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Sandra et le Proprio Partie 2 et FIN

Sandra et le Proprio Partie 2 et FIN



La semaine a passé très vite et nous avons fait et refait l’amour en nous excitant de tout…. Samedi matin Serge est venu et nous avons bu un café avant de prendre la route…. Serge a précisé le contexte de notre séjour …

– Sandra sera ma femme … et toi Alain, tu seras sera son frère, dès que nous aurons franchis la porte … ce sera le jeu. Vous êtes d’accord?

– Oui répondit, Sandra

– Oui, moi aussi, dis-je

Nous avons pris la route. Je vis le panneau barré, nous sortions de notre petite commune du Val d’Oise. Sandra était devant avec Serge et j’étais à l’arrière.

Sandra avait un mini robe légère, décolletée, lui serrant ses seins volumineux et la taille, et légèrement évasée à partir de la taille. Ses cuisses étaient largement découvertes. Ses seins gonflés sortaient à moitié. Je la savais nue en dessous.

Qu’elle était belle … légèrement bronzée. Sa jeunesse était resplendissante.

Serge conduisait, une main sur la cuisse gauche de Sandra, comme pour marquer sa possession.

Nous sommes enfin arrivés, après un voyage très agréable et sympathique. Nous avons passés ces quelques jours dans une ambiance amicale et extrêmement érotique. Serge et Sandra étaient … un couple et moi le frère et beau-frère.

Les connaissances de Serge le complimentèrent pour la beauté de sa jeune épouse. Ils dormaient ensemble, bien sûr, et moi dans la chambre d’amis.

Durant tout le séjour, je n’ai eu aucune attention particulière de Sandra. Elle était toute à son jeu d’épouse de Serge. Je me masturbais tous les jours d’entendre leurs jouissances dans leur chambre.

La journée, ils étaient toujours nus et étaient très amoureux.

Serge nous a laissé devant notre maison.

– Quelles merveilleuses vacances, dit Sandra

– Une expérience très bizarre et excitante à la fois

– C’est vrai, je me suis comportée comme sa femme à lui en t’abandonnant complètement à ton rôle, tu as dû en souffrir

– Non, j’étais moi aussi dans ce jeu, j’en ai profité au-delà de ce que je pouvais imaginais, c’était terriblement excitant

– Tant mieux je me faisais quelques reproches

– Tu étais parfaite, mon amour

– Viens laissons les bagages et allons dans la chambre …

Je la suivi. Elle s’allongea sur le lit, nue… Je la léchais de partout, ses seins, sa chatte et son cul, longtemps…. Mes doigts pénétraient ses orifices que je constatais ouverts…. Elle m’attira et j’entrais en elle… Je découvris combien elle était ouverte et disponible.

– Alain, je ne sens plus ta petite bite … c’est fou.

– Pour moi c’est toujours aussi bon, tu sais, je me sens encore plus cocu, par le fait de constater que tu es si large de lui, ouverte par lui. Je me dit qu’il a formé ton vagin à sa queue et c’est follement excitant

– Tu as raison, moi aussi, j’ai l’impression de lui appartenir en constatant que tu ne me fais plus aucun effet sexuel, sa queue me manque et ça m’excite de te savoir cocu à ce point

– Et ton cul?

– Il m’a enculée, je crois, presque autant qu’il m’a baisée, alors maintenant il m’encule avec autant de facilité ..

Je fis pénétrer un doigt dans son cul et constatais effectivement son ouverture et sa souplesse.

– Ah oui, tu es bien ouverte

Je la baisais avec passion et amour, excitation et tendresse, rage et désespoir …

– Tu aimes que je sois salope et pute?

– Oui, je te le demande

– Tu aimes que je me donne à Serge?

– Oui, mon amour

– Tu aimes que je lui appartienne?

– Oh oui, chérie

– Tu voudrais que je sois sa femme autant que la tienne, sinon plus?

– Oui, oui, j’aimerais que tu sois sa femme, rien qu’a lui

– Rien qu’à lui?

– Oui je voudrais vivre cette expérience terrible

– C’est ce que tu veux, vraiment?

– Je le veux

J’étais sur le point d’éclater ma jouissance, mais je me retenais autant que possible.

– Alors je vais lui dire que c’est d’accord

– Quoi?

– Serge veux que je vienne chez lui tous les vendredi soir jusqu’au dimanche soir et les jours fériés et toutes les vacances

– Oui, chérie oui c’est super

– Oui, mais il exige aussi que je ne fasses plus l’amour avec toi

– Pourquoi, pourquoi … Ohhhh que c’est bon, je t’aime

– Ben … parce qu’il veut que je sois enceinte de lui …

– Oooooohhhhhh oui, oui, oui, ma chérie, oui je le veux aussi, enceinte, oui, de lui, oui Ohhhhh, jeeee jjjjooooouiiiiiiis Ahhhhhh

J’éjaculais en elle…. Quelques minutes plus tard, elle me dit:

– Tu as bien saisi ce que je t’ai dit

– Tu veux dire que Serge veut que tu sois sa femme t qu’il veut que tu sois enceinte de lui?

– Oui

– Oui j’ai bien compris et si tu le veux alors, je le veux

– Oui je le veux

– Et que tu ne me touches plus?

– Je jouerais le jeu

– Alors soit, on commence dès aujourd’hui, tu sais … j’attends mes règles demain et vendredi je serais avec Serge

– Je suis d’accord, mais au fait, pourquoi pas en semaine …

– C’est moi qui ai dit qu’il fallait que je sois aussi avec toi …

– Ah bon!

– Pourquoi, tu voudrais que je vive avec lui-même en semaine … Donc tout le temps?

– Au moins jusqu’à ce que tu sois enceinte

– Et tu le supporterais?

– J’ai très envie de vivre cette situation de cocu, de cocu content et la vivre pleinement en souffrant

– Mais ça peut durer longtemps, car il veut aussi me pervertir avant que je sois enceinte et aussi pendant et après

– Je ne comprends pas..

