous met plus à l’abri. Il y a deux curés à Fribourg qui ont du arrêter leur ministère à cause du fait que leurs bonnes de quarante deux et quarante quatre ans pour l’autre, sont tombées enceinte et maintenant, ils sont mariés et professeurs dans un lycée catholique en France. C’était de tout jeunes prêtres de trente ans.
– Je comprends, le fait de me promener les fesses à l’air, je pense que cela va te faire bander comme un turc.
– Oui, mais passe quand même l’aspirateur, cela fait partie du deal.
– Voila, j’ai tout passé en ordre.
– J’ai oublié de te dire que si on doit éjaculer dans l’entré de service, il n’est pas interdit de s’intéresser à l’autre coté, mais il ne faut pas y mettre le pinceau à moins que ce soit une femme mariée dont le mari est assez entreprenant pour couvrir la naissance. Couche toi sur mon grabat et je vais te préparer, ouvre bien les jambes que je puisse accéder à ton corail. Là c’est bon, je vais me rassasier de la bonne soupe de moule avant de passer aux choses sérieuses.
Là, le curé s’installe devant un fouillis de poils dégageant une odeur enivrante. Il passe et repasse la langue sur une moule bien humidifiée, on pourrait même dire une petite source de cyprine, subitement il fait passer sa soutane sur ses épaules et apparaît nu à Rita.
– Quel bel homme tu es quand même, elle lui caresse gentiment la tête qui lui dévore la tire-lire. Viens, j’ai envie de te sentir en moi.
– Attends, je vais retirer le plug et t’honorer comme il se doit.
Plouf fait le plug en étant extrait des fondements de Rita, l’orifice est bien dégagé et prenant un peu de mouille à l’étage supérieur, il commence à oindre la rondelle pour pouvoir s’enfoncer sans trop de force.
– Je crois que tu es bien prête, je vais y aller doucement et tu me dis comment tu le sens.
– C’est bon, viens, au pire ce sera un peu dure au début, ce trou, comme l’autre n’ayant pas été visité depuis longtemps.
– Voila, j’ai passé le gland, il me semble que cela rentre tout seul, je pousse une bonne fois.
– C’est bon, un peu douloureux, mais c’est le prix de la rédemption je suppose. Vas, pioche fort maintenant je te sens bien, cela me fait vraiment du bien d’être ramonée en profondeur comme maintenant.Si tu peux encore un peu caresser mon clito en même temps, je sens que je vais partir vers le septième ciel.
– Je sens que la crème est aussi en train de prendre, à ce que j’ai vu, on risque d’avoir une crème au chocolat avec de la chantilly. Je sens qu’au fond, il y a de la résistance, mais ce n’est pas ce qui va me freiner. Je viens, secoue toi un peu. Hum c’est bon de t’arroser. Par ce baptême du cul, je t’absous tous tes pêchés de fornication. Mais, pour cette fois, je ne t’obligerai pas de nettoyer mon goupillon, car il porte des traces de chocolat humain. Mais la prochaine fois, tu feras un petit lavement avant de venir te repentir de tes mauvaises
idées.
La rémission
Le soir en rentrant, avec un sentiment de plénitude de femme bien baisée, Rita prépare le souper. Elle respire un tel air de bonheur du à cet après midi qui lui a fait tellement de bien, juste un peu le cul qui lui brûle un peu, mais c’est peu en regard de cet après midi d’amour qu’elle a vécu.
En attendant que le souper se mijote gentiment, elle passe sous la douche et se change pour préparer la soirée. Toute la famille est surprise de la voir si rayonnante, même son mari est surpris de sa résurrection.
– Que ce passe-t-il, tu as l’air vraiment en forme ce soir ?
– J’ai passé à la cure pour me faire pardonner mes pêchés et je me sens plus légère maintenant.
– Je vois.
