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Cocu magnifique

Cocu magnifique



Je sais être accommodant. Mme RIVAL avait passé sa jolie tête dans l’encadrure de la porte. Je connaissais ce sourire de jolie femme auquel on ne peut résister. J’étais assez blasé sur la chose. Cela fait des années que je gère ce camp de vacances. J’en vois passer des culs et des mignons minois. Pour tout dire je me sers volontiers dans le cheptel. Une femelle en vacances est totalement désinhibée. Elle entre machinalement en compétition. Elles ne voient en ses alter ego que des rivales. Elle n’aspire qu’à débaucher à son tour un mâle.

Ajoutons à cela les caprices de la statistique. Par un sort inique souvent se trouve-t-il qu’il y a en un endroit et un instant T plus de mâles que de femelles. Bref un petit con replet et chauve comme moi a grande chance de se dégoter une jolie fille à laquelle il n’aurait pu prétendre en une autre circonstance. Vous goûterez ma lucidité et mon humilité. Sans scrupule je prenais part donc à cette orgie quotidienne. Les conversations entre hommes étaient d’évoquer nos bonnes fortunes et de comparer les mérites de l’une ou l’autre salope.

Je confesse que le monsieur de soixante ans que j’étais avait une faiblesse pour le tendron. J’avais du mal à résister aux séductions des jeunes femmes de vingt, trente ans. Celles-ci pouvaient être largement mes filles. Je n’ai jamais pu démêler ce qu’avait de caractère subversif ou i****tueux une pareille attirance. Je m’en tiendrais au point de vue que la perfection des lignes de ces corps et leur chair ferme me fascinait. Il n’était guère rare notamment les après-midis qu’on m’eût surpris dans un pieu avec l’une de ces créatures.

Mon plaisir était augmenté qu’elles eussent un compagnon voire un mari avec lequel je pouvais parfois fricoter. En effet je n’aime rien tant que la compagnie des cocus. Ils font florès à cette époque de l’année. Il est savoureux d’entendre l’un vous dire qu’il a cocufié un tel ignorant lui-même qu’il vous doit les cornes qui lui poussent sur la tête. Bref Mme RIVAL était une femme belle et remarquable et dont l’âge tournait aux quarante ans. Soit un peu au-delà de mes goûts. N’empêche elle valait plus que le coup d’œil.

Ce qui en outre pouvait m’arrêter était que j’adorais son mari Philippe. Un type merveilleux le cœur sur la main. Je trouvais qu’il était trop indulgent et aveugle à l’égard de sa jolie femme. J’étais bien placé pour savoir que certains l’avaient maintes fois attrapé au cours du séjour. Outre deux, trois vieux cochons elle avait cédé à de jeunes play-boys costauds. Rien que de banal en cela. Elle imitait ses autres congénères cédant ainsi à une sourde et puérile compétition. C’était à qui se taperait le petit moniteur ou autre champion de ceci ou cela.

Elle n’avait pas froid aux yeux. J’avais été un peu choqué la première fois que Philippe m’eût invité dans leur appartement. Elle bronzait sur le balcon tandis que nous papotions et n’avait daigné se mettre un truc sur le cul. En effet à deux pas de moi elle m’offrait dans la lumière brutale du soleil son corps nu et parfait soucieuse semble-t-il que celui-ci fut admiré par un connaisseur tel que moi. Son mari autant ne semblait gêné que sa femme découvrit ses appâts à un invité. Les vacances, l’été semblent tout autoriser.

D’autres potes me confirmèrent qu’ils avaient pu sans vergogne se rincer l’œil. Oui la garce était bien foutue et elle le voulait montrer à tous. Elle alla bien au-delà puisque deux, trois vieux cochons de la bande obtinrent de l’entraîner plus tard sur une plage pour la sauter derrière un rocher. Bien sûre l’ami ne pouvait concevoir ce genre de péripéties. Aussi ce matin eus-je idée que peut-être mon tour venait. Mme RIVAL sollicitait qu’il put y avoir un rab d’une semaine pour leur location.