– On va faire une chose : Pendant un certain temps on va faire comme ça, je serais ici en semaine et après on verra … Selon notre désir de telle ou telle situation, d’accord?

– D’accord…

La semaine passa et le vendredi soir, Sandra me dit :

– Bon je vais chez …. Mon mari, à dimanche

Elle m’embrassa et partie.

Le dimanche soir, elle revint et je voulu la prendre.

– Non, Alain, pas question, j’ai promis et je respecte la promesse faite à mon mari

– Mais j’ai envie de toi, chérie

– Non, tu dois accepter … J’appartiens dorénavant à Serge, plus à toi …

– C’est vrai mais c’est dur

– Tu le savais et ça ne fait que commencer, alors contrôle toi

– Je suis dans un état d’excitation en pensant à ce qu’il a pu te faire ….

– Oh Oui … et tu ne peux même pas imaginer … Il est infatigable, il me fait l’amour en continue. Je dis bien l’amour. Il me fait voir les étoiles, lui …. Il me prend au moins 4 fois par jour, de tous les côtés. Je suis son vide couilles. Il veut que je sois nue toujours. Je suis toujours à poil, même quand il reçoit, tu te rends compte …

– Sandra … comment quand il reçoit?

– Oui, il reçoit des amis et je dois être nue devant eux. Tiens justement, hier, le voisin, d’ailleurs nous le connaissons, c’est le boucher de xxxx, est venue, il a été très surpris, il m’a bien regardé, puis il a souri

– Oh là là

– Et encore ce n’est pas tout … hier il a pris des photos de moi, nue et il les a mises sur Internet dans son site amateur voyeur. Je ne sais plus l’adresse mais je vais lui demander et je te la donnerais. Eh oui … je suis aussi sur Internet

Je finis par m’endormir …. Cette semaine j’ai enfin trouvé un travail intéressant. J’ai signé mon contrat. Sandra est heureuse. Je lui ai donc dit qu’elle pouvait tout arrêter …

– Ah non, ce n’est plus une question d’argent, c’est notre vie maintenant … Moi je veux continuer … Et toi aussi d’ailleurs

– Moi je suis d’accord avec toi …

Ce vendredi soir là, Sandra quitta la maison avec encore plus de joie…

Moi aussi j’étais beaucoup mieux, lundi j’allais travailler

Nous voici début septembre …. L’automne. J’ai attendu patiemment ma femme …. Tout le week-end…. Elle est rentrée à 23 h 30.

Elle n’était pas comme d’habitude, je le remarquais aussitôt. Elle se mit à pleurer

– Que se passe-t-il, chérie?

– Rien, rien … ça va passer …

– Mais enfin, tu pleures … explique moi, je suis inquiet

– C’est pas grave … mais je suis dépassée

– Comment cela?

– Tout ce qui s’est passé pendant ce week-end, j’ai honte de te le dire

– Ah bon

– Oui et jusqu’à ce soir, si tu veux savoir

– Oui … j’aimerais bien savoir

– Mais il est tard et demain nous travaillons et toi surtout c’est ton premier jour dans ton nouveau travail

– Le sommeil est moins important que toi, que tes pleurs et que nous

– Tu sais …

Sandra était hésitante.

– Parle, dis-moi tout

– Ok, vendredi soir, je suis arrivée chez Serge. Tout s’est passé formidablement bien, il m’a baisée 2 fois en me faisant très bien l’amour et nous avons bien dormi. Puis le samedi matin, vers 9 heures, je me suis réveillée et quand j’ai ouvert les yeux, dans la pénombre de la chambre, j’ai vu 2 hommes. J’ai eu peur, mais j’ai alors entendu la voix de Serge qui me disait de ne pas avoir peur, qu’il était là. Puis mes yeux se sont habitués et j’ai reconnu les 2 hommes. Il y avait, notre boucher et l’autre … (Sandra hésitait) c’était … mon patron. Tu te rends compte, notre boucher et mon patron

– Mince, ça alors, il exagère, et alors?

– Alors, j’ai dit non … J’ai supplié Serge de les faire sortir, mais il a dit que je devais obéir, sinon il ne voudrait plus de moi. Tu comprends, je ne peux plus me passer de lui, maintenant. Alors, mon patron s’est avancé et il m’a caressé la cuisse, le boucher lui est venu me caresser les seins … et j’ai sombré dans le désir. Puis ils m’ont fait sucer leur bite, puis ils m’ont prise chacun leur tour. Serge prenait des photos. Ils m’ont fait jouir, les 2 salauds. Puis ils sont partis

– Tu as dû être blessée dans ton amour propre, ma chérie?

– Avant oui, mais après, j’étais juste une femme qui se faisait prendre par des hommes. Mais ensuite, je me suis posée beaucoup de questions, mais nous en reparlerons … à la fin de mon histoire du week-end

– Ok chérie

– J’en ai parlé avec Serge et il m’a rappelé qu’il m’avait prévenue qu’il allait me pervertir et que ce matin, c’était seulement un avant-goût. Alors, il m’a allongée à plat ventre sur la table de la salle à manger et il m’a enculée longtemps et j’ai encore jouis. Le soir, il m’a dit que nous attendions de la visite, et vers 22 heures, on sonnait au portail. Serge m’a dit d’aller ouvrir, nue. J’ai traversé je jardin de devant et j’ai ouvert le portillon. Je me suis retrouvée en face de plusieurs hommes. J’ai immédiatement reconnu le premier et je me suis cachée derrière le portillon. Ils sont entrés. J’ai fermé le portillon et tous me regardaient… Il y avait, tiens-toi bien … Jean, le fils de carrossier, Robert … oui, Robert l’employé de Mairie, Albert, le garde-chasse, Romain … le comptable de ma boite, Xavier le pompier et surtout et aussi … notre banquier, le salopard.