Après le souper, c’est au tour de Julien de passer dans la douche et suivant son habitude, il va fouiller dans le bac à linge pour trouver de quoi à calmer son fantasme. Surprise, il y en a une toute fraîche à se mettre
sous ne nez, mais bizarre, elle ne sent pas comme d’habitude, on dirait plutôt qu’elle sent fortement le sperme.
« Oû a-t-elle récupéré ce sperme, son mari ne la regarde plus depuis des
années, le beau-père est mort et c’est pas moi, mais qu’est-ce qu’elle a
dit, qu’elle a passé à la cure pour se faire pardonner ses pêchés. Je pense
plutôt qu’elle s’est fait mettre par le nouveau curé qui m’a l’air d’être un
disciple de St Ildéfonse. Je vais essayer d’utiliser ceci pour me créer un
avantage. » pense Julien avec un petit sourire narquois.
Depuis le temps que je rêve de la consoler du manque d’empressement de son mari qui en plus lui fait des cornes qu’elle a de la peine à passer les portes de la maison.
La Rédemption
Le nuit venant, la mère va souhaiter la bonne nuit à son fils.
– Bonne nuit mon chéri. Fais de beaux rêves.
– Toi aussi maman et ne rêve pas trop du curé ?
– Comment cela ?
– En allant me doucher, j’ai senti une odeur inhabituelle dans cette maison depuis que grand père est décédé. Le sperme. J’ai approfondi mes recherches et j’ai trouvé ta culotte qui en était embardouflée, comment cette grenouille de bénitier t’as embobiné ? Normalement, cela devrait être comme des eunuques. À voir celui-ci, ils ont du oublier de lui faire le baptême au sécateur.
– Oui, je sais, je suis allée à confesse pour prendre conseil en lui expliquant que mon mari me néglige et que toi, j’ai l’impression que je ne te laisse pas insensible. Tu es d’accord !
– Oui, Maman, je t’aime, tu es tellement belle ! Mais d’ici tomber dans les bras d’un curé, il y a un pas que j’ai de la peine à franchir.
– Oh ! Mon fils, je suis très confuse, mais j’ai eu un tel plaisir après ces années d’abstinence que je ne regrette rien. Mais je ne sais comment faire avec toi. Je t’aime aussi très fort, tu es beau et même si le curé parle d’abomination, je me sens toute bizarre quand tu es vers moi.
– Évidement le curé, il parle pour sa paroisse. Qu’est-ce que tu feras si il te glisse un marmot dans le tiroir ? Père ne va pas le reconnaître et lui sera nommé quelque part plus loin, si on prouve qu’il est le père et tu te retrouveras dans une situation impossible.
– Il n’y a pas trop de possibilités, il ne me prend pas par devant, mais par derrière où à ma connaissance il n’y a pas de risque de faire des enfants.
– Ah ! Là, il ne parle pas pour son ministère, la voie de Sodome. Condamnée et détruite par Dieu, jetée dans les enfers. Sa religion, il l’arrange à son avantage.
– Mais, comment je vais faire mon chéri, je ne suis pas une vieille femme qui a sa vie derrière elle, j’ai des besoins sexuels qui ne sont pas assouvis.
– Maman, je t’aime tellement que pour t’empêcher de tomber dans la déchéance de la religion, je me sacrifierai bien pour assouvir tes besoins. En restant dans la famille, on évite un scandale éventuel. Je vais te citer Mathieu, celui qui n’a qu’un cheveux :
« Jésus dit à ses disciples: Il est impossible qu’il n’arrive pas des scandales; mais malheur à celui par qui ils arrivent! »
– Tu pourras le lui servir si il recommence à te pervertir ! Ne mets pas notre famille en danger pour faire plaisir à un curé perverti.
– Oh mon Dieu, je n’avais pas vu les choses sous cet angle. Dit Rita en sanglotant.
Julien la prend dans ses bras et la serre contre son coeur, il lui caresse doucement le visage et le visage enfoui dans les cheveux, il la couvre de baisers très doux pour la consoler.
