Je suis au paradis, une femme mure, belle et me demandant de la gouter est devant moi.
J’approche ma tête de ses cuisses, embrasse le haut de ses bas pendant que mes mains parcours ses jambes gainées de nylon. Je ressens déjà la chaleur qui se dégage à travers la fine dentelle de son string. Je prends plaisir à sentir son odeur intime en posant mon nez contre sa lingerie, et puis enfin, j’ose. Je passe ma langue de haut en bas de sa fente.
Irène me caresse les cheveux.
– Oui mon petit chéri, fait moi plaisir, goute ta petite maman.
Ces mots m’excitent et j’ai la queue qui m’en fait mal.
Je passe alors les mains derrière ses fesses et les attirent vers moi pour que son sexe se colle à ma bouche. Son odeur se fait plus forte, la dentelle est maintenant bien mouillée et pas seulement à cause de ma langue.
Irène se dégage un peu de moi et écarte son string pour me laisser libre accès à sa chair tendre et humide.
Je lape comme un petit chien cette chatte qui s’offre à moi. Son clitoris ressort d’entre ses lèvres et je commence à le téter comme une petite bite. Irène écarte encore un peu plus ses cuisses ce qui me permet de faire glisser deux de mes doigts dans sa grotte chaude.
Je me régale pendant un bon quart d’heure à jouer avec ma langue et mes doigts. Puis soudain.
– Tu t’y prends très bien mon petit chéri, continues, tu vas me faire partir très vite. Ma chatte coule de bonheur. Continues, oui… C’est bon. Entre et ressort bien tes doigts en moi. Caresse-moi de l’intérieur…. Je jouis, c’est bon…oui.
Je reçois alors un petit flot de son jus intime sur le menton. Je m’empresse de venir boire le reste qui coule de son trou d’amour et le lèche de façon à ne rien laisser.
Irène se baisse alors et m’embrasse à pleine bouche, sa langue lèche les pourtours de ma bouche, mon menton jusqu’à la naissance de mon cou. Elle récupère tout le jus de son plaisir qui a coulé sur moi.
Puis elle m’attire vers elle en se relevant, me regarde droit dans les yeux en souriant et baisse mon pantalon pour libérer ma queue ;
Elle doit elle aussi se libérer avec cette tension.
Une de ses mains vient et va tendrement sur ma tige pendant que l’autre me caresse les couilles.
Elle baisse un peu son string et frotte en même temps ma verge contre sa toison et sa fente encore humide
Elle se rapproche alors de mon oreille et me murmure
– Tu aimes quand maman s’occupe de ton zizi ? Ferme les yeux et laisse toi aller, maman va te faire jouir comme jamais. Tu n’auras plus à le faire seul dans mes petites culottes. Oui je sais que tu adores les jolis dessous sales de maman, je suis sûr que tu dois les sentir, les lécher. Je sais que mon odeur de fin de journée t’excite que tu te délecte de mes reste de jus de chatte. Oui mon petit chéri, crache ton sperme dans la main de maman, laisse toi aller.
Ces derniers mots ont raison de moi et je crache ma jute entre ses mains en lui mordillant l’épaule.
Irène me regarde à nouveau, remonte légèrement son string en l’écartant de son ventre.
– Regarde mon petit chéri, ton sperme à atterri dans mon string, je vais pouvoir le sentir contre moi toute la soirée.
Elle plaque alors la dentelle contre sa motte et ajuste sa robe.
– J’espère que le repas t’a plu ? Si c’est le cas, tu peux venir manger à la maison quand tu veux. Maintenant tu vas rentrer retrouver ta vrai maman, et peut être qu’en t’endormant tu penseras à celle qui prend soin de toi …. Plus intimement.
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