– C’est pas possible … tous

– Oui ils étaient là tous les 6 et Serge les a fait passer dans le jardin de derrière et leur a dit de se foutre à poil que la salope était impatiente de les satisfaire. Jusqu’au petit matin ça a duré. Je ne te raconte pas, car j’en suis incapable, qui m’a fait quoi et comment mais je suis certaine qu’ils m’ont tous baisée et enculée chacun leur tour et que tous ont éjaculé dans ma bouche. Serge a pris d’autres photos et a même filmé. Je peux te dire aussi qu’ils riaient et parlaient de nous et de toi.

– Ils disaient quoi?

– Tu veux savoir?

– Ma foi, oui

– Bon. Je ne sais pas qui exactement, mais j’entendais :

– A la salope, je n’aurais jamais espéré me faire Sandra, cette belle petite de 19 ans…. Putain qu’elle est belle…. Je ne savais pas que s’était une pute, la femme à Alain… Alain, merde alors, il est cocu grave…. Eh les mecs, j’encule la femme d’Alain… Eh les cops, elle avale mon sperme la femme d’Alain… Je jouis dans la chatte du cocu Alain …

Et j’en passe et des meilleures. J’étais pleine et couverte de sperme. Je me suis endormie sur la balancelle … et je me suis réveillée vers 13 heures. Serge était aux petits soins et m’avait préparé un déjeuner copieux

– J’en suis tout catastrophé … Donc presque toutes nos connaissances savent?

– Oui, mais attend la suite …

– Quoi … encore?

– Tu sais d’où je sors là, il y a 30 mn?

– Ben, non

– J’étais à 100 m de la maison, chez Marcel R….

– Chez Marcel? Mais pourquoi?

– Serge m’y a amenée vers 18 heures. Marcel avait préparé un buffet campagnard. Mais curieusement, nous n’étions que tous les 3. Marcel m’a détaillé des pieds à la tête et m’a dit que depuis longtemps il rêvait de moi et que de savoir que j’étais une salope, il n’en revenait pas. Jamais il n’aurait pensé que la femme d’Alain était une pute. Puis il m’a touché les seins en disant que j’avais la paire de nichons la plus belle qu’il n’est jamais vu. Serge a enlevé ma robe et j’étais à nouveau nue. Marcel bavait … Tu le connais cet obsédé sexuel, ce vieux pervers … Il m’a fait mettre à genoux, il a sorti sa queue de dessous son gros ventre et il me la collée dans la bouche. Il a éjaculé en 30 secondes en me maintenant la tête pour que j’avale son sperme, ce vieux dégoûtant.

– Donc … même Marcel?

– Marcel, oui … Marcel et les autres …

– Quels autres?

– Je continue …. Et Serge a téléphoné, il a dit à son interlocuteur qu’il pouvait envoyer les suivants …. Alors il m’a dit d’aller m’allonger sur la table basse du salon sur laquelle il y avait un tapis d’ailleurs. Puis Marcel est venu, m’a écarté les cuisses et il m’a sucé la chatte pendant 5 mn. Je commençais à jouir quand il s’est arrêté et a rejoint Serge. Moins de 2 mn après, quelqu’un est entré. J’ai entendu Marcel lui dire de se foutre à poil, que j’étais disponible pour lui dans le salon. Je n’étais même plus inquiète, mais curieuse de savoir qui c’était. Il est entré et j’ai reconnu Daniel B… Lui aussi a semblé surpris, mais il a dit que Serge n’avait pas menti, que c’était bien Sandra, la belle Sandra qui se trouvait là devant lui, offerte. Il ne cessait de répéter … c’est pas possible, Sandra … Il s’est jeté entre mes cuisses et il m’a pénétré d’un seul coup. Il m’a baisée à sa guise et il a joui. Il s’est relevé et il est venu m’embrasser à pleine bouche puis il est sorti du salon.

– Daniel B… Merde!

– Je n’ai même pas joui, tant il a été rapide, ce con

– Et après?

– Après il y a eu le défilé, Serge a choisi toutes nos connaissances, dont je me souviens parfaitement … Je commence, dans l’ordre :

Kamel, le jardinier arabe, lui il m’a baisé la bouche et il a joui, planté au fond de ma gorge… Jean, notre voisin de la maison en face, lui il m’a baisée normalement… René, notre voisin, le mari de Laure, il m’a baisée aussi et j’ai joui une première fois… Serge, l’autre, le patron du café tabac, qui m’a baisée avec sa petite queue… Yann, le jeune qui travaille à la station. Lui il m’a enculée… Roland G… qui m’a aussi enculée… David, le frère de Jany, il s’est branlé et il m’a arrosée de son sperme… Franck, le chef de la bande de jeune qui sont souvent sur la place, qui m’a enculée… Et enfin le meilleur pour la fin, mon oncle … Jean Yves … Il a simplement dit que jamais il n’avait osé espérer baiser sa nièce. Il m’a baisée…. Et je peux te dire que là encore les commentaires qu’ils faisaient, soit quand ils étaient seuls avec moi ou quand ils étaient entre eux dans la salle à manger, étaient du même genre que les autres de la veille. Mais celui de mon oncle c’était le pire. Il a dit qu’il viendrait souvent chez sa nièce pour faire te faire cocu dans ton propre lit. Enfin Serge m’a dit de rentrer. En passant devant tout le monde, ils m’ont encore touché les seins et les fesses et certains m’ont embrassée avec leur langue baveuse. Ils m’ont dit d’aller te dire qu’ils venaient de prendre ta pute de femme. Et me voilà.

Je ne parlais plus, je ne savais pas quoi dire… Alors, Sandra enleva sa robe et je vis son corps si beau, je vis les traces de sperme sur elle et celui qui coulait entre ses cuisses. Elle comprit mon désir. Elle vint sur moi, enjamba mon visage et plaqua sa chatte sur ma bouche.