Leur appartement était convoité. Les propositions sur le Net affluaient. Logiquement ils devaient céder leur place. On ne pouvait mobiliser plus de quinze jours le même local. Tout au plus pouvais-je les déplacer dans un autre de moindre qualité. Accablée de mes explications elle affectât par jeu une moue de petite fille suppliante. Toujours par jeu je lui fis entendre qu’il y avait certes un moyen. J’en avais maintes fois usé. Je pouvais alléguer d’un problème technique dans l’appartement et que celui-ci requérait des travaux.

Ma solution était lumineuse. Mme RIVAL entra complètement dans le bureau après avoir fermé la porte de celui-ci. Elle était en robe courte légère juchée sur ses jolis sabots à talons hauts. Elle s’approcha de moi jusqu’à me toucher. En effet elle apposa un baiser sur mon crâne chauve. Mutine elle dit que je faisais énormément plaisir à Philippe. Je n’avais cure de celui-ci. Pensant cela machinalement ma main avait glissé sous sa robe. Je caressais sa cuisse ferme et palpais ses fesses. Elle se trémoussait.

La garce n’en parut plus émue. Elle devait avoir l’habitude qu’on la pelote ainsi. Je lui malaxais le cul disant : « Ne mériterais-je pas une belle récompense ? » Elle sourit. Elle ne fit aucune résistance après que je l’eus assis sur mes genoux et l’embrassais. Cette salope semble-t-il était prête à tout. J’aimais à être sucé dans le bureau. Elle se prêta au jeu. Démagogue elle déclara que j’avais une belle queue. Je ne pouvais autrement que la lui fourrer dans la chatte. Derrière elle appuyée contre le bureau je limais.

Elle sortit avec un peu de sperme lui coulant le long de la cuisse. Je trouvais cela excitant. Elle me dit dans son rire argentin qu’elle allait annoncer la bonne nouvelle à son mari. Je voyais s’éloigner avec délectation ce cul. Il était indubitable que j’en userai le reste du séjour. J’étais prêt à renoncer quelque temps à mes jeunes salopes. Ce soir-là Philippe m’invita ainsi que des copains pour célébrer la prolongation. Je vins un moment à rejoindre sa pute dans la cuisine pour la peloter puis l’embrasser.

Je savais que d’autres potes bien avant moi avait fait de même. La garce semblait excitée de faire des cochonneries à peu de pas de son mec. Elle dit de fermer la porte. Elle avait une envie frénétique de sucer. J’avoue je fus pris de panique qu’un de nos imbéciles vint à un moment troubler ce jeu. La pipe dura dix minutes et j’eus droit à verser mon sperme dans sa bouche. Elle avala le tout stoïquement. Personne ne parut avoir rien remarqué. J’admirais son air innocent le reste de la soirée. Philippe benoîtement la caressait.

Je savais Philippe tous les matins sur le court de tennis à batailler et leurs gamins investis dans les jeux d’eau. Elle perpétuait nue son bronzage sur le balcon. Je vins à frapper. Nous avions convenu par SMS que je la rejoigne. Sa petite voix me dit d’entrer. Elle était nue et magnifique sur un drap étalé le long du balcon. En un instant mes frusques furent jetées. A poil je vins me coller contre elle. Elle m’enjoignît de lui passer de la crème sur le corps. Ainsi pus-je à loisir palper et savourer la fermeté naturelle de celui-ci.

Elle me branlait en même temps. Elle ne pouvait s’empêcher de sucer. Ma queue était bien ferme. Elle prévint une éjaculation trop hâtive. Elle m’invita à aller baiser dans la chambre. Là aussi des copains m’avaient dit l’avoir sauté dans le lit de Philippe. Elle n’avait cure du procédé insane. On eût donné le bon dieu sans confession à cette femme au maintien digne et au visage d’ange. Personne n’eut deviné ce vice et cette perversité cachés. J’avais du mal à concevoir que Philippe ne rien su.

Ainsi écartais-je tout scrupule avec une telle salope. D’autres que moi impunément profiteraient s’il me venait idée de renoncer. C’était un beau morceau. Elle avait un trop beau cul. Autant m’en repaître. Durant deux heures je pris temps de jouir de ses trous. J’en sortis fourbu, les couilles vidées. Ainsi fis-je toute cette semaine de rab. Cette garce ne s’en tapait pas moins d’autres à côté. J’étais un peu irrité contre le copain Philippe. On n’a pas idée d’être cocu avec tant d’ingénuité. Il me tardait la saison prochaine de tous les retrouver.

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