– Maman, je vais m’occuper de toi et de ton manque de douceur, je vais demander un studio dans les environs de mon école et tu viendras « faire parfois mon ménage » comme dit le curé et là je ferai le nécessaire pour qu’il ne puisse plus t’abuser en te donnant tout l’amour auquel tu as droit, pas que du sexe comme ce foutu
ecclésiastique, vraiment je le hais du fait qu’il profite de ton ingénuité et innocence.
– Oh ! Julien, mais c’est interdit par la loi. Je ne veux pas finir en prison.
– Entre adulte consentant, ce n’est plus le cas et j’ai déjà plus que la majorité et on a pas besoin de le crier sur les toits. Quoi de plus normal qu’une mère qui vient tenir le ménage de son fils. C’est quand même plus correcte que de faire la bonne du curé.
– En attendant que tu aies ton studio, comment je vais faire.
La transpiration
– On va faire attention que personne ne soit capable de s’en apercevoir. Par exemple, après demain, quand papa va partir à son rendez-vous de chasse avec la belle baronne, je pense que c’est l’occasion de te venger et de lui faire porter à son tour de belles cornes. En attendant, j’aimerai bien embrasser tes seins, j’en rêve
depuis si longtemps.
– Grand fou, tu me fais faire des bêtises, dit-elle en ouvrant son chemisier
– Laisse moi décrocher ton soutien-gorge stp.
– Mais oui.
Défaisant le soutien gorge, il sort un sein du chemisier, le prend en main et commence à le sucer, en même temps, il sent un odeur un peu sauvage de transpiration et d’excitation qui se dégage du corps de sa mère.
– Mère, tu m’excites vraiment beaucoup. Dit-il en repoussant le drap du lit et en présentant un vit majestueusement dressé. Calme moi stp et il lui prend la main pour la mettre sur son sexe.
– Tu prends de l’avance. Tu veux que je te suce ? J’ai envie de goûter ton sexe et ton jus.
– Tu combles mes désirs les plus fous.
À ces mots, elle se penche et plonge ses lèvres vers ce sexe qui se dresse orgueilleusement avec une petite goutte de bien venue qui orne le méat. Lentement elle absorbe cette queue qui est celle de son enfant. C’est
complètement dingue, mais complètement délicieux pense-t-elle, vivement qu’il ait son studio qu’on puisse s’éclater toute une nuit et pas à la sauvette comme maintenant.
– Maman, je sens que cela vient, tu veux que je m’écarte ?
– Non, je t’ai dit que je voulais te goûter, donc gicle dans ma bouche, comme cela tout reste propre. Humm, il est meilleur que celui du curé. Il n’y a pas photo.
– J’aimerai bien aussi goûter le tien ! Laisse moi aussi t’apporter le plaisir,
– Mon fils, c’est vraiment la journée ! Me faire ramoner la turbine à caca par le curé et ensuite me faire sucer la moule à gaufre par mon fils, je crois que c’est la totale.
Rita se relève et baisse sa culotte sur ses genoux et ensuite lentement passe une jambe, montrant son entre-jambe à son fils qui commence à être super agité et fébrile en pensant qu’il va enfin pouvoir goûter la
moule à sa mère. Devenir le puisatier officiel de son puits d’amour, du coup, son dard se redresse à nouveau.
– Calme toi trésor, laisse moi enlever toute ma culotte, je sais que tu es super excité vu le pas qu’on franchit ce soir, mais on est pas obligé de courir pour prendre le train. Relaxe, c’en sera que meilleur. Lui dit sa mère en finissant de retirer sa culotte, mais en gardant sa robe qu’elle retrousse autour de sa taille.
Rita se met à genoux sur le lit de son amour et elle le pousse pour qu’il s’étende, elle avance à genoux, la motte en avant. Elle bloque ses bras avec ses cuisses et s’assied sur la bouche de son fiston.
– Tiens goûte le puits d’amour de ta mère, le trouves-tu à ta convenance ?