– Bois le sperme bien chaud de mes amants qui viennent de se vider dans moi, bois cocu

J’avais la bouche remplie du foutre qui coulait et je m’en régalais. Elle se leva, je voulu l’att****r …

– Ah non … pas toi. Serge ne veut pas. Il me pervertit pour lui, pas pour toi. Je lui appartiens et je fais ce qu’il me dit de faire avec qui il veut. Je vais être gentille avec toi, je vais branler ta petite queue

Elle prit mon sexe dans sa main et me masturba et je jouis en 1 mn, tant j’étais plein d’excitation.

– C’était bon, chérie d’amour?

– Oui, surtout après ce que tu viens de me raconter, presque tous ceux qui te regardaient en te désirant t’ont eue. Tous ceux qui me jalousaient ma merveilleuse épouse l’ont baisée ou enculée

– Et ça te plait d’être cocu à ce point?

– C’est excitant, très excitant de savoir que sa femme est une salope, la pute du village, la femme publique, en quelque sorte, mais au fait, pourquoi pleurais-tu

– Je me fais beaucoup de soucis, je me suis avilie avec tous ces hommes, et maintenant je ne sais pas ce qui va se passer, et en plus, il y a mon patron et mon oncle. Et il y a Serge …. Dont je ne peux plus me passer, il me rend folle, je crois … que je l’aime …. Différemment de toi, mais je l’aime. Je suis désolé de te l’avouer, Alain. Tu vois, même en ce moment, je voudrais être avec lui, dans ses bras. Voilà pourquoi je pleurais.

– Je comprends, chérie, je comprends.

– Tu comprends quoi?

– Je comprends pourquoi tu pleurais

– Ah … et est-ce que tu comprends que nous sommes allés très loin, que nous avons dépassé le point de non-retour, que nous ignorons, toi et moi, ce qui va se passer demain, après demain, avec tous ceux qui m’ont prise. Ils vont se parler entre eux et en parler aux autres, ça ne va qu’empirer. J’espère que Serge dominera la situation

Lâchement, je ne répondis pas. Le matin nous nous sommes très peu parlé, nous sommes partis chacun de notre côté à notre travail respectif.

Le soir, je suis rentré avant elle à 19 heures. Elle est rentrée à 20 h 30.

En dînant elle m’a expliqué son arrivée tardive. Serge lui a téléphoné et lui a demandé de passer chez lui au sortir du bureau. Il lui a dit qu’elle n’avait rien à craindre de son patron, ni du comptable, ni d’aucun de ceux qui m’avaient prise, qu’il gérait la situation.

Il l’a informée que c’est lui qui provoquerait les situations qu’il voudrait et que je saurais que ça vient de lui… Je fus un peu rassuré.

Le mois passa très vite … chaque jour Sandra avait une nouveauté à me raconter.

« … Un jour c’était untel qui l’appelait sur son portable en disant que Serge lui avait donné son n° de téléphone et lui disait de venir à tel endroit. Et bien sûr il la prenait. Elle se faisait baiser et/ou enculer ou elle devait sucer et avaler le sperme. Elle rentrait souvent après 22 heures…

… Un autre jour, c’était son patron ou le comptable qui après l’avoir convoquée la prenait dans leur bureau…

…. Elle me dit aussi qu’un soir, Kamel l’avait emmenée dans les bois. Il l’enculait lorsque 3 de ses copains arabes sont apparus et elle a dû les sucer et boire leur sperme à tour de rôle.

… Mais la chose la plus terrible pour elle, c’est que tous les week-ends, elle ne les passait plus avec Serge, mais avec son oncle qui ne se lassait plus de la prendre plusieurs fois par jour.

Enfin ses règles arrivèrent et elle put souffler un peu. Pour moi, ce fut dramatique, tant j’aime ma femme. Mais pour elle, ce fut le bonheur.

Le dernier jour de ses règles, elle m’annonça que son patron lui accordait un mois de congés supplémentaires. Qu’elle partait demain pour aller vivre un mois complet avec Serge dans sa maison de Montpellier.

J’en fut tout chagrin … mais je me devais d’aller jusqu’au bout de ce que j’avais accepté de vivre : Sandra était bien la femme de Serge.

Je n’eus plus de nouvelle … j’étais triste et malheureux et pourtant j’étais heureux de ma condition de cocu. Je me branlais tous les soirs et pensant à Sandra et à Serge.

Et un jour, le mois d’octobre était bien entamé, elle me téléphona.

– Alain, mon chéri, nous sommes revenus, je suis chez Serge, je vais encore resté avec lui quelques jours, je prolonge mes congés

– Tu me manques Sandra … Je t’aime … combien de jours?

– Ah ça je ne sais pas, c’est lui qui décide

– Tu vas bien mon amour?

– Très bien, en pleine forme

– Et …

– Bon je te laisse, à bientôt

Elle raccrocha, sans me laisser terminer ma phrase.

Un soir, rentrant de mon bureau, je la trouvais à la maison. Bien installée dans un fauteuil.

– Chérie, tu es enfin de retour, mais pourquoi, pourquoi si longtemps, oh mon amour tu m’as tant manqué

– Oui mon chéri, je sais, je te comprends mais c’était nécessaire

– Nécessaire?

– Oui évidemment, je n’ai pas eu mes règles et il a bien fallu attendre 15 jours pour faire le test et ensuite attendre 1 semaine pour le confirmer

– Le test?

– Oui le test de grossesse, mon chéri

– Tu veux dire que?

– Oui, mon chéri, je t’annonce que je suis enceinte de Serge

– Enceinte!

– Oui, c’est bien ce que nous avions prévu, non?

– Oui, mais bon, je suis tout retourné

– Je m’en doute

– Tu m’apprends que tu es enceinte d’un autre, fût-il Serge, je suis tout bizarre

– Je suis enceinte de Serge et j’en suis heureuse pour moi et pour toi

– Pour moi?

– Mon chéri, Serge te fais cocu depuis longtemps, toi et moi nous sommes mariés, soit, mais je suis sa femme à lui aussi ne l’oublie pas, c’est à lui que j’appartiens désormais, maintenant il m’a fait un enfant, c’est normal, c’est avec lui que je couche et que je baise, plus avec toi et je suis heureuse que tu sois un bon petit mari bien cocu et content de l’être

– Vu comme ça, je suis d’accord avec toi, c’est vrai que je me sens vraiment cocu

– Et quand mon ventre va grossir tu le constateras encore plus et tiens-toi bien, tous le village sait que je suis avec Serge, ils savent tous que je vis avec lui depuis presque 2 mois, car il ne se cache plus tu sais, et il a aussi invité des copains chez lui et comme tu le sais aussi, je suis toujours nue même devant tout le monde, il est si fier de sa jeune femme … Si tu savais comme je l’aime … Il me baise, il me baise, sans arrêt, j’en suis même fatiguée et je ne compte pas qu’il m’encule et me fait boire son sperme.

– Bon ceci dit, tu as faim, tu veux dîner avant de te coucher ou tu préfères regarder un bon film?

– Rien, je repars chez Serge, il m’attend, il m’a juste dit de venir t’annoncer la nouvelle

– Oh non!

– Si je repars et dorénavant jusqu’à l’accouchement, il inverse tout. J’ai arrêté de travailler. Il a d’autres vues pour moi. Maintenant, la semaine du lundi au vendredi je serais chez lui. Le samedi et le dimanche, je serais avec toi … enfin, je t’expliquerais mieux samedi matin

Elle est donc repartie chez Serge … Samedi matin, elle est revenue à 9 heures. Radieuse et rieuse.

– Alors voilà je suis là avec toi, mais les règles sont toujours les mêmes et en plus, je ne dois pas dormir avec toi. Tu seras dans la chambre d’amis. Mon oncle viendra 1 week-end par mois dormir avec moi, mon patron aussi, et les deux autres week-ends seront à la convenance de Serge

Je savais n’avoir pas droit à la parole, j’avais accepté de vivre cette longue et terrible expérience et maintenant, seule Sandra pouvait y mettre fin quand elle le voudrait. Elle s’approcha de moi, tendrement, posa un baiser sur mes lèvres.

– Ne t’inquiète de rien, Alain, je sais ce qui est bon pour nous, fais-moi confiance

– Je te …

La sonnerie retentie …

– Ah ce doit être mon oncle Roger

– Déjà!

– Il est impatient … mon tonton, zut, j’ai oublié, il faut que j’aille lui ouvrir étant nue, vite je me déshabille …

Il entra et embrassa, sa nièce sur la bouche comme pour bien me montrer qu’il était son amant.

– Bonjour Alain, tu vas bien, il y a longtemps que nous ne nous sommes vus, n’est-ce pas …

– Oui, et pourtant nous ne sommes pas loin …

– Il aura fallu que tu sois le cocu du village et que ta femme en devienne la pute pour que nous soyons réunis

– hummm

– Alors, comme ça, tu es un vrai cocu volontaire … Je n’y aurais jamais cru, tu sais … j’ai connu tes parents lors de votre mariage, et je ne sais pas si ton père apprécierait cette situation, mais enfin, à chacun sa vie … Quant à ma nièce, ça c’est une aubaine que je savoure depuis quelques temps. J’envisage avec la complicité de Serge de le faire savoir à son père … Je suis certain qu’il ne dirait pas non lui aussi pour baiser sa propre fille

– Tonton, tout de même, pas ça … dit Sandra

– On verra, on verra … Mais maintenant viens me sucer devant ton cocu

Il enleva son pantalon et sorti son sexe qui était très gros. Il était debout, Sandra s’agenouilla devant lui et le goba. Elle le suçait avec application.

– Suce ma petite, suce bien la bite de ton oncle, suce ma pute adorée, oui, oui vas-y

Il tenait Sandra par la nuque et baisait sa bouche, il s’en servait comme de sa chatte. Il s’y enfonçait profondément, à grands coups de bite. Il dura longtemps … et explosa sa jouissance.

– Avale ma chérie, avale le sperme familial, tiens salope, je jute dans ta gorge

Il avait joui et Sandra avait bu. Il se déshabilla complètement et nu aussi, il me dit :

– Alain, sers-nous un café

J’allais dans la cuisine pour faire ce que l’oncle demandait. Quand je revins, il était attablé et Sandra était assise sur un de ses genoux. Il caressait ses seins.

– Assis toi Alain …

– Merci

– Alors, dis-moi un peu … ça te plait que je baise ta femme?…..

– C’est complexe et compliqué à expliquer, tu sais

– Oui je comprends, mais tu sais que Sandra est la pute du village … et que d’autres la baise souvent, mais surtout que Serge la garde avec lui et qu’elle porte son enfant?

– Oui je sais tout ça …

– Tonton, je ne crois pas que ce soit un sujet de conversation auquel Alain souhaite répondre, dit Sandra

– Alors, répond à sa place

– Alain et moi, avons pris ce chemin par hasard, et je me suis rendu compte qu’il était ce qu’on appelle un cocu consentent … et moi, je me suis révélée être une vraie salope … donc nous avons continué dans cette voie et nous en sommes heureux tous les deux, voilà tout

– L’essentiel est que je profite de cette situation et que je puisse te baiser, baiser ma nièce si belle, et que tu sois ma jeune petite pute

La journée passa simplement … en famille. Le soir, Roger et Sandra allèrent dans notre chambre et j’entendis leurs ébats … L’oncle fit l’amour à sa nièce et je reconnus les cris de jouissance …. Je compris également qu’il l’enculait quand elle dit :

– Oh tu es aussi gros que Serge, heureusement qu’il me prend par-là souvent

Ils firent l’amour une bonne partie de la nuit… Le dimanche, il la prit encore le matin et la nuit…Lundi je quittais la maison à 6 h 30, ils dormaient.