– Oui Maman, c’est toujours mieux de goûter ces choses à la source directement. Tu as une très belle chatte, bien dessinée et le majordome qui garde ton puits est vraiment impressionnant.
– Tu peux essayer de l’apprivoiser en lui faisant des bisous, il est très friand de ce genre de gentillesse.
– J’y compte bien, mais pour le moment, je te ripoline ta bouche d’en bas,
– C’est délicieux quand tu me lèches avec amour ma tire-lire, je me sens fondre complètement et je vais te demander quand ton pieu sera à nouveau d’attaque et de prendre complètement, mais j’aimerai que tu te retires au moment fatidique, j’ai pas envie d’être en cloque.
– Mais maman, j’ai de quoi à sortir couvert, attends, je prend une capote anglaise pour pouvoir bien juter dans ton con. Je veux que quand je t’envoie la purée, elle frappe et recrépisse ton fond du con, même si c’est à travers une fine membrane.
– Donne mon fils, je vais te l’enfiler pendant que tu continues à me lécher, vraiment, j’aime trop quand je sens ta langue caresser mon clitoris. J’essaye de me maintenir sans partir dans un orgasme tout de suite pour genissen
– Genissen ? C’est quoi ? Il n’y a pas de génisses ici.
– Non Julien, c’est une expression qu’on utilise à la frontière des langues qui veut dire jouir en tranquillité de la situation. C’est l’expression qu’employait ton grand-père quand il me baisait tranquillement. Sans stress ni besoin de résultats.
– Ah bon, c’est de l’allemand à voir !
– Oui, je pense. Je ne connais pas bien cette langue.
– Voila, ta pioche est prête pour l’usage, tu peux creuser dans mon puits, reste comme tu es, je vais venir sur toi en laissant retomber ma robe, on ne verra pas ce qui se passe en dessous, mais si tu veux me caresser tu peux, mais à l’aveugle.
– Je peux te caresser les fesses ?
– Non, j’aimerai autant que tu t’occupes du coté face, l’autre a déjà été visité aujourd’hui et il est un peu tuméfié. Ce salaud de curé y a été comme un soudard lord du massacre de Wassy et pas comme la
deuxième DB de Leclerc.
De montées en descente, le tenon bien pris dans la mortaise, l’assemblage chauffe de plus en plus, les secousses sont de plus en plus rapprochées, à chaque retombée, la robe fait comme un soufflet et envoie aux nez des deux amants l’odeur de la forge en pleine action.
– Ho Maman, quel parfum sort de ta robe quand tu redescends pour t’enfiler profond. Je sens qu’avec une telle provision d’hormones de baise, j’en suis tout excité. C’est le meilleur parfum que je n’ai jamais respiré. J’ai l’impression d’avoir tout le devant de mon ventre complètement mouillé. Viens mon amour, libère-toi, jouis !
Que je puisse tapisser tes ovaires de mon jus de pine. Je vais encore bien branler ton petit majordome pour améliorer ton plaisir.
– Oui, mon fils, je viens, tu sens la houle qui agite mon bassin, j’aime sentir ta pine dans mon con qui navigue en avant, en arrière, ouille, je crois que tu viens de toucher mon point H, il paraît que c’est encore plus jouissif que le point G ou le point Q. aie aie aie, je parts, je bondis, je m’envole, je plane, Je suis en symbiose avec Plastic Bertrand, ça plane pour moi et pour toi ?
– Pour moi, j’en suis plutôt à la mode de chez nous, je plante des choux avec la bite.
– Vite dépêche-toi, j’entends des pas qui se rapprochent, enfin la porte est fermée à clé, mais quand même, cela fera bizarre si il y a demande d’entrer.
– Tu dois rêver, le père il est à la chasse, la chasse aux hannetons. Hé hé ! À moins que ce soit à la chasse à la baronne.
– Ne retourne pas le couteau dans la plaie.
– Qu’en as-tu à foutre ? Finalement qu’il se paie la baronne, cela nous permet de nous payer à notre tour.
La concrétisation
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