Le soir …. Quand je rentrais, Sandra avait déjà rejoint Serge pour la semaine.

Début novembre Sandra ne m’a pas appelé cette semaine… Elle est arrivée samedi matin. Je suis très heureux de la retrouver. Elle est de plus en plus belle.

– Enfin je te vois et je peux voir ton petit ventre s’arrondir!

– Tu es content, mon chéri?

– Oui très content!

– Mon patron est empêché cette semaine, il est en déplacement.

– Ah!

– Serge a donc avancé les week-end libres…

– Et le menu est?

– Serge m’a recommandé de bien faire les choses, il ne sera pas là. En fait ce week-end il n’y aura pas de… visiteur…

– Ah c’est une bonne nouvelle!

– Ne te réjouis pas… Je dois te mettre en condition…

– En condition? Mais pourquoi?

– Ce n’est pas facile à dire, chéri…

– Tu sais, j’en en vu tellement depuis quelques mois.

– Oui mais cela va te peiner, je pense…

– Dis toujours… Ai-je le choix?

– Non.

– Alors…

– Il faut d’abord que tu rédiges un texte de ta main et que tu le signes.

– Un texte sur quoi?

– Tu devras écrire tout concernant notre relation de couple, comment tu la vis, ce que tu penses de moi, de toi, de Serge, de mes amants, de notre futur enfant, de ce que tu es prêt à accepter encore, enfin jusqu’où tu veux que nous allions… et Serge dit que tu dois insister sur ce que toi tu veux… Et à la fin de ton texte, je devrai, moi aussi, écrire ce que j’en pense et après je te dirai ce que je dois t’annoncer de la part de Serge.

– Ah… c’est qu’il y a beaucoup à dire et la fin de ta phrase m’inquiète…

– C’est pour cela qu’il faut que tu rédiges ce texte.

– Bon je m’y mets tout de suite.

– Moi je me repose un peu, je vais me détendre dans le fauteuil.

– A tout à l’heure.

– D’accord.

Me voici donc, dans mon bureau… Je suis assis devant mes feuilles blanches et j’avoue ne pas savoir par où commencer. Je réfléchis durant longtemps. Puis j’écris :

………….. »

Aveux d’un cocu marié à Sandra en mai 2002.

Nous avons eu une vie disons normale jusqu’en juin 2003. Ma femme est une très belle femme, jeune, elle a maintenant presque vingt ans, elle est ce qu’on appelle une très belle femme. Vraie blonde aux yeux verts, elle a un corps magnifique avec des hanches très féminines et des seins lourds bien ronds d’un 95 D. Elle est grande.

Depuis notre mariage, je suis fier de sa beauté. Mais en juin 2003, nous avons eu des difficultés financières et le destin nous a placé sur une voie à laquelle nous ne nous attendions pas. Puis deux mois plus tard, notre couple a basculé dans ce que je pourrais appeler notre nouvelle vie.

Serge, l’homme qui est à l’origine de ce basculement est entré dans notre vie. Sandra pour protéger, au départ, notre situation sociale a, en quelque sorte, cédé aux avances et au chantage financier de Serge.

Moi, lâchement, je suis resté coi, j’ai observé, de ma cache, ma femme obéir aux exigences de Serge et se donner à lui. Si j’ai été colère et voulais intervenir, j’ai vite été confronté à un dilemme intérieur. En effet, si tout en moi se révoltait, quelque chose de nouveau naissait aussi en moi. J’étais fasciné et excité par ce que je voyais.

Je devenais voyeur, voyeur de ma propre femme satisfaisant un autre homme que moi et voyeur de ma femme faisant l’amour. Tout le temps qu’a duré cette situation nouvelle, je me suis découvert et j’ai découvert ma femme.

Je l’ai vu boire le sperme de cet homme, alors qu’elle ne me l’avait fait, je l’ai vu se faire enculer pour la première fois, alors qu’elle me l’avait toujours refusé.

Mais ce que j’ai compris, au fond de moi, c’est que ma femme avait aimé se faire prendre comme une salope par cet homme qui aurait pu être son père. Sans doute, la grosseur de son sexe y était pour quelque chose. Son savoir-faire aussi. De mon côté, je compris également que j’avais aimé être ainsi cocu par cet homme qui venait de posséder ma femme.

Puis Serge, sans doute, appréciant le corps et la jeunesse de ma femme, ne nous a pas lâché et il a, par son adresse, obtenu que Sandra le revoit.

Elle était d’accord et moi aussi. Même si nous l’avons reconnu, nous ne nous sommes pas dit ce que nous pensions réellement. Elle n’a pas dit qu’elle brûlait d’envie de refaire l’amour avec lui. Je ne lui ai pas dit que je désirais qu’elle se fasse prendre encore pas Serge et surtout qu’il la possède encore comme je l’avais vu possédée la veille.

Ensuite tout s’est enchaîné et Sandra et moi avons parlé sans limite de ce que nous ressentions et de ce que nous voulions pour notre couple. Nous avons décidé d’un commun accord de poursuivre cette expérience jusqu’au bout.

Nous avons eu avec Sandra quelques moments d’intimité merveilleux jusqu’à ce que Serge lui interdise d’avoir des relations sexuelles avec moi. Sandra m’a dit qu’il voulait qu’elle soit enceinte de lui. Mais de plus, Serge avait dit qu’il voulait la pervertir.

Il commença début septembre Et Sandra fut prise par plusieurs hommes du village que Serge avait convié. Elle devint ainsi la pute commune, la femme publique. Et même son oncle la baisait. Elle s’absenta … avec Serge et lorsqu’elle revint, elle m’annonça être enceinte de lui. Le coup fut rude mais oh combien excitant.

Elle m’avoua aussi être amoureuse de Serge, en fait elle m’avoua l’aimer différemment de son amour pour moi, mais aimer.

Tout ceci posé, je peux dire aujourd’hui que je sais et accepte que ma femme soit heureuse avec un autre homme que moi. Je suis heureux et accepte qu’elle porte l’enfant de son amant de cœur.

Je suis heureux et accepte qu’elle se donne à lui, qu’elle lui appartienne. Je suis heureux et accepte qu’elle vive avec lui, plus qu’avec moi. J’aime savoir qu’elle soit devenue sa femme, d’une part, mais aussi qu’elle soit devenue une salope et une pute en la donnant à beaucoup d’homme du village.

Je suis devenu le cocu Aux yeux de tous mes collègues et connaissances. J’aime à penser que ces hommes qui me jalousais d’avoir épouser la plus belle fille soient leur amant et la prennent, maintenant, comme leur pute.

J’aime que Serge interdise à Sandra de coucher avec moi, d’avoir des rapports sexuels avec elle. C’est ainsi que je trouve à exprimer ce qu’il faut bien appeler mon masochisme, car j’en souffre, évidemment. Mais c’est aussi terriblement excitant.

Etre cocu soit, mais être dépossédé de sa femme, c’est humiliant, mais excitant cérébralement. Je sais maintenant, que je peux tout accepter et même plus que ce que j’ai déjà accepter.

Alors, que dire de plus. Que je remercie Serge et Sandra de m’avoir révélé et de me permettre d’exprimer mon masochisme. Que je remercie Serge de m’avoir évincé dans le cœur et le corps de Sandra. Que je remercie Sandra de vivre son amour pour Serge pleinement.

Je leur demande de continuer ce qu’ils ont entrepris et les remercie tous les deux Alain.

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Sandra lut cette confession et apprécia, elle dit qu’elle n’en attendait pas moins et qu’elle était heureuse de ce que j’exprimais car elle voulait effectivement continuer, en ce sens.

Elle prit un stylo et dit qu’elle allait, elle aussi, participer à cette confession comme l’exigeait, Serge. Elle écrivit donc, à la suite de la mienne.

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Je suis Sandra, je viens de lire la confession d’Alain. Elle me convient tout à fait. Mais je voudrais, ici, insister sur plusieurs points, surtout pour que Serge soit pleinement satisfait.

En effet, je considère comme un homme qui accompagne ma vie. Je porte son nom par acte d’état civil, mais dans mon esprit et dans mon cœur mon mari c’est Serge.

C’est Serge que j’aime et Alain est mon meilleur ami. Rien de plus, rien de moins. L’enfant que je porte, est le fils de Serge mais il sera déclaré à l’état civil sous le nom d’Alain. Ceci afin que ce dernier soit marqué par l’humiliation du cocu.

Alain vous a dit, dans sa confession, que j’étais, entre autres, baisée par mon oncle, et c’est vrai, et Serge le fera bientôt savoir à mes parents. Je suis réellement devenue aussi la pute du village et je suis fière car ainsi tous les hommes auxquels Serge me donne, peuvent dire à Alain qu’eux aussi ils m’ont eue.

Enfin, Alain nous demande, à Serge et moi, de continuer Alors je lui dis oui, et il va s’en rendre compte, car Serge a bien d’autres intentions à mon endroit.

Sandra.

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Ainsi Sandra avait scellé ma confession par la sienne et la volonté de Serge.

– Bon maintenant tu peux me dire ce que tu as à me dire…

– Oui, je vais te le dire, installe-toi dans ce fauteuil.

– Je suis prêt.

– Alors voilà ce que dit Serge

Il ne veut plus jamais entendre que tu dises, parlant de moi, ma femme quand tu t’adresseras à qui que ce soit. Tu pourras dire seulement Sandra.

Il ne veut plus que tu m’appelles autrement que Sandra et moi je t’appellerai Alain. Plus de chérie ou chéri.

Il ne veut plus que je sois avec toi chez tes parents ou chez les miens, s’il lui n’y est pas.

Il exige de nous deux que nous nous ayons une relation exclusivement courtoise, respectueuse et amicale quand nous sommes ensemble dans la maison.

Dorénavant en me parlant de lui tu devras dire… ton mari, et en te parlant de lui, je devrais dire… mon mari.

A tout le monde d’ailleurs nous devrons parler ainsi, y compris nos parents.

Il exige aussi que nous nous montrions, maintenant, ensemble lui et moi dans le village.

Enfin, il change les dernières règles établies et dorénavant, les hommes auxquels il me donnera, viendront me prendre chez lui et plus chez toi. Ce qui implique que je ne viendrai te voir, amicalement, que lorsqu’il me le dira.

– Mais enfin, je ne te verrai donc plus!

– Tu ne me verras que lorsqu’il le voudra, lui!

– Mais…

– Tu sais, Alain, sois heureux qu’il n’exige pas que je divorce d’avec toi!

– Comment?

– Oui, tu as bien entendu…

– Tu le ferais?

– Oui, je le ferais!

– Je suis malheureux!

– Alain, je suis certaine que Serge sait ce qu’il fait. Il m’a laissé entendre que je viendrais régulièrement te raconter ce qu’il fait de et avec moi de sorte que tu sois toujours en humiliation et en souffrance de la femme que tu as perdue.

– Oh vraiment, je ne pouvais imaginer une telle situation!

– Maintenant je rentre chez moi, rejoindre mon mari.

– Sandra, je t’en prie ne me laisse pas sans nouvelle de toi, longtemps.

– Je ferai ce que mon mari voudra que je fasse…

Sandra me laissa seul avec mon désespoir et ma peine.

Je partais tôt au bureau et en rentrais tard. Je ne voyais plus personne. J’évitais de circuler dans le village. Je faisais mes courses ailleurs. Le week-end, je restais enfermé pour ne voir personne mais je restais à la maison au cas où Sandra viendrait.

Mais j’ai dû attendre plusieurs semaines avec qu’elle ne vienne un samedi après-midi. Nous étions quelques jours avant Noël. Son ventre avait grossi. Je la regardais avec amour. J’en oubliais immédiatement ma peine. Je la priais de s’asseoir. Je lui préparais un chocolat chaud, comme elle l’aime.

Elle était enceinte de trois mois et demi. Nous avons parié de sa santé et de la pluie et du beau temps. Puis elle dit que Serge lui avait dit de venir me voir pour m’informer…

– Je dois te dire tout ce que j’ai noté.

Elle sortit un papier de son sac à main.

– Serge, m’a demandé d’être explicite et de ne rien omettre, c’est pour cela qu’hier, nous avons écrit ce bout de papier :

– Je dois commencer par te dire que je reçois, chaque jour de la semaine, la visite d’un homme différent, la plupart vient du village. Il n’y a pas de règle précise. Le premier qui arrive, je dois l’accepter. Le bouche à oreille a fonctionné et maintenant, mon mari, estime qu’une soixantaine d’hommes sont sur les rangs. Le matin, je dois mettre un carton vert sur la vitre du salon, si je suis encore disponible et après, un carton rouge, si je ne suis plus disponible. Ainsi il n’y a pas d’embouteillage. Mais les vieux sont plus nombreux. Mais la demande est forte. Heureusement qu’il y a les week-ends. Ces deux jours me permettent de satisfaire un bon nombre d’hommes. En moyenne disons, six le samedi et six le dimanche. Les week-ends, ce sont plutôt les jeunes qui adorent me partouzer. Ceux du village emmènent quelquefois leurs copains des cités. Il y a eu des arabes et des noirs. A cause de cela, Serge me dit de te préciser que mon vagin peut prendre les plus grosses bites imaginables, que mon cul est devenu très accueillant. Et que plus ou moins, je bois le sperme de douze hommes par semaine.

– Il y a quinze jours, mon oncle a informé mes parents et tes parents de la situation. Il parait que cela a fait du bruit… mais les choses se sont calmées après que mon mari soit allé avec mon oncle se présenter à eux et expliquer ma propre volonté. Ils ont exigé de me voir, mais Serge a refusé avec l’appui de mon oncle. Tous les deux ont voulu que cette rencontre familiale se passe pour le réveillon de Noël. Donc maintenant nos parents, aussi, savent tout et même que j’accepte d’être baisée par mon oncle. Cette année, tu ne seras donc pas invité chez nos parents pour Noël car nous serons réunis en famille et tes parents ont accepté la proposition de mon mari avant de te voir car ils ne savent pas très bien comment aborder cette situation avec toi. Voilà ce que mon mari m’a dit de te dire!

J’étais complètement abasourdi et je ne pouvais sortir un seul mot de ma bouche.

– Tu ne dis rien, Alain?

– Je suis sous le coup. Je pense à nos parents… Et aussi à cette situation dont je ne sais comment elle finira…

– Je comprends…

Sandra a quitté la maison vers dix-neuf heures.

Les jours ont passé, j’étais seul… Noël et jour de l’an.

Nous sommes le 3 janvier 2004. La sonnerie du portail retentit. C’est le facteur qui m’annonce, ainsi, qu’il y a du courrier. C’est un courrier de mes parents. J’ouvre, je lis.

– Bonjour Alain. Comme tu le sais, nous avons passés les fêtes de Noël, en compagnie de Sandra et de Serge et aussi de tes beaux-parents. Après le choc dont tu peux te douter et les pleurs des femmes, nous avons tous fini par comprendre et admettre ta façon d’être, puisque c’est la tienne. Nous voulons tous te dire que tu es et reste notre enfant. Si nous avons choisi de t’écrire c’est que nous pensons que, pour l’instant, tu dois préférer rester loin de nous et nous le comprenons.

Sandra nous a convaincu et Serge nous est apparu, en définitive, être un homme courtois. Nous t’embrassons et sache que la porte est ouverte.

Un autre courrier vient de Sandra, je l’ouvre et le lis.

– Mon très cher Alain, tu as dû recevoir une lettre de nos parents t’informant qu’ils sont maintenant au courant de ton infortune. Serge et moi avons passé un agréable séjour et de bonnes fêtes de Noël… en famille. Nos parents savent tout de toi, de tes préférences sexuelles, de notre séparation de fait, de l’enfant que je porte, de ma débauche sexuelle guidée par mon mari. Tu dois être content que même aux yeux de nos parents, tu sois reconnu comme un vrai cocu. Comme tu t’en doutes au reçu de ce courrier, je ne viendrai pas ce week-end. Pour le réveillons du jour de l’en, mon mari m’a offert une nuit de luxure incroyable. Nous étions chez des amis masculins et j’ai été la proie de onze hommes, toute la nuit, j’ai été prise jusqu’au petit matin. Ce week-end, je dois recevoir la visite de six jeunes Je te dis à bientôt!

Les semaines et les mois ont passés. Le printemps est arrivé, nous sommes au joli mois de mai, le 15. Un bruit me réveille. Il y a du monde dans ma maison. Je me lève et stupéfaction. Je me trouve nez à nez avec Sandra, il y a des valises… Elle me regarde, je la regarde, elle est enceinte jusqu’aux yeux, son ventre est très gros. Je souris, elle sourit.

– Bonjour mon Amour, je suis rentrée, je suis revenue chez nous!

– Vrai?

– Vrai!

Je me jette dans ses bras et l’embrasse passionnément. Elle répond à mon baiser

– Je rêve, dis-je.

– Non, tu ne rêves pas, je suis là!

Sandra a accouché d’une adorable fille. Nous l’avons appelé Sandrine. J’ai appris que Serge avait déménagé dans le sud. Nous avons revu nos parents comme si de rien n’était.

Nous sommes fin août. La vie a repris son cours… enfin presque…

FIN

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